Titre: Seems so delicious
Paring: SenBe (SengokuxAtobe) - SenHara (SengokuxKirihara)
Disclaimer: Toujours pas moi.
Rate: T
Note: J'avais envie de changer de paring et comme celles-là je les aime bien aussi ben voilà ;3 . Je voulais faire un petit break à Carols pour pas m'en lasser (c'est pour ça qu'elle traine un peu... je m'en excuse :X ) (et je m'excuse auprès de quelqu'un... je n'ai toujours pas répondu a son mail ;; )
Summary: Sengoku à la quête d'une distraction XD (wow quel beau summary... :x )
La fic se passe pendant le camp d'entrainement (135+ il me semble pour les épisodes.)
"La nuit est longue aujourd'hui". C'est la pensée qui revenait sans arrêt dans la tête de Sengoku. Il était allongé sur son lit à regarder le plafond, à penser que définitivement non, rien n'y faisait, il s'ennuyait à ce camp.
Il essayait de se changer les idées avec un peu de musique habilement empruntée à son camarade de chambre qui lui, dormait comme une pierre... Mais toujours pas. L'ennuie est là et il y reste. Peut-être qu'un tour du camp aiderait à dormir... Il se leva alors de son lit et sorti de la chambre. Marchant dans le couloir, il passa devant la chambre de Kajimoto et Kirihara. Connaissant un peu mieux la personnalité des deux joueurs, il rentra en éspèrant les rêveiller en sursaut... On s'occupe comme on peut.
Mais au lieu de les rêveiller comme prévu, Sengoku jetta un coup d'oeil aux deux endormis.
Il savait bien que Kirihara était alléchant... mais à ce point là, non, il l'ignorait.
Il s'approcha doucement de son lit et commença a lui passer les doigts dans les cheveux. Kirihara eu un léger soupire, ce qui ne laissa pas Sengoku de marbre.
Seulement voilà, aussitôt lui avait-il effleuré la joue que le petit "ace" de Rikkaidai ouvrît les yeux et tourna la tête vers lui.
"Qu'est-ce que tu fabriques?"
Sengoku secoua la tête en souriant et posa doucement ses lèvres sur les siennes. Mais Kirihara ne voyait pas les choses de la même façon et le poussa avant de se redresser et de déblatèrer des menaces de mort. Pourtant le rouquin n'avait pas l'air de s'en soucier...
"Tu as vraiment l'air délicieux..."
Kirihara s'arrêta d'un seul coup, glacé par la remarque. Il tourna la tête vers Kajimoto que le bruit venait de rêveiller, retourna la tête vers Sengoku, se leva, pris une de ses tennis, s'avança doucement vers l'agresseur et la lui envoya dans la tête.
"Vas-mourir, pervers."
Sengoku ne lança qu'un léger gargouilli de douleur, ramassa la chaussure et la reposa à sa place.
"Pas la peine de la déranger pour ça."
"Vas-t'en. Sinon c'est la commode que je te lance dessus."
"Je préfèrerais le lit à la limite... on peut faire plein de choses avec un lit."
"Je ferais comme si j'avais pas compris l'allusion."
"T'es loin d'être bête..."
"T'es loin d'être subtil..."
Kajimoto regardait la scène sans comprendre et en essayant de garder les yeux ouverts. Mais la fatigue l'emporta et, n'écoutant que sa raison, décida de mettre les voiles et d'aller dormir ailleurs.
"Voilà, t'as fais fuir Kajimoto."
"Tant mieux."
"Je vais te lancer par la fenêtre."
"Je veux juste te goûter un peu".
"C'est ma chaussure que tu vas encore goûter. Laisses-moi dormir maintenant."
"T'es pas très coopératif."
"Qui le serait avec un pervers comme toi?"
Sengoku profita alors que Kirihara aille se recoucher pour habilement venir derrière lui et commencer à lui déboutonner sa chemise.
Le jeune ace rougit soudainement et voulu se défaire de son emprise.
"Mais lâches-moi sale andouille!"
"Te fâches pas Akaya-chan... Je veux juste goûter à ça..."
"CA! C'est moi le ça!"
Sengoku fît mine de réflechir et lui répondit alors en souriant:
"Oui"
Non-content de voir son "Akaya-chan" se débattre, il fini enfin par déboutonner la chemise et en profita pour laisser quelques baisers dans le cou de sa victime qui commença à hausser la voix. Sengoku fût obliger de lui plaquer la main sur la bouche si il ne voulait pas que tout le dortoir soit informé.
"Me cries pas dessus comme ça... Je t'ai encore rien fait..."
Mais plus le temps passait et plus les muscles de Kirihara se décontractés... Tant et si bien qu'il finit par se laisser faire...
Ce n'est que le lendemain matin que Kamio revît son partenaire de chambrée.
"Ah... Te voilà donc. Où est-ce que tu étais passé?"
"Humm... Je grignotais un petit encas avant le vrai repas..."
Kamio discerna un petit sourire en coin de la part du joueur de Yamabuki avant que ce dernier ne le transforme en grand sourire crétin au possible.
"Qu'est-ce que tu racontes?"
Le rouquin rît un moment puis prît ses affaires et sortit.
"... Et dire que je partage ma chambre avec cette andouille... Tiens... Où est mon Lecteur Minidisc?..."
Will be back pour le chapitre 2 dans pas longtemps XD
