Just Perfect
Partie 2 : Et dans nos yeux…on peut y voir…
Bon… Je ne sais absolument pas quoi dire sur ce chapitre, enfin sur cette deuxième et dernière partie (j'ai trouvé que ça ne servait à rien de faire traîner en longueur…), à part qu'elle m'a vraiment prise aux tripes quand je l'ai écrite, ce qui ne m'étais jamais arrivé, du moins pas à ce point là… Je sais que j'ai été très longue, mais j'ai du mal à alterner les fics de mon autre compte et celles-là. Vous me direz que c'est de ma faute et c'est vrai. Bon, j'arrête mon blabla et je vous laisse juger par vous-même… Bonne lecture !
Genre : Toujours romance, mais là ça part vraiment en sucette… Définitivement angst…
Disclaimer : Rien n'est à moi, tout appartient à celle-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-en-ma-présence (vous savez très bien de qui je parle… lol !)
Rating : Bon, j'avais dit que le T n'était pas justifié, mais comme on dit, y a que les cons qui ne changent pas d'avis.
Avertissement : UA, Slash (enfin si on veut), gros gros OCC et euh… c'est tout… Ah si, c'est une deathfic (j'aurais tet pas du le dire… lol)
Inspiration : Mullholand Drive de David Lynch, ça peut paraître bizarre, mais ce film m'a vraiment retournée…
Fond sonore : Weezer et Garbage… Je vous jure que pour écrire des histoires tristes, c'est hyper motivant ! lol !
RépAR :
Ludovica : Avec ce chapitre, tu vas comprendre le véritable sens du mot déprime lol ! Je te le garantis ! Finalement je ne fais que deux parties, c'est peut-être pas suffisant, mais je trouve ça bien comme ça… Tu pourrais toujours passer pour critiquer après ! LOL ! Nan je plaisante ! Je t'en ferais volontiers don d'une partie si je le pouvais, mais malheureusement c'est impossible, et puis… ça en fait plus pour moi ! lol ! Kixxxxx ! PS : Pourquoi tu réponds tu réponds pas à mon mail ?
BlackNémésis : Merci beaucoup pour ta review ! Je t'assure que quand j'ai vu ton nom dans ma boîte mail, j'ai cru à une hallucination…Ca m'a fait super plaisir ! Kixxxxxxxx !
KuroiMamba : Et bien la suite, la voici ! Je vois de quelle répétition tu veux parler… Mais je ne n'ai remarquée qu'après donc j'ai pas pu la corriger… je ne me suis pas vraiment inspirée de Simone, même si j'y ai un peu pensé en écrivant le premier chapitre… Je n'aime pas trop ce film de toute façon… LoL ! Je suis désolée de te dire que Blaise a complètement disparu dans cette partie, il a laissé Dray tomber, non mais ! lol ! Kixxxxxxxxxxx !
Vert émeraude : Merci pour ta review ! J'ai été un peu longue pour la suite, mais j'espère qu'elle te plaira… Kixxxxxxx !
Siuki : Voici la suite, j'espère que tu aimeras autant ! Kixxxxxxx !
Drake miako : Merci beaucoup (rougis...) Je ne ferai que deux chapitres, donc celui-ci est le dernier… je suis intelligente non ? lol ! Kixxxxxxxx !
Crystal d'avalon : Ben la suite, la voilà. J'avais bien prévenu au départ que ce serait une mini-fic… Vraiment mini quoi… lol ! Kixxxxxxxxxx !
Miss Felton/Malfoy : Merci beaucoup! Voici la suite, j'espère qu'elle te plaira! Kixxxxxxxxxx !
Slydawn(j'aime bien ton pseudo ! lol !) : Merci, merci vraiment, j'espère que la suite te plaira toujours ! Kixxxxxxxxxxxxx !
NC et Chana : Oui, je sais… C'est pas de ma faute si je préfère écrire des trucs tristes ! Ca m'inspire davantage c'est tout ! lol ! Bon, ce chapitre, tombe carrément dans les profondeurs abyssales de la dépression profonde (c'était magnifique ça ! lol !), mais, me connaissant, je suppose que vous deviez déjà vous en douter… Kixxxxxxxxx !
Lovely A : Je suis désolée de t'avoir fait attendre aussi longtemps! Je suis très heureuse que tu aies aimé à ce point ! Kixxxxxxxxxxxxxx !
LOLOLOLOLOLOLOLOLOLOLOLOLOLOLOL
Draco fit tout le trajet de retour dans un état proche de l'apoplexie. Il ne pouvait pas y croire, c'était tout bonnement impossible, impensable. Il ne savait même pas s'il devait être heureux ou pas, car il avait remarqué la lueur d'envie, proche du désir dans les yeux de Potter. Il était conscient que ce dernier l'avait finalement choisi pour son apparence, non pour son jeu. Pourtant, il essayait de se convaincre que c'était quand même une chose merveilleuse que d'avoir le rôle principal dans un film du grand Harry Potter, mais le pincement qu'il avait au cœur ne disparaissait pas, bien au contraire…
Totalement plongé dans ses idées noires, il ne se rendit pas compte qu'il venait de tourner brusquement dans une petite rue sur la gauche, entraînant les klaxons de dizaines d'automobilistes furieux. Il se dirigea à toute vitesse vers chez Blaise, ne voyant pas la jeune femme et son fils qui traversaient tranquillement la rue. Il entendit quelqu'un crier et se réveilla soudain, freinant de toutes ses forces. Juste à temps : il s'arrêta à un mètre à peine de l'enfant terrorisé. Le jeune homme sortit de sa voiture et se précipita auprès du garçon, voulant s'assurer qu'il n'avait rien. Mais sa mère l'éloigna de lui en le traitant de tous les noms.
- Pas idée de conduire aussi vite ! Les jeunes vraiment ! Il aurait pu tuer ce pauvre petit ! s'exclama une petite vieille sur le trottoir.
Draco, horrifié par ce qu'il avait failli faire, remonta dans son tacot, fit demi-tour et repartit en direction de son appartement, ayant renoncé à aller voir son ami. Il avait besoin d'être seul, et de réfléchir…
Malheureusement, à peine avait-il introduit la clé dans la serrure, qu'il fut abordé par Pansy :
- Eh bien, Mr. Malfoy, où allez-vous comme ça ? Je crois bien qu'il est temps de payer votre loyer ! lança-t-elle, un sourire faux collé sur les lèvres.
Draco se retint de justesse de soupirer de désespoir. Il la suivit jusque chez elle, à l'étage en dessous. Il referma la porte derrière lui et elle lui sauta dessus, le déshabillant rapidement. Et comme d'habitude, il fit semblant de la désirer. Comme d'habitude, elle le fixa de ses yeux dégoulinants d'amour et il tenta de lui rendre ce regard. Comme d'habitude, il fit semblant de jouir en se déversant en elle. Comme d'habitude, il versa une larme de honte et de tristesse qu'elle prit encore une fois pour une larme de joie. Comme d'habitude, elle lui demanda de rester, mais il lui répondit qu'il était attendu par des amis. Comme d'habitude, Draco alla se réfugier sur les bords de la Tamise et s'assit sur un banc pour regarder les étoiles. Mais ce soir-là, il avait l'image de Harry avec lui, et elle l'aida à se sentir plus fort. Il comprit qu'il était tombé amoureux, de quelqu'un qui, il le savait, ne pourrait jamais l'aimer. Parce qu'il n'était rien, rien du tout. Juste un corps. Au mieux, il aurait son désir, au pire son mépris. Alors il hurla, faisant partager à la nuit sa fatigue de vivre, sa peine. Pourquoi lui fallait-il toujours souffrir ?
- Coupez ! Draco, c'est parfait, tu es parfait !
Ginny soupira. C'était toujours parfait avec Draco. Depuis deux semaines que celui-ci travaillait avec eux, Harry ne faisait plus preuve d'aucun discernement ni d'aucun sens critique dès qu'il s'agissait de sa « star ». Elle était d'accord sur le fait que Draco était excellent, il n'y avait rien à dire sur ce point. Elle s'était d'ailleurs excusée de l'avoir en premier lieu jugé sur son apparence. Il l'avait regardée avec reconnaissance, mais elle avait pu voir au fond de ses yeux une immense tristesse. Et c'est là qu'elle avait su, qu'elle avait su qu'il était tombé dans le même piège qu'elle, qu'il avait succombé lui aussi à Harry et qu'il souffrait énormément du comportement que ce dernier avait envers lui. Ils avaient parlé ensemble de cette situation, elle avait même tenté d'en discuter avec le brun, mais il ne l'avait même pas écoutée. Il semblait complètement déconnecté de la réalité, comme perdu dans un rêve, voyant très certainement l'image d'un Draco imaginaire en boucle dans sa tête, tandis que le vrai Draco dépérissait lentement mais sûrement.
Draco se regarda dans le miroir de sa loge. Son maquilleur, Severus (nda : fallait bien que je le place quelque part! lol), faisait vraiment des merveilles, ses hideux cernes noirs n'étaient même plus visibles. Oui, caché derrière une couche abondante de fond de teint, il avait l'air normal, pour qui ne croisait pas son regard…
Il inspira profondément. Aujourd'hui, la fameuse scène de nu devait être tournée. Il imaginait déjà les yeux de Harry parcourant son corps avec avidité, ces yeux qui semblaient chaque jour lui crier : « Oh ma beauté, ma merveille ! Si tu savais comme je t'aime ! » Au début, Draco avait pris ça pour une marque d'affection véritable, du moins s'était-il évertué à le croire, mais il avait rapidement déchanté. Harry vénérait son apparence, il ne chercherait jamais plus loin. C'était là sa vision de l'amour, et ça, Draco ne le supportait plus.
La seule qui était parvenue à le comprendre, c'était Ginny. Elle avait vécu la même chose que lui, elle savait. Pourtant, il avait gâché leur amitié naissante. En effet, trois semaines après le début du tournage, ils avaient essayé d'oublier Harry dans les bras l'un de l'autre, juste une manière de se réconforter, une aventure sans lendemain. Dieu seul sait comment, Harry avait été mis au courant. Il était entré dans une colère noire, lançant des objets à la tête de la jeune fille, la traitant de pute, fou de jalousie. Il l'avait ensuite jetée dehors, sous les regards éberlués des membres de l'équipe et lui avait dit de ne jamais revenir. Ginny avait obéit, Draco ne l'avait plus revue depuis. Il ne pouvait même pas partir à sa recherche, Harry le surveillait à chaque instant, même la nuit, vu qu'il lui avait presque ordonné de venir habiter chez lui, dans son immense villa à l'extérieur de la ville, où il était enfermé quand le brun devait s'absenter. Prisonnier des ces murs dorés, prisonnier de son amour, prisonnier de son propre corps.
Draco ne pleura pas. Son maquillage ne devait en aucun cas couler. Le jeune homme entendit quelqu'un l'appeler au dehors. Il rassembla alors le semblant de dignité qui lui restait, se déshabilla lentement, enfila son peignoir et attacha la ceinture autour de sa trop fine taille. Puis, il sortit et rejoignit le plateau.
Harry trépignait d'impatience. Il allait enfin le revoir entier, dans toute sa splendeur ! Son corps si parfait ! Et dire que cette sale garce avait osé le toucher ! Cette petite traînée méritait sa place en Enfer, pour avoir souillé un ange ! Lui-même ne pourrait jamais ne serait-ce que l'effleurer, il était bien trop précieux, et il ne s'en sentait pas digne. Elle avait même été jusqu'à lui dire que sa merveille était malheureuse à cause de lui ! Non, Draco était heureux, très heureux ! Il faisait tout pour qu'il le soit, alors comment pouvait-il ne pas l'être ?
IL apparut. Le sourire de Harry s'agrandit, un sourire dément. C'était l'heure, et plus rien ne comptait.
IL se plaça docilement au centre du décor, et enleva cet encombrant vêtement, attendant des directives qui ne vinrent pas.
Harry ne pouvait détacher ses yeux de Lui. Il dut s'asseoir pour ne pas tomber. Toutes les personnes présentes le toisèrent avec un mélange de peur et de dégoût, mais il ne les vit pas, pas plus qu'il ne remarqua le regard paniqué de Draco, qui quémandait une aide que personne ne semblait disposé à lui offrir. Cependant, il s'aperçut tout de même que sa splendeur tremblait et crut qu'elle avait froid.
- Draco, place-toi dans le lit… Je veux que tous les autres sortent, immédiatement !
Il voulait être seul, ne partager ce moment qu'avec Lui. Les importuns sortirent donc et IL se glissa rapidement entre les draps. Un peu trop rapidement aux yeux de Harry, qui aurait aimé profiter de cette vision plus longtemps. Il se rappela soudain qu'il était là pour une raison bien précise, et il s'installa derrière la caméra.
- Attention, tu es prêt ? Action !
La scène en question était muette, Draco devait donc faire passer toutes ses émotions à travers ses gestes. Il commença par s'étirer lentement, puis s'assit sur le lit, tournant le dos à l'objectif.
Harry n'en perdit pas une miette. Il suivit amoureusement chacune des Ses courbes - ceux qui virent par la suite le film s'accordèrent d'ailleurs tous pour dire que cette scène était d'une sensualité étonnante, alternant plans d'ensemble et gros plans, s'arrêtant souvent sur une partie quelconque de Son corps. « Non, pensa-t-il, non, rien n'est quelconque chez lui, tout est spécial, c'est ça qui le rend différent des autres… Mais quels autres ? Qui pourrait-on comparer avec lui ? ».
Beaucoup plus tard, il reprit la parole.
- C'est bon, avoua-t-il à contrecœur, tu peux aller te rhabiller.
Le blond se leva et repartit en direction de sa loge. Harry était absolument sûr de l'avoir vu sourire à cet instant. Oui, Draco était heureux, vraiment heureux, grâce à lui…
Le film fut terminé.
Draco en avait assez, il fallait vraiment qu'il parle à quelqu'un. Il avait décidé de tout faire pour contacter Ginny, où qu'elle soit. Il commença donc par le plus simple et se mit à la recherche d'un annuaire. Il profita ensuite d'une absence de Harry, qui répugnait de plus en plus à le laisser seul, pour appeler le numéro indiqué au nom de Weasley(nda : bon, il n'y sûrement pas qu'une seule famille de Weasley à Londres, mais on va faire comme si, d'accord ?lol !).
- Oui ? répondit une voix féminine.
Oui, bonjour. Je suis bien au domicile de la famille Weasley ?
C'est exact. Que puis-je faire pour vous ?
- Je… je suis un ami de Ginny. Pourrais-je lui parler s'il vous plaît ?
La femme eut un hoquet, et étouffa un sanglot.
- Madame ?
Il entendit des cris à l'autre bout du fil.
- Que…
- Veuillez excuser ma mère, reprit soudain une voix d'homme, elle est un peu retournée c'est tout.
- Je ne comprends pas…
- Vous n'êtes donc pas au courant ? Vous venez de dire que vous la connaissiez pourtant.
- Quoi ? C'est Ginny ? Que s'est-il passé ? Et qui êtes-vous ?
- Je suis Percy, son grand frère. Je me vois désolée de vous apprendre que ma sœur s'est suicidée hier matin. Elle a même laissé une lettre, dans laquelle elle expliquait qu'elle ne supportait plus sa vie, ni ce Harry Potter qui l'ignorait totalement. Vous savez, je lui avais toujours conseillé de le laisser tomber, de s'éloigner de lui, mais elle ne m'a pas écouté, que voulez-vous. Mon avis est que nous devrions tous écouter les conseils de nos aînés. Qu'en dites-vous ?
Mais Draco avait depuis longtemps lâché le téléphone et s'était laissé glisser contre le mur de marbre froid de la cuisine. Ginny ? Pourquoi Ginny ? S'il y avait bien quelqu'un au monde qui méritait de vivre, c'était Ginny, sa petite Ginny, sa gentille Ginny, sa jolie Ginny. Non, elle ne pouvait pas être morte, ça n'était pas possible. Elle devait en ce moment se promener dans un parc en compagnie de son nouveau fiancé, duquel elle attendait probablement son premier enfant…
Elle était morte. Aujourd'hui, il avait vu l'avis de décès dans le journal, partie pour toujours. Elle était morte.
Aujourd'hui, il avait vingt-cinq ans.
Harry transpirait la joie. Aujourd'hui, il avait vu dans une gazette quelconque que la putain avait quitté ce monde, pour rejoindre l'enfer auquel elle était destinée. Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de son ange, et il avait trouvé le cadeau idéal. Il avait eu du mal à dénicher quelque chose à sa hauteur : un voyage au Caraïbes aurait abîmé sa peau délicate, même une rivière de diamants paraissait pâlotte en comparaison de ses yeux flamboyants, même le plus magnifique des couchers de soleil n'aurait pas pu se mesurer à sa beauté. Il s'était creusé la tête durant des semaines, et avait finit par écrire des pages et des pages en son honneur, honorant chacun de ses traits. Harry était convaincu qu'IL adorerait ça, en redemanderait encore, et le brun savait qu'il continuerait, des heures, des jours, des mois, des siècles, si ça pouvait lui faire plaisir. Tout pour lui faire plaisir. S'il avait su…
Draco monta les escaliers et se dirigea vers la salle de bain. Il se regarda dans la glace. Il se regarda dans les yeux et ne vit rien dans ceux de son reflet. Pas une once de vie, rien. Il prit peur et se cogna contre l'armoire en reculant. Il tomba sur le tapis et sentit quelque chose de chaud couler le long de sa tempe. Il avait mal, si mal. Et il aperçut, posée sur la radiateur, la boîte de somnifères de Harry. Dans un moment de délire, il distingua Ginny qui lui montrait du doigt en souriant. Elle remua silencieusement les lèvres pourtant Draco comprit, il comprit qu'elle avait enfin trouvé la paix, et qu'elle l'invitait à partager son bonheur. Dans un dernier effort, il tendit le bras pour attraper la clé de sa délivrance, prit la totalité des pilules dans sa main et, après un court moment d'hésitation, il les avala d'un seul coup. Ginny disparut, mais Draco ne se sentit pas triste. Il allait bientôt la rejoindre, il se sentait partir, il se sentait libre, pour la première fois de sa vie. La liberté dans la mort ? Draco sourit.
- Adieu mon amour. J'arrive petite sœur…
Harry ouvrit la porte de la maison et hurla :
- Draco ! Je suis rentré ! Descends, j'ai une surprise pour toi !
N'obtenant pas de réponse, il monta à l'étage. Il fouilla dans les chambres, puis dans la bibliothèque, pas de trace de sa merveille. Il toqua à la porte de la salle de bain.
- Draco tu prends ta douche ? Je peux entrer ?
Il prit le silence comme une réponse positive et pénétra dans la pièce. Il en sortit presque aussitôt, redescendit l'air de rien au salon, et s'assit sur le canapé. Quelques minutes plus tard, il releva la tête et sourit.
- Oh, Draco, tu étais parti faire les courses, dit-il. Désolé, je ne t'avais entendu revenir. Bon anniversaire mon ange ! J'espère que tu aimeras ton cadeau…
THE END
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ToC se demandant comment elle a pu écrire un truc pareil… Je me fous les jetons parfois vraiment ! Je me suis fait pleurer toute seule…Enfin, je vous avais prévenu…
