Lily...Potter ?

Chapitre 2 :

J'ai vraiment fait ça ?

Lily était morte de rire.

- Tu rigole ! Moi, voir des parties de ma vie qui pourraient me servirent plus tard ? Non, je crois pas. Bon, je vais rentrer, je parle à mon reflet. Ce qui est complètement idiot

- Non, tu reste ici, et tu t'approche du miroir !

Elle était déjà à la porte, mais se retourna, tout de même interressée.

- Et à quoi ça me servirait de revoir mon passé ! Je ... Je le connais déjà !

- Aurais-tu peur ? lui dit son reflet avec un sourire sadique.

C'en était trop. Lily Evans, avoir peur de son reflet ? Non

- Qui ? Moi ? Oh, non !

- Alors approche !

Elle hésita.

- Okay.

Lily s'approcha du miroir, s'agenouilla devant et attendit. Mais rien ne se produisit. Elle ferma donc les yeux et entendit un éclat de rire. Elle crut qu'elle était retombée en enfance mais se rendit bien vite compte que c'était son reflet qui riait.

- Qu'est-ce qu'il y a de drôle ?

- Tu n'as pas besoin de fermer les yeux tu sais ! Au contraire, regarde dans la glace, et tu verra. Ne t'inquiète pas ! Tu resteras dans cette pièce et ça s'arrêteras quand tu le voudras. Mais je te conseil de regarder jusqu'au bout ! Parce que tu apprendras bien des choses...

- D'ac...

Mais elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase. Elle se voyait, tout bébé. Elle venait probablement de naître. Sa mère était alongée dans un lit d'hopital et avait Lily dans ses bras. Son père caressait la joue de sa mère. C'était un joli tableau que venait gacher sa soeur Petinia, aujourd'hui mariée. Elle était accroupie, près de la porte, et semblait dans tout ses états. Elle était visiblement jalouse.

- Pétunia chérie ! Viens dire bonjour à ta soeur ! dit sa mère.

Pétunia était accroupie par terre, une moue boudeuse sur les lèvres, regardant avec jalousie le petit bébé.

- Veux pas ! Elle est péchante !

- Mais, Pétunia ...! commença sa mère

- Pétunia Flora Evans, vous allez me faire le plaisir de venir embrasser votre soeur ! De suite ! cria son père.

Pétunia resta bouche-bé devant ses parents mais reprit vite sa petite bouille boudeuse.

- De toute façon, ne l'aime pas ! Nah !

Mais la petite fille s'avança, s'assit sur le lit, et pris le bébé sur ses genoux. Les parents sortirent pour aller dans la petite salle de bain qui était juste à côté. De là, ils pouvaient surveiller les deux petites filles... Seulement, ils étaient trop occupés, et au bout de deux minutes, la petite Pétunia avait acidentellement (NA : si,si, je vous assure que c'est vrai) fait tomber la petite Lily. Seulement, ils ne virent ni entendirent rien... Pétunia qui se rendit compte qu'elle était toute seule, pris panique.

- Lily, Lily ! Ne pleure pas !

Mais plus Pétunia prenait soin de sa petite soeur, plus le bébé pleurait et plus les parents étaient sourds (NA: je sais, c'est dûr à croire.) Alors, elle décida de changer les idées les idées du bébé, comme sa mère faisait lorsqu'elle avait une piqure et qu'elle avait peur.

- Je ne vais voir si tu n'as quelque chose.

Elle se précipita sur la petite table près de la fenêtre, au fond de la pièce, pris un strutoscope et commença à faire comme si elle était un docteur.

- Veuillez n'ouvrir la bouche !

Le bébé s'exécuta.

- N'on va voir votre coeur : respirez très bruillant. Comme ça : on ninspire, et non nexpire.

Le bébé inspira et expira pendant que Pétunia jouait à lui faire croire qu'elle avait une bronquiollitemence aïgue.

- Trois jours de repos et vous serez de nouveaux sur quatre pattes. Voilà. Aurevoir !

Puis, l'image devint flou, et deux fillettes d'environ 11 ans jouaient dans le jardin.

- Lily Evans s'élance ! criait Lily. Petunia ...

La jeune fille se tourna vers Pétunia et lui fit un sourire malicieux.

- ...Conti se concentre pour contrer le tir de sa jeune soeur !

- Lily ! Je t'avais interdit de m'appeler comme ça ! fit Pétunia, boudeuse.

Sa soeur l'appelait comme ça parce qu'elle était amoureuse d'un garçon nommé Jeremy Conti et sa soeur ne se privait pas pour la narguée.

- Alors arrête mon tir ! Dit-une jeune fille aux yeux d'un vert profond.

Mais Pétunia ne put arrêter le tir de la jeune fille.

- CONTI, CONTI, CONTI, CONTI ! hurlait joyeusement Lily.

- Lily ! Regarde !

Un hiboux grand duc avançait pésiblement vers le jardin.

- Maman ! Un hiboux !

Les deux jeunes filles se mirent à courir vers leur mère, non loin de là, et lui montrère le petit point qu'était le hiboux. Mais le soleil éblouissait Madame Evans.

- Mais voyons mes chéries, les hiboux ne sortent que la nuit.

Mais le hiboux était maintenant arriver dans le jardin et s'arrêta devant la plus jeune des soeurs. Il avait une enveloppe cacheté sur sa patte droite. Quelque peu effrayé, Lily se saisit pourtant de cette enveloppe :

Lily Evans

Dans le jardin

Londre

- Elle m'est adressée ! s'écria-t-elle.

- Mais de quoi ? demanda Pétunia.

- Le hibous transportait une lettre ! Elle est juste là, regarde ! Elle est pour moi !

- Donne-moi tout de suite cette lettre. dit Madame Evans, à demi-paniquée.

Lily regarda sa mère, surprise, mais ne put lui désobéir, en bonne petite fille bien élevée qu'elle était.

- Oui maman...

Madame Evans retourna la lettre et vit le sceau de Poudlard, le sceau qu'elle avait espérer ne jamais voir.

- Tu peux l'ouvrir s'il te plait ? J'ai hate de savoir ce qu'il y a d'écrit ! dit Lily, exitée.

- Lily chérie, monte avec ta soeur et appel ton père. lui répondit sa mère, faisant semblant de ne pas avoir entendu la demande de sa fille.

Voyant que les deux jeunes filles ne bougeaient pas, elle ajouta :

- Je viendrais vous voir pour vous expliquer.

Les deux jeunes filles se regardèrent puis haussèrent les épaules.

- D'accord. PAPA ! PAPA ! MAMAN T'APPELLE !

- J'arrive !

Et les deux jeunes filles montèrent. Bizarrement, l'image ne les suivit pas. Non, elle resta dans le jardin. Quelques minutes plus tard descendit un homme d'une quarantaine d'année aux cheveux noirs, aux yeux aussi vert que sa fille. Pétunia, elle avait hériter de sa chevelure.

- Oui, chérie ?

- Charles, tu te souviens à la naissance de Lily ? dit Madame Evans, visiblement assez triste et troublée.

- Oh ...

Monsieur Evans ferma les yeux et inspira vaillemment

- Elle l'a reçu, n'est-ce pas ?

- Oui ... Que va-t-on faire ?

Le père se mit à réfléchir pendant quelques minutes, puis prit la parole.

- Chérie, écoute...La lettre nous avait prévenue, Lily est une sorcière. (sa femme étouffa un sanglot à l'annonce de ce mot) et on ne peut rien faire. Il va falloir qu'elle y aille.

- Mais ... On ne la verra presque pas ! Et puis ... Que va faire Pétunia ?

- On va leur en parler. Elle comprendra, et Lily va devenir ce qu'elle devra devenir.

Madame Evans sembla perdue dans ses pensées pendant quelques instants, et lorsqu'elle regarda son mari, on vit qu'elle était d'accord avec lui.

- D'accord...

L'image devint flou. La vrai Lily se demandait à quoi servait de lui montrer tout ça et elle ne savait pas de quoi cette lettre parlait... Mais elle fut interrompue par un cris.

- POOOTEEEER !

Elle était à Poudlard, dans la salle commune, et visiblement, elle était très en colère. On vit soudain Potter, un large sourire hypocrite sur sa figure, la regardant calmement arriver.

- Oui ? Lui dit-il lorsqu'elle arriva à sa hauteur.

- A QUOI TU JOUES ? ON A RETROUVER CE PAUVRE SEVERUS, PENDU PAR LES PIEDS DANS LA CLASSE DE POTION !

Il éclata de rire. Il ne réussit à lui répondre qu'après avoir ravaler son fou-rire.

- Pôvre Servilo ! Je l'avais prévenu de ne jamais me déranger pendant que je travaillais !

- Ah ouai ? Et si je te disais que je suis préfète et que je peux te mettre une retenue ?

- Oh, ma petite tigresse ! Tu ne ferais pas ça !

- Je n'en suis pas si sûre !

James lui fit un large sourire et prononça les mots qui allaient mettre la conversation en sa faveur.

- Et bien fais-le !

Lily vit rouge. Ah ouai, il la mettait au défis ! Il pensait sûrement qu'elle n'allait pas oser... Et bien elle allait lui prouver le contraire.

- ...Très bien ! Tu viendras me rejoindre, à la tour d'astronomie, pour nettoyer toutes les boules de cristal.

- Quand ? dit James, aux anges.

- Jeudi, à 20 heures.

Elle lui fit un sourire sadique, sachant que le jeudi, il avait Quidditch et qu'il aimait ça par-dessus tout. Mais elle n'eut pas la réaction qu'elle espérait de lui.

- Bien sûr !

James lui sourit. Elle fut pris au dépourvu.

- On dirait que ça te fais plaisir !

Là, elle était perdue... Pourquoi était-il content ? Okay, il en voulait plus, il allait en avoir.

- Et bien, en plus de Jeudi tu viendras également Vendredi, Lundi, Mardi et Mercredi. Satisfait ?

Là, il allait forcément être mécontent.

- Pleinement. lui répondit pourtant James.

- SI TU CROIS ME DESTABILISER DANS LE BUT D'ECHAPPER A TES RETENUES, TU TE MET LE DOIGT DANS L'OEIL !

- Parfait !

- PARFAIT !

Et la Lily du miroir partit, comme une furie, certaine qu'il était le roi des imbéciles. Mais la vraie Lily eut une surprise lorsqu'elle entendit la suite des évènement.

- Cornedrue ! Mais à quoi tu joue ! lui cria Remus. Si tu veux qu'elle t'aime plus tard, c'est pas en l'énervant.

- Lunard, Lunard, Lunard... intervint Sirius. Tu ne t'en es donc pas rendu compte ?

- Et de quoi, très cher Patmol ?

Sirius leur fit son regard le plus mystérieux avant de continuer.

- Cornedrue, tu me coupe si ce n'est pas ça, mais je pense que tu as pendu Rogue dans la classe de Potion juste pour avoir une retenue, et de préférence de ta très chère Evans, c'est bien celà ?

James le regarda et lui fit le petit sourire "Chui démasqué"

- Tu as tout compris.

Remus se leva et e frappa le front.

- C'est brillant !

- C'est pour ça que c'est moi qui ai mis au point ce plan. dit James, à peine vantard.

- Elle est si impulsive... c'est ce qui fait son charme ! Mais on peut lui faire tout ce qu'on veut dès qu'on prononce les mots "Et bien fais-le."

Sirius hocha la tête et Remus pensait à tout ce qu'il pourrait lui faire faire si il disait simplement ces quatres petits mots.

- James, je suis sûr que si tu veux avoir Lily, c'est juste parce qu'elle te résiste. Me fais pas croire que c'est parce qu'elle est belle, il y en a plein d'autres comme ça.(NA : une chose aussi imbécile, il faut bien savoir que c'est...)

- Peter, combien de fois Cornedrue nous a prouver ses sentiments pour Lily ! gronda Sirius.

- Mais ...

- Tu en doute encore ? Dit un jeune homme aux cheuveux en batailles, les yeux étincellant encore d'avoir vu la femme qu'il aimait.

- Non, mais...

- Très bien, je vais te le répéter : J'aime Lily. Comment ? Je ne sais pas. La seule chose que je peux faire, c'est de passer le plus de temps avec elle. Pour lui prouver que je ne suis pas comme elle le pense. Pour lui prouver mon amour. Car oui, Lily Evans est la femme que j'aime et je n'en ai pas honte. Je veux passer le reste de ma vie avec elle et je ferais tout ce qui est possible pour réussir. Voilà, tu me crois ?

Il avit dit ça avec tellement de ... d'Amour dans ses yeux qu'on ne pouvait que dire que oui, on le croyais.

L'image se brouilla soudain. Puis, on vit nettement une petite pièce, illuminée par quelques chandelles. Lily s'attendait à sentir une odeur entêtante mais elle se rendit compte qu'elle regardait. Simplement. Puis, elle se souvint. Elle rougis. C'était le soir où Potter l'avait embrasser. Le soir où elle était tombée amoureuse de lui. Puis soudain, un bruit de fracas. La Lily du miroir se retourna et s'exclama :

- POTTER ! Combien de fois est-ce que je vais te demander de faire attention ? Ca fait la 7eme boule que tu casse !

- Désolé Evans, mais... J'étais occupé...

James était rouge de honte. Quoique...

- J'aimerais bien savoir à quoi ! Tu dois récurer toutes ces boules de cristal, et toi, tu es occupé ? Je dois vraiment être dingue.

- Oui, t'as raison, je m'y remet, comme ça, on auras le temps de parler !

Lily soupira.Au bout d'environ 3/4 qui passèrent en quelques secondes pour la vrai Lily, James se releva.

- J'ai fini !

- Tout ?

- Oui.

- Très bien, tu peux partir. Je reste, c'est plus calme ici que dans la salle commune et je peux y lire tranquille.

Elle ouvrit un livre et commença à tortiller une de ses mèches, comme à chaque fois qu'elle lisait. Après être rester pétrifier quelques instants, il osa demander :

- Je ne peux pas rester ?

Elle referma son livre vivement.

- J'étais sûre que tu n'allais pas me laisser tranquille !

Il la regarda intensément. Elle soupira.

- C'est pour faire quoi ?

- Beh, je me disait qu'on pourrait parler !

Elle sourit, amusée.

- Potter, tu rêve ?

Le jeune homme semblait vexé. Mais il ne lacha pas prise. Au contraire, il s'assit à côté d'elle et enchaîna.

- Bon, qu'est-ce que tu lis ?

- Heu...

Elle hésitait. Lily savait pourquoi : à chaque fois qu'elle parlait avec Potter, ça ... Fumait... Mais bon, il avait l'air d'être scincère.

- D'accord, mais à la moindre... bêtise, jte vire.

Il lui fit un grand sourire.

- Promis !

Ils commencèrent donc à parler. Au bout de deux heures, ils consentirent à rentrer.

- Bon, bein... Je vais retourner dans la salle commune... dit-il, arriver devant le tableau de la grosse dame.

- Ouais... Bonne nuit ! dit Lily. Elle se surpris elle même en s'approchant du visage du jeune homme, et en lui faisant un baiser sur la joue.

- Bon... beh, je vais te... te laisser... je dois terminer... un devoir de potion.

Et il partit, rouge de gêne. Quelques minutes plus tard, elle fit de même, mais pas dans la même direction. Elle devait penser à cette soirée où elle avait commencer à apprécier Potter. Les couloirs étaient sombres, paisibles... Quand soudain, elle entendit des bruits de pas. Elle crut tout d'abord au concierge, mais elle vit une cape noire, comme celle de l'uniforme de l'école. Elle se dit que c'était Potter qui avait oublier quelque chose mais elle reconnut enfin la personne qui s'avançait droit vers elle. Son sang ne fit qu'un tour. C'était Lucius Malefoy. Autre fois, il avait été gentils avec la Gryffondor. Du moin, il la laissait tranquille. Mais maintenant... Il l'attaquait.

- Que fait une sang-de-bourbe, seule, à cette heure-ci, dans de sombres couloirs ?

Elle entendit des ricanements. Elle se retourna, et vit Crabe et Goyle, les deux gorilles de Malefoy (NA : les parents des futurs Crabe et Goyle) Ils étaient derrière elle.

- Expelliarmus !

Elle n'avait rien vu venir.

- Vous êtes désarmé, Milady ? Malheur ! Dit malefoy qui s'avançait dangereusement vers elle.

Elle commença à reculer.

- Tu...tu n'as pas le droit ! Je suis préfète ! balbutia-t-elle, le menton fièrement relever.

- Et tu va me faire quoi ?

Il lui sourit d'un sourire qui lui glaça le sang. Il avait commencer cette année à l'attaquer, et de plus en plus violemment. Mais jamais elle n'avait été seule, et elle aurait donner cher pour que quelqu'un soit avec elle. Même...

- Je...

Elle était à court. Plus de baguette, plus de défense. Elle savait se servir de ses poings, mais il y avait Crabe et Goyle. Malefoy leva sa baguette vers elle, et elle ferma les yeux, certaine de les rouvrir à l'infirmerie.

- Laisse-la tranquile !

Tous se détournèrent, elle la première, et c'est alors qu'elle vit James (Potter !) derrière Crabe et Goyle, qui étaient hébétés. Il en profita pour les stupéfixés et pour s'avancer vers Malefoy, qui sourit.

- Tiens... Potter. Que fais-tu là ?

- Je t'ai dit de la laisser tranquille !

Il semblait fou de rage, mais maître de sois. Il pouvait aligner Malefoy directement. Pourquoi ne le faisait-il pas ? Sûrement parce qu'il voulait faire ça dans les règles de l'art... Pathétique.

- Et si je lui fais ça ?

Un éclair surgis soudain de la baguette magique de Malefoy qui toucha immédiatement Lily. Personne ne l'avait prévu, pas même Lily elle même, et James fut hébété.

- NOOON !

Il coura vers elle. Il savait que Malefoy était Mangemort. Il pouvait l'avoir tuée...

- Que lui as-tu fais ?

Il ne pensait plus à lui. Il espérait qu'elle respirait, qu'elle dormait, rien de plus.

- Elle se réveillera dans quelques heures, Potter. Ne t'inquiète donc pas !

Malefoy lui fit un sourire carnassier.

- Elle aura seulement un gros mal de tête ! Mais je ne te comprend pas. Comment peux-tu aimer un être aussi... répugnant qu'elle ?

James devint livide.

- JE T'INTERDIT ! EXPALLIARMUS ! JAMBE EN COTON ! FURONCULUS !

Il jetta le contresort des stupéfixs, et c'est un Crabe, un Goyle et un Malefoy bien mal en point qui s'enfuirent, brandisant le poingt.

- Oh...Lily...réveilles-toi !

Il la pris dans ses bras et l'emmena dans uns salle, avec un lit, et quelques potions... La salle sur demande.

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Elle se réveilla. Un visage flou était pencher sur elle.

- Où...où suis-je ?

Sa vue s'ajusta et elle vit James, souriant.

- Ca va ?

- Hein ?

Elle se releva vivement et eut froid, tout à coup.

- Tu étais inconsciente... Je t'ai amenée ici pour te soigner et... J'ai dut te ... Enfin, voir si tu n'étais pas blesser... (il rougis en prononçant ces mots)

Lily réalisa soudain qu'elle était simplement vêtu de sous vêtements...

- Tu ...

Les mots lui manquèrent, lorsqu'enfin, elle les trouva.

- TU AS OSER ? MAIS TU ES UN CRETIN FINI ! JE COMMENCAIS A TE FAIRE CONFIANCE ! TU ME DONNE ENVIE DE VOMIR ! JE TE HAI ! TU TE CROIS CAPABLE DE TOUT ? MEME MOI JE SAIS QUE TU ES UN INCAPPABLE !

- Mais, lily, calmes-toi !

- COMMENT AS-TU OSER ! J'ETAIS EVANOUIE ET TU EN AS PROFITER !

- Non !

- Laisse-moi sortir !

Elle s'était rhabiller pendant ce temps et se trouvait à présent devant James, rouge de fureur, essayant de passer le barage en soit qu'était le jeune homme.

- Non, tu ne pourras pas.

- Et qu'est-ce qui m'en empêcheras ?

Elle était furieuse, et lui, l'énervait plus qu'autre chose.

- Moi.

- Ah ! TOI ?

- Parfaitement. dit-il, très calmement (ce qui augmenta la fureur de la jeune fille)

- Et comment ?

- Comme ceci.

Il avança son visage de la jeune fille. Lorsque ses lèvres éffleurèrent ses lèvres, un courant électrique passa immédiatement. Le baiser s'approfondit sans qu'elle sut comment, mais elle était sûre de vouloir continuer. Mais elle mit fin au baiser...

- Je...Tu... LAISSE-MOI SORTIR D'ICI !

Mais avant d'avoir rien pu faire, la jeune fille s'était volatiliser.Il la suivit dans le couloir.

- MAIS LILY !

Trop tard, le mal était fait...

L'image redevint flou, puis s'effaça, pour enfin laisser reparaître son reflet.

- J'ai...J'ai vraiment fait ça ?

Lily avait remarquer qu'elle avait été odieuse avec Potter...

"TU ME DONNE ENVIE DE VOMIR ! JE TE HAI ! TU TE CROIS CAPABLE DE TOUT ? MEME MOI JE SAIS QUE TU ES UN INCAPPABLE !"

Ces mots raisonnaient dans la tête de la jeune fille.

Mais cette fois-ci, ce n'était pas son reflet qui lui répondit, mais une forme indistincte qu'elle n'avait pas remarquer. Elle était assise sur son lit

- Oh oui, Lily...

Cette voix !

- Po...POTTER ?