Chapitre 15 :

DING DONG !

- Lily chérie, tu peux ouvrir s'il te plait ?

- Oui! J'arrive !

Elle se dirigea vers la porte et ouvrit. Un homme de son age se trouvait devant elle, un sourire narquois sur les lèvres. Des yeux avec une telle haine à l'interrieur que Lily fut effrayer au plus haut point. Il était blond et aurait put être beau si tout cette aura de haine n'émanait pas de lui. Elle le reconnut tout de suite. C'était l'homme qui hantait ses cauchemards. Lucius Malefoy. Un hoquet de surprise et de terreur lui échappa.

- Lily ? Tout va bien ? dit James en apparaissant sur le seuil de la porte.

Il ne put en dire d'avantage. La porte claqua et il vit avec horreur Lucius Malefoy sur le pas de la porte. Tout de suite, il comprit. Il était venu les tuer.

- Sors de ma maison.

- Pourquoi ? Je suis bien ici ! Ca fait un bail ! Comment allez vous ? J'espère que vous allez bien pour les dernières minutes de votre vie.

- Je ne te laisserais pas faire !

- Oh mais je ne suis venu qu'en éclaireur ! Le seigneur des ténèbres vous a trouver trop gênants. Il viendra vous éliminer lui même !

- Lily, va t'en. Prends Harry avec toi.

- Non, non, non Potter, elle resteras avec nous !

Sur ce, il verouilla toutes les portes de la maison. Tout d'un coup, on entendit un "POP" dans la pièce. Remus venait de transplaner. Il fut pris de cour. Il le reconnut tout de suite. Et il prit vite sa décision. Il l'enchaina avec un sort très puissant et lui prit sa baguette. Ainsi désarmé, le mangemort ne pouvait plus rien faire. Ca avait été très vite. Trop facile au gout de Remus. Peut-être se paserait-il quelque chose d'important... Mais il laissa son doute de côté.

- Ca va ? Que venait-il faire ?

- Il a dit que... Que le seigneur des ténèbres viendrais nous... Tuer... dit une Lily pétrifiée. Voldemort... Les tuer... Elle mais surtout sa famille... Harry... James...

- IL NE VAS PAS TARDER ! ET IL VOUS TUERAS ! TOUS AUTANT QUE VOUS ÊTES !

Une lueur démente brillait dans ses yeux.

- Oh mais on l'attend de pied ferme !

De longues minutes passèrent... Sirius était arriver entre temps mais Peter était injoignable. (On se demande pourquoi...!) Ils étaient prets. Un groupe d'Auror était venu. On n'emporta pas le prisonnier lorqu'ils repartirent, au bout de 48 heure. A la demande de Remus, qui voulait l'interroger avant de le livrer.

- Enfin seuls...

- Pas exactement Lupin. Tes petits amis sont avec toi. Tu appel celà seul ?

- Presque. Je n'ai rien à leur cacher.

- Moi non plus. Tu ne peux pas me tuer de toute façon, tu le sais.

- Effectivement, je ne vais pas te tuer. Par contre, tu vas souffrir. Extrèmement souffrir. Et au cas où tu n'aurais pas entendu les Aurors, j'ai tout mon temps.

- Remus...

- LAISSE MOI FAIRE SIRIUS !

Se retrouver là, face à cette ordure humaine, avait raviver le souvenir de Karen. Mais celui qui était le plus toucher était sûrement Remus. Il se sentait toujours coupable... Peut-être que si il avait réussit à ouvrir cette porte... Peut-être que s'il l'avait emmener à l'infirmerie plus tôt... Ou peut-être que si ... Et si... Oui... C'était sa faute. Mais ce salop allait payer !

- Remus...Calme toi. On vas le faire parler. Ne t'inquiet pas. Mais s'il te plait, calme toi.

- Je n'ai pas à me calmer Sirius ! Cette ordure a tuer des centaines de personnes et toi, tu me demande DE ME CALMER ! IL NE LE MERITE PAS ! IL NE MERITE MEME PAS DE VIVRE ! SANS LUI ELLE SERAIT LA ! SANS LUI, DES TAS DE PERSONNES SERAIENT ENCORE EN VIE !

"Tiens ! Il s'énerve ! Il pourrait arrêter quand même ! Ce n'était qu'une sang de bourbe ! Et puis quand même ! Quelques petits Avada Kedavra, c'est pas la mort ! Ah ! J'adore mon jeu de mot ! C'est pas la mort ! HA HA HA !"

Je ne put m'empêcher de pouffer.

- Qu'est-ce qu'il a à rire, lui ? Tu te moque de moi !

"Ah si tu savais, inculte ! HA HA HA ! C'est trop drôle."

Mais mon rire se fait nerveux. S'il était vraiment amoureux de l'autre et qu'en plus, je lui rit au nez, il vaut mieux que je me carapate... Mais je peux pas transplaner.

- Mais qu'est-ce qu'il a ?

- Si tu le savais, tu rirais... Enfin, non, tu n'as pas d'humour. l'insultais-je. Et puis, je n'ai rien à regretter, c'est pas la peine de me gueuler et de me postilloner à la gueule pour montrer ton mécontentement. Ce n'étais qu'une Sang-de-bourbe. Elle ne devait rien être pour toi ! Si c'est parce que je l'ai baiser avant toi, tu sais, je m'en serais passer mais...

Il ne put terminer. Un poingt lui était arriver en plein dans la figure. (NA: Ouai ! ENFIN DE L'ACTION !)

- COMMENT OSES-TU ? TU TE CROI MIEUX QU'ELLE ? MEME MORTE ELLE VAUT DIX FOIS MIEUX QUE TOI ! TU NE VOIS PAS QUE TON MAITRE T'A ABANDONNER ?

- Il ne m'a pas abandonner. dis-je calmement. Il viendras me prendre et vous tuer. Ce n'est qu'une question de temps... Oh, bien sûr, je ne vais pas en dire plus. Tiens, d'ailleur, je ne parle plus. Ce sera mieux comme celà. J'atten de vous voir crever à petit feu.

"Non mais pour qui me prennent-ils ? Pour un dérater ? Je suis mieux qu'eux. J'en suis sûr."

Un cris de bébé se fit entendre. Lily sortit et revint quelques secondes plus tard avec un petit bout de choux dans les bras.

"Tiens, le fils de Potter. Interressant. Et dire qu'il va mourir. Il est si mignon. HEIN ? Tu déraille Malefoy. Il n'est pas mignon et pas du tout sympathique. Et tu prendras du plaisir à le voir mourir. En premier."

- James, Harry a faim et on n'a presque plus rien à manger et...

- Et tu as peur de sortir. Bien. J'y vais. Mais surtout, gardez-le à l'oeil.

- Je t'accompagne Cornedrue. C'est plus sûr. dit Sirius.

- Mais... Non, reste là, et fais gaffe à Lily.

- James... Je suis là moi ! dit Remus qui s'était partiellement calmer.

- Ok. Lily...

Il se tourna vers elle. Il avait peur. Pour Harry, pour elle... Et puis, aussi pour lui, il n'était pas égoïste mais il ne voulait pas mourir... Et la vision de Rebecca... Non, il ne pouvait pas la laisser seule... Mais Harry avait faim. C'était juste histoire de 5 minutes... Bon, on se calme James, Remus est avec elle et tout va bien. Il la prit dans ses bras et l'embrassa.

- ... Je t'aime.

- Moi aussi. James, fais vite. S'il te plait, d'accord ?

- Promit. Je suis là. Remus ...

Il se tourna vers Remus, une lueur démente dans les yeux qui disparut aussitôt lorsque James lui parla sur un ton doux. James avait peur. C'était évident.

- Oui ?

- Prend soin d'elle.

- T'inquiet, elle est en sécurité ta princesse, cow boy.

Il sourit. Même dans ces situations, Remus gardait son sens pourrit de l'humour. Mais ça lui faisait du bien.

- OOOoooh Yeah !

Et sur ce, il transplana, Sirius sur les talons. Remus se tourna vivement vers Malefoy. Ce salop souriait. Mais à l'interrieur de sa tête, il réfléchissait beaucoup. Au fond de lui même, s'il n'était pas un Malefoy, il pense qu'il serait comme eux. Contre Voldemort. Mais celui-ci lui avait donner tant de pouvoir ! C'était un Malefoy après tout ! Le pouvoir était sien ! Et il ne trahirait pas son maître. Il ne connaisait que trop bien les consécances.

- A nous deux.

- Tu te répète très cher. Enfin... Si je puis me permettre, c'est déjà pas mal ! Tu sais aligner deux mots... En progret.

- Je ne suis pas très impulsif tu sais, ça ne me fait ni chaud ni froid ce que tu me dis.

- Il faut dire que tu as toujours été meilleur que cette charmante jeune fille... Comment elle s'appelait déjà ? Ah oui ! Karen ! Qu'elle était idiote celle là ! Tu ne trouves pas ?

"Toucher. Pas impulsif ? Lui ? Tu parles ! Tu le verrais ! Il est rouge comme une tomate et si ses yeux étaient une baguette, je serais déjà écrouler par terre avec un Endoloris ! HA HA HA ! Qu'il est drôle ! Mais gardes ton sérieux. C'est vrai qu'elle était idiote quand même !"

- SALE PETIT CON ! ELLE ETAIT MILLE FOIS PLUS INTELLIGENTE QUE TOI ! TU INSULTE LA MEMOIRE D'UN MORT ! Je pensais que les Malefoy respectaient les morts plus que tout. dit-il plus calmement. Il savait que les Malefoy étaient des salops... Qui respectaient leur traditions...

"Et merde. Il m'a eu. Connard !"

- Bien... Tu t'es calmer ? Je vais aller me faire un petit café. Il t'en reste Lily ?

- Oui.

- Tu en veux un ?

- Merci...

Ils sortirent, laissant un Malefoy totalement ... ebahis. Lui ? Un Malefoy, traiter avec si peu d'attention ! Non mais ho ! Il était retenu prisonnier, okay, mais quand même, c'était un être humain ! D'un coup, la porte s'ouvrit dans un grand fracas et une horrible chanson vint aux oreilles de Malefoy. A sa plus grande surprise, Sirius et James revenaient, heureux, hylares, à la manière moldue et en plus, chargés de paquets.

James : Prise de conscience 16 heures j'fais mine d'aller me coucher je mets les mains Dans les poches
Défile le cours de ma soirée les tickets de carte bleue quelques tickets de Caisse me font remonter le temps oh putain merde, ma caisse !

Sirius : Ta Ferrari n'est pas là ? tu n'la pas prise avec toi ?

Remus (étant entrer entre temps pour les aider) : t'as du la laisser au Milieu du parking du macumba !

James : J'ai la mémoire qui flanche et les yeux rouges et en plus, surprise ! dans ton Lit ça bouge

Sirius et Remus : Sur ce coup la man t'as été un homme t'as ramené le croisé de Jackie Sardou et D'un pokémon
T'as du style, t'as du style, t'as du style héé mon frère, quand tu vois double Tu ramènes de la bombe nucléaire.

Tout les trois : Désolé pour hier soir d'avoir fini à l'envers
La t'eate dans l'cul, l'cul dans l'brouillard
Les gars désolé pour hier
Désolé pour hier soir d'avoir fini à l'envers
Promis demain j'arrête de boire, hier c'était la dernière

Lily (amusée, Harry dans les bras) : Bon ben salut, on s'appelle ?

James :Fille remerciée 17heures je provoque une assemblée
J'ai des relents de gin de vodka de sky et de saké
T'as l'œil qui part en vrille, y a des coins dans vos sourires
On me cache quelque chose qu'ai-je pu bien faire de pire
Sirius et Remus :Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man
Arrête l'alcool tu deviens grave
Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man
Arrête l'alcool tu deviens grave

James : Mais je sais pas, rappelez moi, j'me souviens pas les gars

Sirius :Ben, t'étais grave hein ?

Remus : t'as pété ton câble, souviens toi

Sirius et Remus : Hé ho, hé ho ! t'es monté sur l'chapiteau accroché au cordage
T'as failli t'aplatir comme un blaireau
Hé ho, hé ho ! tu voulais pas redescendre

James : Quitte à vivre en hauteur c'est mieux que de se pendre

Tout les trois :Désolé pour hier soir d'avoir fini à l'envers
La t'eate dans l'cul, l'cul dans l'brouillard.

Les gars désolé pour hier
Désolé pour hier soir d'avoir fini à l'envers
Promis demain j'arrête de boire, hier c'était la dernière
Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man
Arrête l'alcool tu deviens grave
Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man
Arrête l'alcool tu deviens grave

James : Me voila donc fin prêt pour de nouvelles résolutions
Un esprit de sainteté dans un super corps de champion
Me voila donc prêt j'me colle devant la télé soupe aux légumes bol de thé
Et qu'on me foute la paix
Si faut qu'on puisse à ce point être mal le lendemain
Dans son canap', dans son canap' on est bien
A quoi bon sortir se foutre la guerre
Plus jamais j'vous jure, plus jamais comme hier
Sirius et Remus : "hé mali !"0
Hé ho, hé ho! qu'est c'que tu fais avec ton verre d'eau ?
C'est l'anniv' à titi aller on va se taper l'apéro
Hé ho, hé ho ! aller mali-mali bouge tes fesses
T'as promis à titi il faut tenir ses promesses

James :Et désolé pour ce soir si je finis à l'envers

Sirius et Remus : Mali, on s'retrouve au comptoir, titi fête son anniversaire

James : Et désolé pour ce soir si je finis à l'envers
Après celle la j'arrête de boire, laissez moi juste la dernière

Sirius et Remus : Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man
Arrête l'alcool tu deviens grave

Fallait mani-mani-manier mieux la nuit man
Arrête l'alcool tu deviens grave

- Puéril... Vraiment...

Mais ils ne m'écoutaient pas... Ils se regardaient les uns les autres. Heureux. Il n'avait jamais connu ça.

- Vous pouvez de vous regarder comme ça ? Et fermez la bouche, vous allez gober les mouches !

- Ta gueule la mouette, la mer est basse.

- OH MAIS VOUS ALLEZ ARRETER ?

Tout le monde tourna les yeux vers la voix. Lily avait laisser malencontreusement échapper ce petit cris d'axaspération. C'était pas comme ça qu'ils allaient avoir des renseignements sur Voldemort.

- VOUS TROIS, DANS LA CUISINE AVEC MOI. TOI, TU ATTENDS TRANQUILLEMENT QUE JE VIENNE TE DONNER A MANGER. DE SUITE !

Tout le monde s'exécuta.

"Elle a du caractère la petite Sang-de-bourbe... Comme Karen... Pas de compation Malefoy ! C'était juste une Sang-de-bourbe..."

Mais une mauvaise voix dans sa tête lui disait constament : Tu n'es qu'un meurtrier, tu ne vaux rien. Tu as fait tant de mal que tu pourrais te cracher dessus. Tu n'es qu'un meurtrier... Tu n'es rien...Personne ne se souviendras de toi...

Et si c'était vrai ? Qu'il n'était qu'un meurtrier qui faisait tellement de mal aux gens qu'il ne pourrais jamais se racheter ? Non... Impossible. On devais le respecter... Mais devant tout ce bonheur ambiant et le souvenir de cette fille présent dans toutes les têtes... Lui, personne ne se souviendrais de lui... Il n'avait fait que du mal. Alors que cette fille, des tonnes de personnes se souvenaient d'elle. Elle faisait le bien autour d'elle...Oui... C'était ça... NON ! CE N'ETAIT PAS CA !

Un grincement le tira de ses pensées. Le soleil venait de se coucher... Ca faisait deux jours qu'il était dans le salon réaménager en se célulle. Elle menait à la cuisine et à une petite salle de bain/toilette. C'était pour celà. Il n'avait rien manger depuis deux jours et lorsqu'il allait se laver, à chaque fois, Remus l'accompagnait... C'était humiliant et ce dernier le savait. Remus était calme, poser, compréhensif mais il savait aussi se montrer sadique. Il restait là, dans la salle de bain, le dos tourner, certe, mais prenait un malain plaisir à être là. Car il savait que Malefoy était extrêment pudique. Déjà, lors des matchs amicals, en 6eme année et qu'il ne restait plus que deux vestiaires (un homme et un dames) pour cause de dégradation (C'était les vestiaires de serpentards...Ca explique tout !) et que Malefoy et son équipe partagaient le vestiaire des Gryffondor, Malefoy avait refuser de se changer. En effet, dans le vestiaire des Serpentards, il avait réussit à se faire construire une petite cabine personnelle. Mais dans le vestiaire des Gryffondors, il n'y en avait pas... Le fou rire que les Gryffondors avaient eu lorsque le Professeur McKilt était venu l'obliger à se changer devant tout le monde ! Il était tout rouge et essayait de se cacher avec une serviette... On se demandait pourquoi. Sirius disait que c'était parce qu'il avait une "Ptite bitte" mais en fait, c'était parce qu'il portait encores les traces du sortilège impardonnable que lui infligait son père depuis qu'il était au service de Voldemort... Mais ça, Remus et les autres ne le savaient pas...

- Tu vas bien ? demanda Lily avec une voix douce, rempli de tristesse... Ca lui faisait l'effet d'une brulure... Il ne savait que trop bien d'où venait cette tristesse... Mais il fallait qu'il mette à execution son plan. Mais d'abord... Il pourrait s'accorder une petite discution avec elle... Histoire de la mettre en confiance et ... voilà !

- Mouai... bougonna-t-il.

- C'est de la soupe... Tu en veux ?

"Non, non ! Je n'ai plus faim, je me suis tellement goinffrer ces derniers jours..."

- Oui, merci...

Il se mit à manger...

- Dis... Tu regrette quelque chose dans ta vie ?

"Oh non... Elle pourrais pas se taire ? Finalement, je crois que je vais me casser tout de suite... "

- Non... dit-il d'une voix trop ferme pour la convaincre... Elle avait vu du changement dans son comportement depuis son "arrivée". Elle l'avait d'abord mépriser. Puis, dans ses yeux, elle avait vu le doute. Elle savait maintenant qu'il regrettait. Elle compatiçait. Après tout, Karen voulait que tout le monde pardonne. Lorsque l'on était sûr que celà valait la peine... Alors il fallait qu'elle soit sûre.

- Ah...

- Ecoute, si tu es venu pour me parler de cette Karen, oui, je l'ai tuée, oui, je l'ai violée, oui, je m'en fichais...fiche.

"Elle est gonfflante à la fin ! Si elle n'étais pas aussi belle, je crois qu'elle ne vivrais avec personne."

- Tu... Tu n'es qu'un monstre !

- Je sais...

"Hein ? QUOI ? NON ! Je ne suis pas un monstre ! Non...?"

- Tu sais ? J'avais raison... Donc tu regrette !

- Non !

- Lily ?

- Oui ?

- Remus et Sirius doivent partir...

- J'arrive, laisse-moi 5 minutes...

- Okay...

- Bon, maintenant Malefoy, tu vas tout me dire. Tu regrettes n'est-ce pas ? Tu devrais laisser tomber Voldy et nous rejoindre. Je suis sûre que si tu nous dis tout ce que tu sais, tu n'iras pas à Azkaban et que tu pourras être un espion.

"C'est tantant... Non ! Tu es un Malefoy. Et les doutes et la trahison ne font pas parti de toi. Et puis, si tu le trahis, tu mourras."

Son regard si fit froid. Distant, mesquin, pénétrant et effrayant. Comme à son arrivée. "Il est temps de mettre ton plan à exécution." Lily prit peur. Elle entendit un POP qui lui indiqua que Remus et Sirius étaient partis... James était probablement à l'étage, avec Harry. Mais non... Il venait d'entrer dans la pièce en même temps que... VOLDEMORT !

- Tiens tiens tiens... Mais qui vois-je ? La famille Potter au complet... Et ce méprisant petit Malefoy. Tu allais me trahir hein ?

Le "méprisant petit Malefoy" se précipita vers la porte...

... qui était verrouillée !

- Ca ne sert à rien d'essayer de sortir, la porte est fermée par un puissant sortilège et des Mangemorts fiables (il accentua ce mot) sont derrière.

- Maître. Ils m'ont capturer, je n'ai pas pu vous prévenir...

- Mais tu allais rejoindre leur clan. NE NIE PAS !

- Maître...

- Tu ne vaux pas. Ce soir, il n'y auras pas 3 morts, mais 4 ! Dont l'une dans les pires souffrances...

- Maître...

- ENDOLORIS !

- AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !

"AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH !"

- Non !

C'était Lily. Elle savait qu'il n'allait jamais les rejoindre, mais c'était trop. Et eux ? Ils n'étaient rien ? On les faisaient attendre leur tour en regardant les autres mourir dans d'atroces souffrances ? NON !

- Non ? dit le mage noir calmement. Tu en as de belles ! C'est un mangemort.

- Mais aussi un être humain, lui, comparré à certaines personnes dans cette pièce qui ne pense qu'à son derrière tellement gonfflé qu'il ne passerait même pas par la porte de Poudlard. Et ce n'est pas en mangeant qu'il a grossit, ce derrière, mais par bétise. Vous croyais quoi ? J'AI VU DES TONNES DE PERSONNES MOURIR PRES DE MOI A CAUSE DE LA BETISE D'UN SEUL HOMME !

- Petite impertinante ! Seul des gémissements se firent entendre. Il venait à peine d'abaisser sa baguette et soutenait le regard de cette jeune femme... délicieuse il fallait le dire. Elle venait de lui tenir tête et il aimait ça. Personne n'osait, ils avaient trop peur. Mais pas elle. Elle le traitait comme son égal. Et bizarrement, il aimait ça.

- Vous avez fini ?

- Non.

- Et bien continuez.

Il s'assit dans un fauteuil et la regarda avec ennui. Il l'avait destabilisée. Mais elle n'allait pas se faire avoir si facilement.

- Parfait !

Elle prit aussi un fauteuil sous les regards ébahis des trois hommes qui étaient dans la salle. Elle s'approcha de Voldemort et commença à parler.

- Parfait. Vous savez, j'ai une histoire à vous raconter. Voulez-vous l'entendre ?

Cette fille lui plaisait. Parfait.

- Oui.

- Et bien c'était l'histoire d'un petit garçon mé-pri-sa-ble (elle articula et appuya chaqye syllabe) qui ne voyait que son nombril. En grandissant, il se dit : Tiens ! Je pense que je suis fort, alors pourquoi pas faire un clan des méchants ! Bien sûr, il le fit. Mais ce petit garçon voulait aussi se trouver un nom. Il s'apellerait Voldemort. Un nom aussi débile que lui... Il faut bien l'avouer...

Toucher. Le nom de Voldemort n'était pas à mettre dans la conversation.

- PETITE PESTE ! ENDOLORIS !

- LILY !

James veniat de réagir. Sa Lily ? Faire ça ? Elle devait vraiment être inquiète ou bien elle voulait gagner du temps. Oh non... Elle voulait gagner du temps pour qu'il s'enfuit avec Harry... Pas question ! Il n'allait pas la laisser là.

- Lache-la, vermine. Et toi (il s'était tourner vers Malefoy entre temps) AVADA KEDAVRA !

Il était mort... Mort... Voilà leurs destin... Il abaissa sa baguette. Pris James à part et lui tendit une baguette. SA BAGUETTE ? Il était aller la chercher ! Voldemort déverouilla la porte.

- Duel. Celui qui gagneras pourra sois vivre, lui et sa famille soi tuer l'autre et sa famille. Tu accepte ?

- D'accord. Mais laissez-moi 5 minutes avec ma femme...

- D'accord. J'ai toujours adorer les adieux. C'est si distrayant !

Il avait envi de lui foutre son poingt dans sa gueule. Mais il ne pouvait pas...

- Lily... réveilles-toi, je t'en souppli. Elle était salement ammochée... C'était peut-être la dernière fois qu'il la voyait.

- Hmmmm... James... J'ai mal.

- Chérie... Je... Monte en haut. Je vais me battre contre lui. Si je ne reviens pas... Pars. Loin. Aussi loin que tu le pourras. Avec Harry. Tiens...

Elle s'était levée entre temps et il lui avait remis Harry. Son fils...

- Mais... James...

Sa voix se brisa. Il la prit dans ses bras et la serra fort. Très fort. Trop fort.

- James...

- Je sais, désolé.

- Ne fais pas ça. Je t'en suppli. J'ai besoin de toi...

- Harry te rapelleras que je suis auprès de toi. Tant qu'il sera là, je serais dans ton coeur. Même lorsqu'il ne sera plus là. Je t'aime...

Il l'embrassa. Fit un dernier bisoux à Harry, ressera sa femme et...

... et on entendit des aplaudissements...

- Bravo ! C'est l'une des plus touchantes déclarations que j'ai entendues... Et je peux vous dire, je suis connaisseur... dit-il avec un sourire carnassier... Bon, on commence ?

James avait aider Lily à se relever et l'avait diriger vers les escaliers... Lorsqu'elle fut en haut, en pleurs, triste à en mourrir mais en sécurité (enfin ça dépendait de lui), il se tourna vers son adversaire...

- Oui, commençons...

Lily entendit des pas dans les escaliers... Elle se précipita à la porte. C'était Voldemort... Non... Elle était trop choquée, pétrifiée, perdue, mal, elle avait trop envie de vomir pour faire quoi que ce soit. Mais elle finit enfin par fermer la porte et se précipiter vers Harry. Elle aurait dut s'en douter.

Je ne laisserais personne te faire du mal tant que je serais en vie...

Il était mort. Peut-être. Elle ne pouvait pas y croire. Comme si on voulait lui confirmer, elle se sentit trainer par les cheveux. Oui... Il était mort. Puis elle sentit Harry bouger. James... Il lui ressemblait tellement. Elle allait le sauver.

- LACHEZ MOI !

Les mangemorts étaient là.

- Laissez moi lui parler...

Il s'approcha d'elle. Elle était visiblement en état de choc mais elle était déterminée. Il ne savait que trop bien pourquoi mais lorsqu'il voulait tuer quelqu'un, il y arrivait toujours. Alors pas d'alerte. Il la prit par les épaules, la projetta dans un fauteuil et prit place à ses côtés. Elle se retenait de pleurer, ça se voyait, mais elle avait quelque chose d'anormal.

- Il est mort.

- ... Vous n'avez rien à m'apprendre.

- Maintenant, c'est votre tour. Et celui de votre fils.

Son visage s'illumina. Elle avait trouver la manière de faire vivre son fils. Elle.

- Laissez-moi lui dire adieu. Et tuez moi d'abord.

- ... Je ne sais pas... D'accord... Mais faites vite, j'ai autre chose à faire.

Elle se dirigea vers Harry et le prit dans ses bras. Elle se souvenait de la formule... Elle la prononça et il ne restait plus qu'un grand souvenir de lui. Leur comptine. A eux trois. Elle allait lui chanter. Elle se mit alors à chanter :

Dors, mon bébé, sois sage ne pleur pas,

Dors dans le fleuve sacré.

Dors mais n'oublie pas,

Mon dernier chant d'amour.

Je serais dans ton coeur pour... Toujours.

- BRAVO ! Et biens dites donc ! Vous êtes vraiment fort pour les adieux dans la famille !

Puis il reprit son sérieux.

- Allez, ne partons pas dans les sentiments, AVADA KEDAVRA !

Lily tomba mais elle était morte avant même d'avoir toucher le sol. On dit que lorsque l'on meur, on voit sa vie défiler. C'était faux. Rien ne se passe. Tu tombe dans un puit sans fonds. Mais elle venait de sauver la vie de Harry. Elle le sentait. Elle le reverrait. Elle le reverrait plus tôt qu'elle ne le croyais.

Cette nuit là, ce fut le commencement de la fin. La fin du mal. Mais ce fut aussi le commencement d'un amour éternel. Ils se reverraient. Ils se rejoindraient et ils vivraient heureux. Ce dont ils ne se doutaient pas, c'était qu'ils se reverraient, eux, mais une personne en plus. Qui ? Ah, mystère ! Mais ça, c'est une autre histoire ! Ou devrais-je dire, fic ?