Titre : L'amour à sens unique
Genre : romance/ drama/ action
Pairing : Sevy/Harry
Ratting : R (je pense)
Disclimers : Ils ne sont pas à moi :( seulement l'histoire...
Résumé : Ils sont amoureux, ils sont seuls... Cela va-til durer?
Avertissement : C'est un slash (relation entre personne de même sexe, ici deux hommes) et un lemon (pas tt de suite mais y'en a plusieurs).
Les RAR sont à la fin, comme d'habitude :)
POV Harry.
"Ava… Da Ke… davra !"
"NON !"
Je me précipite en avant et d'un geste je renverse les deux Serpentards qui ont sauvé ma vie un nombre incalculable de fois. Le rayon rouge passe au dessus de nos têtes et un cri de rage retenti. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me suis à nouveau sur mes pieds et je regarde d'un air de défi l'horrible serpent qui me fait face.
"Tu n'auras pas ces deux là, tu peux me croire Tom !"
"Ne m'appelle Tom espèce de misérable petit salopard !"
"Je t'appelle comme il me chante ! Tu as tué assez de monde Tom, c'est terminé maintenant. Tu vas mourir ce soir sous les yeux de tes derniers Mangemorts encore debout et tu rejoindras l'enfer !"
"Petit présomptueux de Gryffondor !"
"Petit arriviste et paresseux de Serpentard ! C'est facile d'arriver après la bataille quand tout le monde est bien fatigué d'avoir combattu toute la journée. Tu croyais que ce serait plus facile ? Tu croyais que tu allais arriver la bouche en cœur - quelques sourires et « pouffements » amusés se font entendre non loin de moi - et me tuer d'un coup de baguette ? Tu croyais que j'allais te laisser tuer mon amour sans rien dire ?"
"Ton amour ?"
"Laisse tomber, connard. Tu ne sais même pas ce que ça veut dire."
"Puisque tu es si sûr de toi… dis moi comment tu vas me tuer ? Je suis immunisé contre les Sortilèges Impardonnables, aucune arme blanche ne peut m'atteindre, quant à ces armes qu'utilisent les Moldus… S'en est même risible que de penser qu'elles pourraient seulement avoir une quelconque incidence sur moi."
Alors qu'il débite ses paroles avec assurance, je me rends compte que je n'ai effectivement aucune idée de la manière dont je vais bien pouvoir me débarrasser de lui. C'est à la fin de son monologue que j'entends au loin le chant de Fumseck qui me rappelle ma deuxième année lorsqu'il est arrivé dans la Chambre des Secrets avec le Choipeau. Le Choipeau ? Mais oui ! L'épée de Godric Gryffondor, ce dont j'ai besoin pour l'envoyer croupir en enfer une bonne fois pour toutes ! Je fais appelle au peu de forces qu'il me reste et en pensant très fort à l'épée, je crie Accio sans quitter Voldemort des yeux et de la baguette. Il me regarde quelque peu surpris puis sourie.
"Je vois que tout est bon pour déstabiliser l'ennemi Bébé Potter. Seulement je ne vois pas ce que tu peux appeler par un Accio sans même tourner la tête ou la baguette vers ce que tu veux voir venir à toi."
"Tu m'agasses Tom."
"NE M'APPELLE PAS TOM !"
"Pardon, peut-être préfères-tu Jédusor, le nom de ton digne papa ?"
Il rugit de rage, je le sens bouillir, je sens sa fureur me courir dans les veines. Autour de moi j'entends des « il est fou », « il a perdu la tête », « pourquoi dit-il des choses comme ça », j'en passe et des meilleures. En fait, tout ce que je veux, c'est gagner un peu de temps pour que l'épée arrive à moi. Je ressens mon amour pas très loin de moi, je sais qu'il a peur, et qu'il redoute le moment où l'affrontement aura lieu. Je m'écarte doucement de lui et des autres, je ne veux plus d'autres blessés, plus d'autres morts, je veux en finir.
Voldemort lève sa baguette et lance un Avada Kedavra qui arrive directement dans un vieil arbre tri-centenaire qui explose à l'impact. De plus en plus fou de rage, il lance des dizaines d'Avada Kedavra que j'arrive à éviter à chaque fois de justesse. Puis du coin de l'œil, je vois arriver l'épée. Je fais un bond magistral dans les airs qui ferait pâlir les copines de Jeanne et Serge (NdA : oups encore une fois je fais de l'humour quand il ne faudrait pas, mais cette scène de bataille est très longue et… pfiou, c'est pas facile d'être sérieuse tout ce temps :p) et attrape l'arme au vol. Aussi rapide et agile qu'un lion, je fonce sur Voldemort et lui plante la lame au travers du corps.
N'en croyant pas ses yeux - ni ses nerfs - il me lance un regard surpris.
"Comment est-ce possible ?"
"Peut-être est-ce simplement parce que je suis Harry Potter…"
"Je ne vais pas mourir tout seul, tu vas venir avec moi…"
Il lève sa baguette dans un geste de dernier espoir, il a du mal à articuler maintenant, mais il tente tant bien que mal de faire sortir de ses lèvres un Avada Kedavra.
Je retire la lame de son abdomen et lui plante dans le cœur. Je suis couvert de sang. Le sien, le mien, celui de dizaines d'autres personnes mortes ici aujourd'hui. Il tombe à genoux devant moi. S'en est pitoyable. Le Grand Lord Voldemort baignant à genoux dans son sang devant Harry Potter. Il tient toujours sa baguette et essaie encore d'articuler un Avada Kedavra. Alors tant pour l'achever que pour en finir définitivement, le lui tranche la gorge de part en part et sa tête vient rouler lamentablement à mes pieds. Ça me dégoûte. Tout ce que j'ai vu, senti… fait me dégoûte. Je tombe également à genoux les deux mains posées devant moi en avant, et vomi. J'essaie de me redresser, mais je ne réussi qu'à tomber en arrière. Mais je ne m'écrase pas contre le sol. J'atterri dans deux bras chéris. Il est vivant et Voldemort est mort. Je peux me laisser aller…
POV Severus.
Mon amour est à quatre pattes par terre. Il vomi. Je m'approche de lui alors qu'il se redresse. Il tombe en arrière et je le rattrape avant qu'il ne s'effondre sur le sol. Je le prends dans mes bras et regarde autour de moi le spectacle cataclysmique qui s'offre à mes yeux. De nombreux corps jonchent le sol et les derniers Mangemorts encore sous le choc de la chute de leur Maître s'échappent rapidement. Nous nous occuperons d'eux plus tard…
Lupin s'approche de moi, l'air très inquiet :
"Qui lui arrive-t-il ?"
"Rien de grave je pense. Il est simplement épuisé."
Dumbledore s'approche également de notre petit groupe. Ses traits sont tirés. Il ressemble à un vieillard, commelorsqu'il est venu ce matin… C'est triste.
"Est-ce que ça va aller Severus ?"
"Oui Albus. Occupez-vous des blessés avec les autres survivants. Mettez les morts ensemble, les Mangemorts d'un côté, et nos amis de l'autre. Je vais aller prévenir Pompom et m'occuper de Harry. Drago, commence à rapatrier les blessés les plus lourds à l'infirmerie."
"Bien", me répondent la voix de Drago et Dumbledore.
Je m'éloigne rapidement vers le château en boitant légèrement. Je me dirige directement vers mes appartements. Je vais m'occuper personnellement de Harry. J'ai ce qu'il faut pour le soigner et de toute façons, Pompom aura bien assez à faire avec les autres. Je dépose Harry sur mon lit et, après m'être assuré qu'il peut se passer de moi quelques minutes, je m'absente pour aller mettre l'infirmière au courant. Je reviens ensuite prestement au chevet de mon amour et commence à le déshabiller et le laver. Je panse ensuite ses nombreuses plaies et lui donne une potion contre la fièvre qui vient de le saisir. Une fois rassuré sur son état, je le quitte encore quelques minutes pour aller moi même me doucher. Mes muscles se détendent peu à peu sous le jet bouillant de l'eau. Ma peau rougie de plus en plus à ce contact et je me décide enfin à sortir de là. Je soigne tant bien que mal ma jambe endolorie, et retourne à l'infirmerie pour aider Pompom avec les très - trop - nombreux blessés.
Je m'affaire avec elle une bonne partie de la nuit à sauver le plus de blessés possible. Plus tard, des Médicomages de Sainte Mangouste viennent prendre le relais, nous permettant ainsi d'aller nous reposer. Je retourne au près de mon amour et m'étends vêtu d'un boxer à ses côtés.
Cette journée a été la pire de toute ma vie. Non parce que l'Ordre a perdu de nombreux membres, non parce que nombre de mes élèves ou de mes collègues ont péris, non parce que j'ai manqué je ne sais combien de fois de mourir… Non ! Simplement parce que j'ai cru voir mourir le seul but de ma vie une foultitude de fois. Si Harry était mort aujourd'hui, je me serai moi même jeté aux pieds de Voldemort en lui avouant ma traîtrise… Je serai mort sous sa baguette et j'aurai rejoint l'homme de ma vie.
Tout à mes pensées, je m'endors le plus paisiblement possible.
Il fait jour. Je le vois au travers de mes paupières closes. À mes côtés, je ne sens aucune présence chaude et réconfortante. Où a bien pu passer Harry ? Péniblement j'ouvre les yeux pour les rabattre aussitôt, alors qu'un bienfaiteur ferme les lourds rideaux créant une pénombre bienvenue.
"Enfin réveillée ma petite marmotte ?" Pouffe une voix près du lit.
"Très drôle…" Ma voix se fait sarcastique.
"Moi aussi je t'aime," ricane la voix de mon petit ami. "Toujours aussi enclin à la taquinerie à ce que je vois. Allez, ouvre les yeux…"
Je m'exécute comme un brave toutou obéissant et tombe nez à nez avec mon Harry, un plateau d'argent dans les mains.
"Petit déjeuné au lit ?"
Un sourire se dessine sur mes lèvres.
"Tu es un amour."
"Je sais", me répond-il, mort de rire.
"Quelle modestie !"
"N'est-ce pas ?"
Il me tire la langue et dépose le plateau sur le lit.
"Allez, redresse-toi un peu. Comment veux-tu manger sinon ?"
Je me redresse docilement et jette un coup d'œil à mon petit déjeuner. Il ne s'est pas moqué de moi : bacon, œufs brouillés, crêpes, toasts, pain perdu, croissants, petits pains au chocolat, café, thé, chocolat, jus d'orange, lait, gâteaux et biscuits en tout genre, confitures diverses et variées et au milieux de tout ce fouillis - qui ne tient certainement sur ce plateau que grâce à la magie - un vase d'argent avec une rose rouge magnifique. Il me regarde rougissant et m'explique :
"Je ne savais pas ce que tu manges au petit déjeuner, alors j'ai pris un peu de tout. J'espère que ça te va…"
"Je t'aime Harry."
"Je t'aime", répond-il encore plus rouge avec un sourire radieux.
"En fait, je me contenterai d'un café et d'un ou deux toasts. Pis en fait, maintenant que j'y pense, je meurs de faim… Quelle heure est-il ?"
"Il est 10 heures."
"Ce n'est pas possible, ça ne peut pas faire seulement 3 heures que je dors…"
"Effectivement, tu peux en rajouter 24 de plus."
"Qu… ?"
"Mange !"
"Ok, je crois que je vais manger un peu de tout finalement. Ce pain perdu a l'air délicieux. Donne moi un peu de café. Non, donne moi plutôt du thé. Oh et puis à près tout je peux prendre d'abord une tasse de thé et ensuite une de café, et puis je prendrais bien un peu de…"
POV Harry.
"Ok, je crois que je vais manger un peu de tout finalement. Ce pain perdu a l'air délicieux. Donne moi un peu de café. Non, donne moi plutôt du thé. Oh et puis à près tout je peux prendre d'abord une tasse de thé et ensuite une de café, et puis je prendrais bien un peu de…"
Alors qu'il s'affaire avec son petit déjeuner, je le regarde, un sourire attendri au coin des lèvres. Quand il est comme ça, on croirait voir un petit garçon de 10 ans. Il est adorable. Je l'aime. Une vague d'amour incontrôlable monte en moi et je ressens le besoin impétueux de le prendre dans mes bras et de le serrer très fort. Mais ne voulant pas le déranger pendant qu'il dévore son plateau (NdA : au sens figuré bien sur… :p la première qui râle pour humour à chier sera punie et je supprimerai le lemon qui risque d'arriver… :p), je me retiens de le faire. Je continue de l'observer se sustenter et il ne semble même pas s'en apercevoir.
Une fois enfin repu, il se rend compte de ma présence et me demande :
"Pourquoi tu souris comme ça ?"
"Parce que tu es mignon."
Il rougit et proteste comme quoi le professeur de potion froid et intransigeant qu'il est ne peut pas être mignon, mais la rougeur de ses joues donne à ses paroles un crédit moindre.
"Je t'aime."
"Je t'aime."
Je ressens soudain le besoin de lui faire l'amour. Tout de suite. D'un coup de baguette, je fais léviter le plateau jusqu'à un endroit sûr, et me précipite sur mon petit ami. Il me regarde avec surprise, mais ses yeux se parent soudain d'une lueur lubrique lorsqu'il comprend enfin mes intentions.
Je le repousse doucement contre le matelas et le félicite intérieurement de dormir en boxer, c'est tellement plus pratique que les pyjamas… je l'embrasse avec passion et mes mains commencent à visiter la peau douce et satinée de mon amant. Il gémi doucement contre mes lèvres alors que je me décide à quitter les siennes. Ma bouche se promène dans son cou blanc, sur son torse, capture ses tétons, et descend toujours plus bas sur le ventre plat de mon amour. Ma main se pose sur la proéminence qui déforme son boxer et un gémissement se fait entendre plus haut. Je le caresse avec douceur avant de lui retirer ce bout de tissu inutile et encombrant. Je regarde avec envie le membre dressé devant moi et le caresse avec lenteur de mes doigts, comme s'il eut s'agit de la pierre la plus précieuse du monde. Les mains de mon amant se crispent sur le drap alors que je lance de brefs coups de langue sur la tête de son érection. Soudain, il m'attrape par les cheveux et me force avec violence à le prendre entièrement dans ma gorge. Je le suce avec délectation jusqu'à ce qu'il se cambre et se déverse dans ma bouche.
J'avise une bouteille de lubrifiant sur la table de nuit que j'attrape, et sans lui laisser une seconde de plus de répit, je le pénètre d'un doigt lubrifié. Il soulève un peu les hanches pour avoir un meilleur contact. Je le caresse ainsi quelques temps puis insère un deuxième, puis un troisième doigt le faisant quelque peu gémire de douleur. Je reste immobile jusqu'à ce qu'il commence lui même à bouger doucement.
"Harry, hummmm…"
"Donne moi un préservatif Sev, s'il te plait."
Il se redresse précipitamment et en prend un dans le même tiroir de sa table de nuit. Il en déchire doucement et lubriquement l'emballage. Puis il se penche vers moi et le déroule doucement sur mon membre en une caresse délicieuse.
"Rallonge- toi, dépêche-toi", lui dis-je d'un ton précipité.
Il s'exécute et s'installe, se préparant à m'accueillir. Je me place entre ses jambes et m'enfonce doucement en lui. Il se crispe un peu et grimace de douleur. J'arrête ma progression pour ne pas le blesser mais il me supplie :
"Ne t'arrête pas, continue, je t'en prie…"
D'un coup de rein un peu plus violent, je le pénètre complètement et entame des vas et viens lascifs. Il bouge son bassin au même rythme que le mien et m'exhorte de le prendre plus vite, plus violemment. Mes coups de rein se font de plus en plus rapides alors qu'une de mes mains se glisse entre nos deux corps et que je caresse son membre avec passion. Nous gémissons nos noms avec amour je le sens se cambrer sous moi alors que son essence se déverse dans ma main. L'expression extatique de son visage et mon excitation exacerbée me font jouir violemment en lui. Je m'effondre dans ses bras et me retire doucement. J'attrape ma baguette et fais disparaître le préservatif. Nous nous reposons quelques minutes et il me murmure :
"Quel début de journée merveilleux ! Si seulement elles pouvaient toutes commencer comme ça…"
"C'est à voir… Je peux peut-être faire quelque chose pour toi…"
"Harry, mon amour, s'il te plait, pardonne moi pour tout à l'heure…"
"Tout à l'heure ?"
"Oui, je t'ai un peu… disons que je t'ai forcé à… enfin tu vois…"
Il est rouge tomate et il regarde le bout du lit comme si c'était l'objet le plus passionnant du monde et je comprends enfin à quoi il fait allusion.
"Tu ne m'as forcé à rien Sev, ne t'inquiète pas. Je te faisais languir volontairement pour te pousser à bout, et j'ai obtenu ce que je cherchais. Ne t'inquiète pas."
"Je t'ai quand même attraper par les cheveux pour te forcer à…"
"Chut mon amour."
Subitement nous tournons la tête tous les deux vers la porte.
"Tu as entendu ?" Me demande mon amant.
"Oui, je crois que quelqu'un a frappé…"
Trois autres coups très légers sont frappés et après nous avoir recouvert tous les deux d'un drap, Sev dit :
"Entrez."
Une tête dotée de lunettes en demi lune, une barbe blanche immaculée et des cheveux de la même couleur apparaît dans le battant.
"Excusez-moi de vous déranger, je voulais juste savoir si vous étiez enfin réveillés. Apparemment c'est le cas. Ce midi, nous organisons un grand déjeuné pour tous les survivants de la guerre…"
Je suis frappé de plein fouet par cette déclaration. Depuis que je me suis réveillé ce matin, je n'ai pas pensé ne serait-ce qu'une seconde à Voldemort. Et pour cause, plus de douleurs à ma cicatrice, plus de cauchemars pendant mon sommeil… et maintenant que j'y pense, il y a autre chose qui a disparu…
"Nous espérons vous y voir…"
"Nous serons là," répond Severus alors que je suis toujours à mes réflexions.
Le directeur commence à s'éclipser mais je le rappelle :
"Professeur Dumbledore !"
"Oui Harry ?"
"Je… je n'ai pas vraiment de souvenir de ce qu'il s'est passé après que je l'ai tué. Pouvez-vous me dire qui est mort et dans quel état sont les autres…"
"Habillez-vous tous les deux et venez me voir dans mon bureau avant d'aller déjeuner. Je vous attends."
Et il s'en va pour de bon cette fois. Je me sens tout d'un coup beaucoup moins joyeux. Je me retourne vers mon amour et lui dit :
"Dis, tu as remarqué ton bras ?"
"Mon quoi ?"
"Ton bras… La marque, elle a disparue."
Il regarde le bras en question et constate qu'en effet, il est à nouveau blanc et laiteux. Un sourire enjoué et ravissant se dessine sur ses lèvres.
"C'est… Magique ! Enfin débarrassé de la honte de ma vie !"
"Oui, c'est génial ! Si nous allions prendre une douche avant d'aller voir Dumbledore."
"Bonne idée, on la prend ensemble ?"
Nous nous dirigeons tous les deux vers la salle de bain.
A suivre...
Alors, vous en avez pensé quoi? Vous voyez bien que je peux pas faire trop souffrir mes doudoux... (enfin... vu le OS que je vais vous mettre dès que j'aurai fini avec les RARs... Enfin, c'est pas du gai koi (enfin c'est du gay mais pas du gai lol)) Pis, voilà un petit Lemon, il vous a plu? j'espere bien que oui lol. Prochain chapitre, c'estun peu le bilan de la guerre. Puis il restera un dernier chapitre, l'epilogue en fait.Bref, je vais aussi mettre le début d'une fic que je suis en train d'ecrire. Je sais plus combien de chapitre j'ai déjà écrit, mais ma muse m'abandonne et je peche un peu. Vous aurez peut-etre des idées et des suggestions à me faire :)
Allez, les RARs:
Andegis : Hola ? qué tal :) euh, no abla espagnol (ca s'ecrit mm pas comme ca chuis sure lol)
Tu n'accepte pas les tomates pouris ? nan mais est ce que les patate pouri tu lé accepte ? dsl, non plus :p nan sérieux tu veux me frustré avec cette fin, espice de sadique :p peut-être bien... lol je fidèlise le lecteur :p (enfin j'essaie en tt cas :p)
Bon alors que dire de ce chapitre, merveilleux de chez merveilleux, sa change pas d'habitude :) lol, c'est gentil, paske justement j'accepte les fleurs lol... nan, serieux merci :
Bon je te laisse bisous a toi et a la prochaine. bisous bisous :)
Ps: Xcuse pour la courte review. Pas de problème. Je vais pas me plaindre d'avoir des reviews, mm si elles sont pas tjr tres longues :D Merci bcp bisous
Petite grenouille : ho la tu est cruel(le) cruelLE lol je ne peut pas croire que tu nous a fait cela et que tu as coupe le cvhapitre au moment le plus crucial alors la la suite est mieux de venir rapidement ou je vais t'en vouloir jusqu'a la fin de tes jours.loll mdr, dsl, dsl, mais bon... c'est une deuxième nature :p je blague en fait j'adore ton histoire merci : et il faut bien maintenir le suspence. bah voui :D À plus. a, bisous et merci
Phoenix 5 : Eh mais c'est quoi ça regarde derriere elle sans se sentir consernée :p
La suite et vite STP. J'espere qu'elle t'a plu :) Tu te souviens du pouvoir caché de Harry n'est-ce pas? mdr... Ce que l'amour arrivera à lui faire faire... oui oui, je sais bien tout ça :p tu penses bien que je ne suis pas de celle qui tue le cheri de Harry lol :p
C'est pas juste, je devrai aller dormir avec une fin comme ça! je comprends tellement ce que tu ressens... L'autresoir, je lisais la suite de Trauma (tu connais? J'ADORE) et elle a coupé le chapitre d'une maniere, mm moi je le fais pas lol. J'ai cru que j'allais jms pouvoir dormir ptdr
Merci et à toute merci à toi. Bisous
Jenni 944 : ha hary fais quelque chose ils vont pas mourir comme sa nes pas? VITE LA SUITE j'espere qu'elle t'a plu
Crackos : tu es sadique on te l'as déjà dit ? je pense oui… hoche vigoureusement de la tete OUI OUI OUI :D et j'en suis tres fière :p c'est impossible de passer à coté de ca mdr, je ne suis pas de celle qui utilisent des fouets, mais bon :p
j'ai adoré ce chapitre les descriptions de la bataille sont superbes. j'aime beaucoup ton style merci bcp :
continue ! voui :) bisous et merci
Lilly Margot : cherche partout ds ses anciennes reviewsoh, mais c'est une nouvelle :D Bravo ! merci :
Les Mangemorts écrasés comme des fourmis ! voui :D
Ton récit est constructif merci :
Nota : " Je suis très désappointé " c'est dans le Cinquième Elément n'est-ce-pas ? ;-p ( Très beau film au demeurant ). OUIIIII merciiiiiiiiiiiiii et c qui cet acteur adorable que j'aiiiiiiiiiiiiiiiiiime? VOUI VOUI VOUI, c'est bien lui :D Pour la peine, je te propose comme promis un OS. dis moi le pairing et si tu veux des contraintes, j'essairai de les realiser. (stp, donne moi un pairing facile petit nyeux de chat potté)Bisous et merci
Bibulle : Comment peut-on être si sadique?... jme pose moi mm la question :p La suite scrogneugneu... d'accords :D j'espere qu'elle t'a plu :) bisous et merci
Vif d'or : Ben voyons... Tout les auteurs sont allé à la même école! PTDRRRRRR Celle où on montre comment faire des fins de chapitre sadique? lol p-e... :p
Vite la suite! Bisous. Bisous et merci
Voilà
Bisous
Tatu
