Titre : L'amour à sens unique

Genre : romance/ drama/ action

Pairing : Sevy/Harry

Ratting : G (je pense)

Disclimers : Ils ne sont pas à moi :( seulement l'histoire...

Résumé : Ils sont amoureux, ils sont seuls... Cela va-til durer?

Avertissement : C'est un slash (relation entre personne de même sexe, ici deux hommes) et un lemon (pas tt de suite mais y'en a plusieurs).

Note : Si ça vous deplait, je ne vous retiens pas. Je ne l'ai pas dit au premier chapitre, mais Sev est un peu (bcp?) OOC. Voilà qui est rectifié.

Note2 : Je n'ai pas Word sur mon ordi, et ça pose problème pour poster sur Du coup, je suis obligée de ruser quelque peu, mais toute la mise en page s'en trouve modifiée. Pour le premier chapitre, y'avait pas trop de dialogue donc ça ne genait pas. Là, y'en a quand même bcp plus. Donc je vais essayer de faire différement. J'espere que ça va marcher lol.

Les RAR sont à la fin.

Bonne lecture


POV Harry.

Un timide rayon de soleil filtre au travers des nuages et des tentures de la fenêtre pour venir me chatouiller canaillement le bout du nez. Au moment où mes yeux s'ouvrent paresseusement, un troupeau de centaures emballés rentre par une oreille, fait trois fois le tour de ma tête et ressort par l'autre oreille. Je referme les yeux très vite en me demandant ce que j'ai bien pu faire la veille. Alors qu'un gros doute survient dans mon esprit, je tente une nouvelle fois, mais de manière bien plus précipitée, d'ouvrir les yeux. Le même troupeau - ou un autre qu'en sais-je ? - me traverse encore le crâne. Mais rassemblant tout mon courage gryffondorien, je les maintiens dans cette position jusqu'à ce qu'ils s'adaptent à la violence et l'agression de la lumière - non, je n'exagère pas, la lumière est vraiment très vilaine quand elle veut. Je peux alors voir deux prunelles plus noires que la nuit qui me regardent avec un amusement que leur propriétaire ne cherche même pas à dissimuler.

J'aimerais vraiment te laisser dans cet état toute la journée pour t'apprendre à boire comme un trou, seulement j'ai un cœur - et oui, qui l'eut cru - et par conséquent je vais te donner un peu de cette potion « anti-gueule-de-bois » de mon cru.

Alors ce n'était pas un rêve. J'ai bien passé la nuit avec mon professeur de potion honni. C'est à peine si j'ose y croire. Je le fixe - certainement avec un air un peu ahuris… qui a dit abrutis ? - sans rien dire.

"- Ça va Harry ?"

"- Euh…"

C'est très bien ça Harry, tu fais des progrès de vocabulaire.

"- Ok, bois ça, je crois que notre conversation n'en sera que meilleure."

Il me tend un verre plein d'un liquide d'une étrange couleur. Sans chercher à en savoir d'avantage, je l'avale d'une traite. Je grimace, ce goût est infâme, mais je n'en dis pas plus, ayant l'habitude des potions au goût exécrable que j'ai eu à boire après mais très -trop ? - nombreuses aventures. Mes yeux se ferment quelques instants, et quand ils se rouvrent, le troupeau de centaures a disparu… Miracle.

"- Ça va mieux ?"

"- Oui, merci beaucoup Sev. Je …"

"- … Suis surpris de me réveiller dans ton lit ? Regrette de t'avoir avouer toutes ces choses hier ? Voudrais qu'on oublie cette histoire ?"

"- … T'aime…"

Il se jette dans mes bras avec passion et amour et m'embrasse avec douceur.

"- Qu'est-ce qui va se passer maintenant ?" Me demande-t-il.

"- Que veux-tu dire ?"

"- Je veux dire, est-ce qu'on va parler de notre relation au monde ou est-ce qu'on va se cacher ? J'y ai pensé une bonne partie de la nuit…"

"- Tout dépendra de toi, mais en ce qui me concerne, je n'ai aucune envie de me cacher. Je dirais même que j'ai plutôt envie de crier au monde que je suis enfin heureux."

"- Et bien, selon moi Harry, nous n'avons pas intérêt à crier quoi que ce soit au monde. Je suis Mangemort - espion peut-être mais Mangemort quand même - et je doute que notre ami Tom soit content d'apprendre cette merveilleuse nouvelle…"

"- Alors, tu veux qu'on se cache…"

"- Non, je veux qu'on réfléchisse bien aux personnes à qui on va en parler. À qui penses-tu ?"

"- Dumbledore, MacGonnagall, Hermione, la famille Weasley, Neville, Seamus et Dean… Ah, et puis Drago bien sûr."

"- Rien que ça ? T'as confiance (une confiance aveugle) en toutes ces personnes ?"

"- Oui, une confiance aveugle. "

"- Bon, si tu le dis…"

"- Oui, et toi ?"

"- Je n'ai personne à rajouter…. Rappelle-toi, pas de famille, pas d'ami…"

Je l'enlace et l'embrasse avec douceur.

"- Maintenant, tu en as. Oh ! J'oubliais Remus !"

"- Lupin ?" - grimace-

"- Je t'en prie Sev, je le considère comme le dernier membre de ma famille… Il est tout ce qui me rattache à elle. La dernière trace du passé de mes parents, je l'aime beaucoup."

"- Je comprends. Pour les personnes qui ne font pas partie de cette liste, il faudra faire comme avant. Remarques cinglantes de ma part…."

"- Désinvolture de la mienne…" dis-je avec un sourire.

"- Si on allait déjeuner. J'ai une faim de… loup…"

"- Ah, ah, très drôle. Allons-y." (NdA : en me relisant, je me suis dit que mon allusion n'était peut-être pas vraiment claire lol. Bien sur, le loup fait allusion à Remus.:p)

"- Vas-y d'abord. On se rejoint là-haut… A tout à l'heure…"

"- A tout à l'heure."

"- Attends ! Tu vas quand même pas partir sans me dire au revoir…"

POV Severus.

"- Attends ! Tu vas quand même pas partir sans me dire au revoir…"

Il se retourne instantanément et se jette dans mes bras pour m'embrasser avec toute la passion dont il est capable. Puis, comme si de rien n'était - comme s'il ne venait pas d'enflammer mes sens - il se retire joyeusement de mes appartements.

Je reste quelques minutes debout au milieux de la chambre, la main caressant mes lèvres, le regard hagard et le pensée tournée vers l'homme le plus sexy du monde…

Puis je me décide à rejoindre la grande salle, toujours affublée de cette même table que la veille, avec toujours les mêmes personnes autour de cette même table. À peine cinq minutes plus tard, je suis assis à la seule place restante entre Dumbledore et le Serdaigle de première année, essayant de ne pas trop diriger mes regards affamés vers mon - futur - amant assit juste en face de moi. Je sens aussi de temps en temps son regard brûlant se poser sur moi. Mais ça ne dure jamais assez longtemps pour que nos yeux se croisent. Albus, me demande si j'ai passé une bonne fin de soirée avec un sourire amusé. Je lui réponds calmement que oui et que j'aurai justement besoin de le voir à ce sujet.

"- Oh, mais je sais ce que vous allez me dire mon chez Severus… Rappelez-vous que rien de ce qui se passe dans ce château ne m'est étranger…"

"- J'oubliais que vous savez toujours tout… Ça en devient lassant croyez-moi…"

"- Oh ! Vous vouliez juste me raconter vos petits secrets d'amour ? Et vous êtes déçu que je sache déjà tout ? C'est vraiment trop mignon…"

Mes joues s'empourprent. Je jette un coup d'œil circulaire à la table pour m'assurer qu'aucune oreille indiscrète ne traînait dans le coin. Moi, parler de mes « petits secrets d'amour » avec Albus Dumbledore… Ben voyons… pourquoi pas courir tout nu dans le parc…

"- Très drôle Albus, vraiment…"

"- N'est-ce pas ? Le rouge aux joues vous va très bien mon ami…"

Trop c'est trop ! Après un regard courroucé, je me lève et m'écarte de la table pour quitter cette salle. Après une ou deux secondes d'hésitation, je me rapproche de Albus pour lui chuchoter :

"- Quand vous sortirez de la salle, pourrez-vous demander à Harry de me rejoindre, s'il vous plait… Monsieur le Directeur."

Il me fait un clin d'œil approbateur et j'essaie de m'éloigner de cette table maudite le plus dignement possible. Je traverse la salle jusqu'à la porte. Les yeux de chaque personnes présentes sont tournés vers moi, mais je les ignore royalement alors que j'entends juste avant de sortir :

"- Tu l'as vu ? On pourra dire aux autres qu'ils ont loupé Rogue avec les joues en feu… J'aimerais bien savoir ce que lui a dit le directeur…"

Je me retiens de justesse de leur lancer le sort d'oubliette et quitte la salle avec soulagement. Je n'ai avaler qu'un café bien noir, mais cela m'importe peu. Tout ce que je veux c'est quitter cette salle où j'ai l'impression que tout le monde peu lire en moi comme dans un livre ouvert… Et par conséquent savoir que j'ai passé ma nuit lové dans les bras réconfortants de Harry. J'ai à peine atteint la porte de chez moi, qu'une main douce se glisse sur mon avant bras gauche. J'attrape cette main et la dirige vers mon salon. Son propriétaire et moi nous asseyons dans le sofa et il se penche doucement vers moi pour me voler un baiser.

"- Qu'est-ce qu'il t'arrive, mon amour ?" Me demande-t-il.

"- Rien, seulement Albus a tenté de me mettre mal à l'aise."

"- « Tenté » ? Je crois plutôt qu'il a réussi ! De mémoire d'étudiant, personne n'a jamais vu Severus Rogue rougir…"

"- Mais, je… (soupir). Ça se voyait tant que ça ?"

"- Plus rouge tu meurs…"

C'est décidé, pour aujourd'hui, c'est le mode mur, à savoir boudage et ignorage en puissance… Devant ma moue impassible, Harry ne se démonte pas. Il se cale simplement dans mes bras et décide de laisser ses doigts s'amuser un peu avec les miens. Lorsqu'ils se lassent de leur condisciples, ils commencent à s'égarer un peu plus haut, au niveau du poignet. Puis, continuant leur pèlerinage, ils déboutonnent les boutons des manches de ma robes et remontent le long de mon avant bras droit. Au moment où je pense à l'en empêcher, il la remarque. Cette marque immonde qui me souille le bras depuis tant d'années.

Il lève deux yeux d'émeraude vers moi et me demande :

"- Je peux toucher ?"

Je baisse les yeux en signe d'assentiment, et ses doigts agiles se mettent en mouvement sur cette marque déshonorante. Un frisson me parcourt le corps. Comment cette chose peut-elle être parfois tellement douloureuse, et en ce moment même terriblement délicieuse ? Il trace les contours de la preuve de mon seul regret sur cette terre et je sens s'éveiller en moi des sensations merveilleuses.

"- Harry…"

POV Harry.

Cette marque… La Marque des Ténèbres, la marque de mon seul ennemi… Elle me fascine sur ce bras blanc. Mes doigts se promènent sur elle, la possède, la font leur. Je sens Sev frissonner de plaisir. Ce contact lui donne donc aussi chaud qu'à moi… ?

"- Harry…"

Oui, c'est bien l'impression que j'ai. À l'entente de ce murmure, je ne peux m'empêcher de goûter à cette chaire tentatrice. Au contact de mes lèvres, un frisson parcourt le bras de mon amour. Il soupire de plaisir, et je me retourne vers lui avec un grand sourire en disant :

"- Alors on ne fait plus la tête Monsieur-Je-Ne-Supporte-Pas-Qu'on-Se-Moque-De-Moi ?"

"- Abruti, me dit-il en capturant mes lèvres."

Nous restons un moment silencieux dans les bras l'un de l'autre puis Sev me demande :

"- Harry, je ne comprends pas d'où te vient ce complexe sur ton corps."

Cette question m'arrive dans la figure comme un Cognard que je n'aurais pas vu arrivé. Je fais quoi ? Je lui réponds ? De toutes façons, à quoi ça servirait de mentir ?

"- Ce n'est pas tellement un complexe sur mon corps en fait… Je ne sais pas trop comment t'expliquer, c'est difficile et délicat."

Je ne vais jamais pouvoir lui expliquer ça…

"- Essaye au moins."

Je perçois une touche d'angoisse dans sa voix. Il s'inquiète pour moi. Alors, toujours dans la même position (mon dos contre son torse, les jambes allongées sur le canapé) je lui avoue ma honte et mes peurs.

"- Si tu veux tout savoir, j'ai été abusé durant ma jeunesse…"

"- Abusé ? Comment ça abusé ?"

"- Mon oncle, il… il me faisait des choses…

"- Tu veux dire qu'il te… violait ?"

Sa voix est pleine d'une fureur sourde qu'il essaie de contenir tant bien que mal.

"- Oui, ça lui est arrivé, quelques fois. Mais pas tant que ça quand on y pense."

"- Mais même si ce n'est qu'une seule fois c'est…"

"- Sev, je t'en prie, ne crie pas. C'est assez dur déjà. Je sais, c'était horrible. Ça lui est arrivé deux fois avant ma première rentrée à Poudlard. À chaque fois, c'était quand il y avait eu un problème à son entreprise et qu'il avait bu pour oublier. Alors il rentrait complètement bourré. Le plus souvent, il rentrait dans ma chambre et il se contentait d'un ou deux coups pour se défouler. Mais ces deux fois là il m'a attrapé, jeté par terre et pris comme ça, comme je te le dis. Et il a recommencé deux fois depuis ma première rentrée à Poudlard. En fait c'était les vacances où il a appris que je n'avais pas le droit d'utiliser la magie en dehors de l'école. Puis, il a arrêter, même de me battre, quand il a appris que Sirius Black était mon parrain. Je me suis bien gardé de lui dire qu'il est mort deux ans plus tard. Et de toutes façons, maintenant, j'ai le droit d'utiliser la magie, donc le problème ne se pose plus."

"- Je ne peux pas croire que Dumbledore t'ai laissé chez ces gens…"

"- Il n'en avait pas vraiment le choix, et de toutes façons, je ne lui ai jamais parlé de ces « choses ». Je n'en ai jamais parlé à qui que ce soit. J'avais… honte. Et depuis, j'ai toujours catégoriquement décliné les avances de toutes personnes. Par peur et par honte. Je me sentais sale et indigne de quiconque. Je me suis toujours demandé comment en ayant été abusé de la sorte, j'ai quand-même pu devenir gay… Toujours est-il que personne d'autre ne m'a touché depuis ce jour. Voilà pourquoi…"

"- Je comprends. Ou au moins j'imagine. Mais ne t'inquiète pas, je ne te forcerai jamais à rien, je… Je t'aime.

Je me redresse et me retourne dans ses bras pour emmener mon visage à la hauteur du sien et je lui murmure :

"- Je sais, je n'ai pas peur de toi, j'ai confiance en toi. Je t'aime."

Et je l'embrasse avec une fougue dont je ne me serais jamais cru capable. Je laisse mes doigts se promener dans ses cheveux. Je me suis assis à califourchon sur ses genoux et ses mains se posent timidement sur mes hanches qu'elles caressent avec douceur. Notre baiser se fait plus tendre et passionné alors que mes mains se font plus curieuses. Elles descendent le long de sa nuque, puis de ses épaules et de ses bras. Mon amour frissonne de plaisir et enfonce doucement ses doigts dans mes hanches. Mes lèvres quittent les siennes pour aller explorer son cou nacré. Je suis vite gêné dans ma découverte par le haut col de sa robe. Je déboutonne donc cette barrière et continue ma descente. Je marque son cou comme mien et m'apprête à aller encore plus bas quand deux bras m'écartent. Je regarde mon amant avec étonnement :

"- Que se passe-t-il Sev ?"

"- Tu viens de me dire que…"

POV Severus.

"- Tu viens de me dire que…"

"- Je t'ai parlé au passé Sev." Me coupe-t-il. "Même si je ressens toujours une certaine peur, je sais que tu m'aimes. Et d'une voix terriblement sensuelle il ajoute : Et j'ai très, très envie de toi… Maintenant."

À ces paroles, je frissonne. Le ton de sa voix n'a plus rien de timide et il repart à la découverte de mon cou. Les sensations sont exquises mais je me force tout de même à l'arrêter encore une fois. Alors qu'il s'apprête à protester, je le force à me regarder dans les yeux et lui dis :

"- Si à n'importe quel moment tu veux qu'on arrête, n'hésite pas un seul instant à me le dire. Je te jure que je cesserai tout instantanément. Même si c'est un moment crucial (d'autant plus si c'est un moment crucial), si tu as peur ou si tu ne veux pas aller plus loin, dis le moi. Promets moi s'il te plait."

"- Je te le promets. Merci."

Et il replonge dans mon cou tandis que la volupté du moment s'empare de moi. Ses doigts fins, s'attaquent de plus en plus aux boutons de ma robe. Il fini par se redresser complètement pour la déboutonner entièrement. Il la retire rapidement, et fait suivre mon pull de laine noire. Il tombe alors nez à nez avec ma chemise de satin noire qu'il enlève délicatement et sensuellement de ma peau frissonnante. Une fois satisfait de ma tenue, ses lèvres se mettent à parcourir mon torse, léchant ou suçant chaque centimètre de ma peau. Il capture entre ses lèvres amoureuses l'un de mes tétons qui se durci au contact. Je laisse échapper un énième soupir de plaisir et ses doigts se font encore un peu plus avenants. Timidement, l'un des ses index se pose sur le renflement qui déforme le haut de mon pantalon. C'est le moment que je choisis pour renverser la situation, et le dévêtir à son tour. Je ne veux pas le brusquer, mais j'ai besoin de toucher sa peau également. Et je ne veux pas qu'il se sente obligé d'approfondir ses caresses. Je veux lui donner le temps de réfléchir en quelque sorte. Je commence, tout comme il l'a fait, par défaire les boutons de sa robe. En dessous, il porte un t-shirt moulant ni trop, ni trop peu. Après avoir consulté son visage et constaté qu'il avait les yeux fermés et la bouche entrouverte, je lui ôte ce bout de tissus encombrant. Toujours assis à califourchon sur moi, ses yeux se rouvrent et me regardent avec intensité et une certaine lueur de lubricité. Je laisse courir mes doigts sur son corps marqué à certains endroits par des cicatrices probablement provoquées par les nombreux coups qu'il a reçu. Puis je me redresse quelque peu pour le toucher de mes lèvres. Il laisse alors échapper un gémissement de plaisir qui m'expédie directement aux portes de l'extase. Merlin, il ne devrait être permis à personne d'être si sensuel. Ses mains reprennent le balai qu'elles ont commencer il y a quelques minutes et reviennent une nouvelle fois se perdre vers mon bas-ventre. Lorsqu'il pose l'une de ses paumes sur mon érection naissante, je pousse un gémissement plus profond que les autres. Je rouvre les yeux et le trouve son visage tout près du mien, un grand sourire au lèvres.

"- Tu es content de toi ?" Je lui demande d'un ton faussement brusque.

"- Oui, on peut le dire", me souffle-t-il dans le creux de l'oreille. "Si on allait dans un endroit disons plus… approprié."

"- Bonne idée…"

Il se lève de mes jambes, m'attrape la main et me dirige vers ma chambre. D'un coup de baguette - qu'il a récupérée je ne sais où - il allume des dizaines de bougies, ravive le feu mourant dans le foyer, et fait apparaître une bouteille d'huile de massage. Il me pousse doucement sur le lit, et m'ordonne de me mettre sur le ventre. Il s'installe à cheval sur moi, assis sur mes fesses, et je le devine en train de faire couler un peu d'huile sur ses mains. Il les frotte l'une contre l'autre pour les chauffer, et les pose sur mon dos tendu. Il commence à me masser délicatement avec une douceur et un savoir-faire incroyable. Je me détends très vite, et au bout de quelques minutes, je n'ai plus qu'une envie : dormir. Alors que je me sens partir pour le pays des songes, il utilise une nouvelle méthode de massage qui bien loin de m'endormir commence à m'échauffer dangereusement. Comment sait-il faire tout ça ?

"- Harry…"

"- Oui, mon amour ?" Me répond-il d'une voix chaude.

"- Qui t'a appris à faire ça ?"

A suivre!


NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN ne tuez pas l'auteuze (cad moi :p). je sais que ce chapitre est vraiment plus court mais je voulais laisser le suspens... Si vous me lancez des tomates pourries, vous n'aurez pas le chapitre qui suit. Et le chapitre qui suit, devinez quoi? C'est un... un quoi? mais oui, un LEMON :p Et il est plus long :D


Crackos : oohh il sont trop gnons tous les deux ! hihi tu trouves, c'est cool :D
j'adore !
la suite ! j'espere qu'elle t'a plus comme ça. Bisous :)

Sefadora Firewood : Non pas du tout mais je veux la suite TT... Et bien, j'espere qu'elle t'a plu également :)
Snif continu! Vi, mais de toutes façons, elle est finie déjà lol.

Jenni944 : nan c'etait parfais, ils sont trop kawai Parfait, je ne sais pas, mais ça me fait plaisir en tout cas :) Merci bcp.

Sahada : Interressabt mais je ne suis pas encore acro... J'espere que ce chapitre t'auras convaincue.

Sahada

préviens moi par mail qd tu publiera la suite stp Voilà qui est fait.

Nardy : C'est tout Mimi... Mici -

j'adore, et j'aime bien la réaction de Sexy Potion Master... Et celle de notre héros du monde sorcier... Double :) :p Donc, oui, j'aime encore et toujours et j'espère que tu auras plein de rev, pour avoir la suite rapidement... Gros bisous J'ai pas eut toutes les reviews que je souhaitais, mais comme vous avez été très gentille, je vous poste la suite quand mm :) Bisous

Sandy


Voilà. j'espere que la suite vous a plu. Si c'est le cas, laissez moi une review, et si vous n'aimez pas, aussi... lol. Sinon, j'ai écrit plusieurs One Shots et debut de Fics (slash, cela va sans dire lol) de différents pairing (Sev/Harry, Drago/Sev, Harry/Drago...). Dites moi si vous seriez interessées :).

Gros bisous :)

Tatu