DISCLAIMER : Evidement depuis la dernière fois, y a pas eu de miracle, ils appartiennent toujours à Mrs JKR et ne font que subir mon histoire. Ouais ...
Rating R pour la suite
Le sel de ma vie :
Phobia floral : Merci d'avoir aimé et ne t'inquiètes pas, ils vont se réconcilier un jour...Par contre, va avoir besoin de ta pitié Mumus, l'est pas très bien....Bisous
Ornaluca : Hé bien oui, ce pauvre Rémus pas de bol de se retrouver amoureux d'un type pareil hein ? Le roi des gaffes en tout genre. Lol ! Bizoumouchous ma douce
Gaëlle griffondor : Je me suis justifiée au moins déjà vingt fois : je ne suis pas sadik ! Je fais du suspens.... Vala. (Rester stoïque en la baratinant elle va y croire....) Lol ! Bizoumouchous
Karo : Merci beaucoup d'avoir aimé et oui, j'ai l'intention de les maltraiter encore un peu...Enfin un tout petit peu ! Pour le nombre de chapitre, je ne suis pas fiable, j'en sais rien, j'écris et quand je ne peux plus alors, la fic est terminée...pas de plan, pas de structure, rien...pathétique non ? Mdr Bizous
Melindra : Merci pour tes gentillesses, et oui j'avoue que j'ai vraiment aimé Le beau Lucius... dans le genre bourde... Mdr ! J'espère que Siri va remonter un peu dans ton estime quand même. Bizoumouchous
Jenny : Ok, c'est toi qui as eu raison de ma flemme, j'espère que ce petit (hé oui.. ;-) chapitre va te plaire quand même (et que tu te sentiras mieux ? ouais c'est pas dit après lecture...), même si il n'explique rien... Biz
Crackos : Gaffeur ? Tu savais pas que c'était son deuxième prénom ???? Et mon Lucius l'est mignon là ? Pis MON Sév ???? (Vi j'y crois encore, l'est à moi Sev !) Mdr Bisousmouchous
Sev Snape : Regarde mieux t'as pas bien cherché ! Lol ! Bisous ma douce amie.
Alllba Ambre : Même pas mis 15 jour YEEEEESSSS ! Bizous
Snape Black Rose : Merci d'avoir reviewé quand même ! T'es gentille Noëlle (M'enfin c'est ta fête je jour de noël Non ?!!) Ok pour le fouet t'es pas obligée, laisse le loin de moi, c'est mieux... Bizoumouchous
Vif d'or : Alors si tu viens ici rien que pour moi, c'est encore plus gentil!! Je t'adore mon vif.... Et non, je ne suis pas Sadique...pas toujours..; enfin, presque pas...Heuuuuu??? Bizoumouchous
Oxaline: Ma toute belle, si si , je te l'assures, tes reviews sont un pur délice pour une auteure en recherche permanente d'affection!! Et j'adore toujours autant tes commentaires..; Alors continues pour ma santée mentale...Bizoumouchous
Yria: Ma douce amie, je suis contente que tu sois venue ici, tu me manquais sérieusement, j'ai eu ta review alors que j'allais updater le 3ieme chapitre, alors merci encore de ne venir que pour moi??! Et voilà la suite ce soir. bisoumouchous
Pensées de Sirius S :
Pensées de Rémus £ :
La lune n'est que dans une semaine
Sirius s'en voulait de son attitude, mais il n'y avait plus grand-chose à faire, sauf se faire pardonner. Pardonner d'avoir manqué à sa parole, pas d'avoir fait de la peine à Rémus. Parce que ça, il ne s'en doutait même pas.
S : Comment je vais faire pour me faire pardonner ? Je suis vraiment nul, je lui promets de me calmer et je saute sur le premier serpentard venu ! Belle preuve d'amour ! Décidément, je foire toujours tout moi.
Il se dirigea vers le dortoir malgré tout, Rémus avait dû s'y rendre. La salle commune des griffondor était étrangement silencieuse elle aussi. Personne en ces murs. Il grimpa à l'étage et posa sa main pour ouvrir la porte du dortoir, quand il entendit de petits gémissements.
Il lança un coup d'œil curieux et son sang se glaça. Son Rémus était par terre, roulé en boule, sa robe emmêlée autour de ses jambes, son visage entre ses mains. Il se tordait de douleur.
« Rem ! Par Merlin, Rem ! S'exclama Sirius en se précipitant aux côtés des son ami. Il posa sa main sur son dos et sentit plus qu'il n'entendit, le grondement.
« Rem, c'est moi ! Sirius. Calmes toi... Dit il doucement en lui caressant doucement le dos.
Au son de sa voix, la forme se détendit un peu, mais ne bougea pas, et Sirius vit que les mains de son ami avaient commencé à se couvrir d'une fine couche de poils soyeux.
S : Oh non, pas déjà, c'est pas vrai, la pleine lune n'est que dansune semaine, c'est pas normal !
£ : Si..ri..us. Ne viens pas... pas toi, je ne veux pas.... j'ai trop mal...
« Je vais chercher Pomfresh, Remus, t'inquiètes pas...
Sur ces mots, Sirius sauta sur ses pieds et descendit en courant, le tableau s'ouvrit avec une lenteur désespérante mais enfin, le jeune homme fut dans les couloirs. Il se rendit comme un fou à l'infirmerie, priant, sans faire attention, un dieu qu'il ne connaissait même pas, que Pompom soit à l'infirmerie et pas ailleurs dans le château.
La chance fut doublement avec lui, parce que non seulement, la jolie infirmière était là, mais le directeur aussi ; Ils sursautèrent tous deux à son entrée fracassante : La porte cogna violement contre le mur et Sirius manqua s'étaler par terre, ouverture de porte et virage en courant ne faisant décidément pas bon ménage.
« Madaaaaaaaaaaa.... Cria Sirius avant que Dumbledore ne le rattrape d'une main et ne le rétablisse sur ses jambes.
« Monsieur Black ? S'enquit l'infirmière.
« Vite ! Venez ! Mais vittttttteeeeee ! S'exclama le griffondor en essayant de se dégager de la poigne du directeur pour repartir.
« Monsieur Black. Dit doucement Albus.
La voix du directeur calma instantanément le jeune homme qui se figea.
« Qu'y a-t-il ?
« C'est... c'est... Rémus, Professeur. Haleta Sirius
Les deux adultes se lancèrent un regard inquiet.
« Que se passe-t-il ? demanda l'infirmière doucement.
« Madame ! Je sais pas s'exclama le griffondor, son inquiétude reprenant le dessus. Il ...il commence sa transformation...Enfin, je crois... Mais euh.....
« C'est pas normal, la pleine lune ne doit avoir lieu que dans une semaine il ne devrait commencer à en ressentir les effets que dans ...
« Dans trois jours ! Hurla Sirius en essayant de se dégager de nouveau.
Albus relâcha le jeune homme qui en profita pour s'éclipser en courant.
« Pompom, venez.
Heureusement qu'Albus ressentait tout ce qu'il se passait dans le château, il localisa aisément Rémus, qui était dans sa chambre, les deux sorciers se rendirent à la tour des griffondor, se retrouvant aux côtés du jeune loup garou rapidement. Sirius étaità genoux près de lui et caressait ses cheveux.
S : Mon Rémus, tu es tellement mal à chaque fois... Tous les mois tu subis cette torture... Tous les mois je te vois te décomposer pendant une semaine...Et j'en crève... Je voudrais, une fois, subir ça pour toi, pour que tu n'aies plus mal, pour que tu te sentes normal.
Des grondements entrecoupés de gémissements s'échappaient de la gorge de la créature tordue par terre. Les mains toujours sur son visage, il n'avait pas bougé de position. Il avait attendu le retour de Sirius. Ses pensées affolées se bousculaient dans sa tête.
£ : Siri, je veux pas, que tu me voies comme ça, Siri.... je comprends pas... ça ne devait pas arriver si tôt... J'avais largement le temps... Dans trois jours... Il serait venu me rejoindre, à la Cabane Hurlante... Après... Je ne veux pas qu'il voie ça...Et j'ai tellement mal...plus que d'habitude...
«Ggggggrrrrrrrrrrr.........
Le loup prenait le dessus sur l'adolescent et les grondements devenaient plus forts...
Quand Albus et Pompom firent irruption dans la pièce, la situation leur paru plus qu'alarmante, le directeur de Poudlard enleva Sirius dans ses bras et le déposa dans le couloir, il verrouilla la porte sur lui avec un sort puissant et se retourna vers le lycanthrope couché par terre.
« Immobilis
Les deux sorciers avaient lancé le sort en même temps, pas vraiment persuadés d'ailleurs que même en combinant leurs magies, le sort puisse affecter le jeune homme et le mettre hors d'état de nuire.
Cependant cela sembla fonctionner, les grognements étaient toujours présents, mais le corps ne bougeait plus. Pompom fit un mouvement de sa baguette et vit que le loup était effectivement immobilisé.
« Ca a fonctionné Albus... il nous faut le transporter à l'infirmerie, je dois l'examiner...
« Non. Dit le professeur Dumbledore doucement. Nous devons l'emmener dans un endroit où il ne sera un danger pour personne. Examinez le maintenant...
L'infirmière acquiesça et se pencha ver Rémus, elle dégagea son visage et vit son regard brûlant se poser sur elle. La transformation avait légèrement débuté, son visage s'était un peu allongé, la ligne de la mâchoire devenant plus dure, un léger duvet descendait sur ses joues, ses oreilles pointaient un peu entre les mèches de cheveux collées par la sueur...
Avec une grande douceur, la jeune femme continua son examen, chacun de ses mouvements attentivement observés par le loup. Quand elle essaya de détendre ses bras et ses jambes un grondement sortit de la gorge de l'étudiant.
« Excusez moi Rémus. Je ne voulais pas vous faire mal...j'ai terminé Albus...
« Occupez vous du jeune Black, moi j'emmène Lupin à la cabane hurlante. Dit le directeur en lançant un sort de lévitation, le corps du jeune homme s'éleva dans les airs, Albus croisa son regard désespéré.
« Je mets un sort de dissimulation sur vous. Dit l'homme doucement. Ca ira ?
Un petit gémissement lui répondit.
£ : Merci Professeur...Je veux pas que Sirius me voie comme ça...
« Je sais.
Albus leva le sort de la porte et sortit avec Rémus. Sirius était assis par terre dans le couloir.
Le visage blanc, il respirait difficilement. Une foutue envie de pleurer le saisit en voyant le corps de Rémus passer.
S : Par Merlin Rem...Elles commencent vraiment mal ces fichues vacances ! D'abord Rogue, puis toi. Je sais pas comment je vais résister sans toi.
La main de Pompom sur son front lui fit lever les yeux
« Venez Monsieur Black. Je vais vous donner une potion calmante.
Sans un mot, le griffondor se leva et la suivit, il tremblait un peu. La sorcière l'attendit et ils se rendirent à l'infirmerie, Sirius s'assit sur un lit en attendant qu'elle ne revienne avec la potion dont elle lui avait parlé.
« C'est la première fois, Sirius ? demanda l'infirmière en lui tendant un petit flacon contenant une potion bleutée.
« Oui. Souffla le jeune homme d'une voix rauque.
Un air d'incompréhension sur le visage, la jeune femme regarda l'adolescent.
« Pourtant...Vous êtes amis depuis votre entrée ici, Non ?
Sirius hocha la tête :
« Mais, hé bien, Dit il d'une voix hésitante, Rémus nous a toujours quitté peu avant la lune, nous disant juste dans combien de temps il ne serait plus dangereux de l'approcher. Puis pour sa transformation d'après, c'est pareil, sauf que c'est plus rapide et le fait de revenir vers nous l'aide à supporter la douleur un peu mieux. Il...Il ne veut pas qu'on le voie dans cet état. Plus tout à fait lui et pas encore Lui.
« Je comprends. Dit elle gentiment.
« Dites Madame, demanda Sirius d'un coup, vous savez pourquoi, il ... enfin...
« Non, jeune homme, je n'en sais rien. Je vais devoir faire quelques recherches.
« Vous savez, on s'est disputé tout à l'heure. Dit Black en baissant la tête. Il... Il était très en colère quand il est parti.
Un sourire passa sur les lèvres de l'infirmière, elle secoua la tête.
« Ne vous faites pas soucis, je ne penses pas que votre dispute ait quoi que ce soit à voir avec son état.
S : Moi j'en suis pas si sûr.
Mais gardant ses réflexions pour lui, Sirius salua Pompom et sortit dans le couloir.
Les diverses péripéties de l'après midi avaient fait passer le temps à une vitesse folle, et Sirius se rendit compte qu'il était l'heure du repas. Même si ce n'était pas la faim qui le tenaillait, il se rendit dans la grande salle, il se glissa au bout d'une table. Trop plongé dans ses pensées pour se rendre compte que Sévérus ne le quittait pas du regard. Malefoy, lui s'en rendait bien compte et s'agitait sur son banc, essayant de capter l'attention de son ami.
« Sév ? Sév ? Dit il d'une voix tendue.
Le regard de Rogue quitta le griffondor et se posa avec une lenteur exaspérant sur le blond qui lui faisait face. Sans un mot il leva un sourcil.
Lucius comprit la question muette et ses joues se colorèrent un peu.
« Qu'est...ce... Tenta-t-il de demander
« Le clébard est seul. Répondit le jeune homme en noir, d'une voix glaciale. L'autre monstre n'est pas là.
Julius et Lucius se regardèrent interdits, et le même mouvement d'incompréhension leur fit hausser les épaules.
« Pas normal. La lune n'est que dans une semaine. Ajouta-t-il à mi-voix.
« Je sais que j'ai pas rêvé, j'ai vu Dumbledore aller vers le saule cogneur, il y avait un corps en lévitation avec lui, pensa Sév en mangeant, je suis certain que c'était Lupin, il devait l'emmener à la cabane hurlante. Mais c'est trop tôt. Beaucoup trop tôt. Il y a un truc qui cloche. Je vais chercher à la bibliothèque. Il doit y avoir des bouquins sur le sujet. Pas que le cas Lupin ne m'intéresse, mais je veux savoir.
L'étudiant de Serpentard était une véritable encyclopédie ambulante, et sa recherche du savoir était une quête sans fin. Peu importait le sujet, la moindre énigme devait avoir sa solution et il avait une patience infinie pour chercher.
Il fronça les sourcils et releva la tête, Lucius lui lança un nouveau regard et prit les orbes noirs direct au fond des lacs gris de ses yeux. Ils se regardèrent si intensément que Julius remarqua leur soudain silence et se détourna pour interpeller un cinquième année, un peu plus loin.
Un très léger sourire quelque peu carnassier, étira les lèvres de Sévérus, provoquant un hoquet de surprise chez le dandy blond.
« A moi. Lucius. Tu es à moi.
Sadique. Je sais. J'assume.
Je vous aime quand même....
Bizoumouchous
