Trois moi après, Frodon faisait les cents pas dans son petit salon de Creux-
de-Crique, absorbé par de multiples pensées. Le ventre de Lily, à présent
joliment arrondi, lui rappelait à chaque instant sa paternité imminente.
Cette pensée le réjouissait tout autant qu'elle l'angoissait. Son propre
père avait disparu alors que Frodon n'était qu'un tout jeune garçon. Son
oncle et sa tante Brandebouc avaient été parfaits, lui avaient donné tout
leur amour, mais. il ne s'agissait que de son oncle et de sa tante, non de
véritables parents. Quant à Bilbon, il ne l'avait réellement adopté que
dans le courant de sa vingtième année. Bilbon.pourquoi ne donnait-il pas
signe de vie ? Se désintéressait-il du futur petit Sacquet ?
Chéri, qu'est ce que tu as ?
Rien, rien, mon amour.
Mais si, je le vois bien, tu es contrarié. Dis-moi ce qui se passe.
Oh, c'est Bilbon, il n'a pas encore répondu à ma lettre et ça m'inquiète beaucoup. Ce n'est pourtant pas dans ses habitudes de.
Frodon fut interrompu par un coup frappé à la fenêtre du petit salon. Par l'ouverture ronde, il reconnut le visage du petit Tom Fouine.
Monsieur Sacquet, un grand bonhomme blond m'a donné ça pour vous, dit-il en tendant une lettre à Frodon.
Il ne t'a pas dit son nom ?
Non, M'sieur, il a juste dit que c'était très urgent.
Je te remercie, mon petit Tom.
De rien, M'sieur ! Au revoir, Madame Sacquet !
Au revoir, Tom.
Frodon considéra l'enveloppe, perplexe. Il ne s'agissait pas d'un modèle usité dans la Comté. Le papier, très blanc, semblait ne présenter aucune attache visible. Frodon retourna le plis, et découvrit un sceau bien connu de lui.
Gandalf ! Hurla-t-il, fou de joie. Bilbon a donc bien reçu ma lettre !
Eh bien, ouvres vite !
La joie de Frodon fut de courte durée. Dans la lettre, écrite de la main bien connue du magicien, voici ce que Frodon put lire :
« Votre oncle est gravement malade. Il sent sa dernière heure proche et veut vous révéler un lourd secret avant de mourir, venez vite avec Lily
G »
Oh, non ! S'écria Frodon, fondant en larmes.
Mais qu'est ce qui se passe ?
Frodon tendit fébrilement la lettre à Lily qui put se rendre compte de la triste situation.
Eh bien, il faut partir immédiatement. Ne perdons pas de temps !
Mais ma chérie, dit péniblement Frodon entre deux sanglots, pourras-tu supporter le voyage dans ton état ?
Je ne suis pas en sucre et je me porte fort bien. J'irais avec toi, préparons vite les bagages.
Comme je t'aime, ma Lily !
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
c'est le dernier chapitre pour cette semaine, car je part jusqu'à Dimanche en stage de danse. Mais dès que je serais rentrée, vous aurez des nouvelles de Bilbon, promis !
Chéri, qu'est ce que tu as ?
Rien, rien, mon amour.
Mais si, je le vois bien, tu es contrarié. Dis-moi ce qui se passe.
Oh, c'est Bilbon, il n'a pas encore répondu à ma lettre et ça m'inquiète beaucoup. Ce n'est pourtant pas dans ses habitudes de.
Frodon fut interrompu par un coup frappé à la fenêtre du petit salon. Par l'ouverture ronde, il reconnut le visage du petit Tom Fouine.
Monsieur Sacquet, un grand bonhomme blond m'a donné ça pour vous, dit-il en tendant une lettre à Frodon.
Il ne t'a pas dit son nom ?
Non, M'sieur, il a juste dit que c'était très urgent.
Je te remercie, mon petit Tom.
De rien, M'sieur ! Au revoir, Madame Sacquet !
Au revoir, Tom.
Frodon considéra l'enveloppe, perplexe. Il ne s'agissait pas d'un modèle usité dans la Comté. Le papier, très blanc, semblait ne présenter aucune attache visible. Frodon retourna le plis, et découvrit un sceau bien connu de lui.
Gandalf ! Hurla-t-il, fou de joie. Bilbon a donc bien reçu ma lettre !
Eh bien, ouvres vite !
La joie de Frodon fut de courte durée. Dans la lettre, écrite de la main bien connue du magicien, voici ce que Frodon put lire :
« Votre oncle est gravement malade. Il sent sa dernière heure proche et veut vous révéler un lourd secret avant de mourir, venez vite avec Lily
G »
Oh, non ! S'écria Frodon, fondant en larmes.
Mais qu'est ce qui se passe ?
Frodon tendit fébrilement la lettre à Lily qui put se rendre compte de la triste situation.
Eh bien, il faut partir immédiatement. Ne perdons pas de temps !
Mais ma chérie, dit péniblement Frodon entre deux sanglots, pourras-tu supporter le voyage dans ton état ?
Je ne suis pas en sucre et je me porte fort bien. J'irais avec toi, préparons vite les bagages.
Comme je t'aime, ma Lily !
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c'est le dernier chapitre pour cette semaine, car je part jusqu'à Dimanche en stage de danse. Mais dès que je serais rentrée, vous aurez des nouvelles de Bilbon, promis !
