Voici la suite de la romance naissante entre Primula et Drogon. Je tiens à
vous remercier chaudement pour tous les encouragements que j'ai reçu pour
mon premier chapitre, j'espère sincèrement que vous aimerez autant les
suivants. Le chapitre qui vient est librement inspiré de la première
entrevue entre Cyrano et Roxanne du très célèbre « Cyrano de Bergerac »
d'Edmond Rostand et d'ailleurs, je félicite particulièrement Albane qui est
allé lire cette scène(c'est vrai que je lui ai un peu forcé la main. Lol !)
Bon, rendez-vous compte par vous-même car maintenant, place au chapitre :
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Le lendemain matin, Primula fut la première levée. Elle s'habilla promptement, donna un simple coup de brosse à ses beaux cheveux bruns et courut prestement à la porte d'entrée de Château-Brande pour guetter l'arrivée de Bell Bonenfant qui tous les matins apportait les ?ufs et le lait pour la grande demeure. Mais ne matin-là, la petite fermière était en retard et l'attente rendait Primula extrêmement fébrile. Elle ne put réprimer un sourire de soulagement quand elle vit finalement devant elle le bon visage de Bell.
« Bonjour, Mademoiselle Primula ! Vous êtes bien matinale ! »
« Oui, Bell, je voulais te voir. Peux-tu me rendre un grand service ? »
« Pour sur, Mademoiselle ! Tout ce que vous voudrez ! A part aller dans la Vieille Forêt. On raconte qu'il s'y passe de drôles de choses ! »
« Non, non, ce n'est pas ça, rassures toi, Bell, répondit en riant Primula. Voilà. Peux tu porter une lettre à Hobbitebourg pour moi ? Pour Bilbon Sacquet ? »
« Monsieur Bilbon ? Vous n'aimez plus Monsieur Drogon ? »
« Euh..si, Bell, ça n'a rien à voir. J'ai besoin de...parler à mon cousin. Tu peux faire cela pour moi ? Comme cela, tu verras ce jeune jardinier qui vient d'arriver. Hamfast Gamegie ? C'est bien ainsi qu'il se nomme ? »
« Oh ! Oui, Mademoiselle, répondit Bell en rougissant. Il est très gentil. Il me donne une fleur à chaque fois qu'il me voit. Je..je l'aime bien. Je porterais votre lettre. »
« Merci, Bell. »
Lorsque Bilbon reçut la lettre, il fit un si grand bond que sa tête manqua toucher le plafond de Cul-de-Sac, au grand amusement de son ami Gandalf le Gris.
« Une lettre ! Une lettre de Primula ! »
« C'est votre jeune cousine si charmante, si je ne m'abuse, demanda Gandalf. »
« Oui, oui, c'est elle ! Ah ! Elle a les plus beaux yeux de toute la Comté ! »
« Et bien, ouvrez mon ami, ouvrez ! »
Bilbon s'exécuta et put lire alors ces quelques mots :
« Cher Bilbon, Il faut absolument que je te parle au plus vite. Mon c?ur et mon âme dépendent de cet entretien que je te demande aujourd'hui. Viens me voir dès que possible. Primula. »
« Et bien, mon cher ami, vous voilà content, dit Gandalf. »
« Oui, pour une raison quelconque, elle sait que j'existe. »
« Vos exploits d'il y a dix ans avec les nains ont certainement fait forte impression sur ce jeune esprit. »
« Puissiez vous avoir raison, Gandalf. »
Bilbon alla aussitôt seller son poney et pris la route du Pays de Bouc, le c?ur battant, se remémorant à chaque instant les mots inscrits dans la lettre de sa belle cousine. Quand il fut enfin rendu au Pays de Bouc, son c?ur battait si fort que Bilbon le crut prêt à exploser dans sa poitrine. Arrivé à Château-Brande, il trouva Primula en train de discuter avec la petite Esmeralda Touque.
« Bonjour, Bilbon ! Fit gracieusement Primula. »
« Bonjour ! Dis moi, Esmeralda, tu ne veux pas aller jouer avec Sarradoc ? »
« Oh, non, c'est un enfant ! Je suis beaucoup trop grande ! »
« Même si je te donne ceci ? Dit Bilbon en tendant à la petite fille un sac rempli de champignons. »
« Oh, merci, Bilbon, s'écria joyeusement Esmeralda. »
Puis elle disparut en courant à l'intérieur du smial.
« Tu voulais me parler, Primula ? Commença gauchement Bilbon. »
« Oui, mais pour ce que j'ai à te dire, j'ai besoin de retrouver le compagnon qui me faisait jouer quand j'étais enfant. »
« Oui, je me rappelle, tu venais tous les étés à Cul-de-Sac, avec tes parents. »
« Etais-je une jolie petite fille ? Demanda Primula avec coquetterie. »
« Oh, oui, la plus mignonne ! »
« Mais il y a longtemps que je ne t'ai vu, cher cousin. Tu ne m'as jamais raconté tes exploits avec les nains ! Ca a du être formidable ! »
« Oh, pas tant que ça. »
« Pourquoi étais-tu parti, au fait ? »
« Oh, pour terrasser un dragon. »
« Un dragon ? Mais c'est fabuleux ! »
« Tu sais, il n'était pas très malin, ce pauvre Smog. »
« Quand même ! Tu es admirable, mon cher Bilbon. »
« Est-ce pour me parler de cela que tu m'as fait venir ici, Primula ? »
« Pas exactement...j'ai un secret à te confier. Maintenant, je me sens plus à l'aise pour te parler. »
« De quoi s'agit-il ? »
« Et bien voilà...je suis amoureuse...d'un hobbit qui est un peu plus âgé que moi. »
« Tiens ? Fit Bilbon, les yeux brillants d'espoir. »
« Oui, je me suis rendue compte de son mérite il y a quelques mois, lors de ton anniversaire. »
« Tiens ! »
« Sa famille est l'une des plus en vue de la Comté.. »
« Tiens ! »
« Oui, c'est un Sacquet. »
« Tiens ! »
« Il est si beau avec ses grands yeux noirs ! »
« Noirs ? »
« Oui, il s'agit de Drogon Sacquet. Je voulais te demander si...si tu pouvais lui parler de moi. Essayer de savoir ce qu'il pense. On dirait qu'il cherche à m'éviter. si tu savais comme ça me fait mal ! »
« Oh, oui, j'imagine bien ! »
« Pourrais-tu intervenir en ma faveur ? »
« Euh..mais oui, bien sur, Primula, répondit Bilbon en tentant de masquer son désarroi sous un sourire affable. Je te promet que Drogon ne va pas tarder à sortir de son mutisme. »
« Oh, n'est ce pas que tu vas m'aider ? »
« Oui, Primula. »
« Que tu vas l'encourager à venir me parler ? »
« Oui, Primula. »
« Oh, j'ai toujours eu une amitié si tendre pour toi, cher cousin Bilbon ! Oh, je t'aime bien ! »
« Oui, oui, Primula. »
« Primula ! retentit une voix depuis l'intérieur du smial. »
« Oh, ma mère m'appelle. Tu finiras de me raconter tes exploits au dîner, j'espère ! Un dragon ! Quelle merveille ! C'est fantastique ! »
« Oh, j'ai fait mieux depuis, répondit Bilbon pour lui-même. »
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Voilà ! J'espère que ça vous a plu ! Si tel est le cas, mettez-moi une petite rewiew ! Si ce n'est pas le cas, mettez moi une petite rewiew (quand même pas trop petite, la rewiew !lol)
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Le lendemain matin, Primula fut la première levée. Elle s'habilla promptement, donna un simple coup de brosse à ses beaux cheveux bruns et courut prestement à la porte d'entrée de Château-Brande pour guetter l'arrivée de Bell Bonenfant qui tous les matins apportait les ?ufs et le lait pour la grande demeure. Mais ne matin-là, la petite fermière était en retard et l'attente rendait Primula extrêmement fébrile. Elle ne put réprimer un sourire de soulagement quand elle vit finalement devant elle le bon visage de Bell.
« Bonjour, Mademoiselle Primula ! Vous êtes bien matinale ! »
« Oui, Bell, je voulais te voir. Peux-tu me rendre un grand service ? »
« Pour sur, Mademoiselle ! Tout ce que vous voudrez ! A part aller dans la Vieille Forêt. On raconte qu'il s'y passe de drôles de choses ! »
« Non, non, ce n'est pas ça, rassures toi, Bell, répondit en riant Primula. Voilà. Peux tu porter une lettre à Hobbitebourg pour moi ? Pour Bilbon Sacquet ? »
« Monsieur Bilbon ? Vous n'aimez plus Monsieur Drogon ? »
« Euh..si, Bell, ça n'a rien à voir. J'ai besoin de...parler à mon cousin. Tu peux faire cela pour moi ? Comme cela, tu verras ce jeune jardinier qui vient d'arriver. Hamfast Gamegie ? C'est bien ainsi qu'il se nomme ? »
« Oh ! Oui, Mademoiselle, répondit Bell en rougissant. Il est très gentil. Il me donne une fleur à chaque fois qu'il me voit. Je..je l'aime bien. Je porterais votre lettre. »
« Merci, Bell. »
Lorsque Bilbon reçut la lettre, il fit un si grand bond que sa tête manqua toucher le plafond de Cul-de-Sac, au grand amusement de son ami Gandalf le Gris.
« Une lettre ! Une lettre de Primula ! »
« C'est votre jeune cousine si charmante, si je ne m'abuse, demanda Gandalf. »
« Oui, oui, c'est elle ! Ah ! Elle a les plus beaux yeux de toute la Comté ! »
« Et bien, ouvrez mon ami, ouvrez ! »
Bilbon s'exécuta et put lire alors ces quelques mots :
« Cher Bilbon, Il faut absolument que je te parle au plus vite. Mon c?ur et mon âme dépendent de cet entretien que je te demande aujourd'hui. Viens me voir dès que possible. Primula. »
« Et bien, mon cher ami, vous voilà content, dit Gandalf. »
« Oui, pour une raison quelconque, elle sait que j'existe. »
« Vos exploits d'il y a dix ans avec les nains ont certainement fait forte impression sur ce jeune esprit. »
« Puissiez vous avoir raison, Gandalf. »
Bilbon alla aussitôt seller son poney et pris la route du Pays de Bouc, le c?ur battant, se remémorant à chaque instant les mots inscrits dans la lettre de sa belle cousine. Quand il fut enfin rendu au Pays de Bouc, son c?ur battait si fort que Bilbon le crut prêt à exploser dans sa poitrine. Arrivé à Château-Brande, il trouva Primula en train de discuter avec la petite Esmeralda Touque.
« Bonjour, Bilbon ! Fit gracieusement Primula. »
« Bonjour ! Dis moi, Esmeralda, tu ne veux pas aller jouer avec Sarradoc ? »
« Oh, non, c'est un enfant ! Je suis beaucoup trop grande ! »
« Même si je te donne ceci ? Dit Bilbon en tendant à la petite fille un sac rempli de champignons. »
« Oh, merci, Bilbon, s'écria joyeusement Esmeralda. »
Puis elle disparut en courant à l'intérieur du smial.
« Tu voulais me parler, Primula ? Commença gauchement Bilbon. »
« Oui, mais pour ce que j'ai à te dire, j'ai besoin de retrouver le compagnon qui me faisait jouer quand j'étais enfant. »
« Oui, je me rappelle, tu venais tous les étés à Cul-de-Sac, avec tes parents. »
« Etais-je une jolie petite fille ? Demanda Primula avec coquetterie. »
« Oh, oui, la plus mignonne ! »
« Mais il y a longtemps que je ne t'ai vu, cher cousin. Tu ne m'as jamais raconté tes exploits avec les nains ! Ca a du être formidable ! »
« Oh, pas tant que ça. »
« Pourquoi étais-tu parti, au fait ? »
« Oh, pour terrasser un dragon. »
« Un dragon ? Mais c'est fabuleux ! »
« Tu sais, il n'était pas très malin, ce pauvre Smog. »
« Quand même ! Tu es admirable, mon cher Bilbon. »
« Est-ce pour me parler de cela que tu m'as fait venir ici, Primula ? »
« Pas exactement...j'ai un secret à te confier. Maintenant, je me sens plus à l'aise pour te parler. »
« De quoi s'agit-il ? »
« Et bien voilà...je suis amoureuse...d'un hobbit qui est un peu plus âgé que moi. »
« Tiens ? Fit Bilbon, les yeux brillants d'espoir. »
« Oui, je me suis rendue compte de son mérite il y a quelques mois, lors de ton anniversaire. »
« Tiens ! »
« Sa famille est l'une des plus en vue de la Comté.. »
« Tiens ! »
« Oui, c'est un Sacquet. »
« Tiens ! »
« Il est si beau avec ses grands yeux noirs ! »
« Noirs ? »
« Oui, il s'agit de Drogon Sacquet. Je voulais te demander si...si tu pouvais lui parler de moi. Essayer de savoir ce qu'il pense. On dirait qu'il cherche à m'éviter. si tu savais comme ça me fait mal ! »
« Oh, oui, j'imagine bien ! »
« Pourrais-tu intervenir en ma faveur ? »
« Euh..mais oui, bien sur, Primula, répondit Bilbon en tentant de masquer son désarroi sous un sourire affable. Je te promet que Drogon ne va pas tarder à sortir de son mutisme. »
« Oh, n'est ce pas que tu vas m'aider ? »
« Oui, Primula. »
« Que tu vas l'encourager à venir me parler ? »
« Oui, Primula. »
« Oh, j'ai toujours eu une amitié si tendre pour toi, cher cousin Bilbon ! Oh, je t'aime bien ! »
« Oui, oui, Primula. »
« Primula ! retentit une voix depuis l'intérieur du smial. »
« Oh, ma mère m'appelle. Tu finiras de me raconter tes exploits au dîner, j'espère ! Un dragon ! Quelle merveille ! C'est fantastique ! »
« Oh, j'ai fait mieux depuis, répondit Bilbon pour lui-même. »
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Voilà ! J'espère que ça vous a plu ! Si tel est le cas, mettez-moi une petite rewiew ! Si ce n'est pas le cas, mettez moi une petite rewiew (quand même pas trop petite, la rewiew !lol)
