Titre : Ultimatum

Série : G W et d'autres petites choses…

Couple : Les mêmes que dans les autres chap.

Remerciement : Alors première chose, je suis navrée pour le retard… Ensuite, je voulais vous remercier pour vos reviews. Alors voyons, Ah! Oui, Mondaye… Je vois que tu connais les oublier de Vulcain… En effet, j'ai bien reprit cette idée. C'est un de mes livres préférés. Ce que j'aime surtout c'est Odilon, le charat. Chui contente de voir que quelqu'un le connaît… Angel' eyes, pour ton film, Voyager's, connais pas. Mais j'adore les films où y des ordi intelligent. Sinon, c'est normal pour Zeck et Treize… Je les confonds pas. Athémis, je réponds aussi à ta question. En réalité, j'adore Zeck, je le trouve trop sympa, mais il me fallait le frère de Réléna. Alors j'ai décidé de faire un petit échange. Comme Treize n'est pas mon perso préf et bien, je les ais inter changés. Voilà tout…

Chapitre : 3 enfin….

Auteur : Ba qui donc que ça peut être ? Je me le demande !

Disclamer : Zut de zut de zut. C'est tout ce que j'ai à dire.

Wufei : De retour sur l'ordi toi ?

Lou : Et oui, je vous l'avais dit non ?

Heero : Ouais, mais entre ce que tu dis et ce que tu fais….

Lou : Ça veut dire quoi ça ?

Duo : Rien si ce n'est le fait que tu fous strictement rien…

Lou : DUO. Méfies-toi un peu. T'es pas en position de force dans cette fic, tu sais…

Duo : Ben justement non. Je m'en rappelle plus.

Lou : Gnagnagna… Fichez moi la paix.

Ultimatum : Chapitre 3 : Enquête

Treize : Tu comptes vraiment sortir avec ça ?

Treize se mit à rire bruyamment. Il s'approcha encore plus près de Duo et plaqua ses mains contre la porte de fer. Il vit, avec amusement, une lueur de désarroi passer dans les belles prunelles violettes de son prisonnier. Il attrapa le regard de Duo et lui fit un immense sourire.

Treize : Ce n'est pas la bonne clef. Bien tenté mais maintenant, c'est finit…

Duo persiflant : Alors je trouverai la vrai.

Treize : Tu veux savoir où elle est ? Regardes, juste autour de mon cou…

Treize passa ses doigts dans l'encolure de son T-Shirt et tira une grosse chaîne d'argent. Au bout, une minuscule clef scintillait de mille feu.

Duo : C'est une erreur de ta part de m'avoir dit où elle était.

Treize : Allons bon. Il faut faire confiance au gens, non ? Et puis, je serais toi, je ne tenterais rien. Je suis bien plus fort que toi. Tu as bien vu non ?

Duo : Grr… Tu…

Duo donna un coup de genoux dans l'estomac de son agresseur. Celui-ci se plia en deux mais au moment ou le jeune natté voulut attraper la chaîne, une poigne puissante l'en empêcha et lui broya le poignet. Duo émit un cri rauque puis releva les yeux. Il croisa une fraction de seconde les yeux de Treize, des yeux complètement fou. D'un coup, Treize lui asséna une puissante claque qui l'envoya promener plus loin.

Treize : Tu vois ce que tu me force à faire ? Il faut être bien gentil, mon mignon.

Duo : Je ne suis pas ton mignon, et encore moins ton jouet. Tu verras quand Heero…

Duo arrêta sa phrase lorsqu'il vit la fureur sur le visage de Treize. Il eut juste le temps de se recroqueviller avant que son agresseur ne revienne à la charge. Avec une force inattendue, Treize attrapa Duo par les cheveux et le releva, lui tirant une grimace de souffrance. Il s'apprêtait à gifler Duo lorsqu'il rencontra ses yeux plein de dégoût. Il relâcha soudainement son emprise sur la chevelure de Duo, qui tomba à genoux sur le sol, et ferma les yeux. Duo commençait doucement à reculer quand Treize rouvrit les yeux.

Treize : Faut pas me mettre en colère… Je peux être très violent.

Le kidnappeur plia ses genoux et se mit à hauteur de Duo, qui reculait de plus bel. Il posa ses mains sur le visage de Duo, enveloppant ses joues dans ses paumes. Il frotta de ses pouces les lèvres et les pommettes du natté puis plongea ses doigts dans sa chevelure soyeuse.

Treize : Duo, mon Duo…

Duo : Ne me touche pas…

Les deux mains à plat sur la poitrine de Treize, le torse rejeté en arrière, Duo cherchait en vain à s'échapper de cette emprise. Néanmoins, les grandes mains de Treize glissèrent du dos de Duo vers les hanches, épousant la cambrure des reins, et continuèrent sans s'arrêter, jusqu'à mi-cuisse. Puis elles entreprirent de remonter d'un mouvant très doux vers le poitrail. Duo qui se débattait comme un diable finit par mordre à pleines dents le langue qui s'insinuait sournoisement dans sa bouche. Aussitôt, Treize desserra son étreinte et jeta Duo sur le côté.

Treize : Sale petite vermine… Tu ne payes rien pour attendre.

Duo : Je me battrais jusqu'au bout de mes forces.

Treize : Bien. Je crois que ça suffit pour aujourd'hui.

Treize tourna les talons et disparût dans l'ombre. Le claquement significatif de la porte replongea Duo dans la solitude. D'un geste mécanique, il attrapa ses longs cheveux et commença à les démêler avec ses doigts puis brusquement, des larmes s'échappèrent de ses yeux vides. Elles glissèrent le long de son si beau visage, laissant une trace bien nette, et s'écroulèrent silencieusement sur le sol. Duo se replia sur lui-même en enfouissant sa tête dans sa poitrine.


Heero : Bon, Athéna, je vais changer ta programmation.

Athéna : Que veux-tu modifier ?

Heero : Les répondants.

Athéna : Très bien. Combien de personne ?

Heero : Trois pour le moment.

Wufei : Tu fais quoi là ?

Heero : Je fais en sorte qu'elle vous obéisse aussi.

Athéna : Je suis prête.

Heero : Wufei, à toi l'honneur. Elle va enregistrer ton empreinte vocale.

Wufei : Je fais quoi ?

Athéna : Veuillez décliner votre identité.

Wufei : Euh… Wufei Chang

Athéna: Enregistré... Suivant.

Heero : Trowa ?

Trowa : Trowa Barton.

Athéna : Suivant.

Quatre : Quatre Rabberba Winner.

Athéna : Enregistré. Fin de l'enregistrement. Nouvelle données incorporées au système. Nouvelle programmation activée.

Heero : De quoi tu parles ?

Athéna : Un ordre vient d'être réactivé. Je dois obéir avant tout aux ordres de Mr Rabberba Winner.

Quatre : Euh… Moi ?

Athéna : Oui Mr Rabberba Winnei. Ma programmation spécifie que mon devoir est d'obéir aux Rabberba Winner.

Quatre : Ba euh… C'est obligatoire ?

Athéna : Oui. Cependant, j'obéis toujours aux autres ordres sonnés par quelqu'un d'autre. Seulement, ceux des Rabberba Winner passent en priorité.

Heero : Bon, c'est pas grave.

Quatre : Tu peux pas m'appeler Quatre ?

Athéna : Si.

…Ding…

Trowa : C'est quoi ça ?

Athéna : Je viens de recevoir un E-mail pour Heero.

Heero : Pour moi ? Tiens donc… Ouvres le s'il te plaît.

Athéna : ouverture en cour… Chargement du message.

Tic tac… L'heure tourne

Tic tac… L'heure passe

Bientôt la pendule s'arrêtera

Bientôt la vie s'en ira…

Tic tac…Reste plus que trois jours…

Tic tac… Tic tac… Tic tac

Big Boss

Wufei : Mais c'est quoi ce message ridicule ?

Trowa : Il fait de rimes en plus.

Quatre : Il est vraiment idiot.

Heero : Plus que je ne le pensais. Athéna, tu peux faire une recherche sur ce mail ?

Athéna : C'est déjà commencé. Je peux te dire que l'adresse est crypté. Dès que j'envoie un mail de confirmation, le réseau me le retourne en me disant que cette adresse est inexistante.

Trowa : Fallait s'en douter.

Heero : Et sur le lieu d'émission ?

Athéna : Je fais une triangulation. Encore quelques minutes et je pourrai te répondre.

Heero : On va attendre. Pendant ce temps, je vais vous expliquer quelques truc sur Athéna.

Wufei : Du genre ?

Heero : Ba ce qu'elle peut faire.

Trowa : Y'a beaucoup de chose ?

Heero ; Euh… Oui. Athéna, peut-être vaudrait-il mieux que tu leur dises.

Athéna : Comme tu veux. Toute la maison est entièrement sous ma responsabilité. Je gère absolument tous, enfin presque. Electricité, eau, fermeture des portes…

Trowa : On peut te … diriger que de cette pièce ?

Athéna : Non. Je suis présente dans toutes les pièces. Il y a un micro et des haut-parleurs partout. Il faut juste activer cette fonction.

Heero : Active là. Cette pièce n'est pas franchement accueillante.

Athéna : Très bien. Activation immédiate.

Wufei : Tu as accès à tous ?

Athéna : Oui. Mon programme me permet de me promener dans toute la toile et ainsi de rentrer dans chaque ordi connecté à Internet.

Trowa : mais c'est dangereux ça. Si tu te faisais repérer ?

Athéna : Pas de problème. Je dispose des meilleur programme pour craquer les protection et par ailleurs, je suis inviolable. La seule qui arriverait à forcer mes protection, c'est moi… Ah ! Je sais d'où le mail est partit. C'est un Cyber café, l'Obérons, situé dans le centre. Il est au centre commercial …

Wufei : …Odéon. Je connais. C'est à une quinzaine de minutes d'ici.

Heero : Vraiment ? Dans ce cas, toi et moi, nous allons à ce cyber café. Quatre et Trowa, restez au cas ou… Et essayez d'avoir les Mads, ils pourront peut-être nous aider.

Quatre : Mais qu'est-ce que vous allez faire ?

Heero : Chercher des indices. Oh ! Athéna, imprime l'une des images de Treize s'il te plaît.

Trowa : Tu compte la montrer à des gens ? Tu risque d'attirer l'attention sur toi !

Heero : Pas grave.

Athéna : Ta photo est tirée Heero.

Heero : Merci.

Wufei : Aller, dépêchons nous…

Quatre : Faites bien attention.

Trowa : Viens, sortons de cette pièce… Allons au salon.

Quatre : Oui.

Les amants sortirent de la pièce rapidement. A peine avaient-ils franchit la porte que les panneaux se remirent en place, reconstruisant le mur.

Quatre : Hey, mais…

Athéna : C'est une fonction normale. Vu qu'il n'y a plus personne, tout se referme.

Trowa : Comment sais-tu que personne n'est dedans ?

Athéna : Mais capteurs de mouvements et de chaleur n'indique rien. Et puis Heero et Mr Chang sont sortit.

Quatre : Chan ? Pourquoi l'appelles-tu par son nom ?

Athéna : C'est dans ma programmation.

Trowa : Alors, tu m'appelles aussi par mon nom ?

Athéna : Oui Mr Barton.

Trowa : Mais Quatre, tu l'appelles Quatre, non ?

Athéna : C'est exact. Mais Quatre ma l'a demander.

Trowa : Très bien. Dans ce cas, fais pareil pour moi.

Athéna : Très bien.

Quatre : Et si on revenait à nos moutons ! Faudrait joindre les Mads.

Trowa : Plus facile à dire qu'à faire.

Athéna : Heero m'en a parler. Ce sont en quelque sorte vos maîtres c'est cela ?

Trowa : Mouais.

Athéna : Il semble que se soit toujours eux qui vous joignent. Je dois pouvoir vous aider.

Trowa : Aurais-tu des vieux messages d'eux ?

Athéna : Malheureusement, non. Je n'en ais reçut que deux pour Heero de la part d'un certain J, mais il m'a demander de les effacer.

Quatre : C'est normal de la part de Heero.

Athéna : je peux tout de même faire des recherches.

Trowa : Oui, c'est déjà ça.


A cette heure de la journée, le centre commercial était assez vide. De temps à autre, Heero et Wufei croisaient une ou deux personnes mais pas plus. Grâce à l'aide de Wufei, ils trouvèrent très facilement le cyber café. C'était le seul endroit où il y avait vraiment du monde. Tous les ordinateurs étaient pris et une vingtaine de personnes discutait en sirotant une boisson. Heero, avant d'entrer, jeta un rapide coup d'œil. A près avoir vérifier ce qu'il voulait, il entra, suivit par Wufei. Sans l'ombre d'un doute, il se dirigea vers le comptoir et sortit la photo de Treize. Un homme assez grand, avec de larges épaules se présenta devant lui.

: Alors mon petit gars, qu'est ce que tu veux ?

Heero : Vous êtes le patron ?

Patron : Oui pourquoi ?

Heero en lui tendant la photo : Avez-vous déjà vu ce garçon.

Le patron s'essuya les doigts sur son tablier puis, après avoir observer Heero et Wufei, empoigna l'image. Il la regarda bizarrement sous toutes les coutures puis au bout d'un moment la rendit à Heero tout en souriant. Ce dernier qui l'avait bien observé avait remarquer le tremblement de ses mains et semblait pour le moins intéressé.

Patron : Il me dit rien. Enfin, je vois tellement de personne.

Wufei : Vous êtes sûr ?

Patron : Un visage comme le sien, ça ne s'oubli pas.

Heero : Il est certainement venu aujourd'hui.

Patron : C'est possible.

Wufei : Il est venu il y a moins d'une heure…

Patron : Combien de fois faut que je vous le dise. Je fais pas attention à tout le monde.

Heero : Pourtant, avec des yeux presque rouges comme ça… C'est assez rare

Wufei : Il à dut payé.

Patron : Je ne suis pas seul. Hilde encaisse très souvent.

Wufei : On peut la voir ?

Patron : Pas de chance, vous venez de la rater.

Wufei : Et elle revient quand ?

Pendant que Wufei discutait, Heero promenait discrètement son regard un peu partout derrière le grand homme. Soudain quelque chose attira son regard mais au moment où il allait poser une question, le patron les chassa.

Patron : Bon, vous m'excusez mais j'ai des clients. Si vous ne commandez pas, je vous prie de bien vouloir partir.

Wufei : Très bien, dans ce cas…

Heero : On y va.

Wufei : Quoi.

Heero : On s'en va.

Sans plus d'explication, Heero sortit de café, Wufei incrédule derrière lui. Lorsqu'ils furent hors de portée du bar, Heero se stoppa.

Wufei : Mais qu'est-ce qui t'as pris ?

Heero : Il nous mentait.

Wufei : Bien sûr. Il connaît Treize, j'en suis sûr.

Heero : Pas que ça. La jeune fille était là.

Wufei : Quoi ? Mais qu'est ce qui te fais dire ça ?

Heero : J'ai vu son manteau et son sac.

Wufei : Et qui te dis que c'était les siens ?

Heero : Le manteau était un manteau de fille. De plus, sur le sac il y avait un mot, avec le prénom de Hilde dessus.

Wufei : Mais pourquoi t'as pas insister alors ?

Heero : Ça n'aurait servit à rien. Et puis, il y avait quatre gars costaux qui nous surveillaient. Je tiens pas à mourir avant d'avoir revu Duo. De plus, j'ai une petite idée. Retourne à la maison et dis aux autres qu'on va rentrer très tard. Reviens dès que tu le peux.

Wufei : Tu m'explique ?

Heero : On va attendre qu'elle finisse son service puis on la filera.

Wufei : Très bien, j'y vais. Mais reste ici ok ?

Heero : OK


Dès que les deux gamins avaient disparus, René, le patron, s'était jeté sur le téléphone. Après avoir composé un numéro, il attendit. Au bout de quelques sonnerie, une voix décrocha.

: Allo ?

Patron : C'est moi !

: Qu'est-ce qu'il y à ?

Patron : On vient de m'interroger sur vous. Deux ado.

Treize : Un brun aux cheveux court avec de magnifiques yeux cobalts ?

Patron : Oui. Vous les connaissez ?

Treize : Au moins un. Heero… Je suppose que tu n'a rien dis !

Patron : Rien, mais ils ne lâcheront pas si facilement. Ils ont même demander à parler à Hilde.

Treize. Intéressant. Laisses les faire. Mais fait bien attention à Hilde. Elle ne sais rien mais mieux vaut être sur nos gardes.

Patron : Entendu.

Alors que le patron raccrochait, une porte à côté de lui s'ouvrit et une jeune fille brune apparût. Elle tenait entre ses mains une caisse de bouteille.

: Me voilà. Vous m'avez appelez ? J'ai cru entendre mon prénom.

Patron : Pas du tout Hilde. Merci pour les bouteilles. Tu veux bien t'occuper de la table 5 s'il te plais.

Hilde : Tout de suite.

René regarda la petite partir gaiement vers la table puis il se remit dans ses bouteilles.


A suivre…

Lou : Pfff… J'en peux plus. Désolé mais je m'arrête là.

Duo : T'es fatigué alors que c'est l'ordi qui fait tout ?

Lou : Ah oui ? C'est pas toi qu'a un mal de dos épouvantable… Il m'a fallut au moins 3 heures pour écrire ça. Bon, c'est vrai, j'ai traîné un peu…

Heero : C'est tout ce que tuas à dire pour ta défense ?

Lou : Mais vous faites chi…

Quatre : Euh… On te pardonne, mais essayes d'écrire plus régulièrement tes fics, ok ?

Lou : Ba, c'est pas si simple. M'enfin, normalement, je part en stage… Je devrais avoir plus de temps.

Trowa : Parfait.

Lou : Bon, vous savez ce qui vous reste à faire. C'est tellement agréable et motivant de recevoir des reviews… Je vous promet que si j'en ais plein, j'écrirai la suite très rapidement…

Wufei : C'est pas dur.. T 'as déjà tout fais sur papier… restes plus qu'a taper à l'ordi.

Lou : Mais chuttt ! Bon, a +