N/A : Cela va faire très longtemps que je n'ai plus posté de nouveau chapitre. Et pour le prochain, il faudra probablement attendre encore… beaucoup. J'ai les idées, mais le cœur n'est plus vraiment à écrire ces temps-ci. Puis le blocus est là et les exams aussi… donc priez pour que j'ai le temps durant les vacances ! J'ai choisi de faire durer l'histoire encore longtemps… Parce qu'ils sont vraiment compliqués tous les deux…
Et maintenant place au chapitre…
DARKSTEIN par Nore
CHAPITRE 11 : REALISATIONS.
Le froid était toujours présent dans cette région, Georg souhaitait prèsque d'être parti à la place de Christophe pour retourner au Monastère prévenir Pierre des nouvelles découvertes. Parce que bien qu'il soit un fils du pays, ce froid commençait à perdurer un peu trop à son goût. Il marcha donc en direction d'un café « acceuillant » dans le sens Sibérique du terme. Un fois entré dans la moiteur humaine qui y rêgnait, il commanda un verre de vodka au poivre, seul moyen pour se réchauffer jusqu'aux os.
Depuis son entrée, il avait senti que quelqu'un, non loin de lui, l'observait de façon un peu trop intense. Il était vrai qu'il passait difficilement inapperçut. De grande stature, un barbe de quelques jours un peu sale, des cheveux mi-longs… Il avait quelque chose d'impressionnant, il en était conscient. Ses yeux surtout, gris et froid, dérangeaient ceux qui croisaient son regard. Même un moldu pouvait sentir son pouvoir. Sa force, animale, diraient un non-sorcier. Sa façon de s'habiller n'était pas très discète non plus. Le dessous était pratique, un pantalon de type millitaire mais entièrement gris foncé, de grosse bottines, elles aussi millitaires et fourées. Mais le dessus était chic… Une chemise blanche impecable avec un bouton ouvert, un foulard de soie noué autour du cou, avec audessus de cela un manteau noir en velours qui allait jusqu'aux genoux. Pour terminer l'effet, un grand manteau en peau d'ours pour l'exterieur. Il portait aussi et cela en permanence des gants en cuir noir.
Il paraissait louche et c'était ce qu'il voulait. Il voulait être craint, il voulait être la personne à qui on demanderait quelque chose que l'on ne demanderait pas à une autre. Et cela marchait. Il avait des liens avec les gens qu'il fallait, avec le milieu le mieux organisé qu'il connaissait : Le milieu du Crime. Trafficants de toutes sortes, Voleurs, Criminels sans vergogne, tous le connaissaient et tous lui demandait de l'aide de temps à autres. C'était sa meilleure source d'informations, il pouvait leur faire croire tout ce qu'il désirait et pouvait leur faire faire tout ce qu'il voulait, il fallait un peu d'habilité. Il en avait beaucoup. Il trouverait…
Il alla s'asseoir dans un coin encore plus obscur et privé de la taverne, lieu parfait pour se faire approcher par toutes sortes de gens en toute intimitée. Son flair était toujours aussi bon, l'homme qu'il avait repéré à son l'entrée ne tarda pas à venir le rejoindre à sa table. Les informations qu'il tira de l'individu n'avaient rien de bien nouveau ou interessant, mais cela confirma un bon nombre de ses soupçons. Il était temps qu'il puisse transmettre ses nouvelles aux autres.
Il avait de sales impressions… L'affaire devait être plus importante que prévu.
Quelque chose frappa Hermione sur le chemin du retour vers le monastère. Elle avait déclaré sa flamme au professeur Rogue plusieurs fois déjà, mais jamais ils n'avaient partagés un baiser, pas même des lèvres qui s'éffleurent. Il avait agis de façon paternelle avec elle, chaque fois. De façon paternelle… Et si il n'épprouvait pas de sentiments pour elle, autres que ceux d'un père de remplacement qui l'avait vu souffrir et qui prenait une place nouvelle dans sa vie ? Et si la protection qu'il semblait lui offrir n'était pas le reflet d'un amour qu'elle avait cherché dans ses yeux si souvent ?
Et même si il l'aimait, comment pourrait-ils vivre cet amour quand elle retournerait a Darkstein fin Septembre ? Il avait un manoir pas loin… Mais il n'était pas un autre étudiant, il avait une vie bien à lui, probablement une famille, des amis. Que connaissait-elle de lui ? Elle savait qu'il avait un père encore en vie, elle savait qu'il avait pour amis les Eminences Grises. En fait, elle ne connaissait de lui que ce qu'il lui avait dit, c'est-à-dire si peu en vérité. Il était un être si secret, au passé trouble, bien qu'elle en connaisse désormais les grandes lignes. Il avait souffert, il avait peut-être aimé, il n'était peut-être pas aussi seul qu'elle ne l'imaginait. Il n'était peut-être pas aussi seul que elle… Tant de choses était differentes, nouvelles pour elle. Elle avait esperé un nouveau départ, mais l'envol avait été dur à prendre, coincée entre des souvenirs et un avenir dont elle n'était plus bien sûre de vouloir. Etait-il ce dont elle avait besoin ? Parce que ce qu'elle ressentait pour lui était cela… Un besoin. De reconnaissance, d'amour, de protection. Un besoin physique, psychique… Mais était-il vraiment la clé pour son équilibre ? Il s'échignait à la rejetter, encore et encore, il était froid, blessant et en même temps prévenant et tendre. Qui était-il ?
Ces simples pensées lui posaient déjà problème, alors comment pouvait-elle dire qu'elle aimait cet homme si a la moindre difficulté elle prennait déjà peur ? Il était un mystère qui attirait la jeune fille, mais était-il réél ? Le Severus Rogue qu'elle connaissait, imaginait et dont elle rêvait, ne pouvait pas être réél… Elle avait été folle de lui dire tant de choses, de lui avouer son amour quand elle ne connaisait rien de lui, mais après tout ils avaient vécus ensembles les moments les plus difficiles de la vie d'Hermione, il avait été là quand elle en avait eu besoin. C'était normal, logique même qu'elle se soit attachée à lui. Mais, l'était-il, tenait-il autant qu'à elle, que elle à lui? Rien ne lui permettait d'en être vraiment sûre…
Hermione était très troublée par cette réalisation quand elle arriva au monastère pour le dîner, la fraîcheur du soir commençait juste à s'installer. Et elle ne pouvait cesser de penser à ses dernières conclusions. Soudain, les cloches sonnèrent et le signal ayant été donné, de nombreuses portes s'ouvrirent de toutes part. Une vision mystique s'offrit alors à la jeune femme. Une vingtaine de moines, tous en noir, la capuche relevée se groupant et se dirigeant vers une destination commune. Elle était au centre du cloître quand cela se passa, les colones l'entouraient, le murmure des hommes, les bourrasques de vent encore chargé de chaleur. La magie était dans ce lieu et elle se sentit en paix. Décidant au fond de son esprit de se donner encore du temps pour penser à tout cela. Après tout elle avait dit qu'elle attendrai qu'il soit prêt… La balle était dans son camp.
Silencieusement, elle arriva enfin au bout de la table dans la grande salle à manger et s'assit a sa place habituelle. Son oncle la regarda avec bienveillence comme toujours puis commença la bénédiction.
"Seigneur, nous te remercions pour cette nourriture que tu nous donne. Bénis là pour nous et protège nous du mal en tout temps. Donne nous la force de réaliser ce que nous désirons, de trouver notre bonheur, mais aussi de te servir. Bénis tes serviteurs et aide les à ne pas perdre foi. Amen."
Le sons de ses pas se reverberait sur les murs du couloir, dans un rythme qui lui était particulier. Normalement, il aurait pût faire que personne ne l'entende. Mais son Maître était absent pour la journée, il allait chercher des ingrédients. Nécron se félicitait, son plan avait fonctionné jusqu'à maintenant et il n'avait eu aucun problème. Il avait bon espoir, il pouvait voir que son Maître commençait à laisser l'idée pénétrer son esprit. De petits indices le confortait dans son impression, surtout se regard un peu rêveur qu'il avait de plus en plus souvent. Il n'avait qu'une peur, qu'il se soit trompé et que cela ne se passe pas comment cela était censé. Si ce n'était pas la clef… Et si le maître ne trouvait pas le bonheur ?
Nécron savait qu'il s'en voudrait toute sa vie, il voulait le meilleur pour le maître. Mais il était confiant, hier, il avait trouvé dans un tiroir du bureau de son employeur une copie d'un des devoirs à elle… Un traitant sur un livre dont le maître était l'auteur, mais sous un pseudonyme. Il se souvenait que depuis que son employeur avait lu ce devoir sa vision de la jeune femme avait changée. Il avait été témoin de cela, c'est pourquoi il gardait l'espoir et espèrait avoir raison.
L'Elf arrêta le train de ses pensées et se concentra sur ses tâches quotidiennes. Il devait nettoyer la chambre de son maître, puis le laboratoire où il n'avait le droit de rentrer que quand aucun projet n'était en cours. Projets qui parfois duraient plusieurs mois. Le maître était un homme occupé, extrèmement intelligent mais renfermé et aux remarques sarcastiques. Cela faisait longtemps qu'il était au service de la famille et il savait que tout avait une raison… Les Rogues n'étaient pas des gens simples.
Paris… Il aimait et détestait cette ville en même temps. Trop de Parisiens, trop de Japonais avec leurs appareils infernaux, trop de romantisme aussi. Pourtant c'était une ville d'histoire, une ville tragique bien souvent, trop souvent. Des massacres avaient eu lieu dans ces rues, des révolutions avaient déchirées ce pays si souvent. Les Français étaient un peuple fier, mais il n'y avait souvent pas de quoi. Severus n'avait jamais bien compris ce peuple, ils avaient tout et rien, et pour lui leur image dans le monde était bien trop surfaite. Mais il y avait des points positifs aussi, si l'on connaissait bien, il y avait dans les rues de Paris le plus grand et surtout bien fourni de tous les fournisseurs en ingrédients rares pour les potions. C'était là qu'il pouvait trouver en grande quantitée, de quoi tenir plusieurs mois, les matières essentielles à la pratique de son art.
Installé en plein sur l'avenue Kebler à la vue de tous ou presque, le magasin des frères Merciers était réputé. Et puis, il était un client régulier, gage d'un bon service. Rogue fît rapidement ses emplètes faisant envoyer le tout directement chez lui, avant de se rendre chez Christophe avec qui il devait encore parler.
Il transplanta donc directement pas loin de la Malmaison dans la maison familliale et ancestrale des Duroc. Erigée en 1798 après la révolution française, elle était décorée dans un style hétéroclite mélangeant style Louis XVI et Empire. Cela donnait un résultat un peu trop doré au goût de Severus. Il avait appris de la bouche de Pierre que leur ami commun avait quitté le monastère le même jour que lui, ce qui était étonnant et imprévu. Le départ de Christophe avait été prévu seulement pour dans trois semaines. Qu'est-ce qui avait pu pousser son ami à quitter ce lieu qu'il aimait tant, un mois à l'avance ? Y avait-il du nouveau sur l'affaire ? Il se sentait impatient de comprendre et de savoir.
Une fois arrivé, il suivit puis fût introduit dans un salon un peu poussièreux par un vieil elf de maison qui semblait prêt à rendre l'âme. Au fond de la pièce, près de la cheminée, son ami, l'air assez abattu lui fît un sourire fatigué. Il sentit de l'inquiètude monter en lui…
"Ah, Severus… Je t'attendai. Entre donc et viens t'asseoir à côté de moi, nous devons parler."
Cela ne rassura pas Rogue, il ne connaissait pas ce regard à son ami. Quelque chose semblait brisé chez lui, mais a quoi était-ce lié ? Il alla s'asseoir sans quitter des yeux Christophe.
"Nous avons des nouvelles de Georg. Et bien qu'il n'y ait pas grand chose de nouveau, je crains que tu avais raison. L'affaire est bien plus compliquée qu'elle n'y paraissait au départ. Un nom a été cité un peu trop souvent. Black…"
"Black ? Ce ne serait pas plutôt un nom de code ?" demanda Rogue en essayant de se raisonner, ce simple mot le mettait déjà dans une colère qu'il sentait monter.
"Je crains que non, mon ami. J'ai peur que les morts ne se relèvent pour chercher vengeance. Tu est en danger, un grand danger, Severus."
Sans désserrer les dents, il répliqua.
"Il a été tué une fois, et si cela n'a pas été fait correctement, je l'achèverai si il le faut. Mais je dois t'avouer que je ne crois pas fort à cette histoire, un simple nom de code probablement. C'est le rat qu'il faut que l'on attrape et vite." S'exclama Severus en se levant. Il s'enervait, cette allusion à Black faisait remonter trop de mauvais souvenirs. Encore une fois le passé montrait le bout de son nez et cela ne lui disait rien de bon.
"Voyons Severus, rien ne sert de hausser la voix. Tu sais bien que nous faisons tout notre possible pour le reperer. Même Marcus s'est finalement décidé à bouger ses fesses de Darkstein. Et cela veut tout dire…" La remarque fit apparaître ce qui pouvait être defini comme un sourir pour Rogue. Marcus était plutot un cerveau, il aimait concevoir des plans, pas les mettre en action. De plus, il était le seul qui était marié et devait donc penser à sa femme et ses enfants. Un sur cinqs… Enfin, Georg avait été marié mais était aussi très vite devenu veuf, le malheureux. Sa femme, une magnifique sorcière d'origine cosaque avait longtemps été sa petite amie. Un an après sa graduation de Darkstein, Georg l'avait demandée en marriage et quelques mois plutard elle était morte. Personne n'a jamais sus ce qui s'était passé, Georg n'en avait plus jamais parlé depuis, mais il avait changé.
"Oui, j'ai de la chance de vous avoir tous…" Murmura l'homme en noir. Christophe était levé à present, leur réunion touchait à sa fin et Rogue se préparait déjà à repartir. Il récupéra sa cape et se retourna une dernière fois vers son hôte. Ce regard étrange avait à nouveau atteint les yeux de l'homme. Les deux maîtres des Potions se regardèrent longuement puis enfin, Severus se décida à partir. Au moment où, il franchissait le seuil de la maison, Duroc le rattrapa par un bras. Il serrait fort, très fort remarqua l'Ex-Mangemort.
"Encore une chose, Severus. Je suis moi aussi amoureux d'elle, si tu tiens à mon amitié, ne la blesse jamais." Rogue tenta de se défendre mais l'autre l'interrompit. "Elle t'aime, plus qu'elle ne m'aimera jamais. Ne gâche pas cela… " La porte se refrema au nez de Severus qui compris enfin la raison de cette étrange lueur au fond des yeux de son ami. Les paroles prononcées n'eurent effet dans son esprit que plutard, quand il était de retour dans son château en face d'un feu, un verre d'eau fraîche à la main.
Il repensa alors à la jeune fille qu'il avait sauvée et ce qui avait traversé son esprit à cet instant-là refît surface. Ces émotions fortes qu'il avait resenties, ce bonheur qui avait prit naissance dans son cœur étrangement, alors que son esprit venait à la conclusion, la délivrance arrivait enfin… Quand il l'avait recouverte de son corps pour la proteger, il était certain que la mort était proche et pourtant il avait été heureux. Il pouvait encore sentir les mains de la jeune femme se glisser dans ses robes et s'entourer autour de lui. Il se souvînt qu'alors il n'avait pas sûs comment réagir, cela était si étrange que quelqu'un se serre contre lui. Une odeur si douce s'échappait d'elle et puis rien n'avait plus d'importance.
Après, il y avait eu le choc, puis la découverte de sa liberté qui avait estompés les sentiments qu'il avait éprouvé alors… Mais c'était des moments forts en émotions pour eux deux, il avait toujours fait attention à elle, dès qu'il avait vu le potentiel qu'elle avait en elle, il avait gardé un œil sur elle, il l'avait surveillée. C'était plus que ce qu'il aurait fait pour un autre élève peut-être, surtout pour une élève n'appartenant pas à sa maison… La proteger pas l'aimer…
Il se rappella aussi de leur discussion sur la tour, lors de la fin de l'année. Elle avait volontairement prise une de ses mains, elle lui avait dit que ses remarques blessantes n'avaient fait que la rendre plus forte. Elle avait semblée reconnaissante, avant même qu'il ne lui sauve la vie… Mais alors… Se pouvait-il que cela n'ai pas tant à faire avec les évenements de la fin de l'année dernière ? Se pouvait-il qu'elle ait déjà nourris, à l'époque, quelques sentiments pour lui ?
Rogue se sentit un peu confus, il avait toujours refusé l'amour de Hermione en se disant qu'elle ne le pensait pas serieusement et puis elle était trop jeune, il ne voulait pas s'imposer auprès d'elle. Mais surtout que tout cela était dût au choc qu'elle avait reçue lors de la mort de ses amis. Et puis, il n'était pas l'homme qu'il lui fallait et cela faisait si longtemps qu'il s'était juré de ne pas avoir de femme, ni d'enfants. Mais l'époque de ce serment lui paru si lointaine et soudain, il compris qu'il était différent de l'homme qu'il était lorsqu'il s'était fait cette promesse. La chute de Voldemort lui permettait un nouveau départ, un avenir qu'il n'aurait jamais cru possible, qu'il n'avait même jamais esperé ou souhaité.
La vie lui donnait une nouvelle chance et s'était à lui de la saisir. Mais cela ne résolvait pas ses problèmes de conscience concernant Miss Hermione Granger. Et son ami Christophe qui s'ajoutait à tout cela, sans compter que Pierre était l'oncle de la jeune femme… Il avait pensé jeune femme ? Il était temps qu'il trouve un projet en Potion… Un qui nécéssitait deux éxécutants…
Il n'avait eu aucunes nouvelles d'elle depuis presque cinqs mois, ce n'était pas normal. Surtout venant de la part d'Hermione. Il était vrai qu'il n'avait pas non plus fait signe très souvent, mais il était inquièt maintenant. Il avait envoyé un hibou mais celui-ci était revenu avec sa lettre.
Il contacta d'anciens amis pour essayer de retrouver la trace de la jeune femme. Il s'était éloigné de tous ceux qu'il connaissait depuis qu'il ne se sentait plus nécéssaire. Mais un petit retour allait être obligé si il voulait savoir où elle se trouvait. La meilleure de ses options était encore de retourner à la source et donc de demander à d'autres de ses anciens amis, ceux-ci se situant pour la plus part à Poudlard. Direction l'Ecosse donc…
Il arriva à Poudlard, tard ce soir-là et fût directement reçu par Dumbeldore avec qui il parla durant quelques heures, de tout et de rien, mais surtout de la raison de sa visite…
Désormais, il savait où il pourrait la trouver sans trop de problèmes. Il était rassuré, mais voulait aller verifier de ses propres yeux. Si jamais elle n'était pas heureuse ou malade ou seule ? Il transplanta en direction de la France le soir même. Il se rendis chez la seule personne vivant en France qu'il connaissait. Et cela ne lui faisait pas plaisir, mais il devait demander l'aide d'un vieil ennemi. Il lui fallait un lieu où dormir cette nuit, puis il faudrait qu'il trouve un moyen de se rendre sur place.
En effet, la transplantation était quelque chose de fantastique mais il fallait toujours c'être déjà rendu dans l'endroit où l'on voulait aller pour pouvoir le visualiser exactement. Ou, il fallait transplanter en suivant quelqu'un, c'est-à-dire en ayant un lien physique avec la personne. La troisième possiblilité était une marque des Ténèbres… La marque servait de guide. Mais il n'en avait pas, encore heureux et surtout, il n'y avait pas de Seigneur des Ténèbres à l'autre bout pour l'appeler, puisque celui-ci avait été détruit… Donc, il allait devoir recourir à un moyen moldu pour la retrouver. Mais cela serait pour demain, il était maintenant devant un grand manoir de style néo-gothique et la grande porte à laquelle il faisait face, s'ouvrait enfin. Il s'attendait à un elf de maison, mais ce fût deux pieds recouverts de bottines noires et des jambes vêtues d'un pantalon noir large qui l'acceuillaient. Remontant son regard, il rencontra celui de son ancien ennemi.
"Bonsoir, Severus. Accepterais-tu d'heberger un vieil ennemi ?"
"Entre." Le maître des potions s'effaca le temps de le laisser entrer. Puis le guida vers un salon, bibliothèque où dans une large cheminée brûlait un grand feu. Après avoir versé deux grands verres avec de l'eau fraiche, il se tourna vers son visiteur et lui indiqua un fauteuil. Rogue lui tendît un des verres et alla s'asseoir en face.
"Alors dis-moi, Remus… Que viens-tu faire en France ? Chez moi, qui plus est…"
N/A : Je ne réponds jamais au revieuws, mais cela ne veux pas dire que je ne les apprécient pas… Je n'aime juste pas encombrer la fin du chapitre avec une liste de noms et un mot perso pour chaque. Si vous voulez une réponse personnalisée demandez le et laissez une adresse mail… Si vous avez des questions, des idées… des récriminations et que vous voulez une réponse… Vous savez quoi faire désormais.
Je remercie tous ceux qui ont laissé une review en particulier ceux qui ont répondus à ma question, cela m'a beaucoup aidée dans mon choix ! J'espère que vous aimerez tous le tournant que va prendre l'histoire… A bientôt. Et je vous souhaite à tous…
Merry Xmas and Happy new Year, Joyeux Noël et Bonne Année, Frohe Weihnachten und ein gesegnetes Neues Jahr, etc…
Et que l'année 2005 soit phénoménale pour chacuns d'entre vous !!
