Auteur : Ruines
TITRE:Miam Hawaï
GENRE:yaoï, délire, OOC, en gros: sea, sex, and sun...
SOURCE:gundam wing
Réécriture du chapitre 1-
Miam Hawaï - Chapitre 1-
De somptueux yeux d'une profonde couleur améthyste regardaient fixement devant eux. Faite de pierre blanche, une majestueuse porte en poirier noirci servant d'entrée, de grande fenêtre derrière lesquels se trouvaient d'épais rideaux, de grande arche recouverte de lierre semblant contourner toute la surface, de grand balcon de fer noir tranchant avec l'ensemble, voilà à quoi ressemblait l'imposante villa se tenant devant eux.
Le jeune homme aux grands yeux si exceptionnels, semblait émerveillé par la vision. Il devait avoir dix sept ans, une peau d'argile très claire, de soyeuse boucle de bronze tombaient négligemment de chaque coté de son fin visage descendant jusqu'aux milieu de ses cuisses fermes. Il portait un baggy blanc, et un simple tee-shirt de coton, moulant, de la même couleur.
Il noua paresseusement ses bras musclés autour du cou gracile d'un autre jeune homme du même âge se trouvant à proximité. Une peau d'ivoire, fine, douce, légèrement rosé par la chaleur ambiante, de grands yeux verts d'eau étincelant cerné d'épais cils bruns. Ses courts cheveux blonds et pâles, voletaient librement au gré du vent, semblant caresser par de simple frôlement le cou fin et le col de la chemise lilas, accordée avec le pantalon de lin blanc.
Tu parle d'un palace! Quatre? Je t'adore, et j'adore aussi ta famille, et leur SUPERBE villas avec piscine à hawaï. « s'exclama fortement le jeune homme aux yeux tirant sur le violet »
Enfin Duo... calme-toi... « essaya de répondre le dénommé Quatre d'un ton réprobateur »
: FLASH BACK:
Affalé de tout son long sur le superbe canapé blanc, un jeune homme aux longs cheveux natté feuilletait nonchalamment une revue se trouvant à sa portée. Il n'aperçut pas l'épaisse chevelure blonde qui se dirigea vers lui, mais entendit très nettement l'appel :
Duo! « hurla la charmante tête blonde une fois à proximité de l'appelé »
Ouais mon Quatrounet ?
J'ai une proposition... à te faire...
Le jeune homme châtain se figea dans le canapé et releva lentement ses deux prunelles sombres vers son condisciple, un air interrogateur et surpris ornant ses traits. Il déclara alors d'une voix morne :
- Euh…hum... Quat'... je t'adore... tu le sais... mais…enfin tu vois…on…on peut pas…enfin…
Idiot! Pas ce genre de proposition.
Duo ne cacha pas le soupir de soulagement qui lui échappa. Et il repris donc joyeusement :
- Bien ! Donc… ?
Donc…mon père a décidé de m'envoyer à Hawaï pendant les deux mois de vacances dans une de nos résidences secondaires.
Wah ! Hawaï... ce mot a une connotation paradisiaque « dit Duo les yeux pleins d'étoiles »
Et... père m'a proposé d'emmener un de mes amis avec moi, étant donné que dans le cas contraire j'irais seul. Donc je t'ai tout naturellement proposé pour m'accompagner. Mon père a tout de suite accepté. Tu sais qu'il t'apprécie beaucoup... faut dire que depuis le temps qu'on se connaît... enfin bon... donc voila, je te propose de partir avec moi durant deux mois à Hawaï... qu'est ce que tu en dis?
Les yeux exorbités, la tête pleine de projet, de soleil, de plage et de beaux males, Duo n'eut pas le temps de répondre qu'il s'écrasait déjà fortement par terre, sa tête heurtant le sol, semblant lui rendre ses esprits
: FIN FLASH BACK:
Il sembla à Quatre avoir entendu Duo ronronner. Il en eut confirmation quand celui-ci réitéra, le son roulant dans sa gorge, confirmant ainsi la bonne ouï de Quatre :
Dites-moi que je rêve? C'est carrément pas possible, je peux pas vraiment être à Hawaï, devant une magnifique villa…
Bon ! Plutôt que de spéculer, que penserais-tu d'un tour du propriétaire ?
C'est ainsi qu'ils se retrouvèrent tous deux à arpenter la villa de fond en comble, sans oublier une seule pièce. Il déchargèrent leurs valises dans leur pseudo « chambre » qui avait plus la taille d'un petit appartement. Une fois ceci terminé, le soleil était déjà bien descendu dans le ciel d'une belle couleur ocre, et il caressait de ses doux rayons la mer translucide.
Le paysage était paradisiaque, la plage s'étendant sur des kilomètres, la mer n'en faisant qu'à sa tête et allait frapper fortement les rochers de la petite cote.
Dit moi Kitty, on pourrait pas aller un peu à la plage maintenant ?
Et bien, sans vouloir de décourager Duo, il est déjà 18h00 passé, le soleil est loin d'être aussi chaud que l'après-midi, ici, une fois 18h00 passé l'air est même plutôt frai. Il serait dommage de tomber malade dès les premiers jours, tu ne crois pas ?
Mais... « Duo regarda fixement Quatre, de prétendues larmes perlant aux coins de ses yeux »
Arrête avec tes yeux de merlan fris... On peut toujours aller se baigner dans la piscine privée... elle est chauffée!
Tu sais que je t'aime ?
Je m'aime aussi rassure-toi !
Quand est-tu devenue vaniteux ?
Haha…bon…en plus si tu es sage... demain tu auras une belle surprise.
Une surprise…
Les yeux brillant de concupiscence, Duo s'approcha sensuellement de Quatre. Ses mouvements étaient gracieux, ses muscles roulaient lentement à chacun de ses gestes sous ses fins vêtement. Il arborait un sourire mi-malicieux mi-vicieux, sa langue passait inlassablement sur ses lèvres. Sa voix pris un ton légèrement plus rauque lorsqu'il s'exprima :
Et... qu'elle est-elle ?
Duo! Si je te le dis, il n'y aura plus de surprise...
Oh oh…c'est le cadet de mes soucis, parce que crois-moi, tu va cracher le morceau parole de Shinigami.
Quatre recula jusqu'à se retrouver acculé contre le pan du mur.
Duo continua sa progression, accotant son corps à celui de Quatre, posant chacun de ses bras de chaque coté du visage de ce dernier, et l'approchant dangereusement du sien, leur haleine en était mêlée, l'une en l'autre, leurs yeux ancrés, l'un souriant confus, l'autre victorieux, quand :
Kitty ! Te laisse pas faire par l'autre nigaud! C'est toi le plus fort!
Duo se retourna prestement, reconnaissant d'entre toute cette voix féminine mais néanmoins grave. Son visage se fendit d'un sourire benêt tandis qu'il s'exaltait en sautant au coup de la nouvelle venue :
Hilde amour de ma vie ! Qu'est ce que tu fais ici?
Bon bah…je crois que c'est le moment de dire: SURPRISE! « s'exclama joyeusement la jeune fille aux extraordinaires bleus »
Je croyais que tu devais arriver demain? « questionna gentiment Quatre »
Oui, c'est ce qui était prévue, seulement ma mère était pressée de ce débarrasser de moi pour ce retrouver en « tête-à-tête » avec son amant.
C'est génial ! Je vais passer deux mois de vacances avec les deux personnes que j'aime le plus au monde, au frais de Quat' et tout ça à Hawaï. J'suis aux anges... j'aurais pas pu rêver mieux. « s'exclama gaiement Duo, en serrant Hilde dans ses bras »
Et bien. Je pense qu'on est bon pour refaire le tour du propriétaire. « ajouta Quatre, la voix morne, les yeux roulant dans leurs orbites de façons mélodramatiques »
- Trois heures de visite! J'y crois pas…j'suis HS !
Hilde, s'affala sur l'ample lit de sa chambre, les bras en croix et les jambes pendant lamentablement en dehors. Duo, se joignit rapidement à elle et sauta sans aucune grâce sur le lit, posant sa tête sur le ventre d'Hilde. Quatre, lui, s'assit calmement sur un majestueux fauteuil qui traînait au beau milieu de la pièce.
Un silence reposant régnait dans la vaste pièce quand un gargouillement dénonciateur résonna dans le calme ambiant. Quatre leva élégamment un sourcil et fixa son regard sur Duo et Hilde, qui s'esclaffait joyeusement :
Si sa vous intéresse, je peux demander à ce qu'on nous apporte le repas dans la chambre comme ça on pourra manger tranquillement en se prélassant et en regardant les trucs idiots dont raffole Duo à la télé.
C'est pas des trucs idiots. « s'écria faussement mécontent Duo »
Moi j'veux bien mais comment commander aux cuisines... il faut descendre! « demanda Hilde en ignorant royalement Duo qui dissertait sur le fait qu'il ne regardait pas des programmes idiots à la télé mais des choses toutes plus instructives les unes que les autres »
Non je peux tout aussi bien commander aux cuisines par le téléphone, et Howard nous apportera notre dîner.
En voila une idée qu'elle est bonne.
Oui, pour une fois j'dois avouer que t'as assuré grave sur ce coup. « renchérie Duo »
Merc... que... comment ça pour une fois? Je vous emmène en vacances et vous trouvez qu'en même le moyen de vous plaindre? Alors là c'est le pompon. Je n'y crois pas... je suis parti en vacances à Hawaï pour deux moi avec deux insatisfaits!
Oh... le prend pas comme ça!
Le silence avait de nouveau envahit la pièce, quand il fut une fois de plus coupé, mais cette fois-ci par trois coups légers, porté à la porte, que Quatre s'empressa d'allé ouvrir, un charmant sourire aux lèvres :
Howard entre, je t'en pris.
Quatre, le dos tourné en toute confiance, aida le major d'homme à faire entrée le plateau roulant contenant toutes sortes de plat plus odorant les uns que les autres.
Duo et Hilde, de leur coté, préparaient soigneusement un mauvais coup pour le petit blond.
Dès que Quatre est à proximité du lit, on le tire et on lui saute dessus.
Ok.
Quatre se rapprocha alors lentement d'eux, faisant rouler le plateau pour le mettre à leur portée, il n'eut pas le temps de s'asseoir sur le lit, que deux pairs de bras le tirèrent fortement pour l'allonger sur le lit, et que près de 130 kg s'avachirent sur lui. Une paire de bras le maintint fermement contre les matelas pendant que l'autre le déchargeait de sa chemise, accompagnant ses gestes par des chatouilles. Les rirent fusèrent aussitôt dans la pièce.
Quatre se tortillait désespérément, cherchant sans doute à échapper aux mains baladeuses. Ses joues étaient rougies par l'effort, son souffle court et rapide, haletant, le torse nu, les bras cloués aux matelas, offert aux chatouilles plus vicieuses les unes que les autres. Il essaya de parler, du moins de s'exprimer pour les faire cesser, mais seulement quelques brides de phrases incomplètes sortirent de sa bouche :
ha ha... rretez... j'vous en prihi hi... s'il vous plait... ho ho...
Sous une forte impulsion, il leur envoya alors à tous les deux un monumental coup de pied dans l'estomac, les envoyant valser près des piliers du magnifique lit baldaquin sur lequel ils se trouvaient.
Les yeux lançant des éclairs, il tenta de parler d'un ton dur, mais sa diatribe était bien moins intimidante du fait de ses joues encore rougies :
Vous avez pas bientôt fini de vous foutre de ma gueule?
Laisse nous réfléchir... non ! T'es trop drôle quand t'es en colère...
Ah ! Vous êtes désespérant. Et dire que je vais passer deux mois avec 'ça' « il ponctua sa plainte d'un doigt railleur pointé vers eux deux »
C'étais l'idée de Duo. « se défendit piteusement Hilde »
Hey !
Duo, pour se venger, sauta littéralement à califourchon sur elle, une jambe de chaque coté de ses hanches, une de ses mains servant à emprisonner ses deux poignets au-dessus de sa tête et l'autre posé non loin de son visage lui servant d'appuis. Il descendis son visage tout près du sien au point de n'être séparé de par quelques millimètres, et déposa sur ses lèvres humidifiées un chaste baiser. Puis, il s'étala lamentablement à coté d'elle en souriant bêtement.
Hilde et Quatre, choqués, ne faisaient plus le moindre geste, fixant avec attention le sujet de leur confusion. Reprenant ses esprits, Hilde coupa court aux silence qui s'installait :
Beuh... qu'est ce qui ta pris? Sa t'arrive souvent ?
haha ha... j'voulais vérifier un truc.
A ouais? mais encore...
En faite... son fait plus de dix ans qu'on se connaît, ne? Et depuis tout ce temps, j'voulais t'embrasser... juste pour voir l'effet que tu me faisais...
Et... alors?
Ta beau être mignonne et tout et tout... je suis irrémédiablement gay ! « lança fébrilement Duo »
Oh, c'était pour ça. Fallait demander plutôt mon ange.
Le visage décomposé, Duo, se tourna par intermittence dans la direction d'Hilde, puis de Quatre, qui ne semblaient pas voir où se situait le problème.
C'est tout ce que tu trouve à me dire!Y'a pas de : « Quoi, t'es homo ? »
Bin nan! J 'suis pas homophobe! Après tout... on n'aime pas une personne pour son enveloppe charnelle, mais pour ce qu'elle est, a l'intérieur. On dit bien que l'amour n'a pas de sexe. Alors moi tu sais, que tu sois hétéro, homo ou bi, peut m'importe tant que tu es heureux.
Je t'aime très très très fort !
- T'es pas d'accord avec moi Kitty ?Quatre ?
Ils passèrent rapidement en revue la pièce pour se rendre compte que Quatre, était allongé à terre, les bras en croix, du sang sortant de sa tempe droite pour former une petite marre.
Ah ! Quat', qu'est ce que tu as ?
Hein ? Je…je me sens pas très bien là…
Sur ces derniers mots, il tomba endormi, du sang s'écoulant toujours par la petite fente au-dessus de son oreille. Duo l'attrapa par les épaules et le secoua énergiquement.
Hilde, l'empoigna par le bras pour l'empêcher de lui faire plus de mal, et parla d'une voix douce et rassurant pour le calmer :
Yo... Duo...peace and love.C'est pas comme ça que tu vas le réveiller.
Mais qu'est ce qui lui est arrivé ?
Je crois bien que tu l'as légèrement bousculé.
Tu es d'accord avec moi pour dire que c'est lui qui a été se mettre sur ma trajectoire ? Donc c'est entièrement ça faute !
Bien entendu. « déclara sarcastiquement Hilde »
Donc... on va délicatement le poser dans le lit, on s'endort, et demain on fait comme si de rien était...
Ca marche.
Bonne nuit, fait de beaux rêves...
Au beau milieu de cette somptueuse chambre, se dressait fièrement un majestueux lit à baldaquin. La pièce était dans le noir le plus complet, les épais rideaux de velours empêchant aux moindres rayons d'entrer.
Au centre des draps de satin clair, se tenaient trois silhouettes fines, enchevêtrées les unes aux autres, leurs membres ne se distinguant plus, leurs souffles mêlés.
Les douces respirations se faisaient entendre, quand tout à coup :
-Atchoum !
-Hum…Tu peux pas faire ça en silence Duo?
Désolé Kitty.
Tous trois se mirent en mouvement cherchant à ôter leurs membres perdus de dessous des autres.
Quatre se tenait la tête fermement de ses deux mains massant inlassablement ses tempes douloureuses.
-Il me faut un Doliprane de toute urgence.
C'est parce que tu t'es bourré la gueule hier Quat'. D'ailleurs Hilde et moi on n'a dût tout ranger dans la chambre avant de pouvoir enfin dormir.
Je... j'ai bu? Beaucoup ? Oh…pa…pardon... je suis tellement désolé.
Elles sont bien belles tes excuses mon ange mais bon ça n'empêche que nous on est crevé avec tes bêtises. « renchérie traitement Hilde »
-Bon... pour me faire pardonner... que diriez vous de vous préparer en vitesse en qu'on aille tous les trois au marché chercher quelque resserve pour la semaine. Et avec toutes ces bonnes choses je vous préparerais le meilleur repas que vous aillez jamais dégusté. Parce que je crois avoir omis de vous dire que père a congédié les domestiques pour ces vacances. Donc, j'ai le regret de vous annoncer que nous sommes seuls dans la villa durant les deux mois.
J'suis une quiche en cuisine moi. « se plaignit Duo »
On sait. « accorda Hilde d'un ton morose, semblant se souvenir »
Dans les rues de Waikiki, les jours de marché étaient sacrés. Toutes sortes de stands en tous genres se trouvaient de-ci de-là. Passant du marchant de fruits et légumes le plus simpliste, aux poissonniers, artisans, marchands de maillots de bain, parasols, jeux de sable…
Dans cette foule, nos trois condisciples étaient tous trois en grande conversation à l'entrée de la rue piétonne :
Donc vous allez chercher les quelques petites choses qu'il y a sur la liste et moi en attendant, je vais à la banque faire un petit retrait. Ca marche?
J'adore aller au marché avec toi Quatre. J'suis heureux qu'on se fasse une petite sortie tous les trois sans se quitté. « dit Duo d'un ton ironique »
Moi aussi. Je suis très heureux d'être avec vous deux.
Il est désespérant.
On se retrouve d'ici deux heures à la maison?
Ok.
Bye Kitty.
Ils s'étaient donc séparés, Quatre confient l'argent qu'il avait sur lui à Hilde, pendant qu'il se dirigeait calmement vers le centre de la ville afin d'y trouver une banque.
Hilde et Duo, eux, partirent en direction des stands figurant sur leur liste.
Ah ! « hurla littéralement Duo en tirant Hilde par le bras »
Quoi encore ?
Du chocolat ! Regarde cette délicieuse pâte brune couler lentement, sens ces effluves doux et sucrés, goûte cette merveille de préparation aux goûts si tendre.
NAN! « répliqua catégoriquement Hilde »
Allé quoi. Soit sympa, je suis sur que Quatre voudrait bien.
A Ouais? « demanda ironiquement Hilde, un sourire malsain aux lèvres »
Ouais! « répondit immédiatement Duo »
Qui a le frique et où est Quat'?
Les personnes passant à proximité, virent avec effrois un camion arriver à pleine vitesse sur la rue piétonne qui se dirigeait droit vers le drôle de couple que formaient ces deux jeunes gens, en pleine dispute, qui eux n'avaient rien remarqué, continuant à s'esclaffer peu discrètement :
Mais, c'est pas vrai à la fin. T'es dégueulasse, après tout ce que j'ai fais pour toi!
Cite un peu pour voir ? « demanda malicieusement Hilde, en ignorant royalement les yeux de chien battu qu'arborait Duo »
J'suis malheureux et incompris. Pourquoi Quat' me l'a pas passé à moi l'argent?
On se demande...
Hey ! Qu'est ce que tu insinue ?
Ri…Duo ! Dégage-toi de là !
Hilde n'eut pas le temps de faire le moindre geste, que Duo était déjà projeté fortement contre un mur.
A suivre…
Haha ha... j'espère que ça vous donnera envi de lire la suite pour savoir ce qu'il adviendra de notre Dudule incontournable...
J'espère que la réécriture de ce premier chapitre ne dérangera pas les lecteurs.
Bin si vous avez des critiques(constructive de préférence)ou bien des encouragements(ça fait toujours plaisir)
J'vous en remercie d'avance...
Ruines.
