Disclaimer : Persos pas n'a moi sauf Zoé et l'elfe qui sont  Zoo alors pô touche ! Ah et l'histoire de Blanche Neige appartient à ses auteurs ainsi qu'à Disney !

Note-de-la-cinglée-que-je-suis : [Elle avoue être folle ! Miracle ! Bien sûr que je suis folle et fière de l'être ! Je retire ce que je viens de dire ! --]

Ceci est donc le chapitre deux de mon petit bébé ! Je sais, je suis folle ! Ça a été dit juste en haut. Je vous remercie toutes et tous pour vos belles reviews : Elles m'on fait très plaisirs ! 14 pour le 1 chapitre je suis comblée ! Je ne vous répondrais pas aujourd'hui mais la prochaine fois car je suis épuisée et que la rentrée ma sciée ! Je tiens aussi à remercier ceux qui on reviewer mon O-S Draco/Harry ! Je peux aussi vous dire que le prochain chapitre sera très long et que vous ferez connaissance avec Zoé ! Voilà j'ai fini mon blabla :

Bonne rentré à tous et bonne lecture !


Chapitre deux : C'est pas juste. (Kyo)

Peut de temps après le départ de Malfoy un elfe de maison entra dans la chambre qu'occupais Harry. Il devait avoir la taille d'un enfant de 6 ans. Sur sa tête trônaient des oreilles dignes de Bug's Bunny et ses yeux ressemblaient à ceux des poissons lorsqu'ils étaient chez le poissonnier.

La créature s'approcha du lit du convalescent en sautillant et s'arrêta juste devant lui. Il s'inclina alors profondément et commença à parler :

« Juste avant de partir le jeune maître à donner des ordres à Grognon. Grognon à pour tache d'assister Harry Potter, monsieur, dans ses journées de repos, couina l'elfe la tête toujours baissée. »

Harry observait l'étrange créature puis quelque chose lui sauta à la figure : Le prénom de l'esclave.

« Comment as-tu dit que tu t'appelais ? Demanda Potter histoire de confirmer ce qu'il avait cru entendre.

- Grognon monsieur Harry Potter, monsieur. C'est le jeune maître qui ma donner ce prénom monsieur. C'est le nom d'un des sept nains de Blanche Neige et le jeune maître a dit à Grognon que c'était son préférer parmi les sept Harry Potter, monsieur.

Le Survivant avait la bouche grande ouverte, les yeux exorbités, et un filet de bave commençait à couler le long de son menton. Puis il éclata de rire.

Ce n'était pas possible, non il devait rêver. Draco Malfoy, le bras droit du seigneur des ténèbres, descendant d'une grande famille de mangemort connaissait le conte moldu Blanche Neige et les sept Nains et avait même appelé son elfe de maison par le prénom de son nain préférer. À croire que la blessure qu'on lui avait infligée avait aussi atteint son cerveau. Potter n'eu put rire que dix seconde, car passer ce temps son corps lui fit comprendre qu'il n'était pas en état de rire comme un bossu.

« Le jeune maître a aussi dit à Grognon qu'il y avait des conditions pour que Grognon s'occupe d'Harry Potter.

- Laisse moi deviner : Je ne dois poser aucune question sur les mangemorts, Voldemort etc etc, ricana Harry à la créature qui le fixait de ses yeux gluants.

- Le maître n'a jamais rien dit à Grognon au sujet du seigneur des ténèbres. Le jeune maître a dit à Grognon que c'était beaucoup trop dangereux pour lui, couina l'elfe.

- Je reconnais bien là Draco Malfoy, siffla le Survivant. Le lâche par excellence. »

La créature magique secoua vivement la tête faisant se balancer ses longues oreilles.

« Non, non. Le jeune maître n'a rien dit à Grognon pour protéger Grognon. Le jeune maître n'est en rien un lâche, il a sauvé Grognon quand il avait 5 ans et Grognon lui sera reconnaissant à vie. »

Harry dévisagea l'elfe comme si celui-ci venait de lui déclarer avec le plus grand sérieux que Malfoy était un saint béni des dieux.

Mon Dieu, Draco Malfoy avec une auréole : On aura tout vu.

« Les conditions que le jeune maître à donner à Grognon sont les suivantes :

Grognon doit faire tout ce qu'Harry Potter, monsieur, lui demande de faire.

Il devra éviter de mentionner le prénom féminin commençant par un Z et finissant par un é.

Et enfin il devra appeler Harry Potter, Monsieur, comme il le désire, reprit Grognon en dictant intelligiblement les ordres de son maître.

- Mais ce ne sont pas des consignes ça ! S'étonna le brun.

- Comment Harry Potter, monsieur, veut-il que je l'appelle, demanda le petit être, ignorant superbement la remarque du convalescent.

- Appelle-moi Harry, souri le jeune homme. »

Grognon eu un hoquet de surprise.

« Grognon ne peut se permettre autant de familiarité avec l'hôte de son maître, s'écria t-il de sa voix couinante.

- N'oublis pas les consignes de ton maître. Tu ne voudrais tout de même pas qu'il se fâche contre toi ? Répliqua Potter d'une voix lasse.

- Grognon ne peut se permettre de désobéir à son cher maître qui à déjà tant fait pour lui ! Il a même permis à Grognon de faire partie de la SALE. »

En entendant ses mots le Griffondor cru qu'il allait finalement mourir étouffé. Draco Malfoy avait permis à son elfe de maison de faire partie de la société de défense de ses mêmes créatures tout en sachant parfaitement qu'Hermione Granger-Wesleay en était l'instigatrice ! Décidément il fallait croire que son cerveau était autrement endommagé et il commençait à craindre pour sa santé mentale.

Il fut coupé dans ses réflexions par Grognon qui lui déclara qu'il devait changer ses pansements. Harry se laissa faire sans la moindre résistance.


Lorsque Draco rentra chez lui d'une humeur morose il fut surpris d'entendre de la musique. Le son était fort et il n'arrivait pas à savoir si c'était de l'anglais ou une autre langue. Il monta les escaliers quatre à quatre et entra dans la chambre d'ami avec violence.

« Potter éteins moi ce bordel, hurla t-il pour être sûr de se faire entendre. »

Il était obligé de mettre ses mains sur ses oreilles pour protéger ses tympans. La musique assez rythmée lui donnait mal à la tête. Tout d'un coup le bruit cessa et le Dragon pu retirer ses mains de ses oreilles et enfin se concentrer sur son ennemi.

« Non mais ça va pas de mettre la musique aussi fort ? Ragea t-il en fixant le convalescent assit sur un fauteuil recouvert d'un plaide carriolé d'orange, de violet et de rouge. Et puis comment as-tu fais pour mettre de la musique ici ? »

Potter le regardait dans les yeux.

« Premièrement : La musique n'était pas forte. C'est toi qui es fragile. Deuxièmement : J'ai demandé à Grognon de passer chez moi pour me ramener des affaires. »

Draco lança un regard suspicieux à l'ex Griffondor : Il y avait l'impression que quelque chose lui échappait.

Harry, lui, attendait avec impatience la réaction du blond. Mais une réaction sur quoi ?

Malfoy remarqua enfin ce qui clochait. Il n'avait jamais vu le fauteuil dans lequel le Survivant était assis. Son regard fit alors le tour de la pièce et il se rendit compte avec horreur que la décoration avait totalement changé.

Les murs étaient désormais recouverts d'une belle peinture orangée. De beaux rideaux rouge bordeaux se trouvait à chaque extrémité de la grande fenêtre que possédait la chambre. Au sol la moquette avait disparu remplacé par un beau parquet ciré et chatoyant. Sur l'un des murs une grande bibliothèque étalait un nombre incroyable de livres, BD et mangas –ainsi qu'une énorme chaîne stéréo et une bonne dizaine de CD. [Le rêve quoi !!] Alors que les autres étaient décorés de dizaine de Photos qui représentaient : Harry avec ses amis. Harry riant avec une jeune fille. Harry et cette même jeune fille en plein duel. Hermione et Ron à leur mariage... Près du lit une petite commode en ébène trônait majestueusement supportant sur son haut une multitude de cadre. Le couvre lit lui-même avait été changé : Il était à présent rouge orangé avec des motifs jaune vif. Draco remarqua aussi des étagères qui croulaient sous les bibelots de tous genres.

Le blond resta là à regarder la chambre. Il se surprit à penser que l'ambiance y était à présent chaleureuse. Potter voyant que son ennemi était trop... choqué pour parler, pris alors la parole.

« J'aurais bien gardé l'autre couvre lit : Je le trouvais. Mais il me donnait le mal de mer et puis il ne s'accordait pas avec le reste de la chambre, déclara t-il posément.

- Qui t-as permis de toucher à la décoration ? Siffla alors le jeune blond.

- Tu as dit à Grognon de faire ce que je voulais. Je lui ai donc demandé d'aller chez moi avec une liste de chose à ramener et puis il m'a aidé à réorganiser la pièce en fonction des nouveaux éléments. Pour tout dire, je suis plutôt fière du résulta, répondit tout simplement le Survivant avec, dans les yeux, une lueur de défi. Au faite Malfoy, je ne savais pas que Blanche neige et les sept nains était ton histoire préférée ! Tu rêves d'être le beau prince aux collants blanc qui vas réveiller sa belle d'un baisé ?! Excuse-moi de te ramener sur terre mais Blanche neige est une fille et pas un homme, alors à moins de la travestir ton plan tombe à l'eau, railla Potter un sourire méchant sur les lèvres !! »

Les yeux du dragon se plissèrent jusqu'à ne devenir que deux fentes.

« Blanche neige est bien mon conte préféré mais je t'avouerais ne pas aimer la sorcière de Disney. Quant à réveiller mon beau par un doux baiser, il s'agit en effet d'un fantasme encore non réalisé à ce jour. Mais je ne perde pas espoir et puis, je te ferais remarquer qu'avec tes cheveux noirs et tes lèvres rouges tu ferais parfaitement l'affaire. Ah ! bien sûr tu n'as pas le teint blanc mais cela ne me gène pas outre mesure alors fais attention. Répliqua t-il le plus sérieusement du monde. Pour la chambre tu peux la laisser comme cela mais tu as intérêt à mettre la musique à un volume convenable. »

Et sur ses mots il se dirigea vers la porte. Il allait la refermer quand il lui sembla avoir oublier quelque chose. Il se retourna alors vers Harry –qui avait la bouche ouverte depuis la réplique de Malfoy- et déclara sur un ton mystérieux :

« Les apparences sont trompeuses Potter, surtout dans ma famille alors fais bien attention. »


Deux jours passèrent.

Draco partait à ses cours vers neuf heures et revenait généralement pour dix-huit heures.

Pendant ce temps Harry lisait, écoutait de la musique et re-décorait la maison qu'il avait déclarée sans âme. Il avait déjà refait le salon et s'attaquait à la salle à manger. Malfoy ne disait rien mais avait totalement refusé qu'il touche à sa chambre.

L'état de Potter était maintenant sans inquiétude. Celui-ci remarchait difficilement mais il remarchait. Le blond, lui, tenait sa promesse et ne le touchait pas. Il se contentait de vérifier la cicatrisation de la plaie lorsque Grognon changeait les pansements.

« T'as vraiment pas de chance Potter : Après le front tu te retrouve avec une balafre sur le torse, aimait ricaner le dragon. Et Harry répondait du tac au tac :

- Qu'elle importance Malfoy puisque je vais mourir dans peu de temps ! Et puis avoue que malgré la cicatrise, tu aimes bien lorgner mon torse ! Hétéro ou gay tu es ce que j'ai toujours pensé : un baiseur. Et Draco répliquait simplement :

- J'avoue que j'aimerais bien faire autre chose que me contenter de le lorgner comme tu dis si bien. Sais-tu que tu es appétissant Potter ?! Et arrête de me parler de baiser sinon je sens que je ne vais plus retenir et je vais me jeter sur toi. Après avoir déclarer cela il se régalait des rougeurs qui s'étalaient sur les joues du convalescent.

- Tu as beau t'être amélioré en réplique Potter, tu n'arriveras jamais à me battre ! Et je vois que malgré le temps, tu es rester prude.

- Excuse-moi de ne pas avoir l'habitude de me faire draguer par un mec ! Ripostait rageusement le concerner. »

Et le combat verbal pouvait durer des heures !


Le soir du deuxième jours, alors qu'Harry prenais une douche dans la salle de bain du bas, la sonnerie retentit. Trois coups forts suivis de deux coups plus faibles. Malfoy alla ouvrir la porte et invita le visiteur à entrer.

« Entre Severus ! »

« Bonsoir Draco. Je sais que je devais venir plus tôt mais s'étais impossible, répondit le professeur de potion que se dirigea directement vers le salon.

- Pas grave. Je suis content que tu sois là : Je vais enfin savoir la raison de l'avancement de l'attaque de Ste mangouste ! »

Rogue qui s'apprêtait à ouvrir la parte du living se retourna brusquement pour regarder son ex-élève dans les yeux.

« Comment es-tu au courant ?

- Oh t'inquiètes, tu vas bientôt le savoir et je pris le ciel pour que tu ne nous fasses pas une attaque ! »

Severus leva les sourcils en signe d'interrogation et entra enfin dans la pièce.

Il stoppa immédiatement. La salle autre fois vide et froide était à présent accueillante et remplis. Il y avait toujours la moquette de bambou et les petits poufs. Mais il y avait aussi de grands fauteuils recouverts d'un beau tissu beige crème, une belle bibliothèque remplit de livre de toute sorte, des étagères aux murs remplis de bibelots et une cheminer ou brûlait un feu magique. Il se trouvait aussi des sellettes. Elles portaient des vases en porcelaine chinoise, chacun contenant un beau bouquet de fleurs et de feuillages séchés. Comme dernière touche, des calligraphies encadrées par de simple cadre noir décoraient les murs. Toutes représentaient des signes japonais ou chinois peints à l'encre de chine sur du papier de riz.

Draco, qui était plus qu'amuser par l'étonnement de son ex-professeur, proposa à ce dernier de s'asseoir dans un des fauteuils alors que lui-même prenait place en face de la cheminée.

« La décoration actuelle est bien plus chaude et accueillante que l'ancienne.

- No comment. Alors ? Qu'elles sont les nouvelles ? Demanda le blond en fixant les flammes qui dansaient follement dans la cheminée.

- Les nouvelles sont mauvaises. Je n'ai pas pu contacter Dumbeldor, je ne peux donc pas te dire grand choses sur l'ordre du phœnix. Je sais seulement qu'Harry Potter reste introuvable alors qu'il a été blessé par Jonathan Muraki, répondit l'expert en potion le visage sombre et fermé, la voix dure.

- Jonathan Muraki ? Le métis ? Celui qui vient de rentrer dans l'armée décisive ? Questionna Draco en fronçant les sourcils. »

Severus se contenta d'hocher la tête.

« Nous avons aussi perdu un membre de l'élite, continua t-il.

- De quel côté ?

- L'ordre. Elle s'est fait tuer par le maître. »

L'ex-serpentard eu beaucoup de mal à cacher son effarement et sa surprise.

« Il s'est déplacé ?!

- Oui. Je n'ai pas vu la scène mais il paraît qu'elle aidait les guérisseurs, les malades (etc) à sortir. Elle était là-bas pour contrôle médicale. Cela faisait environs trois moi qu'elle ne pouvait plus aller sur le front. Elle lui a tenu tête bravement, lui à hurler ses quatre vérités et s'est écrouler, les deux mains sur le ventre.

- Pourquoi n'a t-elle pas fuit ? Elle croyait pouvoir résister toute seule ?! Perdre sa vie pour rien c'est ridicule ! Soupira le blond.

- Je vous interdis de parler d'elle comme ça ! Hurla une voix. »

Les deux hommes se retournèrent et virent Harry. Il se tenait dans l'encadrement de la porte.

Ses cheveux et son corps dégoulinaient d'eau et à la taille il portait une serviette. Sa blessure s'étalait à l'air libre.

Cela faisait déjà 5 bonnes minutes qu'il les espionnait mais aucun des deux ne l'avais remarqué. [Pas possible !]

Rogue regardait le jeune homme avec ahurissement. Le visage de son ancien élève était déformer par la haine et la tristesse. Le professeur ne put s'empêcher de murmurer son nom.

« De quel droit la jugez-vous ?! De quel droit pouvez-vous affirmer qu'elle est morte pour rien ?! Son action a sauvé des centaines de vie... Et elle ma laissé tomber. Elle est partie sans rien me dire. Elle n'avait pas le droit. Les larmes se mêlaient à l'eau qui se trouvait sur ses joues et il s'évanouit. »

Draco se précipita pour le rattraper et le pris dans ses bras. Puis il se tourna vers son aîné et lui demanda :

« Comment s'appelait-elle ?

- Zoé. »

À Suivre !


C'était donc le chapitre 2 ! J'espère qu'il vous à plut ! Faite moi par de vos commentaires !

À dans deux semaines !

Bye,

Zoo.