Auteur : olivs

Origine : Gundam Wing.

Disclaimer : les personnages de cette histoire sont la propriété exclusive de Sunrise, Bandaï et Setsu Agency

Genre : Yaoi – UA – kawaii – mélo – bon sentiments et tout le bastringue.

Rating : PG–13 Il y a des mots assez crus et des caresses. Alors dans le doute ne lisez pas.

Type : fanfiction classique forme Heero/Duo, Quatre/Trowa, Wufei/Meiran.

Merci : Encore un grand merci à tous ceux qui suivent cette histoire je suis vraiment trsè heureux qu'elle vous plaise.

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Une première histoire d'une journée sans histoire
Uxmal le 24 mars 2004
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Trowa et Wufei avaient mis leurs réveils respectifs à sonner à sept heures.

Quatre ne voulant pas contrarier le garçon dans les bras duquel il allait passer la nuit n'avait fait aucune objection.

Duo de son côté, ayant appris leurs intentions, comptait très fort sur le soutien de son "Hee–chan" pour échapper à l'excursion matinale.

Aussi, quand Wufei tambourina à la porte, la natte qui sortait de sous les draps ne bougea pas d'un cheveu.

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Heero s'était endormi très tôt.

Il se souvenait s'être assis quelques instants sur les genoux de Duo pour lui témoigner son affection.

Il se sentait quelque peu maladroit avec lui.

Il ne savait pas comment agir.

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Duo était la première personne qui lui témoignait autre chose que de la curiosité ou un intérêt matériel.

D'après ce qu'il avait pu observer, analyser, vivre, Duo semblait avoir de l'amitié pour lui.

Le japonais était incapable de quantifier la force des sentiments que l'américain avait pour lui.

Les trois autres garçons semblaient ne pas le rejeter, peut être même l'appréciaient–il.

Mais ce qu'il recevait de Duo était incomparable à cela.

Il avait l'impression que le jeune homme lui transmettait de la chaleur, du plaisir…

Une somme de choses que depuis qu'il était né, il était certain de n'avoir jamais eu.

Pour la première fois de sa vie Heero avait la sensation d'exister en tant que personne.

Et au fond de lui la peur de perdre cette nouvelle sensation lui tenaillait déjà le ventre.

C'était agréable et troublant à la fois.

Cette espèce d'affection que Duo lui donnait, le faisait se sentir comme entouré d'un édredon de plume.

C'était confortable.

C'était rassurant.

Jusque–là il avait toujours vécu sur ses gardes.

Une appréhension lui courait en permanence le long de la colonne vertébrale.

14 années d'esclavage, ça marque.

Duo avait ce pouvoir de le rassurer.

Quand ils étaient ensemble ses craintes disparaissaient.

Il voulait tout mettre en œuvre pour rendre à Duo tout ce qu'il recevait de lui.

Heero ne savait pas comment agir.

Il aurait aimé avoir à lui sauver la vie, ou une autre chose du même genre.

La veille au soir, voyant Duo dans le fauteuil à bascule, il avait eu l'idée de venir s'installer sur ses genoux et se sérer dans ses bras pour lui exprimer sa reconnaissance.

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Il trouvait que c'était un geste simple et sincère.

Que ce geste collait bien avec Duo.

Pourquoi ?

Il n'en savait rien.

Il trouvait juste que ça le faisait bien.

Heero savait aussi l'américain suffisamment franc pour refuser l'accolade si cela ne lui convenait pas.

Il l'avait donc fait.

Il se souvenait que Duo avait accepté son geste et y avait répondu en le prenant chaleureusement dans ses bras.

Il avait laissé sa tête aller se poser sur l'épaule du garçon à la natte.

Et…

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il s'était endormi pour se réveiller ce matin dans son lit.

Duo avait même pris soin de lui enfiler pour la nuit un caleçon plus confortable que son boxer.

Heero était touché par ce geste, qu'il mettait au crédit de tout ce qu'il devrait un jour rendre à…

son ami.

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Bien malgré lui, Duo était vaguement en train d'émerger.

Il ne s'était pas couché spécialement tard, mais le matin était fait pour dormir.

Doucement, insidieusement une certaine appréhension revint tendre son corps.

Il redoutait maintenant le moment du lever.

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La veille au soir Heero s'était endormi dans ses bras.

Il n'avait pas voulu le réveiller.

Aussi, il l'avait porté jusque dans leur chambre et l'avait déposé sur son propre lit.

Il avait ouvert en grand les draps de celui de Heero pour pouvoir le déposer directement dessus.

Il était revenu ensuite auprès de son ami et avait entrepris de le déshabiller.

Le sommeil du brun était particulièrement lourd puisqu'il ne se réveilla pas durant toute l'opération.

Duo contempla avec fierté son œuvre : Heero était en caleçon, et Duo avait réussi à ne pas le réveiller.

« Crums » fut le juron qui lui vint aux lèvres quand une idée lui traversa l'esprit.

Il ne pouvait pas coucher Heero comme ça.

Il se souvenait que l'autre n'aimait pas dormir dans le même caleçon que celui qu'il portait le jour.

Duo et sa natte partirent donc en quête d'un vêtement plus confortable dans sa valise.

Il y trouva ce qui lui semblait répondre au cahier des charges :

un caleçon flottant en coton très doux.

Il changea son ami le plus naturellement du monde,

comme si ce geste était le plus normal qu'il puisse avoir.

Il reprit le corps de Heero dans ses bras et le déposa dans les draps frais,

il le borda,

déposa un léger baisé sur son front,

lui souhaita bonne nuit

et se coucha à son tour.

Au moment où il allait fermer les yeux,

il se posa enfin LA question.

Est–ce qu'il en n'avait pas un peu trop fait ?

Est–ce que Heero n'allait pas réagir vertement en se rendant compte que Duo l'avait obligatoirement vu nu ?

Cette question ne l'aida pas à trouver le sommeil facilement.

Ce matin, il restait à Duo à attendre la réaction de son ami japonais.

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Entendant tambouriner à la porte Heero sorti de ses pensées et…

de la salle de bain.

Il entrouvrit la porte de la chambre et assura au chinois qui lui faisait face qu'ils ne seraient pas en retard.

Heero s'approcha près du lit où Duo faisait semblant de dormir.

Il lui fit un baisé sur le front et lui murmura à l'oreille :

– Duo ne fait pas semblant de dormir, on nous attend.

– Mais Hee–chan, je voudrais dormir encore. Il est trop tôt.

– Allez ne fait pas l'enfant.

Il apposa un nouveau baisé sur le front de son ami et alla finir de s'habiller.

Il ne savait pas vraiment quoi penser de la façon dont il venait d'agir avec Duo mais il avait la sensation que c'était adéquat.

Duo était tout à fait satisfait.

Heero avait été doux avec lui et ne semblait pas lui en vouloir.

Cette impression lui fut confirmée quand il s'assit sur le lit et vit Heero en train de ranger le caleçon dans lequel il avait dormi dans sa valise.

Voyant Duo, les yeux à peine ouverts, le regarder, il lui sourit et le remercia.

Duo marmonna un « de quoi ? ».

– Merci de ne pas m'avoir réveiller hier soir, de m'avoir coucher et d'avoir même pensé à ça.

Répondit l'autre, lui montrant le sous–vêtement qui tenait dans les mains.

– Bah de rien Hee–chan. C'est normal. J'avais peur que tu m'en veuilles.

– Pourquoi j'aurais pu t'en vouloir ?

– Et bien je t'ai vu nu, rosi l'américain.

– Je ne suis pas très pudique Duo, pas avec toi.

Le mal réveillé lui sourit, pour lui montrer qu'il appréciait cette marque de confiance.

Il tenta de se lever quand il se rendit compte que comme chez tous les garçons au réveil une partie de son anatomie était particulièrement peu discrète ce matin–là.

Il rougit instantanément se doutant que Heero n'avait pas pu faire autrement que s'en rendre compte.

Amusé, le japonais lui sourit à son tour.

– Ne sois pas pudique avec moi Duo. C'est naturel ce genre de chose au réveil.

Duo malgré ces paroles réconfortantes avait du mal à dissimuler sa gêne.

Un flash lui apparut alors dans la tête : il n'y avait pas prêté attention, mais maintenant il revoyait la scène.

Lorsqu'il avait déshabillé le japonais, celui–ci était dans les mêmes dispositions que Duo maintenant.

Le jeune homme devint pivoine.

– C'est un peu plus qu'une simple érection matinale ?

Duo ne savait plus où se mettre.

Il secoua la tête négativement pour répondre à la question du japonais.

Ce dernier réfléchit un instant.

Il ne voyait pas du tout ce qui pouvait embarrasser son ami à ce point.

À moins que… Heero s'esclaffa.

– Je crois que j'ai compris.

Duo aurait aimé être une souris.

– Duo, j'étais en forme lorsque tu m'as couché hier soir. C'est ça ?

Duo hocha la tête en regardant le sol.

Heero cherchait ses mots pour que le homard qui lui faisait fasse retrouve son aisance.

– Ça peu s'expliquer. Pour ne pas me réveiller, tu as du avoir des gestes doux que mon corps a ressenti comme des caresses. Il a manifesté un peu trop physiquement son contentement que l'on s'occupe de lui de la sorte.

– On peu changer de sujet, s'il te plait Heero ?

– On en parle plus promis. Aller file à la douche, sinon on va être en retard.

Duo s'exécuta non sans–gêne de devoir passer devant son ami avec un caleçon aussi expressif.

Heero s'étonna de ressentir en le voyant ainsi une certaine forme d'excitation.

Mais cela ne le troubla pas pour autant, Duo était très mignon et avait un corps parfait, pas musculeux mais sec, fin et élégant.

Son boxer moulait admirablement ses petites fesses rondes que la natte venait battre à chaque pas.

Personne n'aurait pu rester insensible devant un si charmant spectacle.

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Ils n'étaient presque pas en retard quand ils rejoignirent le groupe.

Heero avait quelques mètres d'avance sur son ami qui lassait ses chaussures en même temps qu'il marchait.

Il salua collectivement les trois autres d'un sobre « Hi ! » et d'un hochement de tête.

Le châtain lui, alla sérer la main du chinois qui avait du mal à s'habituer à ces effusions tactiles occidentales.

Puis il se tourna vers Trowa avec un regard de défit.

Il jeta un œil à Quatre, qui rosit comprenant la question qui trottait sous la natte de son ami.

Les relations entre l'américain et le français étaient restées jusque–là assez fraîches : l'un persuadé que l'autre avait toutes les tares que la légende populaire avait attribuées à son peuple.

Duo fit un pas de plus vers les yeux verts.

Le possesseur de ces derniers ne savait pas si l'ami de son amant allait lui sauter au cou où lui en coller une.

– Alors on se fait la bise maintenant que tu es de la famille, lui lança le sourire moqueur de Duo.

– La famille ?

Interrogea un français circonspect.

– Bah depuis le temps que je connais Quatre c'est devenu comme mon petit frère.

– 96 heures ! Tu l'a vite adopté Quatre ! Mais bon c'est plutôt un signe d'intelligence de ta part, Quatre est effectivement quelqu'un d'exceptionnel, lui précisa le français.

– Et oui il y a des phénomènes bizarres sur cette planète. Il y aurait même des Américains intelligents, rétorqua Duo en lui collant une bise sur chaque joue, avant de faire pareil à Quatre.

Heero semblait regarder la scène avec une totale impassibilité.

Wufei remercia le ciel que l'américain n'ait pas tenté ce genre de geste avec lui.

Alors de conserve, ils se dirigèrent ensemble vers l'entrée du site.

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Comme la veille remontèrent l'allée qui conduisait à la pyramide du Devin, à la différence prêt qu'ils se trouvaient seuls.

Wufei avait repris son rôle professoral.

Ils visitèrent avec attention chaque monument qui s'offrait à leurs yeux.

Duo posait des milliers de questions dont Heero, attentif, semblait écouter les réponses.

Trowa et Quatre participaient activement à la conversation.

Parfois le chinois avait quelque mal à retenir l'attention de son auditoire, les babillages des uns et des autres déviaient souvent du sujet.

Seul le japonais restait muet, calme et froid.

Quatre avait noté que Heero n'était guère du genre à laisser transparaître ses émotions.

Il avait mis cette retenue, dans un premier temps, sur le compte de la timidité.

Mais là cela faisait trois jours qu'ils s'étaient rencontrés et avaient passé tout leur temps ensemble.

Heero ne lui avait pas encore adressé de lui même la parole.

Il ne le prenait pas directement pour lui.

Dans la piscine de l'hôtel, il avait répondu a ses questions et il n'était pas plus prolixe avec les deux autres garçons.

Seul Duo semblait avoir droit à quelques gestes de sympathie et l'insigne honneur de se voir adresser quelques phrases.

Alors que Wufei et Heero étaient restés en retrait pour écouter Trowa parler oiseaux tropicaux, Quatre profita de cette diversion pour suivre la natte qui venait de pénétrer dans une des petites salles du palais du gouverneur.

– Tu as vu Quatre c'est rigolo, les salles sont toutes petites et elles ne communiquent même pas entre elles. Je me demande vraiment comment ils vivaient à cette époque.

– Oui, oui.

Lui répondit distraitement le blond.

– Bah ça va pas ?

– Je voulais te demander un truc. Heero, il est comment avec toi ?

– Pourquoi tu me demandes ça ?

Répondit Duo, plus que surpris par la question de son ami.

– Ben on ne peut pas dire qu'il déborde de chaleur humaine.

– Tu rigoles ? j'ai jamais vu un garçon aussi adorable que lui !

Le jeune homme blond le regarda comme s'il avait devant lui un extra–terrestre.

– Excuse–moi mais adorable n'est vraiment pas le premier qualificatif que j'aurais employé.

– Ben si ! Il est gentil comme tout. Il est attentionné, doux, câlin… Pourquoi tu fais cette tête Quatre?

Les deux garçons ressortirent de l'édifice en continuant leur conversation.

– Câlin à la limite, je te l'accorde au vu de son attitude hier soir. Mais le reste, j'ai vraiment du mal.

– Bah si ! Il m'a même réveillé avec un bisou sur le front ce matin.

Duo poursuivit en plaisantant.

– Tiens s'il n'était pas hétéro, je deviendrais pédé rien que pour me fiancer avec lui.

Quatre se retint de peu d'exploser de rire.

Duo était réellement surprenant.

Il continuèrent à discuter quelques minutes, l'américain intarissable sur les qualités qu'il avait pu trouver en si peu de temps à son ami, sous le regard attendrit de Quatre.

Cela faisait deux jours qu'il s'inquiétait pour lui et l'autre lui jouait d'un seul coup la partition du plus heureux des hommes parlant avec humour de son hypothétique préférence sexuelle.

Alors qu'ils se tenaient là, debout depuis quelques minutes, le blond sentit ses jambes le lâcher et s'évanouit.

Duo voyant l'autre choir, s'affola quelque peu et bâtit le rappel.

Une fois les trois autres sur les lieux, c'est Trowa qui prit la belle au bois dormant entre ses bras et tenta de le faire revenir à lui.

Il interrogea l'américain le plus calmement possible pour ne pas que celui–ci sente sûr lui se poser une quelconque accusation.

– Qu'est–ce qui c'est passé ?

– Je sais pas ! On discutait de Heero et tout à coup, il est tombé dans les pommes.

Le japonais souleva un sourcil de surprise à la réponse de son ami.

Au bout de quelques minutes Quatre ouvrit enfin les yeux.

Trowa lui fit boire quelques longues gorgées d'eau fraîche.

Tout le monde proposa de rentrer sur le champ à l'hôtel.

Quatre du argumenter serré pour que ses amis acceptent de continuer la visite.

C'était un comble lui qui était censé être le plus résistant à la chaleur venait de faire une mini insolation.

Quelques minutes plus tard la visite repris comme si de rien était.

Mais si Heero ne parlait pas plus, Quatre sentait sûr lui peser un regard noir.

Un peu plus loin alors que Wufei tentait d'analyser à voie haute un champs de fouille qu'ils avaient sous leurs yeux, Heero prit Quatre à partie.

– Tu as dit quoi à Duo tout à l'heure.

– Rien.

Le ton du japonais était sec et cassant.

– Duo a dit que vous parliez de moi. Qu'est–ce que tu lui as répété de ce que je t'ai dit dans la piscine ?

– Mais Heero, je lui ai rien dit du tout. Je m'inquiétais juste de savoir si ça se passait bien entre vous.

– Quatre ! Si tu dis quoi que ce soit qui puisse changer ce que Duo pense de moi, tu le regretteras amèrement.

C'était un sifflement qui venait de sortir de la bouche du japonais.

Son visage habituellement si fermé avait pris une expression d'une rare méchanceté.

Quatre eut un hoquet de surprise et de frayeur.

– Mais Heero !

– Je t'interdis de lui parler de moi.

Là Quatre explosa.

Il trouvait Heero réellement trop injuste envers lui.

Les yeux du blond devinrent rouges de rage.

– Ecoute moi bien toi à ton tour. Tu n'as rien à m'interdire et tu ne me parles pas sur ce ton compris !

Il avait hurlé sa dernière phrase.

Il tremblait maintenant.

Trowa avait accouru pour savoir ce qui se passait.

– Quatre ça ne va pas, Qu'est–ce qui c'est passé.

– Ce n'est rien, on s'est un peu disputé avec Heero, essaya de le rassurer le blond.

Heero avait retrouvé son visage froid.

Trowa jeta un œil au japonais et ne trouvant chez lui aucun signe de sentiment de culpabilité, il s'en prit au brun.

– Toi si l'ouvre pour foutre le bordel où faire chier les gens, tu ferais peut–être mieux de continuer à te la fermer.

Heero ne répondit rien et ne prononça plus un mot.

Duo resté en retrait était quelque peu paniqué.

Le japonais le ressenti et cela le contraria quelque peu.

Il s'approcha alors de son ami et tenta de le prendre par la main.

Quand il sentit la peau douce de la main de Heero effleurer la paume de la sienne, il l'attrapa fermement.

Il serra les fines phalanges si fort que l'autre cru que sa main allait être broyée.

Heero lui chuchota dans l'oreille que ce n'était pas grave que cela allait s'arranger.

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La promenade se poursuivait dans une ambiance quelque peu électrique.

Au fond de lui le japonais s'en voulait de son attitude envers Quatre et voulait lui présenter ses excuses.

Seulement Trowa veillait sur son amant comme une lionne sur sa portée.

Il lui fallut attendre longtemps avant que Quatre ne se retrouve suffisamment isolé pour qu'il puisse lui glisser quelques mots discrètement au–dessus de l'épaule.

– Je suis désolé Quatre. J'ai agi sous le coup de la peur. Je tiens à Duo, c'est la première fois que cela m'arrive. Alors j'ai peur de le perdre. Si cela doit se produire, je ne veux pas que quelqu'un puisse porter une part de responsabilité. Tout ce que je t'ai dit hier dans la piscine est vrai et sincère.

Les lèvres de Quatre s'étirèrent en un sourire amical alors qu'il se retournait vers Heero.

– C'est oublié alors, je ne t'en veux pas.

– Merci Quatre.

Heero s'éloigna et retourna prendre la main de Duo.

Trowa ne s'était rendu compte de rien.

Aussi quand son petit ami lui demanda d'aller présenter ses excuses au japonais, il commença par refuser.

Quatre du alors expliquer qu'il avait lui–même reçu des excuses.

Trowa obtempéra.

Cela ne changea pas grand–chose dans l'attitude du brun qui ne prononçât pas un mot de plus de la journée.

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A suivre…