Voici un nouveau chapitre que je dédie cette fois à mon amie Eryna, vous allez vite vous rendre compte pourquoi. A ce propos, je vous invite vivement à aller lire sa dernière fic(j'arrive jamais à écrire le titre) qui est vraiment excellente, et qui nous montre une fois de plus un Frodon formidable même si ce n'est pas le héros(mais Frodon peut-il être autre que formidable ?) Bon, j'arrête là mes divagations et vous laisse à votre lecture. Tordé n'ayant pas fait de blague amusante cette semaine, je cite ici quelques vers d'une chanson de Serge Lama pour lui rendre hommage : « c'est mon ami et c'est mon maître c'est mon maître et c'est mon ami dès que je l'ai vu apparaître j'ai tout de suite su que c'était lui lui qui allait m'apprendre à être ce que modestement je suis » Voilà, et encore merci pour vos rewiews et votre soutien !^^

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« Eh, Ma'aine, est ou, Maman ? »

« Elle ne va pas tarder, ma chérie. Tu vas pouvoir lui montrer tes belles couettes. »

« Vui ! Zouli ! Zentille, Ma'aine ! »

« Ne t'agites pas trop , Primmie, tu vas être toute décoiffée ! »

« Ah ? »

« Et oui, ma grande ! »

« Est ou, Pa'ain ? »

« Il dort. »

« Peux voi' Pa'ain ? »

« Oui, bientôt, chérie, bientôt ! On va le laisser dormir, tu veux ? Viens, on va jouer toutes les deux. Oh ! Mais regardes qui est là ! »

« Maman ! Maman ! »

« Oh, que tu es jolie , mon trésor ! C'est Marraine qui t'a coiffé ? »

« Vui ! To fo'te, Ma'aine ! »

« Primmie, qui t'a appris à parler comme ça ? Gronda gentiment Frodon. »

« Pa'ain ! »

« Ah. Oui, ça ne m'étonne pas. »

« Y do', Pa'ain ! »

« Alors, il faut le laisser dormir. »

« Lily, nous pensions amener Primula au lac, cet après-midi, Pippin et moi. Peut-on la baigner ? Demanda Diamant. »

« Oui, bien sur, si tu la tiens bien. Tu veux aller au lac avec Parrain et Marraine ? »

« Vui ! »

« Tu seras bien sage ? »

« Vui ! »

« Bon, ça va, alors. »

A ce moment, Eglantine Touque apparut dans le salon.

« Bonjour, mes enfants ! Vous avez passé une bonne nuit au Creux- de-Crique ? La route a été bonne ? »

« Oui, merci, ma Tante, répondit Frodon. »

« Bien ! j'espère vous garder quelques jours. J'ai préparé votre chambre. C'est une chambre d'amis, cette fois. »

« Merci, ma Tante. Mais nous ne resterons pas longtemps. Lily s'inquiète pour Rosie...et moi aussi. »

« Ah, oui, je comprends. »

« Papa, est ou Elano' ? »

« A la maison, chérie. Avec Tonton, Tatie et Papou. »

« Ah. »

« Enfin, vous verrez au moins Paladin. Il devrait rentrer ce midi de Grand-Cave ou il était pour affaire. Il sera content de vous voir. »

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Les inquiétudes de Lily quant à la solitude de Rosie étaient injustifiées. Prétextant l'absence des époux Sacquet, l'ancien et Dora étaient venu presque tous les jours à Cul-de-Sac se rendre compte de la santé du bébé et de la jeune maman. Ainsi, pendant que Pippin était occupé à consoler sa cousine de l'incident de la chambre de Perle, l'ancien était à Cul-de-Sac, occupé à bercer sa dernière petite-fille.

« Bien, je crois que je vais aller coucher Elanore, maintenant, Hamfast, dit doucement Rosie. »

« Oui, elle tombe de sommeil. En tous cas, je suis gâté ! J'ai deux adorables petites filles ! »

« Oui, et moi j'espère que j'aurais bientôt un petit-fils, intervint Bilbon. Votre fille ne semble guère disposé à retourner aux biberons, Maître Gamegie, et mon petit Sacquet attend pour venir au monde ! »

« Ah, c'est vrai, répondit l'ancien. j'espère qu'il n'y a pas de désaccord entre Frodon et Lily ! C'est pas naturel, ça, que Primula n'ai pas encore de petit frère ou de petite s?ur ! Sam, ta s?ur ne t'a rien dit ? »

« Je ne me mêle pas des affaires conjugales de Lily, moi ! »

« Hamfast, je puis vous assurer que tout va bien. Tout le monde sait qu'ils s'aiment ! Les murs sont si minces ! »

« Oh, Monsieur Bilbon ! S'écria Sam, indigné. »

« Mais enfin, Sam, calmes-toi, je plaisante. »

« Bon, et bien, nous allons vous fausser compagnie, intervint Dora. »

« Moi aussi, dit Bilbon. Je suis invité à dîner chez les Rouquins. Et puis la place d'un vieux grison comme moi n'est pas au milieu d'un jeune couple. »

Sur ces mots, Bilbon pris son manteau et sortit.

« Bon, allons-y si tu veux, Bibiche, dit Hamfast en embrassant Dora. »

« Je te suis, Amour, répondit Dora. Et si tu es sage, tu auras droit à un petit massage. »

« Mais enfin..commença Sam. »

« Au revoir, Petit ! Dit l'ancien. au revoir, ma belle Rosie ! »

Quand son père et Dora furent partis, Sam entreprit Rosie :

« Mais tu les a vu ? A leur âge ? »

« Quoi, à leur âge ? Je les trouves adorables, moi ! »

« Mais enfin, c'est mon papa ! Les papas ne font pas ce genre de choses ! »

« Ah, oui ? Ce qui est vrai pour toi ne l'est pas pour tout le monde ! »

« Qu'est ce que tu veux dire, Rosie ? »

« Que tu devrais prendre exemple sur Frodon...et sur ton père ! »

« Mais Rosie...ce n'est pas convenable ! »

« Pas convenable de dire à sa femme qu'on l'aime ? »

« Mais..pas en public, enfin ! »

« Pourquoi ? Moi j'aimerais bien que tu me le dises plus souvent ! Tu..tu es un rustre, Sam ! »

« Mais ma chérie !...bon, ça va, je sais ce qui me reste à faire, dit Sam en se dirigeant vers l'entrée du smial. »

« Oh, qu'est ce que tu fais encore ? »

« Tu vas voir, dit Sam en ouvrant grand la porte d'entrée. Gens de la Comté ! »

« Mais Sam. »

« Gens de la Comté, dit Sam d'une voix forte, écoutez-moi ! J'ai à vous dire que moi, Samsagace Gamegie, j'aime ma femme, Rose, plus qu'hier et moins que demain ! »

Puis Sam referma la porte.

« Voilà. Tu es contente ? »

« Oh, oui ! Dit Rosie en se pendant au cou de son mari. »

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« Bonjour, les jeunes ! Dit joyeusement Paladin en entrant dans le smial. C'est une bonne idée que tu as eu, Pippin, de faire venir tes cousins ! Frodon, mon gars, ta femme est de plus en plus belle à chaque fois que je la vois. Ah, que n'ai-je trente ans de moins ! »

« Paladin ! »

« Oh, mais voyons, je plaisante, ma chérie, dit Paladin en embrassant sa femme. Mais c'est la petite Primula ! Qu'est ce qu'elle a grandi ! Il est vrai qu'ils changent tellement vite à cet âge là ! »

« Qu'est ce qu'on dit, Primmie ? Fit Lily. »

« Bouzou ! Papa Pa'ain, toua ? »

« Et oui ! Dit Paladin en soulevant la petite fille dans ses bras. »

« Est beau, Pa'ain ! »

« Bien sur, puisque c'est mon fils ! Et j'espère bien qu'il va me faire une petite-fille aussi mignonne que toi ! N'est ce pas, Diamant ? »

« Heu..rien ne presse. »

« Oui, c'est vrai, au fond ! Et puis ma fille aînée va se marier, elle me donnera bien un petit-fils ! Les deux autres aussi, d'ailleurs, feraient bien de se dépêcher ! »

« Je suis bien de ton avis, Papa ! D'ailleurs, si j'avais droit au chapitre, ce qui n'est pas le cas, j'aurais déjà un fils. J'avais même pensé lui faire épouser ma filleule, et... »

« Mais non, Pippin, enfin, ne régentes pas la vie de cette petite ! Elle a tout le temps ! Et elle n'aura qu'à choisir avec d'aussi beaux yeux ! »

« Pa'ain bébé ? »

« Mais non, ma puce. Mais je constate avec un certain soulagement que deux ans de guerre n'ont en rien entamé l'entrain de mon fils...ni son extraordinaire faculté à dire et faire n'importe quoi ! »

« Ah, ben c'est gentil, tiens ! »

« Oh, mais je te taquine, mon Pippin, je suis très fier de mon garçon ! Vraiment très fier ! Et puis tu as bon goût, mon fils, comme ton père ! Diamant est vraiment charmante ! »

« Euh..Paladin, il est déjà tard, intervint Eglantine. Ces enfants doivent avoir faim et ils veulent aller se promener cet après-midi. Si nous passions à table ? »

« Oui, ma petite caille, tu as raison. Et moi aussi je meurt de faim ! »

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« Laissez-moi ! Laissez-moi ! Je n'ai rien fait contre personne ! Je n'ai pas l'anneau ! Arrêtez ! »

« Frodon ! Frodon ! Réveilles-toi ! Réveilles-toi ! Fit Lily en secouant doucement son mari. »

« Mais que... »

« Je suis là, mon amour ! C'était juste un rêve. »

« Ou...ou suis-je ? »

« Mais enfin, tu es à Bourg-de-Touque. Allons, calmes-toi, c'est fini. »

« C'est affreux, dit Frodon en reprenant péniblement ses esprits. Cette hantise ne me quittera donc jamais ! Jamais ! »

Puis il se recroquevilla, la tête dans les genoux et se mit à pleurer.

« Allons, mon amour, tu n'es plus tout seul. Je suis là ! Je te protégerais ! Je ne laisserais plus jamais personne te faire du mal. »

« Mais tu ne comprends pas, Lily ! Tu n'y peux rien ! Personne n'y peut rien. Même détruit, l'anneau ne cessera jamais de me poursuivre. Ces horribles cauchemars reviendront, encore et toujours ! Je n'aurais de repos que mort ! Oh ! Que j'ai mal ! »

« Allons, allons, je sais bien, mais tu n'es pas tout seul ! Dit doucement Lily en serrant Frodon dans ses bras. Je ne t'abandonnerais pas. Je resterais toujours avec toi ! »

« Oui, oui, serres-moi fort, dit Frodon en se laissant aller sur la poitrine le Lily. J'ai tant besoin de toi ! Oh ! »

« Qu'est ce qui t'arrive ? »

« Mes blessures ! Elles se sont réveillées ! Aïe ! »

« Laisses-moi voir ça, dit Lily en s'écartant pour examiner les cicatrices de son époux. »

Une légère rougeur, presque imperceptible courrait autour de son index droit, désignant l'endroit ou le doigt avait été coupé, mais les marques infligées à son côté, son épaule, s nuque et son dos rougeoyaient à présent comme si le pauvre Frodon venait d'être roué de coups.

« Oh, mon pauvre chéri ! Attends-moi là, je reviens ! »

« Mais ou vas-tu ? Ne me laisses pas ! Gémit Frodon. »

« J'en ai pour une minute ! Je vais chercher la pommade que j'ai laissé dans la cuisine et je reviens. »

« Ah. Euh.Lily... »

« Quoi ? »

« Tu devrais te couvrir avec autre chose que tes cheveux...ou le pauvre Paladin va nous faire un infarctus. »

« Ah. Oui. »

Lily revint vers le lit et se saisit de la chemise que Frodon avait déposé plus tôt à côté de lui.

« Pourquoi prends-tu encore mes affaires ? »

« Dois-je te rappeler ce que tu as fait de ma chemise de nuit ? La pauvre n'a plus de bretelles depuis hier soir ! »

« Je suis désolé. »

Lily s'éclipsa et revint quelques instants plus tard, un petit pot vert dans la main

« C'est une pommade de mon père. Ça va te soulager, tu vas voir. »

Lily fit allonger Frodon et se mit à lui badigeonner tout le corps de l'onguent vert avant de le masser doucement pour faire agir plus vite le médicament. Au bout d'une demi-heure, Frodon poussa un soupir de soulagement, signe que les doigts agiles de son épouse avaient parfaitement accompli leur mission. Puis il s'assit et se mit à contempler Lily avec un regard chargé d'amour et de tristesse.

« Oh, je suis navré, mon amour. Je suis si égoïste ! »

« Que dis-tu ? »

« Oui, je suis très égoïste ! Je n'aurais jamais du t'épouser. tu méritais tellement mieux ! Regardes-toi ! Tu es si belle et si pleine de vie, et te voilà encombrée d'un mari susceptible de tomber malade, comme ça, sans raison ! La prochaine crise sera peut être pire ! »

« Mais chéri, cette situation, je l'ai voulue ! Je l'ai acceptée ! Tu n'as pas à t'en vouloir ! Tu n'as rien à te reprocher ! C'est en sauvant le monde que tu t'es abîmé ainsi, mon amour. Et tu n'es pas si abîmé ! Tu as quand même trouvé le moyen de me faire un magnifique bébé. »

« Oui, oui, c'est vrai, mais ça aussi c'était égoïste ! Je me suis fait plaisir ! »

« Heureusement ! Sinon, personne n'aurait d'enfant ! »

« Il n'y a pas que ça ! Quand je t'ai épousé, Lily, tu étais pure, intacte..telle que ta mère t'avais faite...et pas moi. Pendant que tu m'attendais, moi j'étais dans d'autre bras. Je ne pensais pas à ta générosité, à la force de ton amour ! »

« Mais mon chéri, c'est vieux, tout ça ! »

« Et alors ? Regardes Sam ! Il n'a jamais aimé que Rosie ! C'est ça que tu méritais, Lily, un c?ur vierge de tout sentiment ! Un c?ur qui n'ai jamais battu que pour toi ! Tu sais ce que je devrais faire ? Partir, partir et vous confier à Pippin, Primula et toi. »

« Bon, c'est fini, ta tirade ? »

« Mais... »

« Ecoutes, Frodon, tu n'as rien à te reprocher. Tu n'as rien à te reprocher parce que tu ne m'as jamais rien caché. C'est moi qui ai tout fait pour que tu me remarques. Pourtant, Sam m'avait toujours dit que les Sacquet n'avaient rien à faire avec les Gamegie. Et j'ai eu beaucoup plus que ce que j'espérais. moi je voulais juste que tu me laisses t'aimer. et que tu m'aimes un peu. C'est tout. J'ai été satisfaite bien au delà de mes désirs. Par contre, je ne peux pas vivre sans toi. J'aurais fait n'importe quoi pour te voir, n'importe quoi ! J'aurais même accepté d'être ta maîtresse !De te partager avec Perle ! Alors, être ta femme ! C'était mon rêve, depuis l'enfance. Alors tu vois, ce ne sont pas tes cicatrices ou tes cauchemars qui vont me rebuter ! Je suis plus forte qu'eux ! Je te soignerais ! A la longue, je finirais bien par les vaincre ! Sais-tu, après tout, de quoi je suis capable ? »

« Oh, mon amour ! Tu es si forte ! Si généreuse ! Si tu savais comme tes paroles me sont douces ! A présent je n'ai plus mal ! Et je n'ai plus peur ! »

« Oui, et moi je n'ai plus du tout sommeil, dit Lily en adressant un regard provoquant à Frodon et en faisant glisser la chemise de ses épaules. Tiens, je te rend ton bien ! Il fait très chaud, ici ! »

« Oui. Oui, et toi tu es mon petit volcan adoré ! »

« Vraiment ? »

« Oui, tu es mon petit volcan car tu peux être sulfureuse et brûlante quand l'envie t'en prend. Mais.mais je préfère nettement ces flammes-ci à celles du Mordor. »

« Et bien, te voilà guéri pour cette fois, mon c?ur ! »

« Oui, je crois que oui. Grâce à toi. Mais j'ai un autre problème.. »

« Ah oui ? »

« Oui, tu as allumé dans mon c?ur et dans mon corps un feu que tu peux seule éteindre. Je t'en prie, viens dans mes bras, mon amour. »

« Mais..et tes blessures ? Tu ne préfères pas que j'aille dormir à côté ? Tu serais plus tranquille, dit malicieusement Lily. »

« Mais tu veux me rendre fou ! »

« Oui, tout à fait, c'est ce que je veux ! Dit Lily en venant se nicher dans les bras de Frodon telle une chatte frileuse. Et j'y arrive bien, non ? »

« Oh, attends, tu vas voir ! S'écria Frodon en retrouvant son ton jovial. »

« Hi, hi ! Non ! Arrêtes ! Arrêtes, je crains les chatouilles ! »

« J'arrêtes, mais alors je te donne un gage ! »

« Hi, hi ! Oui, si.si..tu veux, dit Lily en reprenant péniblement son souffle. »

« Bien. Alors tu dois m'embrasser et me laisser te faire un gros, très gros câlin. »

« Oh, c'est cher payé ! »

« Oui, je trouve aussi. »

« Humm..bon, d'accord, dit Lily en approchant doucement ses lèvres de celles de Frodon. »

Puis ce dernier la saisit doucement par la taille et l'étendit complètement sur le lit, accentuant progressivement la force de leur baiser. Frodon laissa alors glisser ses lèvres le long du cou, puis de la gorge de sa femme. A ce moment précis, ce n'était plus Frodon qui était sous la coupe bienveillante et protectrice de son épouse mais Lily qui se laissait cette fois aller avec délice sous la chaleur des caresses de son bien-aimé qu'elle était parvenu à rassurer et à réconforter par la seule force de son amour.

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Voilà ! c'est tout pour aujourd'hui !^^ J'espère que ça vous a plu car ce chapitre m'a donné du fil à retordre. Si tel est le cas, laissez moi une gentille petite rewiew.^^ J'en profite pour faire une annonce : Eryna et moi avant pour projet d'organiser un mini colloque fanfic cet été dans le but de faire se rencontrer les filles qui le souhaitent. Ils faudrait trouver une ville assez centrale qui soit à à peu près égale distance pour tout le monde ainsi qu'un hôtel abordable. Ceci se déroulerait sur 3 ou 4 jours, et j'attend vos suggestions pour élaborer un programme un peu détaillé. Si vous êtes intéressées, merci de me le faire savoir sur frodounette23@hotmail.com. Vous pouvez également me joindre au 0662308347 Merci beaucoup