Pseudo: Elle arrive... Ses pas claquent sur le carrelage... La chaise grince... L'ordinateur s'allume... Une page words s'ouvre, encore pure... Plus pour longtemps... Tremblez, bishos, Florinoir écrit...

Titre: Traque.

Genre: Encore une UA! yaoi, traque, OOC,...

Source: "Blanche Relena et les cinq pilotes"?

/Relena/Ouiiiiiiiiii!

/Heero/ Nan, c'est "Les multiples façons de mourrir", by Heero Yuy.

/Trowa/ ...!

/Quatre/ Non,Trowa, ce n'est pas "Le fun d'être muet", il s'agit de "Ma skizophrénie, vie de Quatre Raberba Winner!"

/Duo/ Z'êtes out of subject les mecs! C'est "Comment s'éclater parmis quatre coincés du cul", méthode de Duo Maxwell!

/Wufei/ Shazis! C'est "Justice et Honneur, Chang Wufei" !

/Flo,grosmaldecrâne/ Gundam Wing

Disclamer: Les personnages ne sont pas à moi. Mais avouez que le reste n'a rien à voir avec la Sunrise and cie!

Notes: Cette fic m'est venue alors que je lisais un édito sur un site consacré à Quatre. Ca disait que la créatrice du site en avait marre des couples conventionnels, qu'il y avait beaucoup trop de trucs dessus. Bon, je suis pas tout à fait d'accord, perso, si une fic me plaît, je la lis quel que soit les couples, et puis je pense pas me lasser des classiques, après tout, si il y en a autant, c'est parce ça colle, nan? Bref, ça a fait tilt dans mon piti crâne et je me suis dit, pourquoi pas faire une fic avec Quatre en principal? Et puis, mes goûts étant ce qu'ils sont, j'ai pas pû m'empêcher de rajouter Heero! Un jour, je me renouvellerais... Donc, ben ça donne ça, quoi. Ah oui, par les personnages principaux et la situation, cette fic ressemble un peu à Fated guys de Misao Maxwell(que j'adore lire, soit dit en passant). Mais je n'ai pas copité! Lol!V'là!

Bonne lecture!


/Lâche le!

/Bougez-vous, j'vous dis! Ma parole, écartez vous ou je jure que je le crève! ECARTEZ VOUS!

/Yuy, fais pas le con! Aggrave pas ton cas!

/Ta gueule! Ca peut pas être pire! CASSEZ VOUS!

Les gardiens ne bougèrent pas, tendus, en cercle, leurs armes braqués sur le prisonnier en guenille et à la la tignasse brune qui plaquait contre lui le jeune directeur de la prison d'Aziloff, lui maintenant la lame d'un couteau sur la gorge. Un léger filet de sang s'écoulait d'une fine coupure sur l'arme et le cou pâle de l'otage qui ne bronchait pas.

Le gardien en chef tenta de parlementer.

/Yuy. Réflechis bien à ce que tu es en train de faire. Tu ne sortiras jamais d'ici de cette façon. Relâche le directeur Winner avant de faire la pire connerie de ta vie.

Le prisonnier eut un rire hystérique, dément.

/Me baratine pas, Chang! C'est ma dernière chance, et je la laisserais pas filer! Ordonne à tous ces connards de VIRER DE DEVANT L'ENTREE!

/Yuy, personne ne bougera.

/Ah ouais!

Il se tourna vers un homme âgé d'une quarantaine d'années qui observait la scène, maintenus par ses deux gardes du corps. Il semblait au bord de la crise de nerf.

L'homme en haillons eut un sourire effrayant et sussura:

/Dis adieu à ton héritier, papa Winner!

Il appuya un peu plus la lame du couteau contre la gorge de l'otage qui ne put retenir un gémissement de douleur.

/NON! ARRETEZ! Wufei, je t'en supplie, laisse le passer!

Wufei hésita un moment puis serra les poings et céda devant la voix brisée et le visage désespéré du père Winner.

/Père! Ne vous occupez pas de moi! Ah!

/La ferme gamin, c'est pas un jeu!

/Père! Continua Quatre en ignorant son ravisseur, Je vous en prie, cet homme est dangeureux!

/Quatre... Je suis désolé, mais je ne veux pas te perdre... Wufei...

/Bien. ECARTEZ VOUS! NE TENTEZ RIEN! LAISSEZ LES PASSER!

Les gardiens s'écartèrent en baissant leurs armes, toujours sur le qui-vive, enrageant de ne rien pouvoir faire. Le prisonnier, gardant toujours collé à lui son otage, s'avança vers la porte. Il passa à côté du gardien en chef, ressérant sa prise sur le blond.

Le jeune Chinois planta ses onix bouillantes de râge dans le regard voilé et fou du prisonnier.

/Yuy. Je te traquerais, et à ta plus petite erreur, tu es cuit! Si Quatre Winner venait à mourrir, je t'étriperais de mes propres mains!

L'autre éclata de rire et sortit de l'enceinte de la prison.

/RESTEZ A L'INTERIEUR! QUE JE VOIS LA PLUS PETITE OMBRE NOUS SUIVRE ET LE GOSSE Y PASSE,C'EST CLAIR!

/Faites ce qu'il vous dit... gronda Wufei, furieux d'être aussi impuissant.

/Braves petits, ricana le brun hirsute, ta voiture.

/Je ne vous aiderais pas! Siffla Quatre.

L'autre accentua la pression de la lame.

/Ta. Voiture.

Le blond fut tenté de refuser encore. Puis il sut que ça ne servirait pas à grand chose et grogna à contrecoeur:

/La décapotable bleue au bout, les clés sont dans ma poche arrière droite.

Il sentit les mains de son agresseur fouiller fébrilement tout en les faisant reculer vers le véhicule. Une fois qu'il eut trouvé les clés, il ouvrit les portières et fit grimper le blond. Quand le jeune directeur fut installé, il l'assoma avant de prendre la place du conducteur et démarrer en trombe.

Sitôt le véhicule sortit du parking, Wufei hurla à ses hommes de lancer la poursuite.

Et dans la soirée, tout les postes de télévisions et toutes les radios diffusaient que "le dangeureux et mentalement instable Heero Yuy, auteur du double meurte de ses parents adoptifs, les philantropes et aimés Treize et Une Kushrénada il y a de cela cinq ans et purgeant une peine de perpétuité dans la célèbre prison fédérale d'Aziloff s'était évadé lors d'une inspection des directeurs père et fils Winner en prennant comme otage le jeune héritier... Nous recommendons la plus grande vigilence à la population...Tout renseignements ou témoignages utiles sont requis... Numero vert..."


Quatre reprit conscience dans un grognement et voulut lever une main pour tater son crâne douloureux. Il s'en trouva empêché par le lien rêche qui attachaient ses poignets ensembles derrière son dos. Il cligna des paupières et sentit alors le tissu le baillonant. En baissant la tête, il put apercevoir ses chevilles entourées de plusieurs tours de chatterton de part et d'autre d'une poutre de métal.

Il fit circuler son regard autour de lui et vit qu'il était allongé à même le sol de ce qui semblait être une usine désafectée. Impossible de bouger les jambes. Il ne pouvait que légèrement remuer et son baillon étouffait toutes ses plaintes.

Le blond découragé, cessa de se débattre en vain et se maudit encore une fois. Quel incapable il avait été!

Flach-back:

Quatre Raberba Winner jeta un oeil dans le rétroviseur. Il avait arrâché à son père la permission de conduire sa toute nouvelle voiture à grand peine et celui-ci avait tenu à l'accompagner.

C'est ainsi que le jeune homme se retrouvait avec son père à l'arrière et deux gardes du corps, un sur le siège passager et l'autre à côté du Winner segnior.

Et dire qu'il pensait que son acceptation presque sans rechigner de venir avec lui faire la visite hebdomadaire du pénitencier suffirait à ce que l'imposant quadragénaire le laisse profiter de son bolide seul!

/Mon fils, arrête de soupirer ainsi, je te prie. Tu semble un enfant capricieux.

/Père... Le fait que vous me chaperoniez ainsi me fait déjà passer pour un enfant... Cela fait trois ans et demi que j'ai obtenu le permis, je vous le rappele... Vous auriez pu profiter de la limousine!

/Maître Quatre, intervint l'immense armoire à glace brune et bronzée à côté de lui, votre père veille ainsi sur votre sécurité, il ne remet en aucun cas vos capacités de conducteur en doute...

/Rachid, que pourrait-il m'arriver? Je suis assez grand pour me défendre seul...

/Nous n'en doutons pas, mais vous ne pouvez nous blâmer de veiller sur vous...

Le jeune homme soupira. Avec son père et Rachid contre lui, il ne gagnerais jamais la partie.

Tout excellent et redoutable diplomate qu'il soit, jamais il ne réussirait à surpasser son père. "On n'apprend pas aux vieux singes à faire la grimace", se dit-il avec philosophie.

Le bolide fila sur l'asphalte brûlante en direction de l'immense bâtiment gris et ocre entouré de clôtures épaisses et de miradors qui tremblotait légèrement dans la chaleur que dégageait le soleil déjà haut dans le ciel.


Chang Wufei, jeune homme Chinois au beau visage sévère recemment promu chef des gardes dans la prison d'Aziloff faisait les cents pas devant un homme châtain au garde à vous devant lui.

/Barton, nous ne pouvons pas le laisser sortir aujourd'hui! Si il est en isolement ce n'est pas pour rien! De plus, après ce que vous venez de m'apprendre...

Il fit brusquement volte-face et planta de profonds yeux noirs furieux dans le regard émeraude du gardien impassible.

/Et vous pouvez m'expliquer comment est ce qu'on a pu laisser un homme au cachot pendant cinq mois sans aucunes sorties, bon Dieu!

Une fugitive lueur passa dans le regard du châtain à la longue mèche avant qu'il ne réponde d'une voix neutre.

/L'ancien gardien en chef en avait décidé ainsi, monsieur.

/Maxwell... Duo, c'est bien ça? On ne m'a pas dit énormément de bien de ce type... Violent, n'hésitant pas à insulter ou frapper les prisonniers...

Le garde ne dit rien mais Wufei vit à son attitude qu'il ne portait pas dans son coeur ce Maxwell.

/Monsieur, il faut que Yuy sorte, ne serait ce qu'un moment. Il est au bord de la rupture.

/Je veux bien vous croire, d'autant plus que j'ai lu dans son dossier qu'il est atteint de claustrophobie... Mais le directeur vient aujourd'hui, et s'il devait arriver quelque chose...

Le Chinois fit quelques pas dans le bureau et releva les yeux vers le châtain qui n'avait pas bougé.

/C'est d'accord, Trowa. Mais je veux qu'il y ait une surveillance attentive! Comprit!

Le jeune gardien hôcha la tête et sourit imperceptiblement en sortant de la pièce.

Il avait senti dès le départ que Chang Wufei était quelqu'un de juste.

Il tourna un couloir et son expression se durçit alors qu'il vit Duo Maxwell flanqué de ses toutous, Zecks Merquize, Howard et Hilde Shbreicker.

/Tiens, tiens, regardez qui arrive... Barton le vendu...

Maxwell se rapprocha d'une démarche féline de Trowa.

Duo Maxwell, jeune homme de vingts-deux ans, presque androgyne à la beauté envoûtante avec sa longue chevelure aux reflets cuivrés tressée et ses yeux améthystes uniques, était devenu gardien en chef d'Aziloff à l'âge de dix-neuf ans. Il y avait lui-même fait un petit séjour dans son adolescence, une sombre histoire liée à l'armée, selon les rumeurs. Libéré pour bonne conduite, il avait été remarqué par le directeur Winner segnior qui l'avait embauché malgrès son casier.

L'homme savait charmer par ses manières et semblait au premier abord charmant, drôle et sympathique. Mais sous la svelte silhouette et les sourires se cachait en fait un être calculateur, violent et fort.

Maxwell était très dangeureux.

/Que nous vaut l'honneur de ta présence dans nos quartiers de surveillance?

/C'est ton quartier et celui de Merquize, Maxwell, pas celui de Shbreicker et Howards, que je sâche, cingla Trowa.

Le natté se contenta d'un sourire ironique. Le gardien aux yeux verts ravala une brusque envie de le lui faire avaler et continua:

/J'ai besoin de surveillance pour Yuy. Il sort un moment.

/Pendant la visite du directeur... Ce Chang n'a peur de rien..., ricana Duo.

Son sourire s'élargit et prit une expression sadique alors qu'il rajouta:

/Je t'accompagne faire prendre l'air à notre petit oiseau en cage... Zecks, tu t'amènes, après cinq mois passé dans l'obscurité, sûr que la bête va être intenable...

Il éclata d'un rire cristallin et se dirigea vers le sous-sol suivi du grand gardien blond et un temps plus tard, de Trowa.


Des pas. On approche.

La silhouette recroquevillé poussa un gémissement plaintif et se rencogna au fond de la petite cellule sombre.

La lourde porte grinça et s'ouvrit brutalement, éclairant l'être prostré et crasseux qui se protégeait les yeux avec les mains.

/Debout Yuy, ta punition est terminée.

Le prisonnier ne bougea pas.

Zecks Merquize gromella et allait pour l'empoigner et le traîner quand il fut stoppé par Trowa.

/Je vais le faire. Vous l'avez déjà assez amoché comme ça.

Le grand blond jeta un oeil vers Duo qui lui fit un petit geste nonchalant lui signifiant de laisser courrir.

Ils laissèrent le châtain à la mèche s'approcher doucement de la créature et l'aider à se redresser.

S'assurant de ne pas se faire entendre des deux autres gardiens, Trowa murmura:

/C'est fini Heero, tu vas pouvoir sortir et on ne te remettra pas ici après.

Le prisonnier hocha la tête et le suivi à l'extèrieur de la cellule d'isolement. Les trois hommes en uniforme lui mirent des menottes aux mains et après une inspection de l'état déplorable de l'homme qui arrivait à peine à marcher, jugèrent inutile d'entraver ses chevilles.

/Allez Yuy, on va prendre l'air.

Entourant le prisonnier, ils se dirigèrent vers la cour.


On vint annoncer à Wufei l'arrivée des directeurs. Le Chinois lissa sa tenue et alla à la rencontre des visiteurs.

Quatres hommes l'attendaient devant l'entrée, entouré de deux gardiens.

/Otto, Romfeller, vous pouvez disposer. Bienvenue, messieurs.

/Bonjour Wufei!

Le Chinois ne put empêcher un sourire venir ourler ses fines lèvres au salut enjoué du fils Winner. Quatre était un jeune homme blond de vingts ans, au visage d'ange et à la silhouette élancée mise en valeur par un jean blanc et une chemise bleue ciel aux manches retoussées. Nul ne pouvait se vanter de résister aux grands yeux outremers du garçon.

Le père évoquait la fermeté avec son imposante carrure, son visage taillé à la serpe et son implacable et droit regard brun. Le fils semblait doux, mais Wufei savait qu'il ne s'agissait que d'une façade.

Le blond pouvait se montrer d'uneopiniâtreté à toute épreuve.

/Bonjour Quatre. Comment va Dorothy?

/A merveille! Toujours aussi survoltée!

/Je vois...

/Allons Wufei, elle t'as donc tant traumatisé que ça!

/Sans commentaires, éluda le Chinois avec une grimace significative, monsieur Winner, ravi de vous revoir, ajouta-t-il en serrant la main au directeur châtain.

/Wufei. Alors, bien adapté?

/Tout vas bien. Rachid, Ali.

Les deux gardes du corps eurent un hochement de tête et tous entamèrent la visite hébdomadaire.

Ils commencèrent par la cour.


La cour était carrée, entourée de miradors et contenait un large terrain de terre battue au centre où quelques détenus faisaient une partie de foot et un endroit abrité avec quelques bancs où l'on voyait des hommes fumer et discuter. En bordure du terrain, un chemin légèrement ombragé où trois gardiens faisaient marcher un prisonnier voûté.

Quatre, intrigué par la posture et l'état de l'homme se rapprocha discrètement alors que Wufei discutait avec les autres.


Partir. Il devait partir! Trowa lui avait dit qu'on en le renfermerais pas mais il savait que c'était faux! Et il ne voulait pas! Il ne voulait plus! Dans le noir, les souvenirs revenaient! Dans le noir on souffrait plus! Il fallait qu'il fuit! Par n'importe quel moyen! FUIR!

Tout se passa très vite.

Soudain, le prisonnier poussa brusquement Trowa Barton et se rua sur Duo Maxwell, qui, surprit par la soudaine rapidité de la loque, ne put éviter ni l'assault, ni le vol de son arme fétiche, un poignard qu'il gardait dans sa manche.

Et avant que Zecks ait pu dégainer et les sentinelles des miradors tirer, le détenu avait empoigné la personne la plus proche de lui et s'en servait comme bouclier, la lame du couteau contre sa gorge.

/BAISSEZ VOS FLINGUES ET LAISSEZ MOI PARTIR OU JE LE TUE!

Fin flash-back.

Quatre se maudissait de ne rien avoir pu faire quand l'autre l'avait saisi. Bon sang, ce type semblait près à tomber en miette, juste avant son coup d'éclat!

Il fut interrompu dans ses pensées râgeuses par des pas rapides et irréguliers se rapprochant de lui. Il tourna la tête et vit le prisonnier poser un sac et se pencher sur lui avec une gourde.

/Je vais enlever ton baillon. Pas la peine de crier, personne t'entendra! Et essaie pas de mordre!

Il ôta le chiffon de la bouche de Quatre et lui tendit la gourde de façon à ce qu'il puisse boire sans pour autant lui détacher les mains.

Une fois son gosier réhydraté, le blond essaya de planter ses yeux dans ceux de l'autre à travers sa tignasse.

/Vous ne vous en sortirez pas, vous avez été stupide de faire cela.

Le prisonnier ne répondit rien et s'affaira près du sac. Quatre inspira imperceptiblement. Les mains du fuyard étaient agitées par un tremblement discontinue et l'homme semblait assez instable...

Il l'avait reconnu. Il s'agissait d'Heero Yuy, emprisonné depuis cinq ans à Aziloff. Il y était arrivé alors qu'il était mineur, et avait été directement enfermé dans le quartier réservé aux dangeureux criminels majeurs.

Ca avait fait la une des journaux. Treize et Une Kushrénada étaient un couple aimant et aimés, dispensant leur immense richesse dans des oeuvres de charités. Ils avaient adopté un jeune garçon parmis les plus sauvages d'un établissement en ruine et l'avaient élevé au même titre que leur fille et héritière, Maremarya.

Trois ans après son arrivé dans la maison Kushrénada, le garçon âgé de quatorze ans fut retrouvé dans la cuisine, debout devant les corps de ses tuteurs, pieds nus, hagard et en sang par la jeune fille de onze ans. Il tenait encore une hache dans la main.

Le garçon avait de suite avoué son crime et une expertise psychiatrique l'avait jugé mentalement instable. Jamais il ne voulu expliquer le mobile de son acte.

L'affection que la population portait aux défunts et à la survivante orpheline était telle qu'il n'y eu aucunes polémiques sur l'adolescent.

Jugé à l'unanimité comme un monstre, on l'enferma après à peine deux jours de procès.

Quatre se retrouvait l'otage d'un psychopathe.

TBC...


Pour ceux qui se demanderait comment Duo a pu faire un séjour à Aziloff alors qu'il était adolescent, je précise que ce centre pénitnecier est immense et qu'il contient un endroit pour les mineurs et un autre pour les femmes. Mais la partie adulte reste la plus grande, et est un peu à l'écart. Et j'ai fait le gardiennage mixte, vive la parité! Même si je ne pense pas que ça existe en vrai, et on comprend pourquoi...

Et un autre début... Je suis irrécupérable...

/Heero/ T'en as pas marre, de me faire un passé de merde!

Nan, pourquoi?

/Heero/ Beuheu...

désolée pour les fautes, un jour, je serais une pro en orthographe! Et pis, ben, commentaires plus que bienvenus!