HARRY POTTER ET LES QUATRE MAGES.
Chapitre28: Maux de tête ou de coeur?
Note: D'abord, désolé vraiment pour le retard d'une semaine mais ma correctrice n'avait pas la tête à son travail - elle n'est pas payé en même temps mais ça lui permet quand même de lire les chapitre en exclusivité! - car elle est allé voir Kyo en concert et son cerveau n'a pas eu la bonté de penser à autre chose que ce super groupe de rock français... Je l'engueulerais de votre part! Non, Lin' ne te sent pas visée, je parlais de quelqu'un d'autre... En tout cas bonne lecture!
Citation du jour: Toute douleur dérive du vouloir, Arthur Schopenhauer. (Rapport avec un passage vers la fin où Harry dit à Severus: 'j'ai mal'. C'est un jeu de mots en gros... Dites-moi si vous avez compris!)
Le coeur est tout d'abord un organe, celui de la vie. Notre sang parcoure nos veines grâce à notre coeur, celui-ci le pousse à aller jusqu'au plus profond de notre corps, aux endroits les plus éloignés. Ses battements sont comme l'annonce de la continuité de la vie, il nous l'infuse à chaque coup, à chaque secousse. Mais pourquoi associe-t-on donc l'amour et l'organe vital, le coeur? Parce que l'amour aussi nous procure des secousses? Parce que grâce à l'amour on parvient à aller jusqu'au plus profond de notre corps, de notre âme? Ou peut être simplement parce que...
... l'amour c'est aussi vital.
Parfois on préférerait se cacher plutôt que devoir affronter nos erreurs. Et on n'aimerait tellement ne pas avoir fait l'erreur pour laquelle on se cachait, pour ne pas avoir à la regretter après. Harry ne déplorait pas sa faute, mais il aurait quand même préféré ne pas l'avoir faite, parce que certaines choses qui n'auraient pas du changées l'avaient été.
Souvent, il nous arrive d'avoir envie très fort de quelque chose, de la désirer à un tel point qu'au moment où on peut l'avoir - même si on prend une multitude de risque - on essai, et c'est après qu'on réfléchie aux conséquences de notre geste. On est bien corruptible, même par nos propres désirs. La corruption semble une facette bien trop dévoilée de la nature humaine, mais aussi une grande faiblesse. Si on est faible, alors on est corruptible; si on est corruptible, sommes-nous faible?
Harry soupira longuement en frottant ses tempes douloureuses. Le fait de réfléchir ne lui était pas si aisé que ça, particulièrement quand il était sensé dormir depuis plus de trois heures et que la nuit commençait déjà à fuir le matin. Il roula sur lui-même sous ses draps rouges, et attrapa ses lunettes sur sa table de chevet, tendant son bras légèrement fourmillant.
Ouvrant les rideaux de son lit, il observa la chambre silencieuse où seul le bruit des respirations endormies de Seamus, Dean et Neville - sa respiration était plus un ronflement - empêchait le silence d'apaiser la tête douloureuse du sorcier. Il se leva et enfila rapidement son pantalon puis, glissant sa baguette dans une de ses poches, il traversa la pièce et sortit dans la Salle Commune. Les cendres qui rougeoyaient quelques heures plus tôt dans l'immense cheminée, alors qu'il était allé se coucher, étaient maintenant complètement éteintes. Il se dirigea dans le noir, jusqu'au tableau de la Grosse Dame - le portrait dormait profondément, son corps se levant et s'abaissant au rythme de sa respiration.
Le château était - enfin - d'un calme apaisant et Harry prit soin de ne pas emprunter les couloirs où des armures pouvaient se trouver, leurs grincements n'auraient fait que renouveler encore et encore ses maux de tête. Il traversa des couloirs sombres où seul sa mémoire pouvait lui faire éviter les murs ou les statues.
S'arrêtant dans un des cloîtres que Poudlard possédait - et qui servait souvent de cours extérieures pendant les pauses, entre les cours - il s'assit sur un banc, ne se rendant même pas compte du fait qu'il était torse nu, alors que la température devait être en dessous de cinq degrés, et que le jardin en face de lui était recouvert d'une neige qui brillait largement sous les reflets de la pleine lune - elle était donc plutôt remarquable.
Harry sourit largement quand un hurlement de loup se fit entendre au loin. Remus devait se trouver quelque part dans le château, sous sa forme de loup garou; la nuit avait du être aussi très longue pour lui. Le sorcier essuya la larme qui coulait doucement sur sa joue et se convint que ses yeux devaient être très sensibles au froid; ce n'était pas son coeur bien sûr.
Il tourna soudain la tête quand un léger bruit survint de derrière lui, le son d'une cape traînant sur le sol. Aussitôt, le silence se refit et Harry maudit son cerveau de l'avoir rendu aussi parano. C'était bien trop de prudence, il était à Poudlard tout de même, que pourrait-il lui arriver? A part être mort de honte en croisant le regard de Severus?...
Mais comment avait-il pu être aussi stupide? Embrasser! Il l'avait embrassé! Qu'avait-il pu lui passer par la tête à ce moment là? Severus était en train de l'engueuler et lui, il s'était mis à l'embrasser! Que penserait Sirius de tout ça? Il serait furieux, il... Sirius ne pensait plus de toute façon...
"Il est mort, Harry. Pense à autre chose", se parla le sorcier à voix haute.
La vie pouvait-elle être plus dure encore? Est-ce que c'était possible? Mais pourquoi l'avait-il embrassé? Pourquoi! Il ne le regrettait pas au fond, il en avait mourus d'envie, mais quand même! Bon ce n'était pas vraiment un baisé en fait... Juste ces lèvres sur les siennes. Pas de main autour de sa nuque, de ses hanches, de son cul...
Harry, ferme-là!
Il se donna une claque mentale à cette pensée. Penser à autre chose, c'était la meilleure solution pour faire disparaître cet enculé de mal de tête qui lui lancinait le crâne depuis plus d'une heure. Penser à autre chose... Penser à autre chose... Penser à autre chose... Penser à autre chose... Penser à autre chose... Penser à autre chose...
Pense à autre chose, bordel!
Mais à quoi? A qui? A Parvati? Non, pas maintenant. Les choses commençaient à être difficiles avec elle. Albus? Il s'était promis d'aller le voir à midi demain... enfin aujourd'hui maintenant, il devait être au moins cinq ou six heures du matin. Il avait quand même attendu une semaine avant de se décider. Au moins il s'était décidé... Autre chose. Sirius? Aurea? Il y avait bien trop pensé. Il ne fallait pas s'attarder sur ça. C'était devenu bien trop difficile de se lever le matin en pensant qu'eux deux ne pourront plus jamais voir le soleil, trop douloureux de regarder une photo où Sirius riait avec James, trop agonisant de passer dans le couloir où les appartements de Sirius se trouvaient, trop... C'était trop, c'est tout.
Ne pense plus alors...
Facile à dire! Comment ne plus penser? Comment parvenir à oublier ce qui nous faisait mal? Par quels moyens y parvenait-on? On ne pouvait pas empêcher nos pensées de remonter jusqu'à notre esprit, c'était impossible... Il ne pouvait pas faire taire ce flot d'images si douloureuses, si... Si, il pouvait.
Harry, ne pense pas à ça non plus. La mort n'est pas une solution.
Bordel de merde. Qu'est-ce qui lui prenait? Pourquoi toutes ces idées noires ressortaient maintenant? Il voulait juste dormir, dormir et ne penser à rien. Le problème était que plus il concentrait son esprit à un vide absolu, plus le vide... se comblait.
Se levant, il fit le tour du cloître, la tête levée vers la lune qui guidait son esprit dans le bon chemin. Ses pas résonnaient légèrement dans l'endroit totalement calme et il se maudit silencieusement en pensant au fait qu'il avait cours dans quelques heures. Et il n'avait pas encore dormit de toute la nuit. En plus, les nuits étaient longues en hiver.
Harry soupira longuement et retourna dans des lieux moins froids du château, espérant vraiment qu'il parviendrait à ne pas s'endormir pendant son cours, demain matin. Cela faisait deux semaines - depuis que les cours avaient repris - qu'il ne travaillait plus vraiment en cours et en dehors aussi. Il n'avait plus la motivation. Pas qu'il en avait une avant mais, là, il n'y avait plus personne pour l'encourager à suivre les cours et à faire ses devoirs. Le lendemain allait être vraiment hard, un cours de sortilège, qui plus est, avec des travaux pratiques. Et suivie de métamorphose... Et il n'avait pas vraiment finit les devoirs que McGonagall avait donné la semaine d'avant.
Que Merlin me vienne en aide...
"Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu quelqu'un d'aussi pâle."
Harry eut un sursaut quand la voix rauque l'interpella et l'ombre qu'il parvint à apercevoir en se retournant ne l'aida pas à se rassurer. C'était quelqu'un de plutôt grand, c'était...
"Professeur Dumbledore? essaya Harry.
-Alors Harry, que viens-tu faire dans les couloirs à cette heure là, et dans cette tenue? demanda Abelforth en entrant dans les rayons de lunes, qui filtraient par une fenêtre.
-Je n'arrivais pas à dormir, c'est tout, répondit-il en essayant de se concentrer sur autre chose que sa migraine qui persistait toujours, mais pas le moins du monde gêné d'avoir le torse nu. Et vous? Que vous arrive-t-il? Vous me suiviez peut-être par ordre d'Albus?
-Oh non, rie doucement le sorcier en secouant la tête, je suis indépendant de mon cher frère, ne t'inquiète pas.
-Alors que faites-vous là?
-Je ne sais pas..."
Harry frissonna au regard perçant que lui lança Abelforth, il lui semblait que l'homme parvenait à voir son coeur qui s'accélérait en ce moment. Ça devait être vraiment un don dans la famille, de lire à travers les autres comme dans un livre ouvert.
"Qu'est-ce qui te tracasse tant?"
Ça y est. Il sait. Merde...
Abelforth lui souriait largement, comme s'il voulait lui montrer la fierté qu'il avait à pouvoir tout savoir. Harry grogna doucement en baissant la tête et en la relevant, il essaya de garder son visage stoïque.
"Tu deviens de plus en plus blanc, Harry. Es-tu sur que ça va?"
Et merde-euh...
"Oui, oui, répondit-il en parvenant à sourire - béatement. Juste le manque de sommeil sûrement.
-Un cauchemar?
-Il aurait fallu que je dorme pour faire un cauchemar, remarqua intelligemment Harry en reprenant sa marche. Non, ce n'est pas ça... Juste trop de choses dans ma tête et, pas si bonnes que ça...
-Je comprends. Veux-tu venir boire un thé dans mes appartements? proposa le vieux sorcier en lui montrant la direction à prendre de son bras.
-Non. Non, vraiment. Merci. Je préfère retourner dans mon dortoir.
-D'accord, acquiesça-t-il pas le moins du monde vexé du refus de son élève - et presque arrière-petit-fils. A demain matin alors.
-Oui, c'est ça", répéta Harry en prenant la direction opposée de celle des appartements d'Abelforth, même si ce n'était pas le plus court chemin pour retourner à la tour de Gryffondor.
Bien sûr, il n'allait pas retourner à la tour. Il devait vraiment aller voir Severus. Lui expliquer son geste, lui dire qu'il regrettait - même si ce n'était pas du tout vrai - et aussi permettre aux choses de redevenir comme elles étaient avant. Oui, il devait faire ça, au moins pour arrêter ses maux de crâne. Il lui devait quand même bien ça, à sa tête.
Harry hésita très longtemps devant la porte des appartements du Maître des Potions. Inspirant profondément, il prononça le mot de passe et le portrait le laissa passer en restant endormi dans son cadre. La pièce principale était calme et encore chaude grâce aux flammes qui étaient allumées dans la cheminée. Severus avait du lui aussi se coucher tard, ou des Elfes de Maison étaient passées par là.
Se dirigeant silencieusement vers la porte de la chambre située à l'autre bout du séjour, Harry colla son oreille contre le panneau en bois et tenta de discerner du bruit dans la pièce voisine. Rien. Absolument aucun bruit. Pas même celui d'une respiration. Il prit son courage entre ses deux mains et actionna lentement la poignée, passant sa tête dans la fine embrassure. Le sorcier parvint enfin à voir une silhouette dans le grand lit, qui dormait apparemment plutôt bien.
Harry entra et referma la porte derrière lui. Plongé dans le noir, il se dirigea à tâtons jusqu'au lit où Severus se trouvait, et, quand il y parvint finalement, il prit le soin de créer un sort de lumière dans sa main droite. L'homme dormait, c'était sûr, mais Harry ne pouvait voir son visage, caché sous la couverture.
"Harry que fais-tu ici? demanda Severus d'une ensommeillée en bougeant légèrement sous les draps.
-Heu... commença-t-il d'abord en cherchant ses mots, surpris par le fait que Severus était déjà réveillé. Je... Je voulais vraiment m'excuser, dit Harry, peu sur de lui, en essayant d'apercevoir le visage du sorcier grâce au sort de lumière.
-Et tu ne pouvais pas attendre demain matin? grogna l'adulte en se tournant enfin vers lui.
-Désolé...
-Non. C'est bon. Maintenant, cela te dérangerait de me laisser finir ma nuit? proposa Severus en se protégeant les yeux de la lumière que tenait Harry dans sa main droite.
-Oui."
Se retournant, près à sortir, Harry essaya de repousser la boule qui coinçait sa gorge.
"Harry. Attend", l'interpella Severus en s'asseyant sur le bord de son lit.
Claquant des doigts, il alluma les bougies qui étaient dispersées un peu partout dans la pièce et Harry prononça la formule pour éteindre le sort dans sa main. Les deux sorciers s'observaient avec des yeux à demi fermés, essayant de s'habituer à la lumière.
Harry tenta de retenir le rouge qui lui montait aux joues quand il s'aperçut que l'adulte n'était vêtu que d'un boxer noir. Mais il ne parvint à bloquer son regard et celui-ci finit par détailler le corps de Severus, commençant par sa nuque, puis son torse pâle bien développé, le filet brun qui disparaissait sous son seul vêtement, la bosse que formait son...
Harry, reprend toi!
Severus ne sembla pas se rendre compte de son regard et il lui sourit doucement. L'adolescent se maudit, se souvenant qu'il était toujours torse nu et, essayant de refouler la chaleur qui descendait vers son bas-ventre, il s'avança vers Severus. Doucement.
"Je voudrais vraiment savoir, Harry, commença Severus en remontant la couverture sur son ventre. Pourquoi m'as-tu...?
-Non, ce n'est pas ce que tu crois! s'exclama-t-il en devenant de plus en plus mal à l'aise.
-Et qu'est-ce que je crois?
-Je... Je veux dire... Tu... Je..."
Severus le regardait avec insistance, semblant attendre une réponse. Harry s'avança encore et finit par être à quelques centimètres à peine de son professeur. Celui-ci secoua la tête et soupira longuement, ses yeux noirs fixant toujours ceux de Harry.
"Harry, je veux être clair avec toi. Je ne veux pas - je ne peux pas - être plus qu'un ami avec toi.
-Mais, je...
-Non. Laisse moi parler. Le règlement interdit toute amitié entre élève et professeur. D'accord, tu es spécial donc Albus accepte que tu ne respectes déjà pas cette règle. Mais s'il y avait quelque chose de plus entre nous - plus qu'une amitié je veux dire -, je pourrais perdre mon poste. Et toi, tu pourrais être expulsé.
-Mais je m'en fous!
-Non, Harry. Il ne faut pas. Et puis nous ne sommes pas fait pour être ensemble, tu ne crois pas? Je suis ton professeur et toi, tu es mon...
-Ami, finit Harry.
-Élève. Tu es mon élève, rectifia Severus en secouant lentement la tête. Je suis désolé Harry.
-Tu ne peux pas me rejeter...
-Si je peux. Maintenant part."
Harry laissa une larme couler sur sa joue et Severus ne semblait plus savoir où se mettre. L'adolescent s'approcha lentement de lui et le sorcier essaya de se reculer mais Harry fut plus rapide. Attrapant sa nuque, il l'attira à lui et pressa ses lèvres sur les siennes.
"Harry arrête..."
Le Maître des Potions tenta de le repousser mais en vain, et finalement, son désir l'empêcha de faire quoi que ce soit pour empêcher ses lèvres chaudes de parcourir son visage et sa nuque.
Severus obligea Harry à l'embrasser à nouveau et ce fut un baisé plus ardent, plus dur. Leurs langues se caressèrent, s'emmêlèrent, alors qu'ils tombaient couché sur le lit. Harry gémit et passa une main dans les cheveux noirs de Severus, la descendant progressivement en passant sur son torse, puis elle atteint enfin la barrière que formait le boxer de l'homme.
"J'ai mal, chuchota Harry à son oreille.
-Où? demanda-t-il en prenant le dessus, son érection frottant avec insistance sur la sienne, un grand sourire étirant ses lèvres humides. Peut-être voudrais-tu que je retire ceci, proposa Severus en haletant, désignant le pantalon de Harry.
-Excellente suggestion."
Le sorcier déboutonna lentement le pantalon et, alors qu'il était sur le point de libérer Harry de son vêtement, il entendit clairement quelqu'un frapper à la porte de sa chambre. Aussitôt, les deux amants s'immobilisèrent.
"Severus? Tu es là? s'éleva la voix d'Albus derrière la porte.
L'adulte observa son élève, les yeux exorbités d'horreur.
"Oui, deux petites secondes!" s'exclama-t-il en se redressant.
Harry retint son bras et il l'embrassa langoureusement en insistant avec son genou sur son entrejambe. Lui souriant largement, il transplana et Severus entreprit d'enfiler rapidement son pantalon et un T-shirt avant d'ouvrir à Albus.
"Je te réveilles? questionna le directeur en observant sa coiffure désordonnée.
-Oui, en effet, acquiesça Severus en sortant dans le séjour, essayant de faire descendre la tension dans son bas-ventre, alors qu'Albus le suivait. Que me vaut cette visite de bon matin? demanda-t-il en observant la pendule qui indiquait sept heure.
-J'ai à te parler à propos de Harry", dit le vieux sorcier en s'asseyant dans le divan.
Remarque: Je pense que je vais beaucoup utiliser les pensées en italique - comme dans ce chapitre - dorénavant car elles me permettent bien de montrer les pensées de Harry - ça pourrait être d'autres personnages, bien sûr. Est-ce que c'est clair et bien comme technique? Oui, ma fic tourne un peu autour du genre du slash et je voudrais m'expliquer sur les raisons de ce choix - faire apparaître des scènes entre deux hommes. En fait, je pense que Harry est plutôt perturbé - pour diverses raisons - et son adolescence est assez difficile. La relation qu'il pourrait avoir - et qu'il aura, je vous l'annonce officiellement - avec Severus ne sera pas purement sexuelle mais en bonne partie - cool! Je veux dire, les deux sorciers ne sont pas vraiment faits pour avoir des relations proches, ils sont quand même au départ élève et professeur. Cependant, je pense que cet épisode de la vie de Harry pourrait lui apporter beaucoup étant donné son manque de repères. J'espère que vous partagez mes idées...
Note: Alors? Ça mérite quelle note? Reviews! Reviews! Reviews! Reviews! Reviews! Please...
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Réponse aux reviews:
Lunenoire: Non! Je ne suis pas méchante! Ce qui contrarie Harry autant, ce n'est pas vraiment le fait de rester tout l'été au château... Ce nouveau chapitre te la peut-être fait comprendre. En tout cas merci et bisous!
Popov: J'ai une petite question: quand tu dis on attend la suite, tu parles de toi à la première personne du pluriel? Tu fais deux? Lol. Non franchement! Merci pour ta review et la suite... elle est là!
Laika la Louve: Je pensais que les indices que j'ai semés dans les paroles de Harry et Severus allaient vous faire découvrir de quoi parlait la lettre. Vraiment, je suis déçu! Non, mais franchement, je te jure que c'est pas si dur que ça... Relis bien et tu peux peut-être trouver! Et pour ton projet, tu veux dire quoi par 'écrire ensemble'? Je veux dire, quel genre de texte? Une fic? Bon j'attends vraiment ta réponse! Bisous et merci!
Patmol 666: J'ai bien cru que tu n'allais jamais revenir! Donc c'est bien Rowling que tu insultais? Ça me rassure un peu! Je te jure que j'ai pas voulu trahir qui que se soit, lol. C'est bon, le prochain chapitre est - déjà - là! Je me suis faite pardonnée maintenant?
Sara:
Merci beaucoup! Pour
poster une fic, il faut déjà avoir un pseudo sur Fanfiction.net et le reste est
plus long et compliqué, je te conseil donc d'aller à cette fic' où tout est
expliqué clairement. Va à cette adresse:
Merci pour tout sinon!
