Bon, voilà la suite !^^ Merci à toutes pour vos rewiews et bonne lecture !
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Le lendemain matin, Aragorn et Gandalf se rendirent ensemble aux maisons de guérison pour se rendre compte de l'état de la jeune Madame Sacquet. Entré le premier, Gandalf trouva Frodon et Lily endormis, tendrement enlacés.
« Mais ce n'est pas vrai ! Mais il ne peut pas se retenir, vraiment ! Son aventure de l'autre jour ne lui a donc pas servie de leçon ! »
« Voyons, Gandalf, calmez-vous ! Je trouve ce spectacle fort attendrissant et.....rassurant. Cela prouve que Lily va mieux. Voyez son sourire ! »
« Hum.....oui......peut-être, grommela le magicien. Il est vrai que je ne m'y entend guère dans les choses de l'amour. »
« Heu.....Gandalf.....peut-être devrions-nous les laisser seuls. Notre présence risque de les gêner s'ils se réveillent. »
« Par Eru, Aragorn, vous avez raison ! Ah, les hobbits sont vraiment de surprenantes créatures ! »
A peine sortis de la maison, le roi et le magicien se trouvèrent nez à nez avec Sam et Rosie Gamegie qui venaient prendre des nouvelles de Lily.
« Bonjour, Grand-Pas, dit Sam. Comment va ma petite sœur ? »
« Oh....euh.....beaucoup mieux, Sam, beaucoup mieux. »
« Pouvons-nous la voir ? Demanda Rosie. »
« Et bien.......ce n'est peut-être pas une très bonne idée, dit le roi, un peu gêné. »
« Vous me cachez quelque chose ! S'écria Sam. L'état de ma sœur ne s'est pas amélioré, c'est ça ! »
« Oh, mais si, Sam ! Et même complètement ! Seulement, Lily est....occupée. »
« Elle fait sa toilette ? Ca ne fait rien, nous attendrons. »
« Non, Sam. Elle....elle dort encore......mais.....euh.....pas seule. »
« Pas seule ? Comment ça ? »
« Mais Sam, c'est évident ! S'écria joyeusement Rosie. Elle est avec Frodon ! »
« Oh, la petite sotte ! Elle a failli mourir et dès qu'elle se sent mieux.....hop ! Mais c'est incroyable ! Ma parole, c'est à se demander ou elle a été élevée ! Une enfant qui était pourtant si timide et si prude ! »
« Sam, je te rappelle que Lily et Frodon sont mariés ! Et puis cesse de considérer ta sœur comme une petite fille ! C'est une adulte ! Et puis je suis sure que Frodon a été très.....doux. Il n'a pas plus envie que toi de voir Lily faire une fausse couche ! »
« Mais, bichette...... »
« Sam, si je puis me permettre, vous devriez écouter votre épouse, intervint Aragorn, amusé. Votre petite sœur est parfaitement rétablie, et vous pourrez la voir aujourd'hui-même. »
« Hum.....oui, vous avez sûrement raison, répondit Sam avec un petit sourire. »
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Eveillé depuis une heure déjà, Frodon contemplait Lily qui dormait à ses côtés. Dans son sommeil, elle conservait son sourire enfantin, le même que Frodon avait surpris plusieurs fois à l'époque ou Madame Sacquet n'était encore que la petite Lily Gamegie, une fillette de six ans jouant joyeusement autour de lui au bord du Brandevin. A cette pensée, Frodon versa quelques larmes de nostalgie et se remémora avec surprise le roman de sa vie, un roman pour le moins hétéroclite. Lorsque Lily avait six ans, lui- même filait le parfait amour avec sa cousine Perle Touque et ne voyait en la dernière des Gamegie qu'une petite sœur de substitution sur qui il pouvait reporter toute son affection fraternelle, comme il l'avait d'ailleurs toujours fait sur Sam. Il était alors bien loin de soupçonner le tendre attachement qui germait déjà dans le cœur de la petite fille. Certes, lorsque Perle l'avait laissé tomber pour son ami Gros Bolger, Lily s'était montré étonnement compatissante et n'avait pu que difficilement cacher sa joie de voir Frodon redevenir libre, mais il avait mis cela sur le compte de l'admiration aveugle que la famille Gamegie portait aux Sacquet. Aux yeux de Sam, en effet, la reine des elfes auraient été un parti encore insuffisant pour son maître bien-aimé, et Lily avait du subir l'influence fraternelle. Mais lorsque cette dernière avait grandi, Frodon s'était surpris à changer son regard sur la petite sœur de Sam. De l'enfant bien-aimée, il ne reconnaissait plus que le doux sourire et les grands yeux noirs dans la jeune fille qu'elle était devenue. De son côté, Lily affichait ostensiblement l'amour inconditionnel qu'elle portait à Frodon et un beau jour, le jeune hobbit s'était rendu compte que cet amour était partagé. Et la découverte de ce sentiment avait provoqué en Frodon des réactions contradictoires en un sens, il se sentait plus vivant et plus heureux qu'il ne l'avait jamais été, mais dans un autre, il culpabilisait beaucoup de monopoliser le cœur de cette toute jeune fille, qui, sans lui, aurait pu goûter au plaisir d'être courtisée par ses nombreux prétendants. Et cette culpabilité, il se surprenait à l'éprouver encore après deux années de mariage. Alors que Frodon était toujours plongé dans ses pensées, en contemplation devant le doux visage de son épouse, Lily s'éveilla.
« Bonjour, chéri ! Ca fait longtemps que tu es réveillé ? »
« Oh, cinq minutes, tout au plus, mentit Frodon. »
« Ah. Pourquoi as-tu l'air si triste ? »
« Mais je ne suis pas triste, mon amour, pas triste du tout, je t'assure ! Je....je m'attendrissais sur toi. Tu es tellement adorable ! »
« Oh, tu es trop mignon, mon chéri ! S'écria Lily en se jetant au cou de Frodon. »
« Comment te sens-tu aujourd'hui, mon cœur ? »
« Très bien ! On ne peut mieux ! Par contre...... »
« Oui, ma chérie ? »
« Est ce que tu pourrais aller me chercher une robe ? Et puis je voudrais regagner notre pavillon, aussi ! Je ne suis pas malade ! »
« Mais.....euh......tu ne veux pas te reposer encore ? »
« Me reposer ! Me reposer ! Mais arrêtez donc, tous, de me traiter comme une enfant ! Je peux vivre normalement sans faire d'imprudence ! »
« Oui.....bon.....tu as raison. Dis-moi, quelle robe veux-tu ? »
« Oh, je ne sais pas......Tiens, tu n'as qu'à choisir ! Tu as si bon goût ! »
« A tes ordres ! Dit joyeusement Frodon en achevant de boutonner sa veste. »
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« Ma'aine ? »
« Oui, chérie ? »
« Pourquoi t'as pas de bébé, toua ? »
« Mais pourquoi tu me demandes ça ? »
« Ben.....Tatie, elle a un bébé ! Maman, elle a un bébé ! Et Avene ! Et...... »
« Mais ma puce, il faut être marié pour avoir un bébé, voyons ! Répondit Diamant en riant. »
« Oh, pas forcément, répliqua Pippin. »
« Ah. Ma'aine, comment on fait les bébés ? »
« Mais.....euh......je.....euh......demandes à Merry, tiens ! »
« Ah, mais non, surtout pas ! S'insurgea Sam. Viens, Primmie, Tonton va t'expliquer. alors, tu vois, on commence par planter des roses et des choux, et..... »
« Voyons, Sam, n'abêtit pas cette pauvre enfant avec tes fables bucoliques, répliqua Pippin. »
« Parce que vous avez peut-être une meilleure idée ? »
« Mais oui, il faut lui dire la vérité, tout simplement ! Parrain va t'expliquer le miracle de la vie, ma copine ! »
« Oh, là, là, je redoute le pire ! Soupira Diamant. »
« Pff ! Mais pas du tout ! »
« Et bien vas-y ! Nous t'écoutons, Docteur Peregrïn, puisque tu es si fort ! Renchérit moqueusement Merry. »
« Mais bien sur ! Alors, tu vois, Primmie, pour avoir un bébé, il faut que deux personnes s'aiment très fort ! »
« Comme toua et moua ? »
« Euh....non, chérie ! »
« Ah. Comme Tonton et Papa ? »
« Presque.....Euh, mais non ! Non, pas du tout ! Comme Maman et Papa ! Ou comme Marraine et moi ! Ou Tatie et Tonton ! Ou Merry et Stella ! Ou....... »
« Oui, bon, ça va, on a tous compris ! Le coupa Merry. »
« Et comme Edarion et moua ? »
« Mais non ! Pas du tout ! Et d'abord, tu es bien trop petite, voilà ! »
« Ah. Et comment on fait ? »
« Comment on fait ? Alors tu vois, quand deux personnes sont amoureuses, et bien le soir, quand elles sont seules, elles se montrent qu'elles s'aiment très fort. »
« Comment ? »
« Et bien.....euh.....euh.....ben.....Prends Papa, par exemple ! Et bien, il dit à Maman qu'il l'aime, que c'est l'amour de sa vie, et il lui fait plein, plein de bisous et de câlins et....enfin, bref, ça fait un bébé ! »
« Y donne quelque chose à Maman, aussi ! Elle a dit, Mamou ! »
« Ah ? Euh.....oui, peut être. »
« Qu'est ce qu'y donne, Papa ? »
« Ben....euh.....c'est comme une partie de lui-même, si tu veux. »
« Ca lui fait mal ? »
« Oh, non, au contraire ! »
« Comment y fait, Papa ? »
« Oh......et bien.......c'est compliqué, tu vois......je......euh.....Oh, et puis zut ! Tu es trop jeune pour comprendre, tiens ! Tonton a raison ! »
« Hi, hi ! Tu zais pas mieux que moua, Pa'ain ! »
« Hé, hé ! Ricana narquoisement Merry, la vérité sort de la bouche des enfants ! »
« Mais.....euh.....bon, Primula, nous en reparlerons.....quand tu auras quarante ans ! Non ! Plutôt cinquante ! Voilà !Je suis sur que ce sont encore les amis elfes de TON père qui t'ont donné de mauvaises idées !
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Et voilà ! j'ai terminé mon CAPES alors je reviens ! J'espère que ce chapitre vous a plu ! Pour me le prouver, laissez-moi une petite rewiew !^^
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Le lendemain matin, Aragorn et Gandalf se rendirent ensemble aux maisons de guérison pour se rendre compte de l'état de la jeune Madame Sacquet. Entré le premier, Gandalf trouva Frodon et Lily endormis, tendrement enlacés.
« Mais ce n'est pas vrai ! Mais il ne peut pas se retenir, vraiment ! Son aventure de l'autre jour ne lui a donc pas servie de leçon ! »
« Voyons, Gandalf, calmez-vous ! Je trouve ce spectacle fort attendrissant et.....rassurant. Cela prouve que Lily va mieux. Voyez son sourire ! »
« Hum.....oui......peut-être, grommela le magicien. Il est vrai que je ne m'y entend guère dans les choses de l'amour. »
« Heu.....Gandalf.....peut-être devrions-nous les laisser seuls. Notre présence risque de les gêner s'ils se réveillent. »
« Par Eru, Aragorn, vous avez raison ! Ah, les hobbits sont vraiment de surprenantes créatures ! »
A peine sortis de la maison, le roi et le magicien se trouvèrent nez à nez avec Sam et Rosie Gamegie qui venaient prendre des nouvelles de Lily.
« Bonjour, Grand-Pas, dit Sam. Comment va ma petite sœur ? »
« Oh....euh.....beaucoup mieux, Sam, beaucoup mieux. »
« Pouvons-nous la voir ? Demanda Rosie. »
« Et bien.......ce n'est peut-être pas une très bonne idée, dit le roi, un peu gêné. »
« Vous me cachez quelque chose ! S'écria Sam. L'état de ma sœur ne s'est pas amélioré, c'est ça ! »
« Oh, mais si, Sam ! Et même complètement ! Seulement, Lily est....occupée. »
« Elle fait sa toilette ? Ca ne fait rien, nous attendrons. »
« Non, Sam. Elle....elle dort encore......mais.....euh.....pas seule. »
« Pas seule ? Comment ça ? »
« Mais Sam, c'est évident ! S'écria joyeusement Rosie. Elle est avec Frodon ! »
« Oh, la petite sotte ! Elle a failli mourir et dès qu'elle se sent mieux.....hop ! Mais c'est incroyable ! Ma parole, c'est à se demander ou elle a été élevée ! Une enfant qui était pourtant si timide et si prude ! »
« Sam, je te rappelle que Lily et Frodon sont mariés ! Et puis cesse de considérer ta sœur comme une petite fille ! C'est une adulte ! Et puis je suis sure que Frodon a été très.....doux. Il n'a pas plus envie que toi de voir Lily faire une fausse couche ! »
« Mais, bichette...... »
« Sam, si je puis me permettre, vous devriez écouter votre épouse, intervint Aragorn, amusé. Votre petite sœur est parfaitement rétablie, et vous pourrez la voir aujourd'hui-même. »
« Hum.....oui, vous avez sûrement raison, répondit Sam avec un petit sourire. »
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Eveillé depuis une heure déjà, Frodon contemplait Lily qui dormait à ses côtés. Dans son sommeil, elle conservait son sourire enfantin, le même que Frodon avait surpris plusieurs fois à l'époque ou Madame Sacquet n'était encore que la petite Lily Gamegie, une fillette de six ans jouant joyeusement autour de lui au bord du Brandevin. A cette pensée, Frodon versa quelques larmes de nostalgie et se remémora avec surprise le roman de sa vie, un roman pour le moins hétéroclite. Lorsque Lily avait six ans, lui- même filait le parfait amour avec sa cousine Perle Touque et ne voyait en la dernière des Gamegie qu'une petite sœur de substitution sur qui il pouvait reporter toute son affection fraternelle, comme il l'avait d'ailleurs toujours fait sur Sam. Il était alors bien loin de soupçonner le tendre attachement qui germait déjà dans le cœur de la petite fille. Certes, lorsque Perle l'avait laissé tomber pour son ami Gros Bolger, Lily s'était montré étonnement compatissante et n'avait pu que difficilement cacher sa joie de voir Frodon redevenir libre, mais il avait mis cela sur le compte de l'admiration aveugle que la famille Gamegie portait aux Sacquet. Aux yeux de Sam, en effet, la reine des elfes auraient été un parti encore insuffisant pour son maître bien-aimé, et Lily avait du subir l'influence fraternelle. Mais lorsque cette dernière avait grandi, Frodon s'était surpris à changer son regard sur la petite sœur de Sam. De l'enfant bien-aimée, il ne reconnaissait plus que le doux sourire et les grands yeux noirs dans la jeune fille qu'elle était devenue. De son côté, Lily affichait ostensiblement l'amour inconditionnel qu'elle portait à Frodon et un beau jour, le jeune hobbit s'était rendu compte que cet amour était partagé. Et la découverte de ce sentiment avait provoqué en Frodon des réactions contradictoires en un sens, il se sentait plus vivant et plus heureux qu'il ne l'avait jamais été, mais dans un autre, il culpabilisait beaucoup de monopoliser le cœur de cette toute jeune fille, qui, sans lui, aurait pu goûter au plaisir d'être courtisée par ses nombreux prétendants. Et cette culpabilité, il se surprenait à l'éprouver encore après deux années de mariage. Alors que Frodon était toujours plongé dans ses pensées, en contemplation devant le doux visage de son épouse, Lily s'éveilla.
« Bonjour, chéri ! Ca fait longtemps que tu es réveillé ? »
« Oh, cinq minutes, tout au plus, mentit Frodon. »
« Ah. Pourquoi as-tu l'air si triste ? »
« Mais je ne suis pas triste, mon amour, pas triste du tout, je t'assure ! Je....je m'attendrissais sur toi. Tu es tellement adorable ! »
« Oh, tu es trop mignon, mon chéri ! S'écria Lily en se jetant au cou de Frodon. »
« Comment te sens-tu aujourd'hui, mon cœur ? »
« Très bien ! On ne peut mieux ! Par contre...... »
« Oui, ma chérie ? »
« Est ce que tu pourrais aller me chercher une robe ? Et puis je voudrais regagner notre pavillon, aussi ! Je ne suis pas malade ! »
« Mais.....euh......tu ne veux pas te reposer encore ? »
« Me reposer ! Me reposer ! Mais arrêtez donc, tous, de me traiter comme une enfant ! Je peux vivre normalement sans faire d'imprudence ! »
« Oui.....bon.....tu as raison. Dis-moi, quelle robe veux-tu ? »
« Oh, je ne sais pas......Tiens, tu n'as qu'à choisir ! Tu as si bon goût ! »
« A tes ordres ! Dit joyeusement Frodon en achevant de boutonner sa veste. »
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« Ma'aine ? »
« Oui, chérie ? »
« Pourquoi t'as pas de bébé, toua ? »
« Mais pourquoi tu me demandes ça ? »
« Ben.....Tatie, elle a un bébé ! Maman, elle a un bébé ! Et Avene ! Et...... »
« Mais ma puce, il faut être marié pour avoir un bébé, voyons ! Répondit Diamant en riant. »
« Oh, pas forcément, répliqua Pippin. »
« Ah. Ma'aine, comment on fait les bébés ? »
« Mais.....euh......je.....euh......demandes à Merry, tiens ! »
« Ah, mais non, surtout pas ! S'insurgea Sam. Viens, Primmie, Tonton va t'expliquer. alors, tu vois, on commence par planter des roses et des choux, et..... »
« Voyons, Sam, n'abêtit pas cette pauvre enfant avec tes fables bucoliques, répliqua Pippin. »
« Parce que vous avez peut-être une meilleure idée ? »
« Mais oui, il faut lui dire la vérité, tout simplement ! Parrain va t'expliquer le miracle de la vie, ma copine ! »
« Oh, là, là, je redoute le pire ! Soupira Diamant. »
« Pff ! Mais pas du tout ! »
« Et bien vas-y ! Nous t'écoutons, Docteur Peregrïn, puisque tu es si fort ! Renchérit moqueusement Merry. »
« Mais bien sur ! Alors, tu vois, Primmie, pour avoir un bébé, il faut que deux personnes s'aiment très fort ! »
« Comme toua et moua ? »
« Euh....non, chérie ! »
« Ah. Comme Tonton et Papa ? »
« Presque.....Euh, mais non ! Non, pas du tout ! Comme Maman et Papa ! Ou comme Marraine et moi ! Ou Tatie et Tonton ! Ou Merry et Stella ! Ou....... »
« Oui, bon, ça va, on a tous compris ! Le coupa Merry. »
« Et comme Edarion et moua ? »
« Mais non ! Pas du tout ! Et d'abord, tu es bien trop petite, voilà ! »
« Ah. Et comment on fait ? »
« Comment on fait ? Alors tu vois, quand deux personnes sont amoureuses, et bien le soir, quand elles sont seules, elles se montrent qu'elles s'aiment très fort. »
« Comment ? »
« Et bien.....euh.....euh.....ben.....Prends Papa, par exemple ! Et bien, il dit à Maman qu'il l'aime, que c'est l'amour de sa vie, et il lui fait plein, plein de bisous et de câlins et....enfin, bref, ça fait un bébé ! »
« Y donne quelque chose à Maman, aussi ! Elle a dit, Mamou ! »
« Ah ? Euh.....oui, peut être. »
« Qu'est ce qu'y donne, Papa ? »
« Ben....euh.....c'est comme une partie de lui-même, si tu veux. »
« Ca lui fait mal ? »
« Oh, non, au contraire ! »
« Comment y fait, Papa ? »
« Oh......et bien.......c'est compliqué, tu vois......je......euh.....Oh, et puis zut ! Tu es trop jeune pour comprendre, tiens ! Tonton a raison ! »
« Hi, hi ! Tu zais pas mieux que moua, Pa'ain ! »
« Hé, hé ! Ricana narquoisement Merry, la vérité sort de la bouche des enfants ! »
« Mais.....euh.....bon, Primula, nous en reparlerons.....quand tu auras quarante ans ! Non ! Plutôt cinquante ! Voilà !Je suis sur que ce sont encore les amis elfes de TON père qui t'ont donné de mauvaises idées !
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Et voilà ! j'ai terminé mon CAPES alors je reviens ! J'espère que ce chapitre vous a plu ! Pour me le prouver, laissez-moi une petite rewiew !^^
