Merci infiniment pour vos reviews ! les réponses sont à la fin du chapitre…

J'espère que vous aimerez la suite, énormes bisous,

Caraibos.

Chapitre 2 : Alexander Osborne

Deux semaines auparavant :

— J'espère qu'il te reste quelques Gallions sur ton compte en banque, Draco, car vois-tu… il va falloir passer à la caisse.

Draco fixa Tonks sans comprendre. Autour de lui, les autres sorciers retenaient leur souffle, impatients de connaître les intentions de Dumbledore dont Tonks se faisait la messagère. Seule Yselda continuait à marmonner dans son tableau.

— Ne t'inquiète pas, je le prends au sens figuré… Quoique tu aurais peut-être préféré payer en espèces, à la réflexion…

— Désolé de paraître une nouvelle fois obtus, mais j'avoue ne pas saisir un mot de ce que vous racontez.

— En fait, c'est tout simple. Tu sais, je pense, que ta vie est en danger ?

Draco ricana légèrement, railleur, se rappelant la marée de Mangemorts sous sa fenêtre et leurs menaces relativement précises.

— J'avais cru comprendre, oui. Mais ce n'est pas exactement une situation que je qualifierais de « simple », si vous voyez ce que je veux dire.

— Je ne vois pas ce que tu veux dire. Mais reprenons : Dumbledore tient à ce que tu achèves tes études à Poudlard, malgré tout. Tu rentres en septième année, c'est cela ?

— Oui. Mais mon niveau est bien sup…

— Je me fiche éperdument du niveau que tu prétends avoir, pour l'instant tu te contentes de répondre à mes questions. Compris ?

Draco haussa un sourcil, après s'être fait rabrouer pour la deuxième fois en une minute. Il se demandait si au bout du compte cette Tonks était aussi sympathique qu'il l'avait cru de prime abord. Cependant, son bon sens lui souffla de ne pas insister.

— Compris.

Mais c'est quand même foutrement vrai que mon niveau est bien supérieur à un niveau de septième année !

— Et il est absolument impossible que tu te rendes à Poudlard tel que tu es.

Encore une fois, Draco se sentit stupide. Ça commençait à devenir légèrement agaçant.

— Tel que je suis ?

— Bon, je vais la faire courte : DRACO MALEFOY ne peut plus aller étudier à Poudlard ! lança Tonks, sensiblement énervée.

Cette fois, Draco comprit. Mais quand il reprit la parole, sa voix ne tremblait pas.

— Je vais donc devoir changer d'identité.

La sorcière approuva d'un signe de tête.

— Oui, tu vas devoir changer d'identité. Mais, évidemment, cela impose…

— Un changement d'apparence.

— Je vois que tu as saisi le problème.

Enfin, pensa ironiquement Draco.

— Et qui va s'occuper de ma transformation ? reprit-il finalement.

Sous ses yeux ébahis, la peau de Tonks se mit alors à passer du rose au vert fluo, effectuant des variations sur le thème des quatre saisons, avec une préférence marquée pour le jaune soleil. Pendant ce temps, ses cheveux devenaient d'un roux flamboyant.

— Moi ! lança-t-elle en riant de toutes ses dents.


Deux heures plus tard, Draco attendait, anxieux, qu'on retourne le miroir face à lui afin qu'il découvre le résultat des efforts de la jeune sorcière. Maugrey lui avait attaché un foulard autour des yeux avec un sourire sadique avant que Tonks ne commence la transformation, et le Serpentard ne pouvait donc se rendre compte de rien, pas même de la forme de ses mains ou de la longueur de ses jambes. Il avait seulement ressenti quelques picotements le parcourir au moment de l'ultime sortilège, mais aucun changement capital. Il se rappela soudain avec un sourire narquois l'explosion de fureur d'Yselda quand celle-ci avait compris que son Thomas allait changer d'apparence. Elle les avait poursuivis à travers les tableaux de tous les couloirs du manoir, en pure perte. Son amour allait être défiguré.

— Bien, Saul, tu peux enlever le bandeau !

Surpris, Malefoy releva la tête. Suite à l'intervention de la jeune Auror, la brute s'approcha de lui, et doucement, faisant durer le supplice jusqu'à la dernière minute, il commença à dénouer le foulard. Tonks intervint rapidement.

— Bon, on ne va pas y passer la nuit ! Alors presse-toi, tu veux bien ?

— C'est bon, c'est bon… maugréa Saul. Si on ne peut même plus s'amuser, maintenant…

— Tu t'amuseras plus tard. Attention, Draco… maintenant !

Ebloui par l'éclat de la lumière après un si long moment dans l'obscurité la plus totale, Draco cligna doucement les paupières. Puis, quand il fut finalement habitué à la lueur du feu ronflant dans la cheminée, il plongea ses yeux dans ceux d'un jeune homme brun, plus grand que la moyenne, et dont les iris bleu outre-mer évoquaient irrésistiblement la couleur du ciel azuré.

— C'est moi, ça ?… souffla Draco.

Tonks ne répondit pas, attendant que Malefoy s'habitue progressivement à son nouveau physique.

Le Serpentard continuait à s'observer, notant ça et là des petits détails sur son visage, tels la courbe légèrement inclinée de sa mâchoire inférieure, et le grain de beauté présent à la commissure de ses lèvres. Assez sensuel, je dirais… En toute objectivité, le garçon qui se trouvait devant lui était très séduisant. Sa silhouette était athlétique, son visage un modèle de perfection, et ses yeux …

— Ma plus belle réussite à ce jour, je crois.

Après un long silence, Draco se résigna finalement à s'écarter du miroir.

— Vous parliez de quoi, exactement ? demanda-t-il à Tonks.

— De tes yeux. J'ai remarqué que tu étais particulièrement attiré par ton regard… Oui, je sais, ça peut paraître étrange de dire ça, mais le fait est qu'ils sont magnifiques. Cependant rappelle-toi que tout ceci ne t'appartient pas…

— Je ne pourrai pas conserver cette apparence éternellement ? s'étonna Draco.

Tous les sorciers éclatèrent de rire d'un même ensemble. Tonks, essuyant des larmes de joie, réussit finalement à hoqueter à Draco :

— Bien sûr que non ! Tu devras régulièrement renouveler ton physique. Les cellules te constituant n'ont pas la même durée de vie que des cellules non artificielles. Ton corps mourra beaucoup plus vite. Mais il mourra également beaucoup plus brusquement, ce qui signifie que tu ne connaîtras pas la vieillesse… du moins avec une fausse apparence.

Draco restait atterré. Il risqua finalement une dernière question :

— Et combien de temps devrai-je garder mon physique actuel ?

— Un an à compter d'aujourd'hui. Profites-en bien.

Et sans ajouter un mot de plus, Tonks se retira, bientôt suivie par l'ensemble des sorciers. Saul demeura finalement dans la pièce seul avec Draco. Il s'approcha du miroir, devant lequel Malefoy était à nouveau plongé dans la contemplation de lui-même.

— Fais attention à toi, Draco, murmura le vieux sorcier.

Interloqué par la douceur du ton employé, Malefoy tourna la tête vers son ancien bourreau. Mais sans qu'il sut comment ni pourquoi, son regard se retrouva à nouveau fixé sur le miroir. Cette fois, le sorcier tira le Serpentard vers lui, et sans que Draco puisse faire quoi que ce soit, il fit disparaître le miroir d'un coup de baguette.

— Pourquoi avez-fait ça ! cria Draco, plein de fureur.

— Pour te protéger. L'image que reflète ce miroir, ce n'est pas toi, Draco. C'est une apparence. Mais ce n'est pas la tienne.

— Et je ne pourrai pas me regarder dans ce cas ? Il faudra que tous les miroirs soient prohibés à Poudlard ? Et puis qu'est-ce que ça vous fait que je me regarde, d'ailleurs ? Vous êtes jaloux c'est ça ? Jaloux de la jeunesse, jaloux de…

— Tais-toi.

— Et pourquoi ? siffla Draco, menaçant.

— Parce que tu ne sais pas ce que tu dis. Ecoute, bien sûr que tu auras le droit de te regarder à Poudlard. Mais pas ici, pas dans ce miroir. Ce serait trop long à t'expliquer maintenant. Mais Dumbledore, un jour…

— Vous devez vraiment être over-bookés ici ! Pas le temps de me parler de l'Ordre, ni d'un simple miroir…

— Crois-moi, ce miroir est comme ta situation actuelle : il est tout sauf simple.

Draco haussa machinalement les épaules, et s'apprêta à rejoindre les autres sorciers. Mais la voix de Saul l'interrompit dans son mouvement.

— Au fait, avant que tu partes : Dumbledore nous a communiqués ta nouvelle identité. Voici comment tu t'appelleras, désormais…

Draco lut pensivement le papier que lui avait tendu le sorcier.

— Alexander Osborne… Pour moi ce sera Alex !

— Si tu veux ! rit doucement le sorcier, alors que lui-même commençait à s'éloigner.

— Et, euh… Saul ?

— Oui ? demanda le vieux sorcier à deux pas de la porte.

— Pourquoi ce changement d'attitude à mon égard ? Tout à l'heure vous me détestiez, et maintenant…

Les yeux de l'Auror se voilèrent de tristesse, mais un fier haussement d'épaules fit disparaître cette marque de faiblesse passagère.

— Question d'honneur, voilà tout ! Je n'aime pas que mon autorité soit remise en cause, il est donc important que j'en abuse parfois…

Draco ne crut pas Saul une seconde. Mais les raisons qui empêchaient le sorcier de dire la vérité ne le regardaient pas. Alors, sans répondre, il s'éclipsa.


Deux semaines plus tard, le Serpentard avait de la peine à cacher l'émotion qui l'étreignait au moment des adieux. Le nom de famille s'apparentait plus désormais au groupe de sorciers qui l'avait recueilli, qu'à sa mère et à son père véritables. Saul particulièrement faisait office de grand-père, un rôle que Draco n'avait jamais connu, ayant perdu ses aïeuls extrêmement tôt. En public il se montrait des plus réservés, mais dès que le jeune homme et lui étaient seuls, Saul lui apprenait la vie, les femmes et le caviar, les trois piliers de l'existence selon lui. Draco n'avait jamais revu le miroir, mais les différentes glaces présentes dans le manoir faisaient aussi bien l'affaire, et petit à petit il était parvenu à dominer son apparence, et à la considérer comme sienne — ceci malgré les recommandations de Tonks, qui ne cessait de lui répéter que celle-ci n'était que provisoire.

Cependant, l'heure de se rendre à King's Cross approchait. Essayant de dissimuler le tremblement de sa voix, Draco rassembla ce qui restait en lui de Malefoysien, et murmura quelques mots d'adieux à chacun. Puis il prit la poudre de cheminette, et arriva dans l'appartement londonien de Saul, accompagné de celui-ci. En silence, ils se rendirent à la gare, mais au moment de passer les portes menant au quai, Saul s'arrêta.

En réponse au regard interrogateur de Draco, il chuchota :

— Je ne peux t'accompagner plus loin… Ma tête est trop connue par ici.

Il serra doucement l'épaule du Serpentard.

— Bonne chance à toi, Draco.

Et il s'éloigna à pas rapides, sans un regard en arrière, silhouette massive courbée par l'âge et le chagrin.

— Bonne chance à toi aussi, grand-père, murmura Draco.

Et le jeune homme s'engagea résolument dans le chemin qui le mènerait jusqu'au train.


— Pousse-toi ! Tu ne vois pas que tu gênes le passage ? lança brusquement une voix irritée à l'adresse de Ron.

Surprise, Hermione releva la tête. Et fit la rencontre des plus beaux yeux bleus qu'elle ait jamais vus… Le jeune homme qui se tenait devant elle avait en réalité tout pour plaire : une allure sportive, un air volontaire, des cheveux bruns en bataille, et un regard… Hermione resta hypnotisée, ne pouvant détacher ses yeux de l'Apollon. Mais l'altercation entre les deux garçons la fit rapidement revenir sur Terre.

— Eh, pas la peine d'être aussi agressif ! réagit violemment Ron. Il existe d'autres manières de demander !

L'inconnu jeta un regard méprisant sur l'ensemble du groupe — en l'occurrence Harry, Ron, et Hermione.

— Je ne suis aimable qu'avec ceux qui en valent la peine.

Et il s'éloigna rapidement vers la voie 9 ¾. Hermione était restée indignée, ne pouvant croire que son héros s'était comporté de manière aussi abjecte.

— Je n'avais jamais vu ce type avant aujourd'hui… remarqua soudain Harry. Mais je ne vais pas oublier sa figure , croyez-moi !

Puis, il lança aux deux autres, toujours immobiles :

— Bon, venez, pas la peine de s'éterniser ici. Et Ron, n'oublie pas de redonner sa montre à Hermione.

Les trois élèves se dirigèrent lentement vers le Poudlard Express, un peu dégrisés par leur mauvaise rencontre. Les parents de Ron n'avaient pas pu venir les accompagner cette année, et ils se sentaient étrangement seuls, comme… déphasés.

— Au fait, Ron, tu ne m'as pas dit qui était l'autre Préfet en Chef, demanda soudain Hermione alors que le trio arrivait sur le quai.

Ron se mit à rire brusquement.

— Non, c'est vrai… Attends-toi à être surprise : tu vas avoir l'insigne honneur de travailler cette année en compagnie de… Stefan Mandelstan.

— QUOI ! hurla Hermione.

— Désolé Hermione, mais Ron ne se trompe pas, ajouta Harry. Nous avons vu Mandelstan se pavaner au Chemin de Traverse avec son insigne…

— Mais comment Dumbledore a-t-il pu me faire ça… sanglota Hermione.

Soudain, tout lui revenait en mémoire : Stefan, son sourire égrillard quand il passait à côté d'elle en compagnie de ses amis de Serpentard, Stefan, le chef de la deuxième bande au sein des serpents, après celle de Malefoy. Au contraire de ce dernier, le sang d'Hermione ne l'avait jamais franchement gêné… bien au contraire.

— Je ne suis pas sûr que Dumbledore soit responsable… risqua timidement Ron. Ça doit être un coup de Rogue, ce pouilleux !

Hermione rit faiblement.

— Oui… tu as sans doute raison, murmura-t-elle.

Elle haussa les épaules d'un air fataliste.

— De toute façon, ce qui est fait est fait, je ne peux rien y changer. La seule chose qui soit en mon pouvoir est l'attitude que je vais réserver à Mandelstan, et croyez-moi, elle ne va pas lui plaire.

— Sans blague… souffla doucement Harry.


Regardant droit devant lui, Draco ne faisait absolument pas attention à la foule qui s'écrasait sur le quai. Son seul souci était de trouver un compartiment vide dans le Poudlard Express, où il pourrait rapidement (re)nouer connaissance avec les Sangs Pur de l'école. Soudain, la tête de Pansy Parkinson apparut devant lui, sourire à priori amical, mais dont le contenu buccal éliminait tout attrait.

— Salut ! Tu es nouveau ? lui demanda la jeune fille.

Malefoy eut un moment de panique, ne sachant plus quoi répondre. Mais rapidement, tout lui revint en mémoire.

— Oui, je viens de Durmstrang. Tu sais où est-ce que je peux trouver un compartiment dans ce…

Il jeta un regard dédaigneux à la locomotive rouge, qui brillait de tous ses feux.

— … train ?

Alors que Pansy commençait à lui répondre joyeusement, l'invitant immédiatement à partager son compartiment avec ses amies, une grimace d'ennui glissa fugitivement sur son visage. Rien n'avait changé, au bout du compte, à part lui. Pansy était toujours aussi bête et moche, Weasley était toujours aussi niais et moche, Potter était toujours aussi désespérant et aussi moche, et Granger… le souvenir du regard de la jeune Gryffondor lorsqu'elle avait levé les yeux vers lui emplit son esprit. Il poussa un soupir.

Granger devait sûrement être toujours aussi soûlante… mais on ne pouvait définitivement plus la qualifier de moche.

Fin du deuxième chapitre !

Eh oui, c'est (déjà) fini, mais vous saurez bientôt tout sur ce mystérieux Stefan, la métamorphose d'Hermione, le miroir, et… en gros, la suite ne va pas tarder !

Bonnes vacances à tous ceux qui y sont, et bonne rentrée pour les autres !

Bizz, Caraibos.

Réponses aux reviews (RAR pour les intimes…lol)

cha : merci pour tes encouragements ! j'espère que ce chapitre t'a plu, je l'ai fait aussi vite que j'ai pu ! bisous, caraibos

pupuce2a : j'espère que tu as autant aimé ce chapitre que le premier! la suite arrive bientôt, promis lol ! bisous, caraibos

Hermione : merci pour ta review ! et voilà la suite… qui t'a plu, j'espère ! à bientôt , caraibos

mione2 : merci pour ta review ! j'espère que tu as aimé ce chapitre, la suite prochainement… j'espère en tout cas, lol ! bisous, caraibos

Lunder : merci pour tes encouragements, voilà la suite de l'histoire… à bientôt j'espère ! bisous, caraibos

SakuraGWatson : merci ! ta review m'a fait super plaisir, voilà la suite… qui t'a plu aussi, j'espère lol ! bisous, caraibos

Imaginarynight : wow que de compliments ! merci bcp ! mais j'ai une remarque à propos de ta review : qui t'a dit que ça allait être Malefoy le deuxième préfet en chef ? en fait j'avais écarté cette idée dès le début parce que justement elle était souvent retenue… non non, hermione aura affaire à quelqu'un d'autre… bisous !

Ange.lou : et voilà la suite ! merci bcp pour ta review, ça me fait super plaisir ! bisous, caraibos

MLT : merci ! tout de suite la grande inquiète se profile : hermione et draco, une histoire finie avant même qu'elle ait commencé…t'inkièt pas, ML, jsuis pas comme ça, avec moi ça prend son temps (enfin, pas trop lgtps qd même :) ) ne t'inkièt pas non plus pour mon travail, je gère (enfin j'espère… :) en tout cas merci pour tes compliments qui me vont droit au cœur ! bisous…caraibos

HB : malheureusement tu n'inaugurais pas les reviews, mais tu as été quand même très bien placée ! merci énormément pour ta review, qui m'a fait super plaisir ! je continue avec un chap qui j'espère te plaira autant, énormes bisous… caraibos toujours ;)!

Lily Evans 2004 : mon dieu, la folle de service est de retour… lol je plaisante, contente que ça t'ait plu, tu sais que je prends ton avis très au sérieux (je me demande si je devrais d'ailleurs…) tes beaux yeux bleus me font vraiment tripper surtout qu'on en reparle pas mal encore ds ce chap… enfin bref ne bave pas devt ton ordi poulette qd même ! énormes bisous…caraibos !

Zeeve lelula : coucou toi ! tes reviews me font toujours super plaisir, contente que tu apprécies cette fic ! j'espère que ce chapitre t'a plu, à bientôt !

laeti : toujours là, fidèle au poste, bravo! contente que ça t'ait plu, même si tu n'as pas eu droit à une exclusivité cette fois... :) bonnes vacs! et à bientôt!

Sarah Black : merci beaucoup pour ta review ! j'espère que la suite t'a plu! à bientôt

mamélie : hummmm, pour l'anonymité, j'ai connu mieux... en tout cas, merci pour ta (longue) review, qui aura fini par arriver! je veux pas retourner à l'école... je veux pas... bohouhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! allez, j'arrête de te déchirer les tympans, j'espère que t'as aimé ce chapitre!

dragonia : t'as tout compris! plus d'éclaircissements dans ce chapitre, même si on ne connait évidemment pas TOUT encore des détails de l'été de notre cher Draco... bizz et à bientôt!

bloodymelou : merci! j'espère que t'as aimé ce chapitre, à bientôt pour la (très prochaine) suite! (enfin, j'espère...lol)