La sœur de mon meilleur ami

Petit mot : C'est un chapitre que j'ai beaucoup hésité à mettre parce qu'il ne fait pas avancer l'histoire, mais il permet à James de connaître un peu plus la religion juive de Sirius et Lily, d'ailleurs comme je ne connais pas très bien la religion juive, je me suis beaucoup basée sur un chapitre du livre Mon ami Frédéric pour écrire celui-ci alors il y a peut- être des choses qui ne sont pas vrai ou qui ne marche pas et j'en suis désolée.

Réponses aux reviews :

Lisandra : Merci!!! Voilà la suite!!! Bizous

Bakura77 : C'est cool que tu aimes!!! J'espère que tu vas continuer à l'aimer!!! Merci! Voilà la suite! Bizous

Darkenger : Je suis contente que tu aimes cette fic même si c'est un univers alternatifs. J'espère que tu vas continuer à l'aimer jusqu'à la fin. Merci! Bizous Au fait, ce chapitre est moins intéressant que les autres, mais je devais la mettre pour que l'histoire soit claire.

Ange Maxina : Ouais, c'est normal que ça ressemble à un livre allemand que tu as lu car je me base sur la traduction française du livre DAMALS WAR ES FRIEDRICH pour écrire mon histoire. Je suis beaucoup les chapitres du livre jusqu'à ce que les personnages soit plus adolescent car le centre de l'histoire est là. Et les paroles utiliser par les personnages et les événements de ce chapitre sont presque identique au vrai livre car je ne connais absolument rien à la religion juive, c'était plus facile de faire dire les mêmes choses aux personnages que de les inventer. Mais je n'ai pas copier le texte du livre, sauf pour les paroles. Merci et voilà la suite!!!

Chapitre 5 Vendredi soir 1930

Maman lavait les vêtements des autres, mais il ne fallait pas que les autres le sachent. Elle en avait extrêmement honte. Et mon père était partis à la recherche d'un emploi, c'est pourquoi j'étais chez Sirius. Nous avons joué avec les blocs de bois de Sirius. Notre construction était presque de la même grandeur que nous, mais Lily avait lancé sa poupée sur notre tour et elle s'est effondrée à nos pieds. Sirius était dans une colère noire, je savais qu'il adorait sa sœur seulement parfois elle pouvait être vraiment fatigante et le pire c'est qu'elle n'a que deux ans, alors imaginez plus tard. C'est alors que j'ai vu quelque chose d'intrigant au-dessus de la porte d'entré de l'appartement.

''Ce petit étui qui est suspendu au-dessus de votre porte, qu'est-ce que c'est?''

Au même moment, Mme Black sortait de la cuisine et me répond à la place de Sirius et Lily :

''C'est notre Mesuah, notre porte-bonheur. Il nous aide à ne pas oublier les commandements de Dieu.''

Elle m'attira à la cuisine tout en me tenant par la main. Au passage, elle posa ses doigts sur le boîtier et les porta, ensuite, à ses lèvres. Mme Black me sourit et me dit de regarder par la fenêtre en attendant que Sirius et Lily se changent pour être prêt à l'arrivée de leur père.

Mme Black avait terminé le grand ménage hebdomadaire alors que ma mère ne le commencerait que demain. C'était étrange de voir une maison aussi propre le vendredi soir. Maman devait avoir terminé le ménage pour dimanche et ne la commencerait pas avant samedi. Ici la table reluisait. Il n'y avait pas un seul grand de poussière. La nappe était si blanche qu'elle avait l'air d'être fluorescente dans la pénombre de la pièce. Sirius et Lily entrèrent alors portant leurs plus beau vêtements. Mme Black apporta trois chaises pour que nous, les enfants, puissions nous asseoir et observer la rue. C'était d'un calme presque terrifiant, angoissant. Et ce calme se faisait ressentir jusque dans l'appartement des Black. Un silence envahissait la cuisine, personne n'osait faire le moindre geste qui pourrait le troubler. Même Lily qui adorait parler se taisait et attendait. Je trouvais ce silence un peu pesant car je ne savais pas pourquoi il y avait autant de solennité dans le logement. On aurait dit qu'on attendait Jésus pour souper.

Sur la table, elle mit deux chandeliers pourvus de bougies toutes neuves. Mme Black y mit également deux petits pains. Je me demandais, depuis un moment déjà, pourquoi tous ces préparatifs?

''Que se passe-t-il?'', chuchotai-je à Sirius.

''Le Sabbat'', me répondit Lily en le devançant.

Au regard que me lança Sirius, je compris clairement qu'il était tanné de ce faire couper la parole à chaque fois que je lui posais une question. Mme Black ôta son tablier et plaçait une grande coupe en argent et un livre de prières à côté de la place de M. Black. Elle alluma les deux chandelles et commença à murmurer une petite prière. C'est pendant cette prière que M.Black arriva dans la pièce vêtu de vêtements sombres et d'une calotte brodée. Lily se leva et son père mit sa main sur sa tête tout en disant :

''Que Dieu te rende semblable à Éphraïm et Manassé, que le Seigneur
te bénisse et te protège, qu'il laisse resplendir devant toi sa face et te donne sa grâce, que le Seigneur tourne vers toi sa face et te donne la paix.''

Il recommença la même chose avec Sirius qui c'était levé à son tour. Puis, M. Black ouvrit son livre de prière et lu quelque chose à l'intention de sa femme dans une langue que je ne comprenais pas.

Tout cela était très étrange pour moi et je ne savais pas quoi penser. J'avais un peu peur en fait. Je ne savais pas ce qu'ils faisaient, mais, je devais rester là à attendre et regarder comme si ce qui ce passait était tout à fait normal pour moi. Je fixais la flamme de la bougie ne sachant pas quoi faire.

M. Black prit la grande coupe en argent en la remplit de vin. Il en bu une gorgée, puis, la passa à sa femme, à Sirius et finalement, à moi. Il sortit ensuite se laver les mains, puis revint. M. Black mit ses mains au- dessus des deux petits pains et dit : '' Nous te rendons grâce, Seigneur notre Dieu, roi du monde qui fait sortir le pain de la terre.''

Il coupa le pain en quatre morceau et nous en donnait un à chacun de nous. Nous mangeâmes en silence. C'est exactement à ce moment-là et je m'en souviens comme si c'était hier, que quelqu'un fit couler de l'eau chez moi.

'' Ta maman est rentrée. Tu peux prendre des pêches dans la corbeille, elle est dans le couloir. Tu peux en prendre beaucoup sinon elles ne seront plus bonnes à manger'', me dit tout doucement Mme Black.

Lily me fit un petit signe de la main lorsque je partis en emportant les pêches.

Le soir, quand je fuis dans mon lit, j'entendais encore les quatre Black chanter doucement presque mélancoliquement leurs prières incompréhensibles pour moi. Je trouvais tout cela étrange.

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