Bon, voilà un nouvel opus de Grand-père qui j'espère vous plaira ! bonne
lecture et merci pour votre soutien !
« Hé, t'as vu, Pa'ain ? Y m'a donné za, Edarion ! »
« Des soldats de bois ? Ils sont jolis, mais ce n'est pas un jouet de petite fille ! »
« Vui ! Protesta Primula. Z'est zouette ! »
« Oh, remarque, tu as raison, après tout. C'est idiot, ces distinctions. Et toi alors, qu'est ce que tu lui as donné ? »
« Ma poupée ! Ave les rubans bleus ! »
« Non, pas cette poupée ! Enfin, Primula, c'est moi qui te l'ai offert ! S'exclama tristement Pippin. »
« Oh, t'es fâché, Pa'ain ? »
« Ben oui, un peu, quand même ! »
« Bouhou...... »
« Mais non, ne pleure pas, ma chérie, dit doucement Pippin. Allons, tu vois, Parrain n'est plus fâché ! Bon, montre-moi un peu ces soldats, que je vérifie qu'on ne t'a pas grugé, ma filleule ! »
Pippin ouvrit délicatement la boite en cristal et examina minutieusement les figurines. C'étaient de jolies pièces en bois peint représentant des elfes, des hommes, des nains, des magiciens, des hobbits et des orques.
« Finalement, tu as gagné aux changes ! Tu es drôlement douée pour les affaires, Primmie. Et tu sais déjà manipuler les petits gars ! Bien joué ! »
« Vui ! S'écria la petite fille. Trop forte ! »
« Allez, on va faire une petite bataille ! Toi et moi contre Merry, d'accord ? »
« Vui ! Vui ! »
« On lui donne les orques et on prend le reste ! »
« Vui ! »
« Hé, hé, on va le battre à plate couture, ce fanfaron ! »
« Vui ! »
Après une journée très animée, Primula et Eldarion tombèrent de sommeil aussitôt le dîner achevé. Arwen et Lily conduisirent alors les deux enfants dans la nursery avant de regagner elles-mêmes leurs appartements. Les nuages qui menaçaient depuis le milieu de l'après-midi tinrent leurs promesses et la pluie se mit à tomber à verse comme Frodon et Lily venaient de se coucher.
« J'adore la pluie, dit Lily, les yeux tournés vers la fenêtre. C'est si apaisant ! »
« Oui, surtout quand on est au sec à l'intérieur, répliqua Frodon. Mais tu as raison, ma chérie, je trouve ce bruit....réconfortant. d'ailleurs ça me rappelle.... »
« Quoi donc ? Demanda Lily, alertée par le ton soudain mystérieux de son mari. »
« Et bien, tu sais, quand j'étais plus jeune, j'allais souvent dans la cabane en bois, à côté de Château-Brande.... »
« Oui, et alors ? »
« Alors, une fois, Perle m'y a rejoint, et....enfin, ça a été ma première fois, quoi ! Oh, bon sang, quel souvenir ! J'étais à la fois si ému et si angoissé ! Et puis, cette ambiance, le goût de l'interdit ! je... »
« J'en ai assez ! Hurla Lily. »
« Mais, euh....qu'est ce qui te prend ? »
« Oui, j'en ai assez que Perle Touque revienne sans arrêt sur le tapis ! Si tu étais si bien avec elle, et bien, tu n'avais qu'à l'épouser ! Est-ce que je te parle, moi, de mes expériences merveilleuses avec d'autres ? »
« Mais enfin, Lily, tu avais seize ans quand on s'est mis ensemble ! Tu n'as eu personne avant moi ! »
« Justement, c'est de ta faute ! Tu sais, j'aurais pu avoir qui je voulais ! Oui, n'importe qui ! Tiens, j'aurais du écouter les conseils de Poppy et répondre aux avances de son frère au lieu de gâcher ma jeunesse avec un ingrat qui ne cesse de me parler de son ex petite-amie ! »
« Parlons-en de Poppy ! Une idiote de la pire espèce qui ne saurait pas faire la différence entre une carotte et un radis ! Beau conseil, vraiment ! »
« Oh, tu es bien placé pour critiquer mes amis, surtout quand on sait que ton cousin est le plus grand obsédé de toute la Comté ! Oui, comme toute ta famille, d'ailleurs ! A commencer par ta mère qui.... »
« Ah, n'insulte pas ma mère ! »
« Il faut bien que cette tendance à tout ramener à Perle vienne de quelque part ! En tous cas, je ne peux plus le supporter ! Non, je ne peux plus ! »
Sur ce, Lily enfila sa robe de chambre et se rua comme une furie à l'extérieur avant même que Frodon ait eu le temps de dire ouf.
« Tiens, Lily, qu'est ce que tu fais là ? »
Lily se trouvait dans l'entrée du pavillon de Sam et Rosie, trempée jusqu'aux os.
« Mais il est fou, ton mari, de te laisser sortir par un temps pareil ! Et dans ton état ! »
« Sam, je.... »
Lily n'eut pas la force de poursuivre. Elle s'effondra en larmes dans les bras de son frère.
« Ouh, là, là, allons, calme-toi, ma chérie, calme-toi. Raconte ce qui ne va pas à ton grand frère. »
« Sam, laisse-la d'abord se changer, intervint Rosie, ou elle va attraper la mort. Viens, ma puce, je vais te passer une chemise de nuit sèche. »
Au bout de quelques instants, Lily reparut escortée de Rosie et raconta toute l'affaire à Sam.
« Ah ! Je comprends, Lily, mais il ne faut pas dramatiser. Tu comprends, Frodon n'a presque pas eu de mère, alors il ne sait pas bien s'y prendre. »
« Mais toi non plus, Sam, tu n'as presque pas eu de mère ! »
« Ben oui, mais....oh, tu sais, Rosie pourra te dire que je ne suis pas toujours très fin ! »
« Oui, dit Rosie en riant, comme quand tu me compares à un plat de frites en croyant me faire un compliment ! »
« Et puis tu sais, Lily, tu n'as rien à craindre de Perle Touque. Elle est dix fois moins bien que toi. Pour commencer, elle a la taille trop basse. Enfin, à mon goût. Et puis elle a des cheveux trop mousseux, et d'une couleur assez commune, alors que les tiens sont joliment bouclés avec des reflets dorés. Ensuite, elle a la bouche trop petite, et, euh...elle est un peu plate. »
« Mais tu l'as très bien détaillé, en fait, Sam, dit Rosie sur un ton inquisiteur. Je croyais que tu n'avais jamais regardé que moi ! »
« Ben oui, mais....euh....c'était dans l'intérêt de Frodon. Moi j'ai toujours trouvé qu'elle n'était pas assez bien pour lui. »
« Ah oui ? Et qu'est ce qui est assez bien pour ton cher Frodon ? »
« Ma petite sœur ! Répondit fermement Sam. Mais je ne la lui ai pas donné pour qu'il me la fasse pleurer, non, sans blague ! »
« Mais...je n'ai pas été très gentille non plus, dit Lily. »
« Tu es enceinte, répliqua Rosie. On peut te pardonner certaines sautes d'humeur. mais tu vas voir, il va accourir d'un instant à l'autre pour faire la paix ! Et il va être tout penaud ! Tu devrais en profiter pour demander quelque chose de très beau et de très cher ! Je ne sais pas, moi, des robes, des bijoux.... »
« Mais je te trouve bien vénale, bichette ! Protesta Sam. »
« Mais quoi ? Il faut bien que ça serve à quelque chose d'avoir un mari riche ! Répliqua Rosie en riant. »
A l'instant même, on entendit frapper à la porte d'entrée.
« Tient ! Dit Rosie. Quand on parle du loup, il sort du bois ! »
« Lily est là ? Demanda Frodon, très alarmé, sans même prendre la peine de saluer Sam. »
« Oui, elle.... »
« Oh, mon amour ! Mon amour, je te demande pardon ! S'écria Frodon en se jetant aux pieds de Lily. »
« Mais je n'ai rien à te pardonner. C'est moi qui.... »
« Oh, non ! Je ne sais pas ce qui m'a pris de te raconter cette histoire de cabane ! »
« Heuh....écoutez, Frodon, si vous restiez ici pour la nuit ? Le coupa Rosie. La chambre d'à côté est prête, je vais prendre le bébé avec nous. Comme ça vous pourrez vous réconcilier tranquillement. Et vous sécher. J'ai sorti des serviettes. »
« Merci, Rosie. J'espère au moins ne pas avoir réveillé Elanore. »
« Oh, non, elle est comme son père ! Un tremblement de terre ne la réveillerait pas ! »
« Bon, et bien bonne nuit tous les deux ! Et encore merci dit Frodon en prenant Lily dans ses bras avant de disparaître dans la chambre voisine. »
« Alors, mon nounours, tu es content ? Tu as ton Frodon chéri et ta sœur à côté. »
« Mouhai ! Ca veut dire que je ne vais encore pas dormir de la nuit ! Grommela Sam. »
« Mon amour, mon amour, je te demande pardon ! Comment ai-je pu être aussi stupide ? Mais je n'en ai rien à faire de cette histoire ! Les meilleurs moments de ma vie sont ceux que je passe avec toi ! Dis-moi, que puis-je faire pour que tu me croies ? Tu veux des robes ? Des bijoux ? Dis- moi, je t'en prie. »
« Mais Frodon, tu n'as pas besoin de me faire un cadeau pour me prouver ton amour ! »
« J'insiste, dis-moi ce qui te ferais plaisir ? »
« Et bien, il y a une chose qui...... »
« Quoi donc ? »
« Je voudrais......je voudrais travailler. Pas que pour faire plaisir aux cousines. Vraiment. »
« Mais non, Lily, ne me demande pas ça ! »
« Mais pourquoi ? »
« Parce que tu es la femme du Sacquet de Cul-de-Sac, voilà tout ! Tu n'as pas besoin de servir d'esclave à de stupides et moches bonnes femmes ! »
« Mais Sam travaille encore, et ce n'est pas un larbin ! S'il te plaît, Frodon ! »
Lily passa alors ses bras autour du cou de Frodon dans un geste câlin.
« S'il te plaît, mon amour ! Ca me ferait tellement plaisir ! »
« Et bien....bon, si c'est vraiment ce que tu veux.....nous verrons ! Quand tu m'auras fait un beau bébé, dit Frodon en caressant le ventre de Lily. En attendant....il pleut toujours. Dis, tu ne veux pas me donner un joli souvenir de soir de pluie ? »
« Hum....d'accord, mais d'abord je vais te sécher. Regarde, mon chéri, tes vêtements sont tout mouillés, dit Lily en commençant à déboutonner la chemise de Frodon. »
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui ! Dans le prochain chapitre apparaîtra Wemby ! Vous ne savez pas qui est Wemby ? Alors mettez plein de rewiew pour avoir le prochain chapitre.
« Hé, t'as vu, Pa'ain ? Y m'a donné za, Edarion ! »
« Des soldats de bois ? Ils sont jolis, mais ce n'est pas un jouet de petite fille ! »
« Vui ! Protesta Primula. Z'est zouette ! »
« Oh, remarque, tu as raison, après tout. C'est idiot, ces distinctions. Et toi alors, qu'est ce que tu lui as donné ? »
« Ma poupée ! Ave les rubans bleus ! »
« Non, pas cette poupée ! Enfin, Primula, c'est moi qui te l'ai offert ! S'exclama tristement Pippin. »
« Oh, t'es fâché, Pa'ain ? »
« Ben oui, un peu, quand même ! »
« Bouhou...... »
« Mais non, ne pleure pas, ma chérie, dit doucement Pippin. Allons, tu vois, Parrain n'est plus fâché ! Bon, montre-moi un peu ces soldats, que je vérifie qu'on ne t'a pas grugé, ma filleule ! »
Pippin ouvrit délicatement la boite en cristal et examina minutieusement les figurines. C'étaient de jolies pièces en bois peint représentant des elfes, des hommes, des nains, des magiciens, des hobbits et des orques.
« Finalement, tu as gagné aux changes ! Tu es drôlement douée pour les affaires, Primmie. Et tu sais déjà manipuler les petits gars ! Bien joué ! »
« Vui ! S'écria la petite fille. Trop forte ! »
« Allez, on va faire une petite bataille ! Toi et moi contre Merry, d'accord ? »
« Vui ! Vui ! »
« On lui donne les orques et on prend le reste ! »
« Vui ! »
« Hé, hé, on va le battre à plate couture, ce fanfaron ! »
« Vui ! »
Après une journée très animée, Primula et Eldarion tombèrent de sommeil aussitôt le dîner achevé. Arwen et Lily conduisirent alors les deux enfants dans la nursery avant de regagner elles-mêmes leurs appartements. Les nuages qui menaçaient depuis le milieu de l'après-midi tinrent leurs promesses et la pluie se mit à tomber à verse comme Frodon et Lily venaient de se coucher.
« J'adore la pluie, dit Lily, les yeux tournés vers la fenêtre. C'est si apaisant ! »
« Oui, surtout quand on est au sec à l'intérieur, répliqua Frodon. Mais tu as raison, ma chérie, je trouve ce bruit....réconfortant. d'ailleurs ça me rappelle.... »
« Quoi donc ? Demanda Lily, alertée par le ton soudain mystérieux de son mari. »
« Et bien, tu sais, quand j'étais plus jeune, j'allais souvent dans la cabane en bois, à côté de Château-Brande.... »
« Oui, et alors ? »
« Alors, une fois, Perle m'y a rejoint, et....enfin, ça a été ma première fois, quoi ! Oh, bon sang, quel souvenir ! J'étais à la fois si ému et si angoissé ! Et puis, cette ambiance, le goût de l'interdit ! je... »
« J'en ai assez ! Hurla Lily. »
« Mais, euh....qu'est ce qui te prend ? »
« Oui, j'en ai assez que Perle Touque revienne sans arrêt sur le tapis ! Si tu étais si bien avec elle, et bien, tu n'avais qu'à l'épouser ! Est-ce que je te parle, moi, de mes expériences merveilleuses avec d'autres ? »
« Mais enfin, Lily, tu avais seize ans quand on s'est mis ensemble ! Tu n'as eu personne avant moi ! »
« Justement, c'est de ta faute ! Tu sais, j'aurais pu avoir qui je voulais ! Oui, n'importe qui ! Tiens, j'aurais du écouter les conseils de Poppy et répondre aux avances de son frère au lieu de gâcher ma jeunesse avec un ingrat qui ne cesse de me parler de son ex petite-amie ! »
« Parlons-en de Poppy ! Une idiote de la pire espèce qui ne saurait pas faire la différence entre une carotte et un radis ! Beau conseil, vraiment ! »
« Oh, tu es bien placé pour critiquer mes amis, surtout quand on sait que ton cousin est le plus grand obsédé de toute la Comté ! Oui, comme toute ta famille, d'ailleurs ! A commencer par ta mère qui.... »
« Ah, n'insulte pas ma mère ! »
« Il faut bien que cette tendance à tout ramener à Perle vienne de quelque part ! En tous cas, je ne peux plus le supporter ! Non, je ne peux plus ! »
Sur ce, Lily enfila sa robe de chambre et se rua comme une furie à l'extérieur avant même que Frodon ait eu le temps de dire ouf.
« Tiens, Lily, qu'est ce que tu fais là ? »
Lily se trouvait dans l'entrée du pavillon de Sam et Rosie, trempée jusqu'aux os.
« Mais il est fou, ton mari, de te laisser sortir par un temps pareil ! Et dans ton état ! »
« Sam, je.... »
Lily n'eut pas la force de poursuivre. Elle s'effondra en larmes dans les bras de son frère.
« Ouh, là, là, allons, calme-toi, ma chérie, calme-toi. Raconte ce qui ne va pas à ton grand frère. »
« Sam, laisse-la d'abord se changer, intervint Rosie, ou elle va attraper la mort. Viens, ma puce, je vais te passer une chemise de nuit sèche. »
Au bout de quelques instants, Lily reparut escortée de Rosie et raconta toute l'affaire à Sam.
« Ah ! Je comprends, Lily, mais il ne faut pas dramatiser. Tu comprends, Frodon n'a presque pas eu de mère, alors il ne sait pas bien s'y prendre. »
« Mais toi non plus, Sam, tu n'as presque pas eu de mère ! »
« Ben oui, mais....oh, tu sais, Rosie pourra te dire que je ne suis pas toujours très fin ! »
« Oui, dit Rosie en riant, comme quand tu me compares à un plat de frites en croyant me faire un compliment ! »
« Et puis tu sais, Lily, tu n'as rien à craindre de Perle Touque. Elle est dix fois moins bien que toi. Pour commencer, elle a la taille trop basse. Enfin, à mon goût. Et puis elle a des cheveux trop mousseux, et d'une couleur assez commune, alors que les tiens sont joliment bouclés avec des reflets dorés. Ensuite, elle a la bouche trop petite, et, euh...elle est un peu plate. »
« Mais tu l'as très bien détaillé, en fait, Sam, dit Rosie sur un ton inquisiteur. Je croyais que tu n'avais jamais regardé que moi ! »
« Ben oui, mais....euh....c'était dans l'intérêt de Frodon. Moi j'ai toujours trouvé qu'elle n'était pas assez bien pour lui. »
« Ah oui ? Et qu'est ce qui est assez bien pour ton cher Frodon ? »
« Ma petite sœur ! Répondit fermement Sam. Mais je ne la lui ai pas donné pour qu'il me la fasse pleurer, non, sans blague ! »
« Mais...je n'ai pas été très gentille non plus, dit Lily. »
« Tu es enceinte, répliqua Rosie. On peut te pardonner certaines sautes d'humeur. mais tu vas voir, il va accourir d'un instant à l'autre pour faire la paix ! Et il va être tout penaud ! Tu devrais en profiter pour demander quelque chose de très beau et de très cher ! Je ne sais pas, moi, des robes, des bijoux.... »
« Mais je te trouve bien vénale, bichette ! Protesta Sam. »
« Mais quoi ? Il faut bien que ça serve à quelque chose d'avoir un mari riche ! Répliqua Rosie en riant. »
A l'instant même, on entendit frapper à la porte d'entrée.
« Tient ! Dit Rosie. Quand on parle du loup, il sort du bois ! »
« Lily est là ? Demanda Frodon, très alarmé, sans même prendre la peine de saluer Sam. »
« Oui, elle.... »
« Oh, mon amour ! Mon amour, je te demande pardon ! S'écria Frodon en se jetant aux pieds de Lily. »
« Mais je n'ai rien à te pardonner. C'est moi qui.... »
« Oh, non ! Je ne sais pas ce qui m'a pris de te raconter cette histoire de cabane ! »
« Heuh....écoutez, Frodon, si vous restiez ici pour la nuit ? Le coupa Rosie. La chambre d'à côté est prête, je vais prendre le bébé avec nous. Comme ça vous pourrez vous réconcilier tranquillement. Et vous sécher. J'ai sorti des serviettes. »
« Merci, Rosie. J'espère au moins ne pas avoir réveillé Elanore. »
« Oh, non, elle est comme son père ! Un tremblement de terre ne la réveillerait pas ! »
« Bon, et bien bonne nuit tous les deux ! Et encore merci dit Frodon en prenant Lily dans ses bras avant de disparaître dans la chambre voisine. »
« Alors, mon nounours, tu es content ? Tu as ton Frodon chéri et ta sœur à côté. »
« Mouhai ! Ca veut dire que je ne vais encore pas dormir de la nuit ! Grommela Sam. »
« Mon amour, mon amour, je te demande pardon ! Comment ai-je pu être aussi stupide ? Mais je n'en ai rien à faire de cette histoire ! Les meilleurs moments de ma vie sont ceux que je passe avec toi ! Dis-moi, que puis-je faire pour que tu me croies ? Tu veux des robes ? Des bijoux ? Dis- moi, je t'en prie. »
« Mais Frodon, tu n'as pas besoin de me faire un cadeau pour me prouver ton amour ! »
« J'insiste, dis-moi ce qui te ferais plaisir ? »
« Et bien, il y a une chose qui...... »
« Quoi donc ? »
« Je voudrais......je voudrais travailler. Pas que pour faire plaisir aux cousines. Vraiment. »
« Mais non, Lily, ne me demande pas ça ! »
« Mais pourquoi ? »
« Parce que tu es la femme du Sacquet de Cul-de-Sac, voilà tout ! Tu n'as pas besoin de servir d'esclave à de stupides et moches bonnes femmes ! »
« Mais Sam travaille encore, et ce n'est pas un larbin ! S'il te plaît, Frodon ! »
Lily passa alors ses bras autour du cou de Frodon dans un geste câlin.
« S'il te plaît, mon amour ! Ca me ferait tellement plaisir ! »
« Et bien....bon, si c'est vraiment ce que tu veux.....nous verrons ! Quand tu m'auras fait un beau bébé, dit Frodon en caressant le ventre de Lily. En attendant....il pleut toujours. Dis, tu ne veux pas me donner un joli souvenir de soir de pluie ? »
« Hum....d'accord, mais d'abord je vais te sécher. Regarde, mon chéri, tes vêtements sont tout mouillés, dit Lily en commençant à déboutonner la chemise de Frodon. »
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui ! Dans le prochain chapitre apparaîtra Wemby ! Vous ne savez pas qui est Wemby ? Alors mettez plein de rewiew pour avoir le prochain chapitre.
