L'élu
Lecteurs : Hourra, L'auteur a oublié de nous retaper le contrat !
Moi : Vous n'auriez pas dû le dire, je m'y mets de suite !
Lecteurs : Oh ! Mince. Bon, en attendant, Lisons le 5 ème chapitre.
Chapitre 5 - Une Sanger énervé, ça passe. 2, c'est difficile mais si on rajoute Erika, c'est impossible !
J'espère qu'il se réveillera pas trop tard, fit Sélène en sortant de la chambre.
Sélène Black venait de boucler ses valises dix minutes plus tôt. Elle avait pris le reste du temps à cacher de gros réveil un peu partout pour son mari. Cela faisait maintenant quelques années que le couple ne partait pas pour le Poudlard Express. Sélène était chargée d'emmener les adolescents à la gare ainsi que ses deux enfants. Sirius, lui, était incapable d'être prêt à une heure fixe. C'était aléatoire et beaucoup trop souvent en retard par rapport à l'heure donnée. Si Sélène l'attendait, Ils rateraient le train à coup sûr. Et vu que Sélène avait toute sa maison là-bas (en fait, le manoir, c'était pour elle des vacances), elle ne voulait pas rater le train.
Pour Sirius, c'était une autre histoire. Quel que soit l'heure à laquelle il arrivait à la gare, il se débrouillait toujours pour rejoindre Poudlard à temps pour le banquet. L'année dernière par exemple, il avait manqué le train à pied joint en arrivant à midi moins le quart à la gare avec sa valise à roulette, malgré la bonne dizaines de réveils dans la chambre (ils les avaient d'ailleurs fait exploser un à un). Il avait donc transplané à Pré au lard pour rejoindre Poudlard dans les temps. Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est qu'il pleuvait des cordes. Il avait dû se changer en hâte pour être présentable au banquet.
Sélène descendit son vanity dans le hall ou s'entassait les bagages. Ils étaient quatorze à regagner Poudlard aujourd'hui. Marie avait gonflé les rangs à cause d'une mutation à Poudlard. Quand elle vit qu'elle était là-bas en tant que médecin traitant de Grégorie, elle avait failli faire un arrêt cardiaque (Je vais supporter ce mioche pleurnichard pendant un an ?). Elle s'était plaint auprès de son supérieur mais on lui avait dit que c'était le ministre lui-même qui avait demandé ça. Bien qu'il trouvait bizarre que le ministre ne trouve pas assez compétente Mme Pomfresh pour le cas Grégorie.
- Constance, tu as pris lapinou ? Demanda Sélène à sa fille.
- Oui, j'ai pris aussi les livres de coloriages que tonton Maxence m'a offert, fit la petite fille en brandissant deux livres et un nounours.
- D'accord, tu peux aller dans le salon pour nous attendre. Marie, ça va ? Tu as besoin d'aide ?
- Non, c'est bon. Je ferme juste cette valise et j'ai fini, fit Marie, assit sur ladite valise qui ne voulait pas se fermer. Rrrah ! J'ai pourtant tout réduit au maximum.
- Ok, tu me dis si tu as besoin d'aide. Gontran ? Où est Gontran bon sang ! S'énerva Sélène.
- Dans sa chambre, fit Remus junior. Il finit ses affaires.
- Il a le chic de finir les choses à la dernière minute comme son père. Je vais le chercher, lâcha Sélène dans un souffle.
Maxence regarda toute la cohue d'un regard rieur. Il s'aperçut que les maraudeurs fourraient dans leurs poches plusieurs paquets mais ne dit rien.
- Max', ça ne te fait rien de rester au manoir alors que tout le monde part ? Demanda Marie qui avait finit par boucler sa valise.
- C'est un peu triste que tu partes avec eux mais je me débrouillerais. J'ai du travail ! J'aimerais que notre projet soit prêt aux vacances de nöel, Fit-il en lançant un clin d'œil à Marie. Et puis Charlotte m'a promis de prendre des vacances pour venir me voir ! Et tu m'écriras !
La relation entre Marie en Maxence était étonnante. Ils étaient jumeaux par conséquent complémentaire (c'était comme ça que ça marchait chez les Sanger). Chacun avait sa propre personnalité. Pourtant, ils n'étaient pas des jumeaux fusionnels. Ils avaient été séparés de nombreuses fois dans leur enfance et ça ne les dérangeait absolument pas ! Maxence n'avait pas bronché quand il avait vu sa jumelle partir à Gryffondor alors que le Choipeau n'avait même pas prit le temps de souffler avant de lâcher : Pouffsoufle ! Et malgré tout ça, Ils se comprenaient à mi-mots.
- Promis, je te tiens au courant de ce qui se passe à poudlard ! Tu veux la bande-son des cris de Grégorie aussi ? Lâcha elle en riant.
- Voilà, Gontran est prêt !dit Sélène. Il avait oublié de mettre son chaudron dans la valise. Je fais un tour aux cuisines pour attraper les sandwichs pour midi et je suis prête.
Mais ce ne fut pas le cas de tout le monde. Jenny essaya de faire rentrer sa boite de nécessaire à balai dans une valise rouge avec un papillon dessus. Drago était occupé à descendre les derniers livres qu'il avait oublié. Hélène comptait ses parchemins de cours dans une boite en fer. Enfin, James junior essayait de faire rentrer un album photos à l'intérieur de sa valise prête à exploser. Il dut la refaire à moitié en constatant que une fois l'album photos rentré, les uniformes de Poudlard étaient sur le carrelage.
Dix minutes plus tard, alors que James fermait sa valise à l'aide des autres maraudeurs qui étaient assis dessus, le téléphone sonna. Remus et Sirius firent un bond impressionnant et la valise s'ouvrit en grand en expulsant Peter sur le lustre par la même occasion. James souffla d'un air découragé en voyant ses affaires par terre. Maxence alla répondre.
- Oui ?
- Bonjour, auriez-vous besoin d'une cuisine ?
Sélène aida à remettre les affaires de James dans sa valise et fit un signe de la main à son frère en train de parler avec la vendeuse de cuisine. Puis elle se dirigea dans le salon, compta les enfants et dit d'une voix forte :
- Bien, on va au Chaudron Baveur. Mettez-vous par deux et prenez vos valises. Je rappelle qu'on s'enlève de la cheminée une fois arrivée à bon port, informa-t-elle en jetant un regard mauvais à Gontran et Sirius junior.
- Dit, tu sais où est Peter, demanda Sirius, inquiet de ne pas voir le maraudeur.
- Il est encore accroché au lustre, répondit Maxence avec un sourire.
- Ah ? Fit Sirius. Je vais le décrocher alors. Et il repartit en sens inverse.
- Qu'est-ce qu'il y a ? fit Hélène qui était arrivée en dernier au Chaudron Baveur.
- Aucune idée, répondit Jenny en regardant Sirius de travers comme si ce qui se passait était entièrement de sa faute.
Ils étaient tous arrivés en entier au Chaudron Baveur et s'étaient précipités dans les rues londoniennes à cause du retard accumulé. Ils étaient finalement arrivés à King Cross et prirent des chariots à bagages précipitamment. Mais voilà, une imposante foule s'était formée autour du pilonne. Beaucoup des enfants présents étaient des camarades de Poudlard. Et pourtant, personne ne se décidait à passer la barrière magique.
- Que se passe-t-il ? Demanda Marie à sa voisine.
- Ma fille est allée voir ça madame. Il parait qu'il y a quelque chose d'écrit sur le pilonne, répondit une jeune sorcière avec une cape violette.
Marie se hissa sur les pointes des pieds mais ne put rien voir à cause des sorciers qui se serraient pour voir du côté du pilonne. Elle put apercevoir par contre un contrôleur qui ne savait vraiment pas ce que faisait tout ce monde agglutiné autour de la barrière. Soudain, une fente se fit dans la foule. Marie put voir James Potter complètement paniqué. Harry jeta un regard interrogateur à son père.
- Pardon, excusez-moi, désolé, poussez-vous, je suis pressé. Ahhhhhh !
James tomba lamentablement devant la barrière à cause d'un croche-pattes. Hélène se fraya un chemin vers James, bien décidée à savoir ce qu'il faisait ici alors qu'il lui avait demandé d'accompagner ses enfants au train le matin même.
- Je peux savoir ce que tu fais là ?
- Ah ! Sélène, ravi de te voir ! Sirius est encore dans son lit ?
- James, change pas de sujet. Pourquoi tu es là, je croyais que tu étais trop occupé pour venir ici !
- Je suis très occupé ! S'indigna James. Tu vas comprendre ! Puis, il se retourna vers le contrôleur dubitatif. C'est rien, je règle le problème. C'est moi qui suis responsable de ce rassemblement.
Le contrôleur regarda James d'un oeil mauvais. Il marmonna quelque chose qui ressemblait à un « ces jeunes ! Incapable d'organiser une réunion correctement » puis tourna les talons et alla à l'autre bout du quai aider un voyageur qui cherchait sa voie.
James, lui, n'avait pas attendu la réponse du contrôleur et monta sur une chaise qu'il conjura assez vite. Puis, il pointa la baguette sur sa gorge et prononça « sonorus selecsus sorceles ».
- Votre attention s'il vous plaît ! Hurla-t-il finalement. Le silence se fit et de nombreuses têtes se tournèrent. Pour ceux qui ne me connaissent pas, continua-t-il, je suis le directeur du département des transports magiques. Le Poudlard Express est en réparation. Il y a eu des petits malins qui ont trouvé le moyen de glisser des bombabouses dans le moteur et le surplus de magie a fait exploser le moteur qui était déjà bien abîmé. Nous espérons pouvoir remettre le Poudlard Express en route pour les vacances de Noël. En attendant, nous l'avons remplacé par le regular express préparer pour l'occasion. Il est voie 7. Merci.
La foule se mit en mouvement. Sélène, elle, ne bougea pas d'un pouce, furieuse.
- Tu aurais pu me le dire !
- Hélène, désolé. J'ai oublié d'en parlé ce matin. C'est vrai que j'aurai pu emmener Harry et Lili.
- C'est pas ça ! Tu aurais pu juste nous signaler que le Poudlard Express était cassé ! On est quinze à partir à Poudlard !
- Mais tu as été prévenu, c'est ce qui compte, non ?
- Et tu fais quoi de Sirius qui va arriver en retard ? Demanda Sélène qui venait d'arriver derrière.
- Zut ! 10 heures 40 ! Je vais rater le train !
Sirius s'habilla à la va-vite et fourra sa brosse à dent dans sa valisette, le seul baguage que Sélène voulait lui laisser. Sirius n'avait d'ailleurs jamais compris pourquoi Sélène s'obstinait à lui donner une mini valise avec très peu d'affaires. Elle avait plusieurs fois invoquer le principe de prudence sous prétexte que Sirius avait atterrit une fois dans une flaque avec sa valise grande ouverte. Mais Sirius ne changea pas d'avis pour autant. Il savait très bien utiliser les sorts de séchage. Il prit son unique veste moldu qu'il sortait juste pour pouvoir faire les courses dans le monde moldu et prendre le train dans une main et le billet de train dans l'autre. Il enfila la veste et fourra le billet dans la poche . Il allait partir quand son regard se posa sur le mot de James reçu un peu plus tôt.
Cher Sirius,
Fait gaffe quand tu prends le train. Ne te trompe pas.
James
Sirius était dubitatif quant à la nature du mot. Malgré l'effort, il ne comprenait pas ce que James avait voulu dire puisqu'il avait peu de chance de se tromper. Le train partait au même endroit depuis des décennies, à la même heure et conduit par la même personne. Alors, soit James lui avait fait une blague de mauvais goût (et complètement ratée d'ailleurs), soit il avait oublié de mentionné un point important et, persuadé de l'avoir dit, en avait fait référence dans le mot.
Un cas similaire été arrivé lors de la scolarité des maraudeurs. James avait été dans le bureau de Mc Gonnnagal puis, en revenant, avait longuement expliqué aux autres que la décision de cette dernière n'était pas bonne sans laisser personne en placer une. Finalement, Lily lui avait mis une gifle magistrale pour le faire taire et demander ce que le professeur avait dit de si scandaleux. Rageur, James avait répondu qu'elle avait qu'à ouvrir ses oreilles puis, voyant que personne n'avait l'air de comprendre, avait claqué la porte du dortoir. Ce n'est que le lendemain que Sirius apprit que Mc Gonnagal venait de suggérer à James de réduire les entraînements de Quidditch pour permettre à tout le monde de travailler ses examens.
Sirius transplana finalement sans prendre le morceau de parchemin. Il atterrit juste à coté d'un cabinet de toilettes de la gare de King Cross. La méthode lui était venue quatre ans plus tôt alors que la poudre de cheminette était trop engorgé pour passer ne serait-ce qu'une valise par la cheminée. Il sortit des WC en trombe, s'emmêlant avec sa valisette tellement la cabine était petite. Il se précipita vers la porte et l'ouvrit d'un coup de pied, les yeux rivé sur la montre qui pendait à son poignet.
- AAAIIIIIIIIEEEEEEEEUUUUUUUUU !
- Quoi encore ? S'exclama Sirius.
Le battant des toilettes des garçons s'ouvrit par l'impulsion du coup de pied pour découvrir un homme avec le nez en sang. Visiblement, il s'était pris la porte dans le nez. Et il était pressé et énervé.
- Ben, que faites-vous par terre à 11 heures moins le quart dans les toilettes d'une gare ? Demanda Sirius innocemment.
- J'essayais d'aller aux toilettes pour assouvir un besoin pressant quand un homme à décider de m'envoyer la porte dans le pif ! Je suis pressé, merde ! Mon train part dans dix minutes ! Si je le rate…
Sirius dut entendre pendant bien dix minutes les doléances du pauvre homme au nez en sang. Il fut traiter de tous les noms d'oiseaux prononçables pendant la conversation avant de pouvoir s'éclipser des toilettes, laissant le monsieur à ses « occupations pressantes et naturelles ».
Une fois sorti des toilettes, Sirius passa devant les chariots sans en prendre un. Il regarda sa montre qui indiquait 11 heures moins cinq.
- Bon sang, ce type a dû rater son train. Il a réussi à me parler de ses problèmes pendant dix minutes sans quitter les WC !
Sirius dérapa à l'angle des voies et s'engouffra dans la zone d'accès aux voies occupées par les locomotives fumantes. Il passa devant la voie 7 sans prendre le temps de regarder les étranges personnages qui tournaient autour du train. Il courut jusqu'à la voie 14 avant de s'apercevoir qu'il avait raté le passage vers la voie 9 et 10. Il retourna en arrière et s'engagea dans l'artère à ciel ouvert pour rejoindre le Poudlard Express. Il fonça vers la barrière magique, persuadé que cette fois, il allait arriver en avance. Il vit vaguement une grosse tâche blanche sur le mur… Avant de le percuté de plein fouet.
Le contrôleur de la voie s'approcha de Sirius et remis sa valise droite en le regardant de travers.
- Décidément, tout le monde aime ce poteau au point de lui vouer un culte ! s'exclama le contrôleur de la voie
Sirius marmonna quelque chose dans sa barbe, regarda sa montre, le pilonne et enfin le contrôleur.
- Qui est assez illuminé pour vouer un culte à un poteau ? Dit Sirius furieux en reprenant sa valise.
- Ben, je sais pas trop mais vous, vous avez foncé sur ce poteau, c'est sûr !
- Je comprends pas…. Fit Sirius en tournant autour de la barrière magique pour voir où est le problème.
- Moi non plus fit le contrôleur. Qui sait, vous avez peut-être besoin de vous remettre les idées en place.
- Non, non, ça marchait auparavant.
- De quoi ? Vous vous tapez réellement la tête contre un mur pour vous remettre les idées en place ? On m'avait dit que je rencontrerais des gens fêlés ici mais à ce point !
- Vous voulez pas vous taire ? Ah ! Il y a une feuille.
- Ah, ça, oui. C'est un groupe de voyage je crois qui l'a accroché. J'ai hésité à l'enlever et puis, je me suis dit « Voyons Marcel, si quelqu'un attend ce papier »…
- Depuis quand c'est à la voie 7 ? cria sirius. Euh, vous disiez quelque chose ?
- Je disais que…
- Oui, oui, c'est ça. Moi, j'ai un train à 11 heures et j'ai deux minutes pour monter dedans. Bonne journée.
Sirius partit en trombe de la voie, laissant le contrôleur seul et ahuri au milieu de la gare. Il dérapa à l'angle le plus vite possible, bousculant par la même occasion une mère avec un bébé dans les bras. Il ne prit même pas la peine de voir si elle se relevait et tourna à la voie d'après, Le contrôleur de la voie 7 le stoppa net :
-Ep, ep, ep monsieur, vous allez où comme ça, vous êtes pressé ?
-Oui, je vais louper mon train si je monte pas tout de suite ! Rétorqua avec fureur Sirius.
- Et pourtant, il est interdit de courir sur les voies, ça peut être dangereux, expliqua calmement le contrôleur pendant que Sirius voyait les derniers parents embrasser leurs enfants sur le quai.
-Dégagez ! Je veux le prendre, ce satané train.
-Montrez-moi votre billet, lança le contrôleur.
Sirius plaqua le billet devant les yeux de l'agent puis passa à côté de lui sans attendre la réponse. Il lança sa valise dans le train par la première portière de wagon et monta à son tour. Il claqua la porte derrière lui tandis que le contrôleur pesta contre les gens mal élevé. Le train s'ébranla. Il ne l'avait pas raté !
Il traîna derrière lui sa valise pour gagner le compartiment de tête, là où les professeurs faisaient le voyage. Il croisa Constance avec un panier-piquenique suivi de Maxence, chargé lui de jeux de sociétés. Après avoir traversé tout le train, il finit par trouver le fameux compartiment et y entra, complètement exténuer.
Rogue l'attendait, Sélène aussi :
- Oh tiens, un revenant ! Je croyais que tu étais mort dans ton lit.
- Severus, ce n'est pas drôle intervint Hélène.
- Non mais franchement, c'est au-dessus de tes forces d'avoir un train à l'heure ? Tempêta Sélène. Pourtant, James a envoyé un Hibou Express au manoir pour te prévenir.
Sirius se remémorat le mot de James.
- On peut pas dire que c'était très explicite, lança Sirius d'un ton dédaigneux.
- De toute façon, tu n'as jamais rien compris Black ! Piqua Roque.
- Tu crois que Sirius l'a eu ? Demanda James junior, curieux. Non, pas toi, Patmol, l'autre rajouta-t-il pour Sirius.
- Pfff, tel que je le connais, il doit encore être en train de roupiller, insinua Jenny.
- Désolé de te décevoir, Jen', mais je viens de le croiser, assura Maxence qui était rentrer dans le compartiment avec Constance, le panier-piquenique et les jeux de société. Il posa tout sur la table, obligeant Ginny à enlever « sorcière-hebdo » en vitesse.
Ce compartiment était petit et la table encore plus. Ils avaient dû ranger méthodiquement leurs bagages avant de s'entasser sur les banquettes. Hermione et Ron, récemment nommé préfets tous les deux, étaient partis dans le compartiment réservé aux préfets. Cela faisait beaucoup de monde mais ils arrivaient tout de même à tenir à quatre par banquettes.
Constance vint sur les genoux de Ginny et Maxence dut se faire tout petit pour pouvoir s'asseoir.
-Partie d'échecs ! lança joyeusement Remus. Qui veut jouer contre moi, proposa-il en brandissant le tapis de jeu (Et en éborgnant par la même occasion Peter).
Tout le monde le regarda de travers.
- Tu gagnes tout le temps ! Rugit Maxence.
- Faut pas exgagerer non plus fit Remus. Erika, tu n'avais pas dit que tu étais forte à ce jeu ?
- Euh, pas vraiment, répondit Erika, gênée, sachant la réputation de Remus aux échecs. De toute façon, faut que je parle à Jenny.
- Ca ne peut pas attendre ? s'étonna Remus.
- Oh, non, fit précipitamment Erika. Viens Jenny, dit-elle en traînant cette dernière dehors, faut qu'on parle, insista la jeune fille.
Etonnée, Jenny consentit à la suivre dans le couloir. Erika souffla.
- Pourquoi tu ne veux pas jouer avec Remus ? Demanda Jenny. Tu es forte pourtant.
- Parce que je ne veux pas me faire humilier dès la première journée. Et puis, il fallait vraiment que je te parle.
- Pourquoi ? Jenny commençait à être inquiète.
- Pour quelles raisons tu te comportes comme ça envers Sirius ? S'inquiéta Erika. J'ai beau chercher, je ne trouve aucune raison !
- Ca ne te regarde pas ! se brusqua Jenny.
- Si, ça me regarde ! Sirius s'inquiète et veut savoir pourquoi tu te fâches à chaque fois que tu le voies.
- Alors c'est Sirius qui t'envoie ?
- Non, je …
- Tu peux dire à Sirius qu'avant de m'accuser, qu'il aille se renseigner à la source. Je suis sûre que le merveilleux mari de ma sœur va savoir le renseigner. Je vais chercher Hermione et Ron. Puis, Jenny partit dans le couloir, plantant ici Erika.
- Euh…
Erika rentra dans le compartiment surchargé, en pleine effervescence autour d'un Remus triomphant aux échecs face à un James dépité. Ginny prit un post-it dans Sorcière-hebdo et rajouta une barre en face du nom de Remus. Erika tira Sirius par la cravate en dehors du compartiment et lui résuma la situation.
- Elle veut que je me renseigne auprès de Rogue ?
- Heu, non Sirius. Je crois qu'elle parlait de toi mais en plus vieux.
- Mais qu'est-ce que je lui ai fait ?
- Dégage Malfoy, tu ne t'en tireras pas comme ça !
- Tu oublies que je suis préfet ! Précisa Drago
- Et alors ? Il y a le préfet en chef ! Scanda Pansy parkinson dans le compartiment des préfets.
- Viens Drago, c'est pas la peine de régler nos comptes maintenant, déclara Hermione avant de le traîner à l'extérieur pour rejoindre Ron mit dehors depuis longtemps.
La réunion des préfets s'organisait toutes les années dans le train pour permettre d'expliquer les rôles des préfets et préfets en chef durant l'année. Cette année, le professeur Mc Gonagall, directrice adjointe, avait dû en présider une qui était survoltée, la préfète de Serpentard aurait en effet bien voulu sauter au cou de Drago, lui-même préfet. La chef de réunion expédia les affaires courantes et conclua rapidement sur la date de la prochaine réunion, à Poudlard cette fois. Puis, elle envoya les deux préfets en chef surveiller les couloirs. Les préfets de Pouffsouffle et Serdaigle, sentant le règlement de compte à la vue des regards jetés lors de la réunion, s'éclipsèrent rapidement. Et Parkinson, vexée d'être larguée par Drago suite à son coup bas envers son père et voyant sa place assurée envolée, avait commencé à déblatérer sur Drago. Le ton avait vite monté.
- Je crois que Parkinson va te remplacer, Drago, remarqua Hermione.
- Beurk, un bouledogue à la tête de Serpentard, ça va être baveux, conclua Ron.
- Je m'en fiche, fit Drago.
- Ah ! Jenny. Observa Hermione. On va rentrer au compartiment vu que ici, ça chauffe.
- Euh, c'est ce que je vois, constata Jenny en regardant Pansy partir furieuse. Mais il y a pas de place dans le compartiment, faut en retrouver un autre. Je vais chercher les sandwichs.
- Bonjour tout le monde, annonça Dumbledore derrière la table des professeurs. Bienvenue pour une nouvelle année à Poudlard.
La fin du voyage s'était passée tranquillement. Remus avait battu une fois chaque personne du compartiment et Gregorie avait reçu sa première chocogrenouille. Maintenant, tout le monde était dans la grande salle et la répartition avait eu lieu.
- Même si c'est un peu énervant, je vais rappeler quelques règles pour les premières années. Notamment que la forêt bordant le château est interdite et s'appelle justement la foret interdite. Mr Rusard rappelle que la liste des objets interdits est disponible dans son bureau. Cette année, nous accueillons une nouvelle infirmière qui aidera Mme Pomfresh. Nous accueillons aussi un jeune homme pour raison de sécurité. Il ne suivra pas tous les cours mais il va quand même être réparti.
Grégory s'avança timidement de derrière la table des professeurs. Il mit le Choixpeau sur la tête puis, après une minute, ce dernier lâcha son verdict : Gryffondor ! Grégory s'avança vers la table et chercha une place.
- Nous aurons probablement un club de duel en milieu d'année, repris Dumbledore alors que des chuchotements sur Grégory se taisaient. Il sera diriger par le professeur Black qui, étant remplacent, est libre de pouvoir s'en occuper correctement. Bonne appétit.
Les assiettes se remplirent et Erika qui était à la table des Gryffondor avec Ginny regarda Grégory qui s'émerveillait du plafond devant des filles de première année.
- Je suis sûre qu'il cache quelque chose, lâcha-elle.
- Vraiment ? S'étonna Ginny.
- Oui, on va faire des recherches sur lui.
Ginny haussa les épaules et pris des pommes de terres.
Pendant ce temps, la table de Serpentard s'esclaffait avec en tête Pansy.
- Regardez, on dirait qu'il n'a jamais vu un plafond magique !
FIN DU CINQUIEME CHAPITRE
Moi : j'ai fini ce chapitre ! Je suis contente.
Lecteurs : C'était long.
Moi : Oh, c'est bon hein ! Bon, faut se dépêcher, il y a Alohomora qui veut enregistrer ses review après.
Lecteurs : Mais qu'est-ce qui faut faire de plus ?
Moi : Il faut répondre aux reviews fière
Lecteurs : Ils devaient être endormis. Bon, allons-y.
Baudruche : Entrer le texte de votre commentaire ici !
Lecteurs : C'est bien ce que je disais, ils sont endormis.
Moi : Euh, je crois que le message est dans le titre. Fouille Voilà le titre : GIGAAAAAAAAAA
Lecteurs : Bon, on change pas de position
Moi : Ben euh merci et désolée de l'attente
Lecteurs : agite une banderole avec marqué dessus « elle est pas sincère »
Moi : regard noir. Mmmh, suivant.
Lily : lol j'ai pas la place d'ecrire mon pseudo en entier , enfin bon tu le connais peut-etre je suis Lily Felton-Malfoy, du site TWWO, je trouve que ton site est très bien et ta potterfic encore mieux , même si j'avoue que j'ai mis longtemps à comprendre lol !Gros bIsous !
Moi : Ah oui, le truc du pseudo. Je vais arranger ça.
Lily Felton-Malfoy : lol j'ai pas la place d'ecrire mon pseudo en entier , enfin bon tu le connais peut-etre je suis Lily Felton-Malfoy, du site TWWO, je trouve que ton site est tres bien et ta potterfic encore mieux, même si j'avoue que j'ai mis longtemps à comprendre lol !Gros bIsous !
Moi : Bon, voilà ça s'est fait. Oui, oui, je te connais. Merci pour tes compliments et oui, je sais que mon histoire est compliquée mais ça sera moins compliqué après, quand j'aurais éclairci (et puis, je ne peux plus la simplifier maintenant).
Lecteurs : Mouais, une excuse bidon.
Moi : vous alez arrètez ? Bon, dernière review, que j'ai perdu en route. Oui, oui, entre.
Wogo : excuses-moi l'expression, voilà, je trouve que cette histoire, c'est le bordel. Il y a des perso de partout, pas de situations claires, je me suis peaumée et à vrai dire, la lecture est un peu hard. Je m'arrête là pour aujourd'hui. bye! signé : wogo des étoiles...
Lecteurs : Enfin une lectrice qui reconnaît !
Moi : je le sais que c'est le bordel. Méme moi, j'ai du mal (sirius, lache la hache, sév, barre-toi). J'accèpte tout aussi bien les rewievs positives que négatives. J'essaierai d'arranger les choses même si ça va étre dur. Merci quand même. Petite page de pub maintenant…
Lecteurs : Génial.
Moi : Si vous désirez me retrouver…
Lecteurs : En gros, si vous êtes masochiste
Moi : J'ai un blog sans bug ici : http/spaces. voix derrière la porte du studio : Bon, on a besoin de l'espace, vous avez finit ?
Moi : Vi, vi. Juste une dernière annonce, je cherche un auteur pour un journal de la potterfic. Le rôle de l'auteur sera de m'écrire une histoire que sera une saga dans le journal. Sujet : L'écriture de quelque chose. Ca doit être l'élément principal, après vous rajoutez ce que vous voulez. Il faut que ça soit tout public aussi.
Lecteurs : Oui, venez vite, ça nous permettra de ne plus être seul face à cette folle !
Moi : -- Bon, au prochain chapitre et n'oubliez pas, une review fait toujours plaisir, qu'elle soit bonne ou mauvaise.
