DE : Ruines

TITRE:Miam Hawaï

GENRE: yaoï, délire, OOC, en gros: Sea, sex, and sun

SOURCE:gundam wing

°°°° changement de lieu ou avancer dans le temps(ou les2)

PS : Hello, finalement je vais vite m'habituer à écrire un p'tit mot a chaque début de chapitre…peut-être que sa pourrais me servir à vous expliquer quelque peu le chapitre, ou bien a répondre à certaines questions communes…ou autres…enfin comme vous voulez en faites, si vous avez une quelconque idée je suis toute ouïe. -Ruines-

PS2 : Aele, comme tu ne m'as pas laissé ton adresse mail T-T, je voulais te remercier tout d'abord, puis te rassurer en te disant que si tu attendais de voir Quatre enfin heureux …normalement tu devrais être servie par ce chapitre. J'espère qu'il vous plaira à toutes et a tous (je n'ai pas encore abandonné l'idée que peut être un garçon puise lire cette fic) ! Poutous. 3

Miam Hawaii (chapitre10)

Quatre exposa devant les yeux de Trowa, ses poignets blanc striés par des lignes parallèles parfaites de couleurs rosées. Trowa n'y tenant plus, laissa couler quelques larmes le long de ses joues, ne pouvant désespérément cacher la douleur qui l'envahissait à la vue de son ange déchu. Il attrapa donc les poignets de Quatre et les baisa. Relevant ses yeux embués de larmes sur lui, il lui présenta à son tour ses poignets, du moins le gauche, qui était tous comme ceux de Quarte strié de la même manière, net et précis, de fines scarifications, laissant de fines cicatrises. Quatre choqué de ce qu'il voyait s'écroula littéralement par terre emportant dans sa chute Trowa, il posa sa tête au creux du coup du châtain et y pleura toutes les larmes qu'il s'était promis jusqu'ici de ne plus évacuer.

Après de longue heure ainsi placés l'un sur l'autre, Quatre soigneusement blottis dans les bras du châtain, Trowa releva calmement le visage de blond enfouie dans son cou afin d'y sécher du bout des doigts les quelques larmes récalcitrantes. Ils se fixèrent dans le blanc des yeux leurs visages à quelques centimètres l'un de l'autre. Quatre tenta un sourire maladroit afin de rassurer son ami, qui ne dû pas être très concluant puisque Trowa le recala tout contre son torse. Soupirant d'aise, Quatre déposa un baisé sur la base du cou de Trowa avant de se caler plus confortablement contre celui-ci.

Ne laissant pas le temps à Quatre de s'endormir, Trowa le repoussa gentiment par les épaules afin qu'il lui fasse face.

-Il faut qu'on parle Quatre.

-Je …je sais.

Se relevant calmement le blond s'étira sommairement avant d'aller rejoindre son lit ou il s'allongea de tout son long. Ne sentant pas Trowa venir à lui, il se releva sur ses coudes pour distinguer ce dernier l'épiant sans gêne. Il retenta de lui sourire avec cette fois-ci plus de conviction, et reçu, pour son plus grand bonheur un sourire de la part du méché. Trowa se leva rapidement et s'approcha félinement de Quatre, il s'assis sur le bord du lit tout près de son ange et caressa tendrement ses mèches blondes l'empêchant de contempler pleinement son doux visage. Il lui souri encore et tenta de déposer calmement ses lèvres sur celle de Quatre. Néanmoins celui-ci le retint à distance respectable de son visage en posant sa main droite sur son torse au niveau de son coeur. Se redressant doucement Quatre n'en resta pas moins a une distance convenable entre l'être de ses rêves et lui-même.

-Bon…par ou commencer ? « demanda Trowa, ne sachant comment dévoiler ses raisons qui lui paraissaient on ne peut plus justes, du moins pour lui, mais il doutait quelques peu que Quatre soit de son avis »

-Peut-être pourrait-ont déjà …revenir ou nous nous étions arrêté il y a …un an et demi, deux ans tout aux plus. « souffla Quatre fixant de ses deux prunelles marine l'émeraude lui fessant face »

-Oui, c'est exact. On…on venait tout juste, pour la première fois de…

flash-back

Après de longue minute de lutte mutuelle, les deux corps allongés l'un sur l'autre finirent enfin leur combat, ils cessèrent tout mouvement le temps de quelques seconde, puis reprise leur murmure doux, se faisant des promesses qu'ils espéraient tous deux tenir, des promesses d'amour, se répétant inlassablement a quel point ils s'aimaient, a quel point ils ne pourraient vivre l'un sans l'autre.

Puis, l'un deux bougea, il se retira du plus jeune, s'allongeant longuement et calmement a coté de son partenaire qu'il attrapa et sera fortement contre son corps, voulant à jamais se souvenir de cet exquis souvenir, ne voulant jamais oublier la douceur de cette peau qu'il aimait tant, ne pas oublier une seules de ses courbes, un seul de ses sons…que l'empreinte de son amour reste a jamais en lui. Puis, lentement le plus jeune s'endormie, en confiance dans ces puissants bras dont il ne pourrait plus se passer. Il ne resta dans la pénombre de la chambre qu'une paire d'yeux, de sublime yeux verts fixant avec amour et tendresse le petit corps lové contre lui.

Il déposa une série de baisés sur le cou puis les épaules de son fardeau, ne se lassant jamais de re-goûter sa peau. Puis, tout près de son oreille il lui murmura quelques paroles, d'une tristesse affligeante…

-Pardonne-moi Quatre, mais je n'en peux plus, je ne supporterais plus qu'on me trahisse, je t'aime déjà bien trop, je préfère te quitter maintenant, souffrir, te faire souffrir que tu me haïsses mais que tu m'oubli, que plus jamais tu ne pense à moi comme étant une personne cher a ton cœur, que tu en vienne à vouloir ma mort… Je ne veux pas me sentir de nouveau mourir de l'intérieur tu comprends ? Je ne suis qu'un égoïste, pardonne-moi…sincèrement pardonne-moi…

Puis il repoussa quelques mèches du visage de la petite boule dans ses bras, il caressa plus qu'il n'embrassa ses douces lèvres. Lentement, il se décala de la chaleur du corps contre lui, faisant grogner ce dernier, il fini par se lever, chancelant jusqu'au coté gauche du lit, il chercha des yeux ces vêtements qu'il trouva non-sens mal et qu'il enfila rapidement, puis s'approcha du secrétaire. Saisissant un morceau de papier qui traînait par-là ainsi qu'un stylo, il écrivis, de sa main gauche ou était visible sur son poignet un morceau de cuir lassé autour, soigneusement et avec beaucoup d'application quelques mots étroitement collés mais néanmoins tout à fait lisible, sa main tremblante et les larmes ne demandant qu'a sortir il fini assez vite sa besogne, plia la feuille en deux et la déposa au coté de son ange endormi. Tout près de lui, pour être sur qu'il ne la louperait pas.

Puis tout aussi silencieusement que ces derniers gestes il quitta la chambre sans un regard en arrière, ayant trop peur de ne plus se sentir le courage de le quitter.

Au petit matin, Quatre émergea lentement, tâtant rapidement son lit les yeux fermés à la recherche de quelque chose, il ne trouva à ses cotés qu'un bout de papier. Ouvrant brusquement les yeux, il se saisi de la lettre et la fixa longuement n'osant l'ouvrir, trop effrayait par ce qu'elle pourrait contenir. Prenant son courage a deux mains, il se décida tout de même a la déplier. Ses yeux azur se voilèrent au fur et à mesure qu'il lisait les critères inscrit dessus, relisant encore et toujours ses quelques mots espérant mal comprendre, se disant qu'il devait forcement mal comprendre… les larmes commencèrent alors a couler, tout d'abord lentement, puis inondant peu a peu le papier absorbant, effaçant l'écriture nerveuse et masculine s'y trouvant. Il fini par relâcher la feuille, la laissant atteindre lentement le sol, laissant ses larmes qu'il n'avait pris conscience de verser couler à flot, mouillant sans relâche sa peau nue et ses draps. Il ne lui restait en tête que ces mots, qu'il se répétait inlassablement cherchant quelques part un mot lui signifiant une farce, peut être une coquille s'y cachant, n'importe quoi lui démontrant que tout cela n'était qu'une vulgaire erreur. Malheureusement pour lui, les quelques mots inscrits sur cette feuille ne laissaient entrevoir aucunes erreurs, aucunes coquilles, aucunes méprises, seulement des faits, des faits qui lui brisaient le cœur, des faits qui le faisaient pleurer, des faits le rendant malade, le rendant violant, vulgaire, antipathique, exécrable, tout ça pour quelques mots, il en aurait presque ri si la situation n'était pas aussi pathétique.

Il se laissa violemment tomber sur son lit après avoir saccagé toute sa chambre, après avoir réduit en morceau toute la pièce, avoir jeté les draps et les coussins, après être passé sous le jet le plus puissant de la douche pour se débarrasser de cette maudite odeur, il puait l'odeur de ce traître…ce traître qu'il aimait envers et contre tout. Il se remis alors a pleurer, tremblant de haine et de tristesse mélangées, se griffant la peau jusqu'au sang, et s'arrachant des cheveux par mèches…

Ne supportant plus le bruit des domestiques tambourinant contre sa porte, il attrapa le premier objet lui passant sous la main et étant encore en état et le balança fortement contre la porte hurlant qu'il voulait qu'on lui fiche la paix sous peine d'être renvoyé. Le silence se fit tout a suite après la menace, l'enveloppant de son calme, de sa solitude…

Il ri nerveusement, fier d'avoir fait fuir ces curieux, puis se replongea dans son lit relatant stoïquement les mots écrit sur le papier, qui était à présent réduit en cendre.

-Et bien mon ange……… j'ai le regret de ………de t'annoncer que j'ai déjà tiré de meilleur …coup ………t'as beau avoir un putain de cul………et être pété de thune tu n'en reste pas moins qu'un… qu'un gamin…… pas franchement doué……… Rappelle-moi quand tu auras plus d'ex…périence j'ai pas de temps a perdre ………avec des midinettes dans ton genre……… A plus…… Trowa…

Trowa … sale connard, crois moi je te ferais regretter amèrement de t'être foutu de moi…on ne se moque pas impunément de Quatre Raberba Winner. Je te réduirais en cendre comme ce bout de papier, je te ferais souffrir comme tu n'as fait souffrir…je te ferais mourir de frustration de ne pouvoir m'avoir…mais plus jamais tu ne m'auras…jamais.

Fin du flash-back

Quatre finissait à peine sa phrase que les larmes recoulèrent d'elles même sur ses joues allant s'écraser et mouiller le torse de Trowa, qui l'avait pris peu de temps après de début de son récit dans ses bras.

-Pardonne moi…je t'en pris pardonne moi Quatre…je ne voulais pas te faire souffrir, je pensais qu'en me faisant détester tu m'oublierait…que tu finirais par m'oublier, que tu trouverais enfin quelqu'un qui te mérite pleinement. « Trowa lui murmura ces quelques mots tout près de son oreille le gardant fortement collé contre lui, mais se fit violemment repousser pour faire face à une paire de yeux en colère »

-Non ! Tu…tu n'as pas le droit de me dire ça…comment tu peux me dire que tu as fait ça pour moi…c'est faux Trowa, ne me ment pas encore…pas encore…j'en ai marre, tu comprends ?? Tu me mens encore et toujours, tu l'as fait seulement pour toi, pour te protéger de je ne sais quoi, tu m'as fuit pensant que tout s'arrangerait, tu as agis comme un lâche que tu es Trowa Barton. Tu n'es qu'un lâche, doublé d'un menteur…tu me dois la vérité, tu m'entends ? Tu me dois bien ça, je veux savoir, même si c'est dur a entendre, même si j'en pleure, que j'en meurs, mais je veux savoir !! Qu'est- ce que j'étais pour toi ? Une poupée, un coup a tirer, un gosse de riche avec une belle paire de fesse, t'avait besoin de te vider et c'est tombé sur moi ?

A peine avait-il fini d'hurler sa phrase, que la main de Trowa s'écrasait fortement contre sa joue, résonnant dans toute sa tête, se répercutant dans tout son corps, le calmant rapidement et efficacement. Quatre releva ses deux yeux vers Trowa, le fixant intensément, frottant énergiquement sa joue qui le piquait.

-Ca y est ? T'as fini ? Je peux m'expliquer maintenant ? Je comprends tout à fait que tu m'en veuille Quatre, même que tu me haïsses puise que c'est justement ce que je cherchais à faire, mais sa ne te donne pas pour autant le droit d'être aussi vulgaire, j'aime peut-être les bonnes choses Quatre, je suis certes un homme, mais je n'en suis pas pour autant un pauvre type que saute sur tout ce qui bouge pour se vider. D'après ce que tu me dis j'ai l'impression que tu te prends pour une pute, ce n'est pas ainsi que j'ai eu l'impression de te faire l'amour Quatre, je ne crois pas t'avoir négligé…néanmoins, je suis mal placé pour te faire le moral, alors si tu me permets de m'exprimer …plus calmement, j'aimerais tout t'expliquer Quatre, laisse-moi tout t'expliquer…tu veux bien ?

-Oui…pardon…j…je t'écoute. « murmura –il sa main toujours posée sur sa joue, tachant de ne pas rougir des paroles de son ami »

-Bien…alors, tout d'abord, laisse moi t'expliquer pour ça. « Lui avait-il dit en lui montrant son poignet gauche qu'il avait recouvert de son morceau de cuir lacé habituel. »

Lentement Trowa re-défit ses lacés afin de recouvrir son poignet gauche, le remontrant à Quatre il vit celui-ci choqué…il ne s'y habituerait sûrement jamais.

-Est-ce que tu comprends maintenant pourquoi je portais ce cuir autour de mon poignet, même quand nous avons fait l'amour ?

Quatre hocha imperceptiblement la tête.

-Se sont des marques qui resteront à vie, elles sont très profondes. Quand je les ai fait... Je devais avoir 14ans…c'était deux ans avant de te rencontrer, j'avais peur de me louper, alors j'ai énormément appuyé, moi qui ne supportais pas la vu du sang, tu imagine que je devais être servie, c'est pour ça que je n'ai qu'un poignet entaillé, parce que je suis tombé dans les pommes avant de pouvoir faire le second…hampff…je sais que je ne devrais pas en rire, mais dit comme ça, je me rends compte que je n'ai pas été très futé sur le coup…Enfin bref, donc je perdais énormément de sang et je suis tombé dans les pommes, se sont Treize et Milliardo qui me sont venus en aide, Cathy étant avec l'une de ses nombreuse petites Amies, Ils m'ont fait de rapides pansements et m'ont emmené à l'hôpital a bord de la voiture de Treize, arrivé à l'hôpital, le médecin c'est très vite occupé de moi, du coup…je suis là. Je le dois à Treize et Milliardo, se sont un peu mes grands frères tu vois ? C'est pour ça que je tenais tellement a te les présenter…ils peuvent paraître à première vue un peu…excentrique, mais ils sont adorables…enfin… voilà…

-Pourquoi Trowa ? Trowa tu as attenté à ta vie ? Je t'en pris dit-le moi, j'ai besoin de comprendre… « lui avait-il dit, en lui caressant calmement la joue et lui offrant un pauvre sourire »

-Pourquoi ? A cause d'un connard dans mon genre. Quand j'avais 14ans, je suis tombé amoureux, pas un petit flirte comme tous les gosses de 14ans, non, moi je suis belle et bien tombé raide dingue amoureux, malheureusement, la personne dont je suis tombé amoureux n'était qu'un manipulateur et un profiteur, tout ce qu'il désirait c'était des parties de jambes en l'air et de piller mon compte en banque…tu vois le genre ? Alors le jour ou il m'a dit qu'il ne voulait plus de moi, je suis tombé de haut, moi qui me croyais intouchable dans ces bras, la chute a était rude…je l'ai très mal vécu, et la suite est inscrite à vie sur mon poignet…Je dois avoir l'air pathétique, non ? Je lui en ai voulu à mort et je lui en veux encore, alors quand j'ai vu que je m'attachais encore a quelqu'un en l'occurrence…toi, j'ai préféré fuir, pour ne plus tomber de haut, mais tout ce que j'ai réussi à faire, c'est de te faire souffrir autant qu'il m'avait fait souffrir…en plus, moi qui pensais pouvoir t'oublier, j'ai loupé mon coup, je ne suis pas sorti de chez moi de toutes mes vacances et une fois rentrée, je suis resté cloîtré, et cette fois-ci je dois ma rédemption à 'Ro et Wu…Voilà, voilà…tu connaît le fin mot de l'histoire…Si seulement je pouvais me faire pardonner tout le mal que je t'ai fait…

-Tu n'as pas l'air de comprendre une chose Trowa…Cette personne qui t'as fait souffrir, elle ne t'aimait pas, elle profitait de ton argent, là, j'ai autant d'argent que toi si se n'est plus, et je t'aime, de toute mon âme, et de tout mon corps je t'aime Trowa Barton…

Quatre posa deux de ces doigts sous le menton de Trowa, afin qu'il le regarde dans les yeux, et lentement ses lèvres s'acheminèrent vers les lèvres du méché, le prenant par surprise, celui-ci ne réagit pas instantanément s'habituant calmement a la présence réconfortante et calme de Quatre, a ses lèvres chaudes et douces sur les siennes, à ses soigneuses boucles blondes qu'il n'avait pris conscience de caresser, a cette main sur sa nuque le forçant peu a peu s'allonger et a être tout aussi vite rejoins par Quatre au-dessus de lui. Toutes ces sensations retrouvées…ce bien-être, cette chaleur, la présence de l'autre a ces coté…tout ceci le firent laisser s'écouler quelques larmes, bien vite essuyées par les pouces de Quatre qui le regardait patiemment et avec tendresse.

Ce décalant afin de s'allonger correctement sur le matelas, Quatre vint alors se lover dans les bras puissants mais tendres de Trowa, soupirant de bonheur, celui-ci referma son étreinte sur le petit corps blotti contre lui, et ils commencèrent tous deux leur nuit bien méritée s'enfouissant sous les draps de satin.

Ouvrant avant de s'endormir un œil, Trowa fixa Quatre, et tenta de retenir chacune de ces mimiques, de ses ridules, afin de garder en tête le visage parfait de son amour, il lui murmura à l'oreille avant de plonger dans les bras de Morphée :

-Je t'aime mon ange, pardonne-moi pour tout ce temps perdu.

Quatre esquissa un petit sourire, et ils plongèrent tous deux dans un sommeil bien mérité après une journée éprouvante.

°°°°

-Tu viens prendre un bain avec moi ?

-…

Duo ne su que dire, alors instinctivement, aillant pleine confiance en cette personne qui le faisait frémir, il pris la main tendue et se dirigea sur les talons de Heero dans la salle de bain.

A suivre…

Pff… si je ne m'abuse je crois bien que ce chapitre est un peu plus long que d'habitude…je me trompe ?

Enfin…je prochain chapitre devrait reprendre sur Duo et Heero, que nous n'avons vu depuis…deux chapitres…rahhh…pardon pour leurs fans.

Je vous fais à toutes et à tous de gros bisous et en espérant de tout mon cœur que ce chapitre aura éclairé vos lanternes et que vous en serais heureux…sinon, vous pouvez toujours me faire la liste des choses qui clochent ( pas trop longue quand même ! hihihi…)

Ruines.