Auteur : Natsu
Titre : Le Dragon Rouge
Genre
: shounen aï, UA
Couple : 2+5+2 (profitez en j'en fais pas
tous les jours !)
Disclaimer : Duo et Quatre sont à MOI !
(…dans mes rêves… bouhouuuuu) nan c'est pas vrai ils sont
pas à moi. (l'image
de Duo et WuFei non plus n'est pas à moi…)
En + Quatre n'est même pas dans ma fic.
Note de l'auteur
: Cadeau pour une copine (joyeux anniversaire !) que j'adore (oui
c'est pas mon couple préféré du tout 2+5+2
mais c'est un cadeau…). J'espère que ça va te
plaire petit lapin parce que comme c'est pas mon truc ce couple là
ça a été dur et pis la littérature n'est
pas une de mes premières qualités… alors sois
indulgente !
Le Dragon Rouge
Prologue :
Le
jeune homme retira lentement sa lame ensanglantée du corps de
l'Elfe. Un flot de sang sombre et chaud gicla et coula par terre où
il s'effondra doucement. Le jeune homme essuya la lame affûtée
de son sabre sur les vêtements de l'être. Un filet de
sang avait coulé de ses lèvres. Ses yeux vitreux se
fermaient, bien qu'il fût déjà mort. Une de ses
mains était restée crispée sur son épée
argentée et tranchante qu'il avait juste eu le temps de
dégainer. L'autre était portée à sa
blessure mortelle. Le sabre lui avait transpercé le ventre. Le
jeune homme se demanda s'il avait seulement eu mal ou s'il était
mort sur le coup, sans douleur. Il avait observé l'Elfe
inconnu quand il tombait sur les genoux, et maintenant, allongé
sur le ventre, ses longs cheveux éparpillés, il le
regardait comme s'il ne s'était rien passé. Ce
n'était même pas sa proie. Il avait juste croisé
son chemin, il ne lui avait jamais parlé, ils ne s'étaient
jamais rencontrés ni vus. Mais le jeune homme n'avait aucune
compassion, aucun sentiment.
Il rangea son sabre dans son
fourreau. Du sang avait giclé sur ses mains. Il fouilla dans
les poches de sa veste noire, en sorti un mouchoir taché de
sang séché et s'essuya les mains, l'air de rien. Il
continua sa route laissant derrière lui le corps de l'inconnu
au beau milieu du sentier. Cet Elfe mort, comme bien d'autres qui
croisaient sa route ou pas, était déjà oublié.
