Notre histoire

Coucou tout le monde, c'est le retour de Notre histoire et de moi, lol! Oh et la vieille dame est trop cool! Dans ce chapitre, jai gardé l'idée de la vieille dame. J'adore ce passage dans la livre.

Réponses aux reviews :

Joomy : Lily et James ont 1 ans de différence, au début c'était 3 ans, mais ça aurait fait bizarre plus tard. Et merci! Bizous

Fly away Phoenix : Comme tu dois déjà le savoir, tu es mon super nouveau beta-reader! Bravo encore une fois! En tout cas, c'est la première fois que je vois une review aussi longue et en plus c'est une review normale, j'imagine pas les anormales, lol! Bizous aux Skittles sûres! J'adore les Skittles-

Marie-Pooh : Est-ce que tu t'es inspirée de Winnie pour ton pseudo? Désolée, je suis pas rapport, là. Pour le père de James, oui il va avoir un travail, c'était déjà prévu seulement ce sera un peu plus tard. Merci pour ta review! Bizous!

Eterna de Solary : Merci, tu sais, moi aussi j'ai vraiment hâte qu'ils soient adolescents. Ça va être beaucoup intéressant! -XX-

Chapitre 7 1933 Après l'école

Moi et Sirius étions sur le chemin du retour avec Lily que nous devions aller chercher à son école, une chose que Sirius trouvait extrêmement exaspérante. Il disait toujours qu'il devait déjà la supporter sept jours sur sept et que c'était bien asser. Puis quelqu'un lui rappelait qu'elle n'allait pas à la même école que lui et qu'il ne la voyait jamais durant la journée après cette remarque, il ignorait la personne qui l'avait dite pendant quelques minutes. Il ne l'ignorait jamais bien longtemps, cette personne étant souvent sa mère, alors.

Nous étions donc tous les trois en train de retourner à la maison quand je me suis souvenu que Sirius avait eu un rendez-vous chez le médecin pour une raison X que j'avais oubliée.

''Sirius, comment c'est passé ta visite chez le docteur?''

''Oh…Bien, très bien. Ma mère voulait seulement savoir pourquoi je me mouchais tout le temps. C'est à cause d'allergie ou quelque chose comme ça. Le docteur m'a seulement fait une petite piqûre.''

''Est-ce que ça fait mal? Est-ce que ça t'as fait mal? '' demandais-je avec fascination puisque je n'avais jamais reçu de piqûre de toute ma vie, du moins je ne me rappelais pas d'en avoir déjà eu.

'' Juste un peu''

''Pas qu'un peu si je me fis aux cris que j'entendais de la salle d'attente,'' dit Lily, tout sourire.

''Je n'ai pas crier. Tu inventes des choses, Lily Jade Black!

J'ai laissé les deux frère et sœur se disputer amicalement pendant que je me replongeais dans les pensées qui pouvait bien occuper l'esprit d'un petit garçon de huit ans. Ils étaient plutôt drôles, toujours en train de se disputer, mais si il arrivait quelque chose à l'autre, ils ne s'en remetteraient probablement jamais. Ils s'adoraient autant qu'un frère et une sœur pouvait s'aimer.

Je restais un peu en retrait à l'arrière des argumentateurs(dont les arguments commençaient à être pathétique même pour des enfants) jusqu'au moment où, perdu dans mes pensées, je fonçais droit dans le dos de Sirius qui regardait, tout comme Lily, une maison en briques rouges à plusieurs étages. En fait, ils ne regardaient pas la maison, mais plutôt la plaque de bronze sur laquelle était inscrit :

Docteurs Wilfrid et Pompom Pomfresh

Médecins de famille

Ouvert tous les jours sauf le samedi

De neuf heure à midi et de quinze heure à dix-sept heure

Mais ce qui retint le plus mon attention était le mot juif écrit en grosses lettres avec de la peinture rouge sur la belle plaque du docteur.

''C'est notre docteur,'' dit Lily, très calmement malgré l'air étrange sur son mignon petite visage.

''Venez,'' dit subitement Sirius avec une vois empreinte de colère que je ne lui connaissais pas.

Nous nous sommes rendu au seuil de la porte du docteur Pomfresh par une petite allée bordée de fleurs de toutes les couleurs. Je n'avais jamais vu d'aussi belles fleurs.

Lily cogna avec douceur contre la porte en bois massif. Celle-ci s'ouvrit lentement et laissa passé la tête au cheveux frisés de Mme Pomfresh.

''Sirius, Lily, vous n'êtes pas malades, surtout?'' demanda-t-elle avec une voix un peu nerveuse. Quelque chose me disait que ça devait être le genre de personne qui s'inquiétait toujours pour les autres.

''Bonjours Mme Pomfresh,''répondit Sirius. ''Non, Mme Pomfresh, nous ne sommes pas malades. Nous voulions juste vous dire que quelqu'un avait écrit juif en rouge sur votre plaque.''

''Oh…oui…Mon mari et moi l'avions remarqué…Wilfrid va l'enlever demain. Ne vous inquiétez pas.''

''Mais, Mme, c'est très grave de faire ça. La personne qui l,a fait n'avait pas le droit,'' finit par dit Lily tout doucement.

'' Vous devriez rentrer les enfants…'' Elle ferma la porte et nous restâmes là debout comme des idiots devant la porte du docteur. Cela prit quelques secondes avant qu'un de nous trois ne réagisse et entraîne les autres vers le chemin de la maison.

Maintenant, nous marchions dans un silence complet. C'était le calme plat. Le calme avant la tempête. Tempête, c'est un bien grand mot alors disont, plutôt, avant un léger trouble de l'ordre publique.

Après quelques minutes, nous sommes arrivés au centre-ville. Il y avait un énorme rassemblement devant un des magasins. J'ai immédiatement pensé : « Il doit avoir eu un accident! » Mais ce qui se passait c'est révéler être d'une toute autre nature.

Le magasin était très populaire et j'y allais souvent juste pour regarder les choses à l'intérieur. Les objets étaient pas trop cher, juste asser. Le propriétaire était un vieil homme tout courbé sur sa canne. Il était très gentil, il nous faisait même des réductions sur certains articles et nous donnait des cachous par-dessus la marché. Malgré sa bonté, nous nous moquions de lui à cause de sa petite barbichette et sa voix chevrotante. Mais il restait toujours gentil avec nous, même que parfois j'avais l'impression qu'il forçait sa voix pour qu'elle soit plus chevrotante.

Il nous fallut jouer des pieds et des mains pour se rendre au premier rang. Pendant notre progression, nous entendions des personnes qui se moquaient ou plaisantaient, mais la majorité avaient l'air grave. On se serait crut à des funérale tellement l'ambiance était lourde. Sirius, Lily et moi commençions à sérieusement nous demander ce qui ce passait.

Devant la petite papetrie, il y avait un homme très grand, bien bâti avec un air très sévère sur le visage. Il me faisait presque peur. Il se tenait là les jambes écartés pour donner l'effet d'être encré dans le sol. Il portait des habits kakis et un brassard avec la croix gammée sur le bras gauche. Le soldat tenait dans ses mains une pancarte placée sur le bout d'un manche à balais, un vrai manche à balais avec écrit en grosses lettres :

NE FAITES PAS VOS ACHATS

CHEZ LES JUIFS

Nous restâmes debout tous les trois à attendre de voir ce qui allait se passer. Personne ne faisait de gestes pour aller dans la boutique, ils étaient tous rassemblés autour comme un troupeau de vaches perdues. On n'aurait pas pu entendre une mouche voler.

Puis, soudainement, une vieille dame s'avança lentement. Elle avait un sac à provisions qui avait du vécu à en croire les nombreuses déchirures qui avaient été rapiécées. Elle avança vers l'homme et sortit une vieille paire de lunettes, les mit avec difficulté sur son nez et lit la pancarte. Le soldat, lui, restait impassible jusqu'au moment où le vieille dame lui demanda de la laisser passer.

''Ne faîtes pas vos achats chez les juifs,'' répondit-il sans même faire un geste.

''Mais c'est bien mon intention,'' dit la vieille dame nullement effrayée par l'homme. Il ne bougea pas, mais resta solidement planté devant les trois escaliers qui menaient à la boutique. Le vieille dame décida tout de même de passer, elle se faufila entre lui et la mur pour finalement entrer dans le boutique.

Je dus étouffer le fou rire qui montait rapidement en moi comme la plupart des personnes au premier rang cependant, à l'arrière, ils ne se gênèrent pas pour éclater de rire. C'est vrai qu'il y avait de quoi rire, non? L'homme à la pancarte ne broncha pas, mais on pouvait voir qu'il était furieux.

Quelques minutes plus tard, la vieille dame ressortie avec un rouleau de papier d'emballage bleu, puis en passant à côté du soldat, elle lui fit un petit signe de la tête tout en disant :

''Merci bien, jeune homme.'' Puis elle continua son chemin comme si de rien était. Ce fut à ce moment précis que Sirius éclata de rire, ce qui ne passa pas inaperçu pour l'homme à la pancarte. Bien sure nous pensions tous les trois qu'il ne ferait rien, mais quelle fut notre surprise de le voir nous crier de dégager. Mais Sirius n'était pas du même avis, il avait fallu qu'il répondre au soldat. Et bien sure, ce n'était pas de a manière la plus polie.

''Pourquoi on partirait, Que je sache nous avons beaucoup plus le droit que vous d'être ici,''dit-il. J'était persuadé que l'homme allait lui sauté dessus, on voyait la veine de son cou enfler de fureur. Et, apparemment, Lily était d'accord avec moi, elle essayait de traîner Sirius le plus loin possible du soldat, mais elle n'y arrivait pas. Je me décidai enfin à l'aider, mais même à deux nous ne purent emmener Sirius loin d'ici.

Nous commencions à désespérer lorsque nous entendîmes la voix de M. Black dans notre dos.

''Les enfants, venez, rentrons à la maison…''

C'était le chapitre 7… laisser une tite review…

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