Auteur : olivs
Origine : Gundam Wing.
Disclaimer : les personnages de cette histoire sont la propriété exclusive de Sunrise, Bandaï et Setsu Agency
Genre : Yaoi – UA – kawaii – mélo – bon sentiments et tout le bastringue.
Rating : PG–13 Il y a des mots assez crus et des caresses. Alors dans le doute ne lisez pas.
Type : fanfiction classique forme Heero/Duo, Quatre/Trowa, Wufei/Meiran.
Merci : je sais que je me répète mais j'aime toujours autant recevoir des review et j'en profite cette fois-ci pour faire un coucou-merci à Sirna pour sa petite review à laquelle j'ai pas pu répondre par mail.
Excuses : pour ce chapitre tout court mais pour me faire pardonner il y en aura un autre en ligne très vite.
´
Une deuxième histoire de départs
Merida le 25 mars 2004
´
Dans la chambre voisine, deux amants s'écroulaient en sueur sur leur lit après leurs exercices matinaux.
Quatre allongé sur le corps de Trowa jouait avec la mèche de son amant alors que celui–ci lui caressait le dos pensivement.
– Pourquoi tu fais la tête ? Demanda de jeune blond.
– Je ne fais pas la tête mon amour.
– Trowa ne me ment pas tu fais la gueule !
Quatre était à la limite de s'énerver.
Trowa fini par pousser un soupir.
– Je t'avais dit que je m'attachais trop vite.
– Tu crois vraiment que tes sentiments ne sont pas réciproques ?
Lui répondit le blond avec un léger ton de reproche.
– Cela ne t'empêchera pas de prendre ton avion demain.
Quatre se doutait qu'il était depuis le début question de cela.
Il avait toujours été clair avec le français que son retour à Boston ne pourrait pas attendre plus.
Il lui avait expliqué qu'il ne pourrait pas sécher le partiel qui l'attendait au lendemain de son retour.
Quatre arrêta de jouer avec les cheveux de son amant et se redressa.
– Ce que tu peux être égoïste ! Tu penses vraiment que j'ai envie de partir que j'ai envie de te laisser, que je n'ai pas peur que tu m'oublies aussi vite que tu m'as connu ? Tu crois quoi ?
Le ton du jeune homme blond était des plus secs et la réponse de Trowa se fit sur le même registre.
Il s'assit sur le lit et répondit en regardant fixement son amant.
– Rien je ne crois rien. Seulement que je me suis fait plaqué, il y a quelques mois et que je ne pensais pas être assez stupide pour retomber amoureux aussi vite et replonger dans le trou dans lequel j'arrivais à peine de sortir.
Quatre laissa passer un silence avant de répondre.
Il savait que la colère de Trowa n'était pas dirigée contre lui.
Il s'en voulait aussi d'avoir eut des mots aussi durs envers celui qu'il aimait déjà.
Il se calma donc avant de reprendre.
– Trowa, tu m'as dit qu'à la rentrée tu commencerais ta thèse à Paris.
– Oui.
Lui répondit machinalement le châtain.
– Tu m'as aussi dit que cet été tu devais travailler à Lacanau.
– Oui.
– Si je te proposais de te rejoindre à Paris en septembre pour y finir mon master, tu m'attendrais jusque–là ?
– Tu es sérieux là ?
Lui répondit Trowa avec une pointe d'étonnement dans la voix.
– Quelque chose te fait penser que je ne le suis pas !
Le ton de Quatre était posé, sérieux.
– Non bien sûr !
– Alors ?
– Quatre je tombe peut–être très vite amoureux, mais je suis toujours sincère. Alors même s'il me faut t'attendre un an, je t'attendrai.
Quatre s'avança vers son amant et embrassa tendrement les lèvres de celui–ci.
– Je ne tiendrais pas un an sans te voir.
– Six moi ça va être très long.
Lui confia le français en répondant à son baisé.
– Tu commences quand à travailler cet été ?
– Le premier juin.
– Quel dommage, je suis en vacances juste après.
– Je doute que les conditions d'hébergement d'un serveur à Lacanau puissent te convenir pour tes vacances.
– Explique ?
– Caravane sordide dans un camping bas de gamme en plein soleil.
Sans oublier de donner un léger baisé à Trowa, comme entre chacune de leur phrase, Quatre fit une petite moue de dégoût.
– Mais ça t'embêterait pas de m'avoir sur le dos pendant tout l'été, alors que tu travailles ?
– Sur le dos, sur le ventre, en dessous et au–dessus… Non à bien y réfléchir j'aimerais assez, mais franchement ce ne serait pas vivable !
Trowa s'amusa lui–même de la première partie de sa réponse et regrettait vraiment de ne pouvoir proposer un hébergement décent à Quatre.
– Et Noé, Charlotte, Titus, David, Jonathan et toute la bande, ils survivent dans la caravane ?
Trowa était vraiment touché que Quatre s'inquiète pour sa ménagerie et encore plus qu'il ait mémorisé les noms de ses chère petites bébêtes.
– Ils restent à Paris, Ils crèveraient dans la caravane.
– Les pauvres ! Cela ne serait pas plus cool, si tu avais une villa avec un jardin où ils pourraient s'amuser.
Trowa secoua la tête devant la candeur de son amant.
– Quatre mon amour si je devais louer une telle villa tout l'argent que je pourrais gagner suffirait à peine à couvrir le loyer.
– Oui et ce serait trop chiant pour toi de faire tous les jours la route entre Lacanau et Le Piquey tous les jours.
– Tu connais ? C'est ridicule c'est à quelques kilomètres. Ça se fait en vélo.
– Ça fait plus de trente bornes !
– Ce n'est pas exactement à Lacanau c'est plus au sud.
– Le Porge ?
– Le Grand Croho.
Quatre éclata de rire.
– C'est là où je vais me baigner.
– Mais Quatre, comment tu connais ce coin ?
– Mon père a une villa au Petit Piquey.
Trowa le regarda avec des yeux en soucoupe.
– Tu acceptes ? Tu pourras même aller bosser en Mini Moke si on arrive à la démarrer.
– Mais pourquoi tu ne l'as pas dit plus tôt ?
– J'avais peur de t'encombrer.
Trowa se prit la tête entre les mains avant de reprendre.
– Par contre je doute que ton père apprécie la venue de ma ménagerie.
– Il n'y met jamais les pieds. On sera tout seul et tranquilles.
Trowa serra Quatre contre lui en l'embrassant de plus belle.
– Que deux mois, ça ne fait plus que deux mois.
– Ça ne veut pas dire que ça ne va pas me paraître long
Fini le blond.
Trowa s'entant une certaine partie du corps de son amant se réveiller contre lui suggéra de prendre de l'avance et enfila un préservatif sur le sexe de son amant.
´
´
A suivre…
