Chapitre 7
"Je suis dans le lit de DRAGO MALEFOY ! Oh non, c'est impossible, pas lui. Que ... AH ! Je me souviens ... Pas de tout, il est vrai... Et si ... ?"
Le jeune homme était éveiller depuis bien longtemps. Quand il la vit bouger, il la regarda. Qu'elle était belle. Mais il ne pouvait pas. Elle ne lui appartiendrais pas.
- Bonjour. dit-il enfin.
- ... Non pas que ... Enfin, qu'est-ce que je fais ici ?
- Ne t'inquiet pas, on ne l'a pas fait.
Il souriait narquoisement.
- Euh... Oui, merci... Mais ça ne répond pas à ma question. dit-elle, incertaine.
- Tu ne te souviens pas?
- Je me souviens de t'avoir (elle marqua une pose "Mon dieu que c'est humiliant !") embrasser. Mais après, je ...
- Je t'ai emmener ici, tu m'as parler, tu as pleurer et tu t'es endormi dans mes bras. C'est tout.
- QUOI ?
Elle le regarda dans les yeux.
- Je ... j'ai fait ça ? ajouta-t-elle plus calmement.
- Oui. dit-il avec un sourire plus narquoi sur le visage, si c'était possible. Et c'était parfait.
- Je devrais prendre ça ...?
- Pour un compliment. Surtout venant d'un serpentard.
- Et ce n'était pas trop humiliant ? C'est sûr, je ne suis qu'une Gryffondor. Tu devrais aller laver tes draps, je les ai toucher. Et te laver aussi. Parce que je suis peut-être infester de parasites en tout genres.
- Je n'ai jamais dit ça. dit-il avec un calme herculéen. En fait, je crois que...
- Que quoi ? Si tu le répète à quelqu'un, tu ne vivras plus très longtemps. Car comme tu me l'as déjà répêter, j'ai un caractère de cochon. Je veux oublier ce qui c'est passer. Je ne suis pas un tropher que l'on garde en vitrine, tu ne te vanteras pas d'avoir dormi dans le même lit que Ginevra Weasley. Et je ... Je ne te parlerais plus, tu n'en vaut pas la...
Mais sa phrase mourrut dans sa gorge. Il avait de ces yeux. Triste, malheureux... Pourquoi la faisait-il fondre ? Mais c'est vrai, c'est un SERPENTARD ! Et pas n'importe lequel, Drago Malefoy. Non, c'est impossible... Elle ne pouvait pas l'aimer. Pas en si peu de temps et pas comme ça. NON. Elle se jetta alors sur lui dans l'intention de le frapper, de le faire regretter de lui faire ressentir ça, mais, bien sûr, en petite veinarde qu'elle était, il était plus fort qu'elle. Il la retint de justesse par la taille. Mais le problème, c'est qu'ils étaient dans une position plus que précaire. Elle était sous lui à cause de la chutte et ils étaient si proches... Ginny brisa alors la barrière en gifflant le jeune homme. Non, elle n'allait pas se laisser faire. Mais il la retint dans cette position, s'amusant de la rougeur des joues de la jolie jeune fille.
-Ca ne te gênerais pas de me laisser partir ? dit-elle brutalement.
-Pour cela, il me faut quelque chose en échange.
-Oh, du chantage, rien que ça ! Je vous signale que vous n'êtes pas en position de marchander.
-Je crois que si. En tout cas, en meilleure position que la votre, milady.
-Ne rit pas de moi, Malefoy. Sinon, tu me le payeras.
-Tu veux partir ?
-Bien sûr !
-Alors écoute- moi.
Il lui murmura quelque chose à l'oreille et elle devint rouge pivoine.
-Alors ?
-Je ... Ais-je le choix ? Non, évidemment.
-Avoue que je ne te laisse pas indifférent et que tu le veux ... autant que moi.
-Vous êtes prétentieux ! Que ... Ah parce que vous en avez envi ? Que c'est drôle. Mais non pas que cette petite conversation me gêne, mais je vais devoir me relever, car vous ne pesez pas rien, et je commence à étouffer.
- Alors fais-le !
Rooo, son siii joli sourire narquois. Plus si narquois que ça... Mais...
- Qu'est-ce que tu attends, tu as peur ? demanda-t-il.
Alors là, c'était trop fort ! Ginny Weasley, avoir peur ? C'est alors qu'elle plaqua ses lèvres contre les siennes. Et aussi qu'elle se rendit compte qu'elle s'était fait piégée. Stupide, stupide Ginny Weasley.
Fin du Flash Back !
-Je vous dérange ? dit une voix derrière Harry.
-Tiens ! Malefoy ? Tu viens faire la chasse aux fouines ? répondit Harry en voyant Malefoy dit "La fouine".
-Non, je viens parler à ta petite amie, Potter.
-Et si je ne veux pas qu'elle vienne te parler ?
-Tu l'aime, n'est-ce pas ?
-Ca ne te regarde pas.
-C'est vrai qu'elle embrasse très bien. dit Malefoy, un petit sourire sur les lèvres. Pour la première fois, Harry vit un vrai sourire sur le visage de Malefoy, et pour la première fois, Harry douta de Ginny. Mais non, c'était impossible, pas Ginny.
-Et comment pourrais-tu le savoir. Tu ne crois quand même pas qu'elle t'a embrasser. Ah ! Dans tes rêves Malefoy, elle sort avec moi.
Mais Harry doutait de plus en plus... Ginny avait-elle embrasser Malefoy ? Non... Impossible. Elle se dirigea alors vers eux, jusqu'alors occuper à ranger les assiettes et les couverts du pique-nique qu'elle venait de faire avec Harry. Elle blanchit en découvrant Drago près de Harry, en train de parler...
-Qu'est-ce que tu fais là ?
Elle criait presque.
-Je venais te parler. lui répondit drago.
-Et à quel sujet ?
-C'est priver.
-Bien. Harry, je te rejoins dans la salle commune, d'accord ?
- Mais... Ginny...
- Harry, fais-moi confiance.
Elle sourit. Harry ne put se retenir, une vague d'amour s'empara de lui. Il était impossible qu'elle l'ait trahit. Pas avec ce sourire...
- Okay, Gin. Tu me retrouves ce soir ? dit-il.
- Promi.
Elle l'embrassa pour prouver à ce Malefoy de malheur qu'elle l'aimait LUI.
-Va y.
Il se dirigea donc vers la tour Gryffondor. Mais elle ne put le voir continuer son chemin, elle sentit des bras puissants s'enrouler autour de sa taille. Elle se sentit mal à l'aise dans ces bras. Lorsqu'elle réalisa qu'ils étaient à Malefoy, il était déjà trop tard. Elle était emmener de force dans une salle de classe vide.
-Mais, lâche-moi ! LACHE MOI !
-Personne ne peut t'entendre, pas la peine de te casser la voix. J'ai mis un sortilège d'insonorisation.
-Alors, dis-moi vite ce que tu voulais me dire, et laisse-moi partir.
-Oh mais je ne voulais pas te parler.
-Alors que veux-tu ?
Elle ne se doutait que trop bien de la réponse.
- Je veux que tu m'embrasse.
- ET MOI NON. JE SORS AVEC HARRY ESPECE DE POURRITURE HUMAINE !
- Oh, si ce n'est que ça.
- C'est déjà pas mal. Ne serais-ce que parce que tu es beau, tu crois que je vais tomber à tes pieds. Mais non. Pas du tout. Je ... JE SUIS AVEC HARRY ET JE NE LE TRAHIRAIS PAS.
- Très bien. Je vais devoir te persuader.
- Ah, et j'aimerais bien voir ça.
Il s'avança dangeureusement.
- Je ... Tu n'as pas le droit. Je me plaindrais à ... McGonagal.
- Et tu veux que tout le monde sache que tu as embrasser le beau Drago Malefoy alors que tu sortais avec le ballafré ?
- Tu ne ferais pas ça. Car je ne sortais pas avec Harry quand je t'ai embrasser.
- Non, c'est vrai. Mais maintenant tu sors avec lui. Et que feras-tu si je faisais ça ?
Il la coinça contre un mur et l'embrassa fougeusement. Elle se débattait, mais il la tenait fermement.
- NE RECOMMENCE JAMAIS CA. JE TE JURE QUE TU ME LE PAYERA ! JE TE HAIS. JE TE DETESTE. RETOURNE CHEZ TOI AVEC TON CHER PERE ET TON SUPERBE PARRAIN VOLDY. JE NE VEUX PLUS TE VOIR.
Et elle se dirigea vers la sortie. Mais la porte était vérouiller. Elle se laissa glisser au sol et ne put étouffer un petit gémissement, mais elle ne pleura pas. Elle ne lui donnerais pas ce plaisir. Comment pouvait-il être aussi ignoble ?
- Je vois que tu as choisi de rester.
- Je serais déjà parti si tu n'avais pas vérouiller cette putin de porte.
- Je ne l'ai pas vérouiller.
- Si.
Mais à cet instant là entra Harry et Collin Crivey. Elle se jetta au coup de Harry qui bizarrement était de marbre. Peut-être étais-ce à cause de la colère... Mais elle sut vite pourquoi.
- Lache-moi. dit-il avec une froideur qu'elle ne lui soupçonnait pas.
- Qu'y a-t-il Harry ?
- QU'Y A-T-IL ?
- Mais Harry, calme...
- TAIS-TOI. hurla-t-il.
Un silence de mort s'abatti dans la salle. Même Malefoy se taisait. Peut-être venait-il de comprendre le mal qu'il venait de faire...? Non, il n'avait pas de coeur.
- Au lieu de me tromper, tu aurais pu au moin sortir avec lui et me laisser tomber. A moin que ça ne t'amuse de me faire ça ? Ou bien c'est un petit plan de Malefoy?
- Je ne t'ai pas tromper ! Qui t'a dit ça ?
- Collin. Et il a aussi une superbe image.
Il lui montra une photo d'elle et de Drago en train de s'embrasser. Seulement, on ne la voyais pas en train de se débattre. La seule chose que l'on voyait, c'était le haut de leur corp alors qu'elle lui donnait de frénétiques coup de pieds. Drago avait sur le visage un sourire vainceur.
- Le tout petit problème, Harry, c'est que tu ne sais pa ce qui c'est passer. Tu juge alors que tu ne sais pas ce qui c'est passer. Il m'a bloquer contre le mur en question et je me débattait. Seulement, MOI, je ne fais pas de Quidditch ! MOI, je suis fidèle et je te laisserais t'expliquer si tu m'avais sois disant tromper. Mais TOI tu as fait du Quidditch et TOI tu ne me laisse pas m'expliquer. CE PUTIN DE MEC M'A PIEGER ET TOI TU NE VOIS RIEN ! TU ME LAISSE DANS MON MALHEUR. JE T'AIME ET TOI TU M'ACCUSE DE TE TROMPER ALORS QUE C'EST MOI QUI DEVRAIS ETRE MALHEUREUSE. TU NE SAIS PAS CE QUE JE VIENS D'ENDURER. FINALEMENT, JE PENSE QUE J'AURAIS DUT LE LAISSER FAIRE ET VERITABLEMENT TE TROMPER, COMME CA, TU AURAIS UNE RAISON DE ME FAIRE ENDURER CA.
Sur ce, elle laissa trois garçons dans une salle de classe où venait de pénétrer une 4eme personne : Cupidon.
