Record battu, je poste une fic à peine cinq ou six heures après l'avoir écrite. /aime écrire des fics pendant les cours de math/ Bon, voilà un de mes styles de fics préférés, court, pas très clair, où il ne se passe vraiment pas grand-chose et où il faut deviner les personnages. n—n
Warnings : Rien du tout. Enfin, si, spoiler si l'on veut... /veut pas le dire pour pas gâcher le suspense/ Bon, d'accord, spoiler sur le passé de Battosai Himura... plus ou moins... mais sinon, rien du tout.
Disclaimer : Pas n'à moi les persos. T.T
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Il aime la regarder marcher. Quand elle se promène dans le jardin lorsqu'il fait beau, le soleil fait luire ses cheveux et la brise légère les fait voler doucement autour de son visage et le blanc de sa peau semble encore plus pur contre le noir profond de ses cheveux. Quand elle marche, les pans de son kimono clair bougent et frappent doucement contre ses chevilles et le cerisier dessiné dessus bouge lui aussi et on dirait que c'est le vent qui l'agite. Quand elle marche, ses pieds touchent à peine le sol et dérangent à peine les cailloux du chemin, mais les semelles de bois de ses sandales claquent à chaque pas et le jardin résonne de son pas lent et régulier. Quand elle marche, la partie de ses cheveux retenue par le lien de soie rose tressaute entre ses omoplates et à chaque fois on dirait que le lien va lâcher et que la masse luxuriante de ses cheveux va se libérer et venir à la vie. Mais le lien tient bon, et ses cheveux restent emprisonnés.
Il aime beaucoup ses cheveux.
Il aime la regarder lorsque le soir, dans le silence de sa chambre plongée dans la pénombre, elle défait elle-même le lien de soie et ses cheveux tombent — glissent, coulent, cascadent sur ses épaules et son dos, ondulent autour de sa gorge pâle, murmurent sur le tissu fin de son kimono, luisent et brillent dans la faible clarté de la pièce.
Alors ses longs doigts fins et blancs se referment délicatement autour d'un peigne — le peigne d'ivoire sculpté qu'il lui a offert, lui, cet homme qu'elle aime et qu'il hait — et le peigne glisse sans effort dans ses longues mèches soyeuses.
Il reste debout sur le seuil de sa chambre, à demi caché derrière la porte, les yeux fixés sur ses mains blanches qui s'affairent lentement dans la masse brillante de ses cheveux noirs.
Puis elle se retourne pour ranger le peigne et elle croise son regard — ses cheveux coulent sur ses épaules tandis qu'elle se penche légèrement en avant — et elle lui sourit.
— Va dormir, Enishi.
Et il referme la porte en silence.
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Ma pov' Tomooeeeeeeeeeeeeeeeee TT.TT
Donc, ouuaaiis, c'était Tomoe vue par Enishi, léger EnishixTomoe à sens unique si vous voulez. /veut/ Ekchkujez-moa si je pense moi personellement que l'adoration fraternelle d'Enishi est un tout chitit peu excessive. D'accord, Tomoe est trop belle et trop gentille et géniale et tout /s'emporte/ mais quand même.
Puis de toutes façons chuis tarée et je vois de l'inceste, du shônen-ai et du shôjo-ai partout XP
Reviews komem pliiiz? n—n