Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JKR ou à Star polaris, sauf la traduction.

Et voici un nouveau chapitre tout frais tout neuf rien que pour vous

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Chapitre 9 :Oeuvrant à la fin de la guerre

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Tous regardèrent sous le choc la silhouette immonde du Seigneur des Ténèbres s'écrouler, la dague encore plantée dans son dos. Personne ne bougeait, n'osant croire ce qu'il venait de se produire. Finalement, Denis, qui avait essayé de comprendre tout ce qui se passait, parla à voix basse, mais, à cause du silence de mort qui recouvrait la salle, c'était comme s'il avait crié ces mots.

«Colin?»

Le son traversa la pièce, sortant tout le monde de leur état de choc. Comme une personne, les Death-Eaters se tournèrent vers l'adolescent qui se tenait toujours devant Voldemort, oubliant les professeurs qui attendaient avec précaution une opportunité pour récupérer leurs baguettes. Malfoy, celui qui avait été le plus rapide à avoir la Marque des Ténèbres, fut sur le point de lancer le sortilège mortel lorsque les fenêtres derrière la table des professeurs éclatèrent en milliers de morceaux. Un énorme griffon passa par l'ouverture, rugissant et surprenant ainsi les Death-Eaters. Cela donna à Colin l'opportunité de bouger. Se précipitant en avant, l'adolescent commença à jeter des sortilèges à sa gauche et à sa droite, rapidement rejoint par Ron, qui s'était métamorphosé.

Cela ne prit pas plus de quelques minutes pour maîtriser les Death-Eaters. Rapidement, les professeurs récupérèrent leurs baguettes de leurs poches, et firent face aux deux adolescents. Dumbledore sembla hésiter.

«Mr Creevey?»

Avant que quelqu'un n'ait pu prononcer un mot, les portes de la Grande Salle se rouvrirent et un corps s'écroula, provoquant des hurlements. Derrière la silhouette à terre, Hermione entra dans la pièce, suivit par le maître de potions, et Tonks.

«J'ai bien peur qu'il soit indisposé pour le moment, Directeur, mais, je suis sûr qu'il sera ravi de répondre à quelques questions un peu plus tard.»

Une sombre voix par-dessus son épaule parla doucement. «Et s'il ne l'est pas, je m'assurerait qu'il le soit.»

Dumbledore déplaça ses yeux sur la silhouette toujours immobile vers son double pour faire face à Harry, qui ne semblait pas vraiment concerné. Avant que le dDirecteur n'ai eut une chance de faire un commentaire, le jeune aux cheveux roux parla.

«Ne pensez vous pas qu'il faudrait appeler le ministère? Après tout, je suis sûr qu'il sera intéressé de voir tous ces Death-Eaters.»

Le regard de Harry s'était fixé sur la silhouette de Voldemort. La dague pulsait légèrement et il savait que leur travail n'était pas encore terminé.

«Directeur, s'il vous plait, pouvez-vous faire sortir tout le monde de la salle? J'ai bien peur que si nous ne faisons rien, la puissance de ma dague ne sera plus capable de contenir l'âme de Voldemort bien longtemps, et nous devrons alors tout recommencer.»

Dumbledore, même s'il ne comprenait pas exactement ce que voulait dire l'adolescent, acquiesça son consentement, et d'un mouvement, les directeurs de maisons commencèrent à rassembler leurs étudiants et à les renvoyer vers leurs tours. Snape, qui n'avait pas bougé de la porte, se rapprocha du Directeur. «Et les Slytherins, Albus?»

Le vieil homme se tourna vers les étudiants, alors que les plus jeunes semblaient effrayés, les sixième et septième années fixaient sombrement Harry qui parlait maintenant à voix basse avec ses deux amis.

«Je ne sais pas ce que nous devons faire avec eux, Severus. Peux tu mettre les plus vieux dans un endroit où ils ne feront pas de mal, envers nous, ou entre eux?»

Snape sembla pensif pendant une seconde, puis, il prit sa baguette, la pointa vers l'endroit où les étudiants les plus âgés étaient assis, et murmura 'Dormus'. D'un coup, tous les étudiants affectés par le sortilège s'écroulèrent vers l'avant, jusqu'à ce que leurs têtes soient contre la table. Au sourcil levé de Dumbledore, le sombre Maître de potions haussa des épaules. «Je n'ai pas pu trouver une autre façon où ils ne pourraient faire de mal à personne.»

Le directeur eut un petit rire, et il laissa l'homme s'occuper de ses petits serpents. Le trio s'était maintenant approché de l'ancien Seigneur des Ténèbres, et le regardaient avec critique.

Griffin leva les yeux lorsqu'il s'approcha d'eux. «Directeur, nous avons vraiment besoin que vous vous dépêchiez de faire sortir tout le monde de là.»

Le vieil homme fronça des sourcils. «C'est un peu difficile de réussir cela avec tant de corps. Cela pourrait prendre quelques minutes.»

Ron se renfrogna, et tourna son regard vers le corps. Dumbledore ne l'avait pas remarqué auparavant, mais il était maintenant sûr que la dague pulsante n'était pas aussi profondément enfoncée dans le dos de Voldemort qu'elle ne l'avait été.

La douce voix de Harry offrit une explication à la question non demandé. «Son corps est peut être mort, mais son âme est toujours vivante. Dans la vieille tradition Chinoise des sorciers, l'ont dit qu'un sorcier n'est pas mort avant que son âme ne soit passée par le niveau où elles sont nettoyé, et retourné à la terre pour renaître. Et, alors que cela arrive à n'importe quelle personne, les sorciers de l'ancien temps étaient effrayés par les sombres âmes, celles qui venaient des sorciers ayant commis des meurtres ou d'autres crimes graves, qui contaminerait ce niveau, et déformerait le nettoyage des âmes. Pour empêcher ces âmes de continuer, les anciens sorciers ont fabriqué cette dague. Ce n'est pas seulement une arme puissante, c'est aussi une attrapeuse d'âme. Les âmes des sorciers tués par cette dague sont aspirées à l'intérieur, et garder par des conteneurs jusqu'à un certain moment, où les sorciers pensent que l'âme est assez faible pour ne pas endommager ce niveau.»

Dumbledore acquiesça, comprenant finalement, même s'il était un peu secouer à la vue d'une arme si puissante, il ne pouvait s'empêcher de se demander ce que cela ferait si le sorcier attaqué par une telle arme ne soit pas tué, mais seulement blessé. Est-ce que la dague sucerait tout de même son âme hors de son corps. Il reporta son attention au problème auxquels ils devaient faire face.

«Est-ce supposé faire cela?»

La dague commençait maintenant à trembler légèrement. Harry soupira. «Idéalement non, mais vous devez réalisé que Voldemort est exceptionnellement puissant, donc ce n'est pas étonnant de voir que son âme à garder une grande partie de sa puissance. D'un autre côté, les dagues ne sont plus vraiment utilisé. Ce n'est seulement que par chance que j'ai réussi à mettre mes mains sur l'une d'entre elle, mais leurs puissances à diminuer après des siècles. Je ne pense plus qu'elles soient capables de retenir une âme de sorcier normal pendant plus d'un mois ou deux.»

Dumbledore soupira. «Donc, et maintenant?»

Harry ne put s'empêcher de lever un sourcil envers le vieil homme, pourquoi cette soudaine suffisance? Il s'était attendu à ce que le vieil homme essaye de faire quelque chose au lieu de regarder passivement ce qu'ils pensaient faire de mieux. Secouant sa tête, il fit un mouvement detête vers Phoenix, qui était en train de sortir un petit paquet de sa poche.

La jeune fille regarda derrière elle, et voyant la salle pratiquement vide, elle déballa la petite boîte. Dumbledore regarda curieusement la boîte noire révélée. Hermione ne fit aucun geste pour ouvrir la boîte, au lieu de cela, elle semblait attendre patiemment que tout le monde soit sorti, alors qu'elle reprenait l'explication où Dragon avait arrêté.

«Les anciens asiatiques n'étaient pas les seuls à avoir pensé à modifier les âmes avant qu'elles aillent dans la vie après la mort. Dans la société Maya, c'était une pratique courante de nettoyer les âmes après la mort de quelqu'un. Ils pensaient que des âmes non purifiées offensaient leurs dieux, et la plus grande punition pour quelqu'un était d'être tué et de ne pas avoir son âme purifiée. J'ai eu la chance de faire des recherches là-dessus pendant que j'étais là-bas. D'abord, je pensais que les rituels étaient simplement faits pour apaiser la peur des gens face à la mort, comme tant d'autre dans le monde. Mais il y avait plusieurs endroits où la magie jouait un rôle, et je suis sûr que cela nettoyait réellement les âmes. Pour réaliser cela, ils avaient d'énormes torches embrasées du feu de Phoenix. Ils incinéraient les corps, et exactement comme les larmes de phoenix, le feu soignait l'âme de celui qui venait juste de mourir.»

Il n'y avait plus personne dans la salle en dehors d'eux. Griffin pouvait voir Sirius et James hors de la salle, en train de les regarder, comme s'ils voulaient entré, mais n'étant pas sûr de le pouvoir. Hermione, qui l'avait aussi remarqué, ouvrit finalement la boîte et montra son contenu à Dumbledore.

Le vieil homme poussa un petit cri à sa vue. C'était la plus belle pierre qui lui avait été donné de voir. Si le collier phoenix qu'il avait reçu des adolescents semblait beau, cette pierre lui coupait simplement le souffle. Il semblait que du feu avait été directement prit d'un phoenix, et figé à l'intérieur de la pierre. Hermione, se doutant de ses pensées, fit un petit sourire.

«C'est en effet du feu de phoenix. Le problème que les Mayas avaient parfois, était que l'âme fuyait du corps avant qu'il n'ait pu finir leurs rituels. C'était habituel pour ceux qui avait trahi leurs croyances ou pour de jeunes adolescents qui n'avait pas été béni d'une longue vie, et qui n'avaient eu pratiquement aucun attachement avec le monde qu'ils étaient sur le point de quitter. Voldemort, étant l'âme énervante qu'il est, serait facilement capable de fuir le feu avant que nous ayons la chance de le finir. C'est la raison pour laquelle nous avons fait cela, surtout pour lui. Le feu qui brûle au centre, et la couverture est faite d'écailles de Dragon, et sera capable de contenir autant de puissance nécessaire alors que l'âme de Voldemort sera nettoyée.

Même si leurs explications étaient logiques, Dumbledore étaient encore inquiet. «Est-ce que le nettoyage sera suffisant pour lui?»

Ce fut Griffin qui parla cette fois. «Pour lui?Oui, nous sommes pratiquement sûr que le feu le détruira. Après tout, son âme est aussi sombre que lui, et s'il faisait face à la lumière pure du feu du phoenix, il sera détruit.» Soupirant, il indiqua la pièce vide. «Mais simplement au cas où, nous serons les seuls présent. S'il devait échapper au conteneur, il sera enfermé dans cette pièce avec nous. Quelques enchantements vont nous assurer de cela, et puis, nous n'aurions pu qu'à attendre, après tout, une âme ne peut survivre très longtemps dans corps.»

Le directeur fut forcer de faire remarquer quelque chose. «Vous serez toujours là.»

Harry renifla. «Ne vous inquiétez pas pour nous, nous sommes protégés contre un tel essai. Il ne sera pas capable de nous posséder.»

Lorsque le vieux sorcier ouvrit sa bouche pour poser une autre question. Phoenix l'interrompit. «Notre temps est arrivé. Vous devez sortir d'ici et nous autorisé à finir nos préparatifs.»

Soupirant, le vieil homme acquiesça, reluctance. «Soyez prudents mes enfants, et restez en vie.»

Sur ces derniers mots, le vieux directeur sortit, suivit des regards curieux des trois adolescents. «Comme une personne, une pensée traversa leurs esprit. «Qu'est ce qui ne va pasavec lui?»

Secouant sa tête, Harry ferma la porte fermement d'un mouvement de baguette. «Nous réfléchiront au comportement passif de Dumbledore après en avoir fini avec cela.»

Acquiesçant, ses deux amis se déplacèrent vers les fenêtres brisées, et, après les avoir réparé, Ron commença à marcher dans la pièce, parlant à voix basse, et tapotant les murs avec sa baguette, plaçant les enchantements pour tous les contenir dans la pièce au cas où Voldemort se libèrerait.»

De leur côté, Phoenix commença à dessiner une grande figure sur le sol avec sa baguette, et Dragon déplaça le corps mort au centre du cercle.

Cela leur prit pratiquement une heure pour mettre tous les enchantements en place, et à ce moment là, seul le bout de la dague était encore enfoncé dans la silhouette du Seigneur des Ténèbres. Chacun d'eux se plaça à un somme du triangle dessiné sur le cercle, et après un dernier regard, ils fermèrent leurs yeux. Il était temps de mettre fin à cette guerre.