Et voilà enfin le mariage ! Merci à celles qui m'ont rewiewé et bonne
lecture ! je vous laisse découvrir !
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
« Drogon Sacquet, voulez-vous prendre pour épouse Primula Brandebouc ici présente ? »
« Oui, je le veux. »
« Et vous, Primula Brandebouc, voulez-vous prendre pour époux Drogon Sacquet ici présent ? »
« Oui, je le veux. »
« Que le témoin du marié veuille bien apporter les alliances. »
Aussitôt, Bilbon s'avança chargé d'un coussinet de soie rouge sur lequel étaient disposés deux anneaux, l'un de platine martelé et l'autre d'or rose incrusté de diamants. Drogon saisit l'anneau de diamants et le passa au doigt de Primula. Primula saisit l'anneau de platine et le passa au doigt de Drogon. Puis Gorbadoc reprit la parole :
« Par les pouvoirs qui me sont conférés et conformément aux lois de la Comté, je vous déclare mari et femme ! Drogon, mon gars, tu peux embrasser ma fille. Je t'embrasserais bien moi-même, mais...bon. »
Après une étreinte un peu trop longue pour le lieu, Primula et Drogon allèrent déposer au pied de la statue de Varda un gâteau d'épeautre et un bouquet de lys, conformément à la coutume hobbite.
« Et bien, dit Mimosa Touque à l'oreille de son mari, cette péronnelle ne manque pas de toupet, avec son bouquet ! Tout le monde sait que Drogon a eu avant l'heure la..... »
« Tais-toi, Mimosa ! Gronda Adalgrim. L'amertume te rend méchante ! »
« Bien, maintenant, allons vider quelques chopes ! S'écria joyeusement Gorbadoc. »
La réception fut très réussie et joyeuse, bien que la moitié de l'assistance fut composée d'anciens prétendants de Primula qui voyaient d'un seul coup leur beau rêve s'envoler. le dîner se prolongea tard dans la soirée, jusqu'au moment de l'inévitable discours du témoin du marié, discours que chacun apréhendait, y compris Drogon lui-même. Bilbon avait l'habitude de n'être ni très clair, ni très rapide.
« Mes chers amis, dit Bilbon, c'est avec une immense joie que je me trouve aujourd'hui parmi vous pour célébrer les noces des deux personnes que j'aime certainement le plus au monde (et il disait vrai), mes chers cousins Primula et Drogon. Que le chemin qu'ils s'apprêtent à parcourir ensemble soit semé de fleurs. Que leurs enfants soient nombreux, qu'ils soient beaux comme Primula et belle, qu'ils soient sages et clairvoyants comme l'est Drogon. »
Aussitôt une grande clameur d'approbation s'éleva de l'assistance. Chacun se sentait soulagé de la brièveté et de l'intelligibilité (apparente) du discours de Bilbon, et les hobbits entamèrent joyeusement les dessertes, aussi abondants que variés. Le seul à être troublé par les propos de Bilbon fut Drogon, et pour cause ! Pourquoi diable Bilbon avait-il mis sur le tapis ce couplet sur les enfants ? Il était loin d'ignorer la situation ! La formule était certes usuelle, et presque banale dans les mariages hobbits, mais elle n'était pas obligatoire ! Nul doute que Primula l'aurait noté et en reparlerait dès qu'ils seraient seuls. Mais très vite, quelques verres de vin eurent raison de l'angoisse du jeune marié qui bientôt se mit à deviser et à rire avec le reste des convives. Bilbon, quant à lui, se fraya un passage pour approcher Primula.
« Alors cousine, tu es heureuse ? »
« Oh, oui, Bilbon ! Et merci pour tout, vraiment ! »
« Vraiment heureuse ? »
« Mais bien sur ! »
« Alors c'est bien, je suis heureux moi aussi, dans ce cas, répondit Bilbon avec un petit sourire triste que Primula ne perçut pas. »
Bientôt Drogon vint la chercher pour la dernière danse.
« Adieu, mon amour, adieu, dit mentalement Bilbon, au bord des larmes malgré son masque d'apparente gaieté. »
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
N'ayant pas l'appréhension habituelle des jeunes épousées au moment ou approche leur nuit de noce, Primula courût joyeusement à la maison d'hôte de Château-Brande en tenant Drogon par la main lorsque le moment fut venu pour le jeune couple de s'éclipser. l'arrangement des lieux ne fut pas non plus une grande surprise, Primula ayant convenu du décor avec ses sœurs. Fidèle à la réputation d'excentricité des gens du pays de Bouc, la jeune mariée avait pris toutes les dispositions qui incombent normalement à l'époux. arrivée à destination, elle conduisit Drogon dans une chambre splendidement meublée dans les tons orangés, lui planta une pipe allumée dans la bouche ,lui dit qu'elle revenait vite et disparut sans laisser à Drogon le temps de dire ouf. Quelques instants plus tard, elle revint vêtue d'un déshabillé safran assorti aux tentures du lit. Elle se tenait debout, au milieu de la pièce, devant un Drogon complètement médusé, mesurant avec délectation les effets de sa petite mise en scène.
« Je te plais ? Finit-elle par dire avec un petit sourire malicieux. »
« Oh ! Oui ! Oui ! Je serais vraiment difficile, dans le cas inverse ! »
« Alors viens me chercher ! »
Aussitôt, Drogon jeta les cendres de sa pipe dans la cheminée, se dressa prestement de son fauteuil et vint soulever Primula dans ses bras pour la déposer dans le lit conjugal. Déjà, il commençait à jouer avec les brettelles de son épouse, savourant à l'avance les délices de sa première nuit de hobbit marié quand les paroles prononcées plus tôt dans la journée par Bilbon et quelques mois en arrière par sa sœur lui revinrent à l'esprit. troublé, il interrompit ses caresses, au grand désaroi de Primula.
« Mais enfin, qu'y a-t-il ? Fit-elle, à la fois mécontente et perplexe. »
« Mon amour.....il faut que nous parlions. »
« Si tu ne voulais pas m'épouser, il fallait le dire tout à l'heure !Il n'est plus temps ! Dit-elle dans un petit rire. »
« Ce n'est pas ça, oh ! Loin de là ! »
« Alors ça peut attendre demain. J'attend cet instant depuis si longtemps ! Ne le gâchons pas en vaines paroles ! »
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Le lendemain matin, Drogon fut réveillé le premier. Longtemps, il contempla Primula dans son sommeil. Primula, si belle et si confiante. Primula si sereine, si pleine d'espoir quant à son avenir. Il savait que ce sourire paisible allait dans quelques instants se transformer en un rictus de colère et de douleur à l'annonce de la terrible révélation. Mais il fallait le faire. Il fallait lui parler. Aujourd'hui. Ne pas garder plus longtemps ce secret.
« Oh, bonjour, mon chéri ! »
« Bonjour, mon ange ! Tu as bien dormi ? »
« Oh, oui, comme un bébé. D'ailleurs à ce propos, je gage que dans neuf mois nous ne serons plus deux mais trois."
« Comment ça ? Dit Drogon avec brusquerie. »
« Et bien.....la date du mariage n'a pas été fixée à la légère, figures-toi ! J'ai choisi le jour ou j'étais certaine de tomber enceinte. »
« Non, Primula, dit sombrement Drogon. »
« Comment ? Mais si, je te dis ! Avant le mariage, je suis allée voir le médecin qui m'a examiné et m'a dit que j'étais en excellente santé et que j'aurais beaucoup d'enfants ! Je suis faite pour ça ! Oui, comme ma mère ! »
« Non, Primula, ce n'est pas possible ! Pas avec moi ! »
« Mais....je ne comprend pas ! »
Son beau visage était à présent décomposé par la stupeur et l'appréhension.
« Oui, je.....et bien, quand j'avais trente ans, j'ai eu une maladie....normalement bénigne, mais qui provoque la stérilité.....pendant très longtemps.....peut-être pour toujours. »
« Quoi ? »
« Je ne peux pas avoir d'enfant, Primula. Tu ne peux pas être enceinte car je suis stérile. C'est impossible. »
Saisie par une terreur et un désespoir qu'elle n'aurait jamais imaginé, Primula resta figée pendant plusieurs minutes, comme pétrifiée par quelque démon. Quand elle reprit conscience, ce fut pour éclater en sanglot, de rage et de désespoir mêlés.
« Sors d'ici ! Hurla-t-elle ! Sors d'ici, laisse-moi seule ! Je ne veux plus te voir ! Plus jamais ! Tu es un monstre ! Non, tu es pire que ça ! Tu as gâché ma vie ! Disparaît ! »
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. J'avoue que cette fin n'est guère joyeuse, mais il fallait bien en passer par là. J'essaierais de mettre un nouveau chap avant que l'ordi n'aille à la réparation car il donne quelques signes de faiblesse. Mais si vous voulez la suite, en tous cas, vous savez ce qui vous reste à faire^^
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
« Drogon Sacquet, voulez-vous prendre pour épouse Primula Brandebouc ici présente ? »
« Oui, je le veux. »
« Et vous, Primula Brandebouc, voulez-vous prendre pour époux Drogon Sacquet ici présent ? »
« Oui, je le veux. »
« Que le témoin du marié veuille bien apporter les alliances. »
Aussitôt, Bilbon s'avança chargé d'un coussinet de soie rouge sur lequel étaient disposés deux anneaux, l'un de platine martelé et l'autre d'or rose incrusté de diamants. Drogon saisit l'anneau de diamants et le passa au doigt de Primula. Primula saisit l'anneau de platine et le passa au doigt de Drogon. Puis Gorbadoc reprit la parole :
« Par les pouvoirs qui me sont conférés et conformément aux lois de la Comté, je vous déclare mari et femme ! Drogon, mon gars, tu peux embrasser ma fille. Je t'embrasserais bien moi-même, mais...bon. »
Après une étreinte un peu trop longue pour le lieu, Primula et Drogon allèrent déposer au pied de la statue de Varda un gâteau d'épeautre et un bouquet de lys, conformément à la coutume hobbite.
« Et bien, dit Mimosa Touque à l'oreille de son mari, cette péronnelle ne manque pas de toupet, avec son bouquet ! Tout le monde sait que Drogon a eu avant l'heure la..... »
« Tais-toi, Mimosa ! Gronda Adalgrim. L'amertume te rend méchante ! »
« Bien, maintenant, allons vider quelques chopes ! S'écria joyeusement Gorbadoc. »
La réception fut très réussie et joyeuse, bien que la moitié de l'assistance fut composée d'anciens prétendants de Primula qui voyaient d'un seul coup leur beau rêve s'envoler. le dîner se prolongea tard dans la soirée, jusqu'au moment de l'inévitable discours du témoin du marié, discours que chacun apréhendait, y compris Drogon lui-même. Bilbon avait l'habitude de n'être ni très clair, ni très rapide.
« Mes chers amis, dit Bilbon, c'est avec une immense joie que je me trouve aujourd'hui parmi vous pour célébrer les noces des deux personnes que j'aime certainement le plus au monde (et il disait vrai), mes chers cousins Primula et Drogon. Que le chemin qu'ils s'apprêtent à parcourir ensemble soit semé de fleurs. Que leurs enfants soient nombreux, qu'ils soient beaux comme Primula et belle, qu'ils soient sages et clairvoyants comme l'est Drogon. »
Aussitôt une grande clameur d'approbation s'éleva de l'assistance. Chacun se sentait soulagé de la brièveté et de l'intelligibilité (apparente) du discours de Bilbon, et les hobbits entamèrent joyeusement les dessertes, aussi abondants que variés. Le seul à être troublé par les propos de Bilbon fut Drogon, et pour cause ! Pourquoi diable Bilbon avait-il mis sur le tapis ce couplet sur les enfants ? Il était loin d'ignorer la situation ! La formule était certes usuelle, et presque banale dans les mariages hobbits, mais elle n'était pas obligatoire ! Nul doute que Primula l'aurait noté et en reparlerait dès qu'ils seraient seuls. Mais très vite, quelques verres de vin eurent raison de l'angoisse du jeune marié qui bientôt se mit à deviser et à rire avec le reste des convives. Bilbon, quant à lui, se fraya un passage pour approcher Primula.
« Alors cousine, tu es heureuse ? »
« Oh, oui, Bilbon ! Et merci pour tout, vraiment ! »
« Vraiment heureuse ? »
« Mais bien sur ! »
« Alors c'est bien, je suis heureux moi aussi, dans ce cas, répondit Bilbon avec un petit sourire triste que Primula ne perçut pas. »
Bientôt Drogon vint la chercher pour la dernière danse.
« Adieu, mon amour, adieu, dit mentalement Bilbon, au bord des larmes malgré son masque d'apparente gaieté. »
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
N'ayant pas l'appréhension habituelle des jeunes épousées au moment ou approche leur nuit de noce, Primula courût joyeusement à la maison d'hôte de Château-Brande en tenant Drogon par la main lorsque le moment fut venu pour le jeune couple de s'éclipser. l'arrangement des lieux ne fut pas non plus une grande surprise, Primula ayant convenu du décor avec ses sœurs. Fidèle à la réputation d'excentricité des gens du pays de Bouc, la jeune mariée avait pris toutes les dispositions qui incombent normalement à l'époux. arrivée à destination, elle conduisit Drogon dans une chambre splendidement meublée dans les tons orangés, lui planta une pipe allumée dans la bouche ,lui dit qu'elle revenait vite et disparut sans laisser à Drogon le temps de dire ouf. Quelques instants plus tard, elle revint vêtue d'un déshabillé safran assorti aux tentures du lit. Elle se tenait debout, au milieu de la pièce, devant un Drogon complètement médusé, mesurant avec délectation les effets de sa petite mise en scène.
« Je te plais ? Finit-elle par dire avec un petit sourire malicieux. »
« Oh ! Oui ! Oui ! Je serais vraiment difficile, dans le cas inverse ! »
« Alors viens me chercher ! »
Aussitôt, Drogon jeta les cendres de sa pipe dans la cheminée, se dressa prestement de son fauteuil et vint soulever Primula dans ses bras pour la déposer dans le lit conjugal. Déjà, il commençait à jouer avec les brettelles de son épouse, savourant à l'avance les délices de sa première nuit de hobbit marié quand les paroles prononcées plus tôt dans la journée par Bilbon et quelques mois en arrière par sa sœur lui revinrent à l'esprit. troublé, il interrompit ses caresses, au grand désaroi de Primula.
« Mais enfin, qu'y a-t-il ? Fit-elle, à la fois mécontente et perplexe. »
« Mon amour.....il faut que nous parlions. »
« Si tu ne voulais pas m'épouser, il fallait le dire tout à l'heure !Il n'est plus temps ! Dit-elle dans un petit rire. »
« Ce n'est pas ça, oh ! Loin de là ! »
« Alors ça peut attendre demain. J'attend cet instant depuis si longtemps ! Ne le gâchons pas en vaines paroles ! »
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Le lendemain matin, Drogon fut réveillé le premier. Longtemps, il contempla Primula dans son sommeil. Primula, si belle et si confiante. Primula si sereine, si pleine d'espoir quant à son avenir. Il savait que ce sourire paisible allait dans quelques instants se transformer en un rictus de colère et de douleur à l'annonce de la terrible révélation. Mais il fallait le faire. Il fallait lui parler. Aujourd'hui. Ne pas garder plus longtemps ce secret.
« Oh, bonjour, mon chéri ! »
« Bonjour, mon ange ! Tu as bien dormi ? »
« Oh, oui, comme un bébé. D'ailleurs à ce propos, je gage que dans neuf mois nous ne serons plus deux mais trois."
« Comment ça ? Dit Drogon avec brusquerie. »
« Et bien.....la date du mariage n'a pas été fixée à la légère, figures-toi ! J'ai choisi le jour ou j'étais certaine de tomber enceinte. »
« Non, Primula, dit sombrement Drogon. »
« Comment ? Mais si, je te dis ! Avant le mariage, je suis allée voir le médecin qui m'a examiné et m'a dit que j'étais en excellente santé et que j'aurais beaucoup d'enfants ! Je suis faite pour ça ! Oui, comme ma mère ! »
« Non, Primula, ce n'est pas possible ! Pas avec moi ! »
« Mais....je ne comprend pas ! »
Son beau visage était à présent décomposé par la stupeur et l'appréhension.
« Oui, je.....et bien, quand j'avais trente ans, j'ai eu une maladie....normalement bénigne, mais qui provoque la stérilité.....pendant très longtemps.....peut-être pour toujours. »
« Quoi ? »
« Je ne peux pas avoir d'enfant, Primula. Tu ne peux pas être enceinte car je suis stérile. C'est impossible. »
Saisie par une terreur et un désespoir qu'elle n'aurait jamais imaginé, Primula resta figée pendant plusieurs minutes, comme pétrifiée par quelque démon. Quand elle reprit conscience, ce fut pour éclater en sanglot, de rage et de désespoir mêlés.
« Sors d'ici ! Hurla-t-elle ! Sors d'ici, laisse-moi seule ! Je ne veux plus te voir ! Plus jamais ! Tu es un monstre ! Non, tu es pire que ça ! Tu as gâché ma vie ! Disparaît ! »
@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. J'avoue que cette fin n'est guère joyeuse, mais il fallait bien en passer par là. J'essaierais de mettre un nouveau chap avant que l'ordi n'aille à la réparation car il donne quelques signes de faiblesse. Mais si vous voulez la suite, en tous cas, vous savez ce qui vous reste à faire^^