Voilà le chapitre 8, et je me tais, je ne fais pas de commentaire. Juste pour dire qu'à la fin du chapitre je ferais une rapide mise au point de mes idées, pour être sûr que tout le monde est compris. Je suis pas encore une écrivain hors pair, et j'ai encore beaucoup de travail à faire pour mettre correctement mes idées en mots. Et là je dois avouer que je galère pas mal. Désolée. Mais après ça va aller.

Et également désolée, car je viens de me rendre compte que j'ai oublié de mettre mon texte en italique dans le dernier chapirte...

Et désolée pour le mise en page, mais fanfiction me refuse les tiret pour les dialogue!

Et ce texte se passe uniquement dans le notre monde…

Bonne lecture quand même.
Chapitre 8 : le réveil de Sanzo et Gojyo (2)

Hakkai se leva et sortit de sa tente. Le soleil l'avait tapait fort sur la toile de la tente, la transformant peu à peu en four. C'est cette chaleur qui l'avait réveillé. Il enfila rapidement un tee-shirt et s'installa sur une chaise devant la table de camping.

Encore une belle journée qui s'annonçait pour le camp des quatre beaux lycéens. Goku allait encore passer sa journée à la plage ou au jeu pour enfant. Lui allait très certainement passer sa journée entre le bronzage et les boutiques de la ville voisine. Et en ce qui concerne les deux tourtereaux, Gojyo avait prévu une petite sortit surprise pour son pion. Ils allaient prendre la voiture pour se rendrent un peu plus loin sur la côte. Pique nique, sortit en mer… Journée romantique en perspective.

Par moment, Hakkai était presque jaloux de Sanzo… Enfin, presque. Gojyo pouvait se montrer tellement prévenant, tellement… amoureux.

Alors que les pensées du brun dérivaient dangereusement sur la liaison qu'il aurait put avoir avec son ami il entendit quelqu'un s'étirer dans la tente des amoureux. Ils se réveillaient… Inutile de rêver, Gojyo était à Sanzo et ce n'était pas près de changer.

Goku sortit de sa tente à son tour. Il s'affala sur la table sous le regard amusé du brun.

Tu as faim Goku ? demanda innocemment le jeune homme, connaissant d'avance la réponse.

Oui… Tu me sers le petit déj' ?


Gojyo s'étira. Encore une belle nuit… La journée de la veille n'avait pas vraiment été cool, entre sa dispute avec son moine et la mort de leurs nouvelles amies… Mais elle avait plutôt bien finit. Il avait dragué toute la soirée dans le bar du coin. Résultat : il avait réussit à ramener une nana dans sa chambre. Plutôt mignonne la nana d'ailleurs… Bon, c'était pas un canon, c'est vrai. Mais elle était pas mal au lit. Elle n'arrivait cependant pas à la cheville de son moine… Sanzo…

Le rouquin se tourna dans son lit et chassa ses pensées lubrique qu'il avait rien quand pensant à son compagnon de route. La femme avec qui il dormait se serra un peu plus contre son torse. Il avait chaud ! Etait-elle vraiment obligée de se coller à lui comme ça ? Ah ! Les femmes !

Il allait falloir qu'il pense à la virer de sa chambre d'ailleurs… La partie la plus désagréable de sa traque. Il aimait draguer. Il aimait coucher avec les femmes. Mais il n'aimait pas, mais alors pas du tout, les virer de sa chambre au petit matin. Ça cassait tout le charme de la nuit.

Elle se serra un peu plus contre lui. Ses cheveux vinrent lui chatouiller le nez. Elle sentait bon… Elle sentait… Le miel. Comme Sanzo.

Il passa un bras autour de la taille de celle qui partageait son lit et l'approcha un peu plus de lui afin de mieux sentir ses cheveux au parfum si envoutant. Elle avait une taille fine et musclée… Toujours comme Sanzo.

Gojyo ouvrit les yeux. Elle avait les cheveux blonds. Comme son moine.

L'inconnue releva la tête et ouvrit des yeux embués de fatigue. Des yeux améthyste. Un regard à damner un ange. Un visage parfait. Les mèches blondes tombaient et collaient sur le visage de l'homme. Car ce n'était pas une femme qui partageait son lit, mais un homme. Et pas n'importe quel homme. Mais son moine.

Le dit moine approcha ses lèvres de celles du kappa et l'embrassa gentiment. Il reposa ensuite sa tête sur le torse nu du rouquin et soupira.

C'est un si beau rêve… J'aimerais ne jamais me réveiller, murmura le blond contre la peau brune.

En sentant le souffle de l'homme qu'il aimait sur sa peau, Gojyo ne put retenir un frisson qui le parcourut dans son entier.

Qu'est… Qu'est ce que tu fais là ? demanda Gojyo à mi-voix.

C'est mon rêve, je fais ce que je veux.

Un nouveau frisson parcourut le kappa. Si Sanzo n'arrêtait pas de parler il allait lui sauter dessus et le violer sur place…

Je ne suis pas un rêve. Et je veux savoir ce que tu fais dans mon lit !

Sanzo se releva d'un bond. Gojyo put voir dans son regard apeuré qu'il était tout à fait réveillé maintenant. La couverture retomba sur le matelas, révélant son torse parfait qu'il avait tenu tout contre lui à son réveille.

Le blond regarda autour de lui avant de reporter ses yeux sur le kappa. Gojyo avala sa salive avec difficulté quand ses yeux croisèrent ceux de son vis à vis. Il baissa les yeux et décora le torse blanc comme de la neige de Sanzo du regard. Comment rester de marbre face à ce corps de rêve ?

On est pas dans ta chambre, constata simplement le blond.

Gojyo regarda autour de lui à son tour, s'intéressant enfin à la pièce dans laquelle il se trouvait et non plus au corps qui se trouvait tout contre lui. Effectivement, ils n'étaient pas dans une des chambre de l'auberge dans laquelle ils dormaient. Ils étaient plutôt sous une sorte de tente. Et il fessait une chaleur infernale là dessous.

Qu'est ce qu'on fait là dedans ? demanda Gojyo.

Sanzo haussa les épaules. Qu'est ce qu'il en savait lui ?

Sortons de là, ordonna-t-il. On verra bien dehors.

« Je suis sûr que c'est un coup d'Hakkai, pensa le blond. Il veut tellement me revoir avec Gojyo qu'il serra bien capable d'avoir monté un plan comme ça ! »

Le rouquin se redressa, dévoilant son corps au fur et à mesure que le drap glissait sur sa peau nu. Le moine le regard faire avant de virer au rouge écrevisse. Il attrapa rapidement le drap et le tendit au rouquin.

Tu pourrais peut-être cacher « ça »…

« Ça »… Tu n'as pas toujours fait le la grimace devant de te rappel mon cher.

Sanzo rougit d'avantage et se tourna pendant que son compagnon de voyage chercher un caleçon dans un des sacs.


La fermeture de la toile de tente des tourtereaux s'ouvrit. Hakkai se tourna vers la tente de ses amis pour les voir sortir.

Le rouquin sortit en premier et regarda autour de lui. Le brun trouva un air légèrement perdu à son ami. Il s'écarta et Sanzo sortit à son tour en se traînant à quatre pattes.

Bon c'est quoi cette blague ? demande Sanzo après avoir regardé un peu partout.

C'est pas une blague, c'est le campement, répondit simplement Goku en portant son bol de chocolat à ses lèvres.

Sanzo le regarda, visiblement choqué qu'on ose lui répondre de la sorte.

Bouge-toi de là saru, s'énerva Gojyo en poussant le môme de sa chaise.

Goku tomba de sa chaise. Il avait l'air surpris de la violence dont faisait preuve son ami. Hakkai fronça les sourcils. Ça ressemblait si peu à ses amis ce genre de comportement… Violent, hautain, indifférent.

Bon Hakkai tu nous explique ce qu'on fait là ? demande de nouveau le moine.

Sanzo avait vraiment pas l'air de plaisanter. Il pinçait tellement ses lèvres en parlant qu'elles semblaient avoir disparut de son visage.

Gojyo attrapa un petit pain et en avala la moitié en une bouchée.

Et quelle idée t'as eu de me faire dormir avec cet imbécile de kappa ?

Vous vous êtes disputé ? se renseigna Goku en entendant le moine traiter Gojyo « d'imbécile de kappa ». Parce que si c'est pour ça que vous êtes de mauvaise humeur, c'est vraiment pas la peine de nous en faire profiter… On a rien fait, nous !

Le rouquin manqua de s'étouffer. Se disputer avec Sanzo ? Se disputer comme un couple ? La première image qui lui traversa l'esprit fut celle de la réconciliation qui suit toute bonne dispute. Sanzo et lui sur un canapé. Sanzo sans vêtement. Sanzo qui se faisait pardonner…

Mais pour s'engueuler, il ne faut pas d'abord être en couple ? Il était en couple avec le moine ? Depuis quand ? Pourquoi personne ne l'avait prévenu ?

Goku, tu peux aller chercher de l'eau au lavabo ? demanda poliment Hakkai en tendant un pichet à son ami, sortant Gojyo de ses pensées.

Mouais, s'tu veux… Mais la prochaine fois t'y va !

Le gamin se leva. Il tira la langue à Gojyo qui le regarda partir en courant sans trop comprendre le comportement de son ami. N'aurait-il pas dut râler après lui quand il avait prit de la nourriture ? Ça faisait déjà plus de dix minutes qu'ils étaient ensemble et ils ne s'étaient pas crié dessus une seule fois !

Vous n'êtes pas Gojyo et Sanzo, déclara le brun à peine son ami partit.

Bien sûr que si, répliqua le rouquin en refoulant un sourire. Pourquoi dis-tu ça ?

Vous ne vous comportez pas comme nos deux tourtereaux. Je ne sais pas qui vous êtes ni d'où vous sortez mais Goku à l'air de croire que vous êtes ses amis, alors fait comme si vous étiez eux.

Sanzo s'installa face au brun, juste à côté de celui avec qui il avait dormit. Gojyo lui lança un appel à l'aide silencieux. Le pauvre avait l'air totalement perdu.

Tu as perdu l'esprit mon pauvre Hakkai.

J'ai pas le temps de vous expliquez ce qui se passe. Du moins, ce que je pense avoir comprit de la situation… Goku ne va pas tarder à revenir.

Et on est censé faire quoi en attendant tes explications ? demanda le moine en se prenant la tête à deux mains.

Jouez les amoureux. Je n'ai jamais vu deux personnes plus amoureuses que ces deux là. Et puis… ne vous disputez pas avec lui. Il vous aime beaucoup.

Le saru ? Qui nous aime ? répéta Gojyo incrédule. T'as but combien de bouteille pour être dans cet état ?

Faite ce que je vous dis, c'est tout. Je vous expliquerais plus tard.

Goku réapparut dans le champ de vision des trois hommes. Gojyo poussa un soupir de résignation et passa un bras autour de la taille du moine. Sanzo sursauta à ce contact. Il se tourna vers le rouquin.

Je fais juste ce qu'on me demande, ne va pas te faire de fausse idée, répondit Gojyo à la question silencieuse qu'il avait put lire dans les yeux du moine.

Je ne t'en demande pas plus ! répliqua le blond en posant sa tête sur l'épaule de son ami.

Hakkai sourit devant ce tableau. Gojyo monta une main hésitante vers les cheveux du moine avant de les lui caresser doucement. Sanzo ferma les yeux et ce laissa aller aux timides caresses de son ami.

Ah, bah vous avez fait la paix ! C'est cool ça ! s'écria le singe en arrivant au campement.

Comme tu vois Goku. On a jamais été plus amoureux, répondit Gojyo.

Goku sourit et ne vit pas la mine blésée du blond. Gojyo ne pouvait pas se douter à quel point ses mots sonnaient juste à ses oreilles.


Alors, petite mise au point…

Euh… Pour faire simple, il y a deux monde qui existe dans ma fic. Le notre et celui des saiyuki. Dans le notre ce sont de simple lycéens alors que dans le leur se sont des (des quoi au juste? Guerrier? ) beaux mecs qui tapent des démons (on va faire sa comme ça)

Dans ces deux derniers chapitres en fait on assiste au réveil de Gojyo et Sanzo dans les deux mondes. Là où sa se corse, c'est qu'ils ont inverser les mondes. Je m'explique. Ceux qui sorte de notre monde se retrouve dans le monde des démons et vice versa. Ce qui explique la surprise de Gojyo dans le chapitre 7 quand il se réveil et qu'il se retrouve avec une nana dans son pieu.

Voilà, j'espère que vous avez comprit… Sinon je suis là!
à suivre... review?