C'est difficile d'aimer

Écrit par : Koshyo Tokyo ( Toujours la même maudite affaire ¬¬ )

Chapitre 2 : Laisse-moi !

« Harry ! Harry !

Dans son baldaquin, le jeune sorcier de 17 ans sentit ses oreilles bourdonner, mais il ne se laissa pas abattre de cette façon. Il se retourna de dos, emportant avec lui tous les draps qui le recouvrait afin de ne laisser aucune parcelle de son corps se rafraîchir à cette température qu'était la pièce. À ce contact, Harry tira de nouveau ses draps qui s'était étrangement bloquer et fit rebondir la sorcière qui s'écroula sur le sol, emportant les quelques rideaux du baldaquin dont elle avait oser se servir comme soutient. Souriant mesquinement, le célèbre sorcier resserra son étreinte envers son oreiller, espérant approfondir son sommeil plus qu'il ne le pouvait présentement.

« Aller Hermione tu vas y arriver ! Chuchota le rouquin à l'intention de son ami, comme si tout les deux devait tour à tour réveiller leur ami.

« Tu vois pas que je me suis ramasser par terre ?

Soupirant, Ron prit la mains de sa congénère et la releva soudainement, touchant presque son visage de ses lèvres, tandis que la jeune fille vacilla légèrement, le grand roux la repoussa face au baldaquin d'Harry. D'un signe de main, le préfet assigna la silhouette du sorcier aux cheveux jais, un sourire angélique aux lèvres qui fit désespérer Hermione.

« D'accord, mais si c'est moi qui se ramasse encore sur le sol, c'est pas moi qui va manger son poing. Répliqua la sorcière en se penchant légèrement vers son ami.

« Son poing ? Quel poing ? Demanda le rouquin, ne comprenant aucun mot de ce qu'on son amie la préfète soutirait de sa bouche.

La jeune fille bouscula Harry une seconde fois, mais aucun succès, il s'était entêter à dormir solidement. Hermione posa de nouveau ce geste, cette fois-ci plus brusquement et le garçon se mouvra dans son baldaquin. Heureuse de son initiative, elle attendit que le sorcier se lèvre, mais il venait de rabattre son oreiller sur sa tête. L'adolescente se tourna vers le roux, grommelant à son intention alors qu'il avait toujours « son » petit sourire aux lèvres et qu'il la repoussa de nouveau.

« Ca va ! Ca va ! Pas la peine de pousser pour que je comprenne de le réveiller. Tu serais très utile toi aussi à faire quelque chose ! S'écria Hermione sans plus de douceur lorsqu'elle bouscula le célèbre sorcier.

« Bah, je surveille à ce que personne n'entre dans la chambre, surtout s'il te vois.

« Ron ! Tu sais très bien que les filles ont la possibilité de pénétrer le dortoir des garçons tandis que vous ce n'est pas possible pour celui des filles. Faut pas prendre ses rêves pour la réalité.

« Quoi ? Mes rêves ! Ca va pas, tu…

« Tait toi et viens m'aider.

Hermione accrocha le bras de Weasley et le tira vers elle et leur copain, mais avant de faire un seul mouvement, le garçon endormit leur lança son oreiller brusquement, que tous deux évitèrent en voyant Harry se cacher dans ses draps et l'oreiller tomber contre le mur.

« Mais il est malade ! S'écria Ron alors qu'il se baissait une seconde fois sous le mouvement des pieds d'Harry, croyant à une nouvelle attaque.

« Ron, ce n'est qu'une oreiller. Tu sais, le truc moelleux que lors dors dessus la nuit.

Le préfet aux cheveux roux regarda mesquinement la sorcière à ses côtés, soutenue d'un regard noir qu'elle avait prit la peine d'éviter avec quelques gloussements dont Ron se prit la peine de prendre pour une insulte. La sorcière posa un bref regard à sa montre, signalant ainsi les « 7 h45 » , temps qui ne cessait d'avancer rapidement en cette première journée à Poudlard, enfin, cette nouvelle année. Bref, avec le cours qu'il devait commencer ne fallait pas arriver en retard où sur les gongs. De signe de la tête, Hermione accentua son visage de manière autoritaire et Ron s'exécuta. Après tout, si Hermione ne parvenait pas à le réveiller, lui pouvait sûrement y arriver.

« Harry ! Réveille-toi, aller ! Harrrryyyyyyyy…

Endoloris par les hurlements incessant d'une voix masculine, Harry sortie aussitôt du pays des rêves et sans prêter Gard, il poussa ses draps vers les pieds du baldaquin et se leva subitement dans son lit, envoyant son poing contre une parois charnelle qui se mit à hurler.

« Aïe ! Aïe ! Aïe !

Ron se tenait pitoyablement le visage, enfin le nez et se retournait vers la sorcière, espérant trouver un simple réconfort ou un appuie, mais celle-ci ne semblait pas vraiment tenir compte de lui face à ses paroles disons…

« Je t'avais prévenue, le poing !

« On se demande pas pourquoi tu le connais à ce point ! Il y a tellement de bruit qui cour…

« Quoi ? Qu'est-ce que… Qui ? S'étouffa Hermione en regardant le rouquin qui se moquait à présent d'elle.

Se frottant les yeux, Harry émit un faible grognement alors qu'il devait se réveiller et ouvrir les yeux, un exercice difficile pour lui en cette mâtiné. Pourtant, il n'avait que trop dormit et ne c'était coucher que trop tôt la nuit dernière, pourquoi se sommeil si soudain ? Un court moment, Harry se crut infesté par des effets secondaires de Neville, surtout après l'avoir porter une bonne partie du trajet à Poudlard, mais il se résigna d'un coup de tête. Sa fatigue devait seulement s'accroître du fait qu'il est passé tout l'été avec les Dursdley, quelque chose de tout à fait pas reposant, surtout avec son cousin qui… Bref, son cousin avait ramener une petite amie à la maison et toute la famille s'était retourner vers lui, encore plus qu'à l'habitude. Même leur manière n'avait pas été poussé, devant cette créature sublime au côté de ce cochon, Harry en avait resté la risée et le chien de la famille. Parfois même, il se demandait pourquoi son cousin avait une si « belle » vie, alors que lui vivait les plus redoutables aventure.

Exaspéré, il lâcha un soupir en repensant à son été qui lui avait permis l'embrouille. Soit, lorsque son cousin s'était mit en bagarre contre une seconde gang, il se foutait bien de sa petite amie qui elle aurait faillit se faire tabasser au même moment. On peut dire que les moldues n'ont pas totalement de sentiment ou il ne sont tout simplement pas humains. Enfin, Harry revenait du parc où il commençait à passé le plus clair de son temps, et en revenant il avait vu cette bagarre et la copine de son cousin. Sans hésiter, comme à l'habitude, il s'était mis à la protéger, mais il s'était plutôt fait tabasser par son cousin simplement pour avoir aider sa petite amie… Quel monde de cinglé ! Pensa Harry, se frottant de nouveau les yeux et se gratta la tête alors qu'il se tournait vers ses deux amis.

« 'mm… 'mione ? Mais qu'est-ce que tu… Ron ?

Harry regardait ses deux amis sans trop comprendre ce qui se passait, de un, Hermione était quasi sur lui et de deux, Ron semblait avoir quelque chose au visage…

« Hum, tu lui as foutu ton…

« Tu m'as défiguré ! Tu m'as saigné ! S'écria le Gryffondor roux à tue-tête, laissant un Harry… Perplexe.

Essayant de comprendre ce qui s'y passait, même de dire quelques mots, mais sa bouche restait toujours bien fermé tandis qu'il ouvrait les lèvres sans tout de même de succès. Il fit ce petit manège gestuel un bon moment, sans que personne ne lui explique vraiment ce qui se passait, surtout d'un Ron « furax » Toujours éberlué, Harry prit soigneusement ses lunettes qui reposait sur sa table de chevet et attendit calmement des explications net, enfin, les explications d'Hermione plutôt.

« Pour faire vite puisque le temps presse, on a essayer de te réveiller mais tu dors vraiment comme du roc… Bref, Ron a essayer de te réveiller à son tour et tu la cogné…

« Tu m'as empalé ! Hurla Ronald, hystérique. Moi qui croyait que j'étais ton ami !

« Désoler. Répondit Harry, honteux.

Hermione roula les yeux, secoua sa tête en soupirant et attrapa Ron par le collet ;

« Tu n'as pas à t'excuser Harry, regarde Ron n'a rien je suis sur. Dit-elle en détachant les mains de Ron de son visage, regardant son nez, il n'avait rien, aucun liquide rouge. Tu vois, tu hurle pour rien Ron !

Puis, la préfète repoussa les mains du rouquin dans son propre visage et se retourna vers Harry, l'attrapant par le bras, elle le força à se relever sous les prétextes d'Harry qui était trop fatiguer pour faire quoi que se soit.

« Où est ta robe de sorcier Harry ?

« Quelque part… je sais plus haut, cette fille la bousiller. Répliqua celui-ci d'un ton amère en repensant à l'asiatique.

« Allons, allons, tu devrais savoir qu'il ne faut pas penser du mal de nos propre congénère.

« Tu te prends pour Dumbledore maintenant ? Susurra le rouquin au moment où lui et Harry étouffèrent des gloussements.

Hermione ignora les deux garçons et farfouilla les environs du baldaquin du célèbre sorcier jusqu'à ce qu'elle trouve enfin la tenue. Ce qui n'allait pas, le jus de citrouille avait teinté la tenue d'Harry en orange et l'odeur n'était pas ravissante. Elle sortie sa baguette et l'agitant soigneusement en perla ses lèvres de mots celtes (j'suis pas sûr du celtique) Tout revenue à l'ordre, la préfète lança la robe de sorcier à son ami et lui sortie de ses valises tout ses bouquins de la journée d'un sourire vainqueur.

« Dépêchez-vous, vous allez être en retard et je ne voudrais pas…

« Ouais, tu es l'élève modèle. Ironisa le rouquin.

La jeune fille lui lança un regard noir et continua ses paroles ;

« Si vous ne voulez pas vous accusez les foudres de Rogue !

Harry frissonna en repensant à ce monstre qui gouvernait la maison des Serpentards. Son apparence laiteuse, son habit tout aussi lugubre que sombre, ses cheveux gras et son nez… Il grimaça tout simplement à cette pensée. Pourquoi fallait-il toujours commencer une année avec Rogue et sa troupe de Serpentard ? Bien sûr, la seul raison qui lui venait en tête s'était que Rogue était payé pour le harceler ou l'attaquer de sermons, mais Hermione avait la réponse la plus plausible. Voulant devenir Aurore, il devait se prosterner devant des cours plus intense et plus nombreux vers les dernières années scolaires. Ainsi que les examens seraient en fonction de tout les projets pour ce métier…

« Double cours avec Rogue. Allez !

« Qu.. Quoi ? Tu aurais du me laisser dormir ! S'écria Harry.

La jeune fille ne l'écouta pas une seconde fois et prit un malin plaisir à lui lancer sa robe de sorcier en plein visage, lui donnant l'ordre de se vêtir à l'instant et d'enlever son « affreux » pyjama à rayure.

« Hum…'mione

« Oui ?

J« e voudrais bien m'habiller, mais tu vois… Je peux y arriver seul. Répondit le célèbre sorcier en fronçant les sourcils.

Timide, Hermione fit un léger sourire avant de rougir et se retourna subitement en sortant du dortoir des garçons, mais Harry ne semblait pas tout à fait satisfait de cette action. Enfin de Hermione oui, mais…

« Toi aussi Ron..

« Ah, heu, oui désoler !

À l'entrée du cachot du cours de Potion, le troupeau de Malefoy s'y trouvait comme à leur bonne vieille habitude, une habitude qui avait durée sept longues années sans que Harry n'est pu espérer ne pas subir les sarcasmes de ce serpent. S'était sa vie, étudié et être pourrit par les Malefoy. C'était pourtant simple, Rogue et les Malefoy était contre lui, Rogue il savait pourquoi et chaque fois qu'il le voyait maintenant il en avait qu'une simple et infinis pitié pour lui. Si il aurait su le pourquoi bien avant, peut-être n'aurait-il jamais détester Rogue. Après tout, c'était son père James Potter qui l'avait tant harceler. Maintenant, c'était au tour de Harry. Dire que dans cette vie il n'avait rien de bon ! Lorsque les trois amis arrivèrent, sur le pied de la « cloche », ceux-ci prirent soin d'ignorer Malefoy, Pansy et sa bande, même si c'était chose difficile devant une Malefoy préfet.

« Est Potter ! On a oublié son réveille matin ? Quoi que, tu as filé si vite hier que tu n'as sûrement du pas beaucoup dormir avec tes « garçonnets » de chambre.

S'arrêtant soudainement, le célèbre sorcier sortit sa baguette de ses poches et la dirigea vers le cou du Serpentard, la colère qui hantais son esprit. Il n'avait qu'une envie, dire n'importe quelle sortilège et se moquer de lui. Mais il ne put réagir, puisque Malefoy tapota son insigne de préfet d'un regard perfide. Hermione et Ron attrapèrent Harry par les bras et le tirèrent vers l'intérieur du cachot avec eux, laissant les rires narquois des Serpentard retentirent.

« C'est sa, demande à tes gentils petit amour de t'empêcher d'être un petit homme.

Une grande silhouette se posa face au Serpentard et au Gryffondor, ses cheveux gras et son visage d'un sourire de perversité malsaine, le Professeur commença;

« S'il vous plaît, veuillez entrer et vous asseoir respectivement à vos places qui seront pour toute votre dernière année et en silence… J'ai dit en silence ! S'écria-t-il au moment où deux élèves chuchotaient.

Tous le monde se déplacèrent enfin, prenant soin de choisir une place les plus convenables et se turent avant que l'ombre de Rogue ne pénètre sa propre classe. Personne ne tenait à entendre le professeur hurler de nouveau, surtout que c'était la plupart des Gryffondor qu'il manipulait du regard. Le trio se dépêcha de prendre place vers l'avant, mais Harry resta perplexe ou plutôt surpris de ce qu'il voyait. Avant que ses yeux ne lui fasse de fausse allusion, il se laissa approcher, puis s'assit au côté de la jeune fille, le cœur battant la chamade, il souria. Harry toucha légèrement l'épaule de la jeune fille afin qu'elle le regarde et…

« Ah non ! Toi, encore !

Le célèbre sorcier se rembrunit.

« Comment encore moi ? Comme si j'étais ravis de te voir !

« Parce que c'est toi le cinglé qui c'est jeter sur moi hier… qu.. quoi ? C'est sa ! Et moi j'ai rêver de toi !

« Hé ! Je te ferais remarquer que c'est toi qui ma lancer ta saloperie de boisson.

« J'aurais du faire plus ! Susurra l'Asiatique en lui désignant un regard noir.

Soudain, deux longs bras noirs se plaquèrent contre la table, les faisant sursauter chacun de leur côté et Harry se racla la gorge lorsqu'il croisa le regard sombre du professeur. Il aurait tout simplement du se taire, surtout à cause de cette fille, ouais c'était de SA « faute». Restant tout les deux silencieux, Hermione, Ron et les autres élèves en firent autant. Sans doute, attendaient-ils la réaction du professeur face au deux jeunes gens. Laissant le silence retarder plus longuement, Rogue décida enfin de prendre la parole après cette éternité.

« Bien que je trouve cela admirable que deux Gryffondor ne puisse entretenir une conversation civilisé et de se débattre dans leur même maison, j'apprécierais que j'ai cru demander au début de ce cours. Est-ce bien compris ?

« …

« Est-ce bien compris ? Repris Rogue amèrement.

Les deux Gryffondor répondirent d'un signe de tête, ne voulant élevé la voix sous prétexte de ne pas arranger la situation. Le professeur se redressa légèrement sans tout de même quitter les deux adolescents des yeux.

« Je vous prierais de ne pas vous chamailler ou de débattre de votre petite scène de couple que vous vous êtes permis la nuit dernière.

« Quoi ? S'écria l'Asiatique en frappant la table de ses poings. Mais vous êtes…

Le professeur Rogue déposa brutalement une marmite face à la jeune fille, faisant craquer légèrement la table de ce coup sec et l'Asiatique rétracta ses mains vers son cœur de peur que le professeur ne soit plus sadique encore. Maintenant, plus personne ne parlait, trop apeuré ou moqueur de ce qui se passait.

« Veuillez ne pas terminer votre phrase et respecter vos supérieurs. Maintenant je reprends, vous ne discuterez pas de votre scène d'hier dans ce cours. Ici vous écoutez et vous travaillez. Et ne venez pas me demander un changement de place, pour mon simple plaisir je vous laisserez côte à côte et si vous élever le ton, vous perdrez des points. Petit conseil, bouclé-là !