Note : Je voulais remercier tous les reviewers parce que j'étais tellement excité de publier le chapitre que j'ai oublié de le faire, la dernière fois. Je voulais aussi vous dire que j'ai beaucoup ri en écrivant ce chapitre. N'oubliez pas de me laisser une petite review (moi maître chanteur ? Non pas possssssssssssible !)
Titre officiel : À prendre ou à laisser (Je remercie crystal d'avalon qui m'a donné ce titre)
Titre officieux : Ouské le petit Harry il est tout chaud
Avertissement : R (Qui a bavé ?)
Email : Si vous voulez me trucider c'est ici – elvira662001yahoo.fr
13 heures 05
C'est à prendre ou à laisser Potter, c'est toi qui vois. Tu me masses, je t'offre 3 huiles essentielles aphrodisiaques, murmura sensuellement un Draco Malefoy torse nu, en commençant à défaire le dernier bouton de son pantalon qu'il ne le retira pas, cependant. Le survivant entraperçut un boxer de couleur vert bouteille.
Harry avait la vague impression que ses jambes se dérobaient sous lui. Seigneur ! Il en avait rêvé et même baver (beurk! Un griffondor qui bave) depuis deux mois et maintenant son ancienne Némésis lui offrait littéralement son corps sur un plateau, enfin presque. L'idée qu'il pouvait refuser et partir en courant ne lui vint même pas à l'esprit. Restait la question du massage ; était-il assez doué pour cela ? Parce que Draco serait vraiment exigeant. Comment allait-il procéder? En commençant par les épaules ou par ses fe……
Je sais Potter, je suis TROP BEAU, mais est ce que tu pourrais arrêter de me dévorer avec tes ENORMES yeux verts de griffondor ? On dirait Dobby.
Harry se rendait compte, très embarrassé, qu'il n'avait pas quitté des yeux le corps de Draco pendant qu'il se concertait avec son 'moi intérieur'.
La ferme Malefoy. Est-ce qu'un y au moins UNE CHOSE dans mon physique qui serait acceptable à tes yeux de Serpentard ?
Draco s'approcha dangereusement de lui en frôlant le corps pour la deuxième fois de la journée, ce qui n'était pas si mal selon Harry.
Je crois que je ne pourrais pas te répondre Harry parce que vois-tu, je n'ai pas encore tout vu de toi ……Je n'ai pas vu l'essentielle…… si tu vois ce que je veux dire, Draco lui fit un clin d'œil appuyé.
Est-ce une proposition, Draco ?
A toi de voir, Harry.
Je……je ne comprends pas.
Dommage que tes neurones soient aussi grillés, Potter. Mais après ce que tu as vécu auprès de l'oncle Voldy, je te comprends parfaitement.
Mais de quoi tu parles Draco ? Et puis depuis quand est ce que tu n'aurais plus peur de Voldemort au point de l'appeler ONCLE VOLDY ?
L'oncle Voldy est un ami de mon père, voyons. Oui Potter je sais que c'est difficile de se réveiller un matin et de voir que la personne avec qui tu as vécu pendant sept longues années n'est plus. Vraiment, je te trouve très courageux d'avoir pu surmonter tout ça. Ce cher Voldy, qu'il repose en paix, Draco soupira bruyamment. Au fait, est ce qu'il était bien au lit ?
BEURK ! Je n'ai jamais couché avec Voldy, Harry s'indigna. T'as vu sa tête de serpent ?
Je blaguais Potter. Ouais, je reconnais qu'il ne passe pas inaperçu au resto avec une tête pareille et qu'il n'a pas un physique facile. Faut vraiment aimer le style gothique. Surtout si la note de restaurant avoisine les 4000 gallions, Draco ne pu réprimer un sourire à cette dernière phrase.
Est-ce que tu parles d'une certaine expérience personnelle qui se serait passée aux alentours de 10 heures ce matin ? Harry le taquina.
Quel pingre Potter ! Mais je t'assure que je vaux ces 4000 gallions. Ce qui m'amène à penser que je devrais enlever mon pantalon au plus vite si nous voulons commencer un jour. Un peu d'aide ne serait pas de trop, Potter.
Tu veux que je t'enlève ton pantalon ? Harry rougit furieusement.
Avec les dents, s'il te plaît, Draco demanda en prenant un air sérieux. Mais attention à mes bijoux de famille, Potter. Ils sont précieux.
Salaud ! Pervers ! Crétin !
Potter, c'est du cuir de Bulgarie ! Ce pantalon m'a coûté une fortune sans compter les allers-retours pour les essayages. Tu devrais t'estimer heureux de t'en approcher d'aussi près.
Harry n'eut pas le temps de répondre qu'une sonnerie stridente retentit dans la pièce.
Qu'est ce que c'est ? Des voleurs ?
Non, Potter, un invité. J'avoue que je ne l'attendais pas de sitôt mais bon, Draco sourit de toutes ses dents.
Qui est ce ? S'enquit le survivant.
Quand je suis venu au Coq enchanté ce matin, je t'ai dit que j'avais vu Granger et Weasley en arrivant ? Draco demanda, visiblement ravi.
Ouais, dit Harry.
Et bien, dès qu'il a eu le dos tourné j'ai mis un sort qui me permet d'être immédiatement au courant, si un jour il mettait les pieds dans ma librairie. Cela n'a pas été facile avec Granger dans les parages mais tu connais ma perspicacité légendaire. Et bien, ton copain n'a pas perdu de temps, on dirait, Draco expliqua.
Ron dans une librairie érotique ? Naaannnnnnnn, c'est plus dans le style de Fred et George. Et attends une minute………je parie que tu m'as lancé le même sort. Tu savais déjà que j'étais dans ta librairie ?
Exact Potter.
Tu vas me le payer, Malefoy.
J'espère que je vais le payer très c-h-a-i-r-e-m-e-n-t ? Draco demanda en espérant que Harry avait compris le jeu de mot. Après tout on ne sait jamais, avec un griffondor
(Oh ! Que je suis méchante)
Oh ! Je peux t'assurer, Draco, que je serais très dure, Harry murmura en jouant le jeu.
Dure comment ? Draco demanda. Il commençait à apprécier la conversation.
Je pourrais te montrer, si tu arrêtais immédiatement cette sonnerie, Harry sourit.
Est-ce que ce ne serait pas un plan machiavélique et désespérément GRIFFONDORIEN pour me faire oublier Weasley ? Draco demanda, en arrêtant la sonnerie.
Peut être, Harry marmonna alors que les lèvres de Draco s'approchaient dangereusement des siennes.
Et si je reste sage-tout-en-flanquant-un-coup-de-pied-dans-le-derrière-de-la-belette-pour-qu'il-ne-mette-jamais-les-pieds-ici, qu'est ce que tu m'offres en échange, Harry ?
Tu pourrais oublier le coup de pied, non ? Le survivant demanda.
Tout ne dépend que de toi, Draco demanda avant de capturer ses lèvres dans une étreinte passionnée.
Harry entoura ses mains autour de sa taille et le taquina en pinçant son derrière ce qui provoqua un soupir indigné de Draco. Le cuir était définitivement une matière très sexy.
Mmmmmm est ce que tu es enfin convaincu, Draco ? Harry s'enquit, entre deux baisers enflammés.
Mmmmmm non, je pense qu'il faudra tout recommencer en profondeur, Draco le taquina.
Pour une fois, je suis tout à fait d'accord avec toi, Draco.
Alors enlèves-moi vite ce pantalon, Harry chou.
A vos ordres, chef !
Mmmmmmmm j'adore ce côté militaire, Potter.
Draco caressa la chevelure de Harry tout en l'embrassant sauvagement. Puis, il s'évertua à mouvoir son corps contre celui de sa Némésis, ce qui provoqua un râle monumental de la personne en question. Harry commença à déboutonner sa chemise bleue quand Draco l'arrêta.
Tu n'as pas entendu, Potter.
Quoi ?
J'ai entendu un bruit bizarre. Je crois qu'on devrait se tirer d'ici, vite fait. On risque d'être dérangé.
On va où ? Harry demanda.
Chez moi. Pourquoi ?
Parce que si je vais au Manoir Malefoy, je risquerais de laisser ma peau, Draco.
Pourquoi Potty, tu as peur que je t'enchaîne au plafond et que je te fasse porter des sous-vêtements en latex jusqu'à ce que tu cries, « Oh ! Oui Draco, je veux bien être ton esclave sexuelle » ?
Je savais bien que tu étais un gros pervers.
Potter ! Est-ce qu'on pourrait arrêter de discuter parce que, en tant que bon griffondor qui se respecte, j'avoue que tes conversations ne volent pas très haut.
Crétin, murmura Potter.
Connard, répliqua Malefoy.
13 heures 40
Manoir Malefoy
C'est quoi encore ce bruit? Harry demanda, très en colère. Depuis qu'il avait transplané dans le salon du Manoir Malfoy, il avait été poursuivi par des chauve souris venimeuse, avait manqué de peu une flèche lancé par la statue d'un chevalier fou et il s'était fait harcelé par une jeune fille très légèrement vêtue, qui lui avait rouler une pelle au détour d'un couloir. Draco l'avait fortement réprimandé « Nara, combien de fois dois-je te dire de ne pas embrassé les invités SUR LA BOUCHE. Tu veux vraiment finir comme lors de la dernière visite du professeur Snape ?»
Elle a embrassé Snape ? Harry était plié en deux.
Elle a même mit la langue, dit Draco qui riait également.
Qu'est ce qu'elle a de faire cela à tout le monde ? Harry demanda
C'est une vampire un peu nymphomane.
Une vampire, j'ai été embrassé par une vampire ?
T'inquiètes Harry, tu ne risques rien. Sauf d'avoir eu le goût de la bouche de Snape dans la tienne parce que c'est la dernière personne qu'elle a embrassée.
Beurkkk !
Vous ne pouviez pas êtes plus proches, tous les deux, toi et Snape, Draco rigola.
Et qu'est ce que Snape lui a fait ?
Eh ben……il a essayé de lui arracher une incisive……et l'a pendu dans la salle de bains, Dray sourit.
Non, je n'arrive pas à le croire, Snape a fait cela ? Harry s'esclaffa.
Ouais mais il faut dire que Nara lui avait aussi pincé les fesses. On ne pince pas les fesses de Snape sans conséquence.
Naaaaaaaaaannnnnnnnnnnn, cette fois Harry était littéralement écroulé de rire en pensant à la réaction de Snape.
Je te jure que c'est vrai, Harry.
Draco ! Comment cela se fait que tu ais toutes ces créatures chez toi ? Je veux dire les chauve souris, les statues tueurs, la vampire sans compter toutes les petites bébêtes que je n'ai pas encore vu.
Chais pas, ils ont toujours été dans cette maison sauf Nara qui m'a été offerte pour mes quinze ans par mon père.
Non ! Sans blague !
Ouais je te jure que c'est vrai, Potter.
Ce sont des histoires que je pourrais raconter à mes petits enfants. Tout cela n'empêche pas que l'on gèle ici. C'est pas un manoir mais bel et bien une chambre froide. Il n'y a pas un endroit où on peut se réchauffer ?
Potter. Je projette de te réchauffer PERSONNELLEMENT (Harry déglutit). Tiens, voilà ma chambre.
Draco murmura un sort et une grande porte en chêne s'ouvrit dans un grand fracas.
C'est très……..c'est très……
Gothique ?
Ouais, si tu veux. Mais j'avoue que de voir des elfes de maison morts, pendus juste au-dessus de ton lit, c'est vraiment très très original. Je m'attendais plutôt à des posters de U2.
U2 ? Connais pas. Les elfes me servent de lampadaires pendant la nuit.
Ouais génial ! Je parie que c'est super tendance dans les maisons de Sang pur.
Non, nos décorateurs n'achètent que des produits uniques et authentifiés, Harry. Nous avons assez d'argent pour nous permettre l'exclusivité sur toutes les choses que nous achetons. Tu veux que je te montre mon Bonsaï venimeux.
Super ! Me voilà invité dans la maison des horreurs.
14 heures
Dès l'instant où Lucius Malefoy transplana chez lui, il fut accueilli par la voix criarde de Nara, la vampire.
Fout le camp Nara avant que je t'expédie en enfer, illico presto.
J'ai des choses à dire au maître, Nara lui dit, en proie à une intense agitation. Puis elle remarqua que Lucius semblait fatigué et demanda, est-ce que le maître veut que je lui masse les épaules ?
Pour la dernière fois, je te demande de t'en aller.
J'ai des choses à dire au maître, Nara répéta.
Pendant un instant, notre Lulu national (non je déconne) fut tenté de lui flanquer quelques sorts mais la petite était déterminée à lui pourrir la vie.
Très bien, Je t'accorde le DROIT de parler.
Mais avant je voudrais être sûr que le maître accède à ma requête.
Nara, je te jure que si tu ne parles pas tout de suite, je t'envoie chez Severus.
J'aivuDracoetunautregarçonbrunsepelotteràl'instantdanssachambre, Nara lui avoua. A chaque fois qu'elle entendait le nom de Severus Snape, elle prenait peur.
Quoi ?
J'ai vu Draco embrasser un autre garçon dans sa chambre.
Un ange passa.
Puis deux.
Puis une colonie de Hobbit tous droit sortis du Seigneur des anneaux.
Puis, il y eu un magnifique décrochage de mâchoire de la part d'un superbe blond quadragénaire……
Et enfin……les matières grises dudit blond se réactivèrent et il pu s'exprimer calmement, très calmement ;
QUOI ? SI TU MENS JE TE TUE ! Lucius hurla. Il n'arrivait pas à croire que son fils était gay…également.
Dois-je encore répéter au maître de ne pas me menacer de mort puisque je le suis déjà. Je jure que j'ai vu Draco et Monsieur Potter s'embrasser en se coller sensuellement l'un contre l'autre dans sa chambre. Ils étaient tellement sexy, Nara soupira d'envie.
Nouveau décrochage de mâchoire avec cette fois, un magnifique filet de bave sortant de la bouche de Malfoy père………crise cardiaque……bouche à bouche musclé de Nara, qui vécut son plus grand moment de gloire, avant que les neurones de Lulu puissent repartir.
Très bien Nara, je vais tout de suite vérifier ce que tu m'as dit. Mais si tu mens……je te crève les yeux.
Avant qu'il ne projette de transplaner, Nara lui saisit le bras droit.
Je m'excuse d'attraper le bras sexy et incroyablement puissant du maître mais est ce que je pourrais avoir ma récompense ?
Tu as déjà eu ta récompense, plus de baiser ou de bouche à bouche, c'est compris, Lucius murmura en reprenant son air hautain et distingué.
Non maître, je voulais demander autre chose au maître.
Parle Nara, Lucius soupira. Cette petite emmerdeuse allait définitivement finir au crématorium de la famille d'ici la fin de la semaine.
Et bien……est ce que je pourrais avoir un de vos boxers verts pour le mettre sous l'oreiller de mon cercueil ?
NOTE : Vous savez quoi ? Je prend beaucoup de plaisir à écrire cette fanfic alors pourquoi s'arrêter à trois chapitres ? Donc je continue. Laissez un commentaire pour me dire ce que vous pensez de l'évolution de nos deux tourtereaux, de Nara et Lulu. Je peux d'ores et déjà vous dire que la vengeance de Lucius sera plutôt étrange.
P.S : Je recherche des titres de films pour les prochains chapitres. Les suggestions sont bienvenues.
