Titre : Ultimatum

Série : Gundam Wing et medley d'autres mangas.

Couple : 1X2, 3X4 et 5

Chapitre : 1 sur je sais pas combien.

Auteur : Lou 999

Disclamer : Sont toujours pas à moi.... C'est peut-être mieux ainsi. On a le droit de rêver tout de même.

Résumer : Y'en a pas vu que c'est le premier chapitre !

Histoire : Ben , c'est à dire que... J'ai juste penser au premier chap... J'arrive pas encore à trouver une suite... Pour l'histoire, faut voir la bande annonce.

Remerciement : Ba, y'a plein de personne... Je pensai pas avoir autant de reviews pour la bande annonce. Merci à Yami-Rosel, Gayana (j'adore ton pseudo !) Nienna-lo, Nosure et Artémis (c'est bien ça ??? C'est le nom du chat blanc dans Sailor Moon !!!) Merci.

J'espère que ce chap tant attendu va vous satisfaire !

Chapitre premier : Disparut

L' effervescence qui régnait dans la grande maison Winner n'est pas de tout repos et surtout, n'était pas normal. Des hurlements inhumains de rage mêlés de colère fusaient de toutes les pièces de la demeure, souvent accompagnés par des bruits de choses brisées. De temps en temps, des plaintes de tristesse plus que de colère retentissaient. Puis les cris reprenaient de plus belle, faisant trembler l'habitation.

Quatre et Trowa allaient d'une pièce à l'autre, suivant Heero et essayant tant bien que mal de calmer la fureur grandissante de leur ami. Celui-ci ne se contrôlait plus, il allait d'une pièce à l'autre, arpentant chaque endroit en murmurant tantôt des choses incompréhensible, tantôt en criant à se briser la voix. Depuis plus de 4 heures, il tournait comme un lion en cage et tous ce qui avait le malheur de se trouver sur son chemin finissait indubitablement fracasser contre le mur. Trowa, surpris par la force du garçon, cherchait plus à mettre Quatre hors d'atteinte du fou qu'à apaiser Heero. Il savait pertinemment que même sans le vouloir, Heero pourrait largement s'en prendre au pauvre Quatre. Et vu la force qu'il déployait pour envoyer promener les meubles dans les murs, il n'aurait aucun mal à les mettre au tapis.

Pour le moment, il se contentait seulement d'expédier les meubles et la vaisselle, en tout genre, contre les murs pour libérer sa colère. Bientôt, il ne resterait plus rien dans la maison.

Heero secouait la tête dans tout les sens. Ses yeux rougis et gonflés laissaient continuellement s'échapper des larmes qui coulaient le long de sa peau brune striée de lignes roses, marques de ses récentes griffures.

Au bout d'un quart d'heure, Heero sembla se calmer d'un coup. A force de pleurer, ses forces l'abandonnèrent. Il tomba sur le sol, le regard vide et se mit à pleurer à chaudes larmes. Son corps agité de spasmes se contracta encore plus. Heero secoua la tête négativement, comme si il refusait quelque chose puis se prit la tête entre les mains et se replia sur lui même en hurlant le nom de son amant. On n'entendait maintenant plus que des sanglots. La colère et la haine laissèrent place au désespoir.

Jamais Trowa et Quatre n'avaient vu leur ami dans un tel état d'abandon. A ce moment, ce n'était plus le jeune homme froid et taciturne qu'ils connaissaient. La haine avait tirée les traits de son visage si doux autrefois et le désespoir avait creusé des cernes violettes sous ses yeux délavés. Non, Heero n'était plus le même. Si Duo avait été là, il aurait sûrement dit que Heero était un Berserker. Mais Duo n'était pas là. Pourtant, seul lui aurait pu arrêter Heero.

Tout avait commencer quelques jours plus tôt, alors que Heero et Duo se disputaient.

FLASH BACK

Heero s'était réfugier dans sa chambre histoire d'avoir un peu de calme. Il claqua la porte au nez de Duo et s'installa à son bureau pour y allumer son fidèle ordinateur portable. Mais Duo bien décidé entra en trombe dans la petite pièce plongée dans l'obscurité.

Duo hurlant : Y'en a marre Heero. Tu ne fais jamais d'effort.

Heero froid et cassant : C'est que j'en ai pas envie, voilà tout.

Duo le voix tremblante : Tu n'est pas gentil Heero. Pourquoi tu ne veux pas ?

Heero sec : Je ne suis pas ton chien Duo. Je n'ai pas à t'obéir.

Duo faiblement : Tu es un monstre Heero !

Duo tourna la tête pour cacher ses larmes et sortit précipitamment de la chambre. Il dévala les escalier et s'engouffra dehors, laissant Quatre interloqué.

Les heures passèrent et Duo ne revenait toujours pas. Lorsque la nuit pointa son nez, il n'était pas encore revenu. Au bout de deux jours, les quatre autres pilotes s'inquiétèrent, surtout Heero qui se faisait du mauvais sang. Ils décidèrent donc de partir à sa recherche. Mais malheureusement, ils ne le trouvèrent pas, il semblait avoir mystérieusement disparut. Déjà, à ce moment là, Heero paraissait abattu. Comme la nuit se faisait sentir, il fut décider de rentre. Mais sur le chemin du retour, alors que Trowa et Wufei discutaient, Heero s'arrêta brutalement. Les trois autres pilotes se stoppèrent net et jetèrent un coup d'œil dans la direction où Heero regardait fixement. A leur grande surprise, un ruban de soie noir était emmêlée. Heero se pencha et dénoua le nœud, libérant ainsi le ruban. Mais lorsqu'il prit le ruban dans sa main, quelque chose l'interloqua. Il baissa encore un peu les yeux et rencontra une petite tache noire. Du bout des doigts, il effleura la tache. Puis serra fortement le bout de soie dans sa main. C'était lui qui avait offert se ruban à Duo, pour son anniversaire. Il releva la tête vers ses amis et articula avec difficulté.

Heero blême : C'est du sang... Il y en à aussi sur le ruban...

Quatre : Non, c'est impossible... Duo...

Heero : C'est de ma faute... Tout est de ma faute.

Trowa : Du calme... Il peut s'être passé plein de chose.

Heero de plus en plus livide : Je... DUOoooooooooo.....

N'ayant pas plus d'informations, il fut conclu que Duo, attristé par la réaction de Heero se soit suicidé en sautant du pont. Il se serait noyé... Bien sûr Heero n'accepta pas ça. Il péta un câble, sombrant d'abord dans l'inconscient puis dans le mutisme pour finalement basculer dans la rage et la colère. Plus les heures passaient plus il devenait fou, glissant dans le côté obscure. Pourtant, personne ne lui faisait de reproche, tous étaient trop occupés à masquer leur douleur.

FIN DU FLASH BACK

Maintenant que Heero était épuisé, Quatre pu s'en approcher sans risquer sa vie. Il s'assit à côté de Heero et le prit délicatement dans ses bras pour le rassurer. A ce contact, Heero sursauta mais ne broncha pas. Normalement, il ne se serait pas laisser faire aussi facilement, mais la il était bien de trop fatiguer, et puis la chaleur des bras de Quatre avait quelque chose d'apaisant. Il se blottit encore plus au creux des bras de son ami et enfouit son visage dans le T-Shirt bleu de Quatre en murmurant quelque chose. Il avait prononcé ces mots si faiblement que seul Quatre l'entendit.

Quatre attristé : Non, ce n'est pas ta faute.

Heero : Pourquoi... Pourquoi . Ce n'est pas juste... Tout cela est entièrement de ma faute.

Quatre : Non. Duo à fait son choix tout seul

A côté d'eux, Trowa se tenait debout, une lueur étrange dans les yeux.

Heero : Si, si seulement j'avais accepter...

Quatre : Ce qui est fait ne peut être défait Heero. C'est trop tard maintenant. Tu ne peux pas revenir en arrière.

Heero : Mais si je lui avait dis oui, il serait ici, avec nous.

Quatre : Avec de si, on pourrait refaire le monde Heero. Tu te fais du mal...

Trowa troublé : Ecoute Quatre, Heero. Il à raison. Je peux te dire une chose, les regrets sont là pour nous f aire réfléchir au moyen de les effacer... Si tu continu à te ruiner la santé, je crois que Duo ne serait pas content... Tu vas le rendre triste lui aussi... Je pense qu'il n'aimerait pas te voir ainsi...

Heero : Mais je ne peux pas vivre sans lui... C'est trop dur... Je l'aimais tellement.

Trowa : Duo voudrait que tu sois heureux, même sans lui... Tu dois le faire pour lui.

Quatre : Le destin à voulut que Duo disparaisse... Mais toute ta souffrance, toutes tes malédictions ne sauraient le ramener à la vie. Tu te dois, pour lui, d'être heureux d'être vivant.

Trowa : Tes mains connaissent dorénavant le poids de la mort d'un être cher, mais le poids de sa vie était infiniment supérieur c'est vrai... Et maintenant, tu dois le porter sur ton dos. Tu dois réapprendre à vivre avec cela. Tu dois aussi apprendre à te protéger et à protégé ceux qui t'entour si tu veux pouvoir survivre et défendre ce qui et important pour toi.

Quatre : Trowa...

Heero : Non, je sais qu'il a raison, mais sans Duo, je...

Heero sentit ses yeux le picoter. Il replongea la tête dans les bras de Quatre et recommença à pleurer. Quatre essayait d'apaiser les spasmes violent de son ami en lui parlant doucement. Mai rien ne semblait pouvoir calmer Heero. Et si il continuait comme ça, sa santé se dégraderait très vite. Il allait se laisser mourir à petit feu à cette allure. Et personne ne pouvait l'aider.

Le grincement caractéristique de la porte se fit entendre et Wufei entra. Les yeux rouge, le teint pale et les traits tirés, Wufei avait l'air d'un vieil homme. Il était si fatiguer que ses pauvres jambes avaient bien du mal à le porter. Il entra, le dos voûté dans la pièce et jeta un rapide coup d'œil à Quatre et Heero mais resta muet. Maintenant, plus rien ne pouvait le surprendre. Il ressemblait à une coquille vide, errant dans la maison sans but précis. Un peu comme Heero. Il avait tout de même contacter des amis à lui pour faire des recherches. Wufei passa à côté de Trowa et s'écroula sur un cousin qui trônait par terre.

Trowa : Alors ?

Wufei lasse : Rien... Ils n'ont strictement rien trouvés. Pas le moindre indice. C'est comme ci le corps de Duo avait disparut.

Heero frissonna en entendant la phrase de Wufei. Il se crispa encore un peu plus.

Quatre : Wufei, tu n'as pas dormit depuis plus de 2 jours. Il faut te reposer.

Wufei : Je n'ai pas sommeil. Merci Winner, mais c'est de Heero que tu devrais prendre soin.

En disant cela, il posa un regard sur la masse difforme roulée en boule dans les bras de Quatre et poussa un soupir.

Trowa : Quatre à raison. Reposes-toi. Un seul malade ça suffit.

Wufei : Mouai... Tenez, en passant j'ai pris le courrier.

Wufei tendant mollement le paquet d'enveloppe à Trowa. Celui-ci se jeta littéralement sur le journal et l'éplucha dans tous les sens, cherchant quelque chose.

Wufei : Tu perds ton temps. J'ai déjà regardé. Il n'y a rien. Pas le moindre corps retrouvé ces jours-ci.

Heero se redressa un peu, quittant la douce protection des bras de Quatre. Il croisa une fraction de seconde le regard de Wufei. Mais alors qu'il allait parler, un petit cri de surprise l'arrêta. C'était Quatre. Il regardait fixement la pile de courrier que Wufei avait toujours en main.

Wufei : Qu'est-ce qu'il y a Quatre ?

Quatre : Cette... Cette lettre...

Wufei baissa les yeux vers les lettres et sursauta. Quatre se rua sur lui et lui arracha l'une des enveloppe. Il la tendit à Heero, une drôle de lueur dans les yeux.

C'était une enveloppe rose, c'est vrai, mais tout à fait normale. De la taille réglementaire avec un petit timbre. Mais le destinataire n'était pas écrit à la main comme on le fait habituellement. Non, c'était des petits bouts de papiers. Chaque lettres avaient été parfaitement découper et coller sur l'enveloppe.

Les doigts tremblant, Heero ouvrit lentement l'enveloppe et sortit le papier à l'intérieur. Il lut rapidement le mot et poussant un cri rageur se releva. Il prit un profonde inspiration et relut le contenu à voix haute pour ces amis.

Heero d'une voix blanche :

J'ai quelque chose au quel tu tiens beaucoup Yui

Je suis sûr que tu vois très bien de quoi je parle, ou plutôt de qui.

Si tu veux le revoir vivant, réunit 1 million de francs.

Je te donnerai d'autres informations en temps voulu.

Tu as 1 semaine. Passé ce délais, je ne donne pas chère de sa peau.

Et ne préviens les flics... Un accident est si vite arrivé.

Ps : Je te joint un petit cadeau qui devrait te plaire !

Heero baissa les yeux et plongea la main dans l'enveloppe. Il sentit sous ses doigts quelque chose de soyeux. Il sortit lentement le cadeau de l'enveloppe, c'était une très longue et fine mèche brune. Heero la porta à son nez et ferma les yeux. Des larmes roulèrent le long de ses joues.

Heero : Duo... Tu es en vie !


A suivre

Lou : Tadam !!!! Je l'ai enfin finit... faut dire que j'ai eu des prob avec mon ordi. A croire qu'il aime pas cette fic !

Duo : Snif... J'apparaît même pas.

Lou : Ah ! Mais tu vois comme Heero tient à toi !

Duo : C'est vrai... Mais est-ce que je vais apparaître ?

Lou : Bien sur... Mais je te dis pas dans quel état !

Duo : Au fait, pourquoi m'avoir couper une mèche de mes cheveux ? Tu sais pourtant qui j'y tien bcp !

Lou : C'était ça ou 1 doigts. C'est qu'une mèche !

Heero : Tu crois vraiment que je serai comme ça si Duo disparaissait ?

Lou : Ba, j'espère

Duo : Tu serais triste Heero tout de même ?

Heero : mais la, tu casses mon image de Perfect Soldier sans cœur... Tu le sais ?

Lou : Oui...

Duo : Heero, tu serais triste ou pas ?

Heero : T'as qu'à disparaître, on verra.

Lou : Bon... On va les laisser seul... Euh, m'oubliez pas... Les reviews, ça fait toujours plaisir. J'espère que ce chap vous à plu...

Lou 999