Titre : Ultimatum
Auteur : Ba, le Petit Chaperon Rouge tient ! Quelle question.
Série: Chui vraiment obligée de l'écrire ? C'est que ça devient un peu répétitif…
Disclamer : No Coment.
Couple: cf. chapitre d'avant !
Domo arigoto à : Yami Rose Aka. Je vais te donner une petite idée de ce qui va ce passer avec deux mots : non consentant. Ensuite, pour éclaircir les choses avec Angel' eyes, en réalité, Treize va pas vraiment torturer Duo. Enfin, ça dépend de quelque point de vue on se place… Et puis, pour finir, merci à Artémis… Je tiens encore à m'excuser pour le retard du chapitre précédent. J'ai fait plus vite pour celui là.
Histoire: Duo est kidnappé et Heero le recherche. J'ai un peu la flemme de réécrire l'histoire. M'enfin quand y faut, y faut ! . Notre cher Treize à eut la mauvaise (ou bonne) idée d'envoyer une lettre à Heero lui disant que son bien aimé est en vie. Qui plus est, il lui envoie également un e-mail. Heero, aider de ses amis, apprend que ce dernier (le mail !) a été envoyé d'un cyber café que Wufei connaît. Il s'y rend donc avec notre Wufy et surveille les environs. De son côté, Duo est toujours persécuté par Treize qui se fait de plus en plus violent et vicieux.
Chapitre: Alors là, aucune idée… C'est que je suis sûr mon lieu de stage… J'ai même pas mes bouillons !
Duo : T'es où là ? On dirait pas ta chambre !
Lou: Chut… Parles moins fort. Chui pas chez moi.
Quatre : Tu es sur ton stage et tu écris ! Tu n'as pas honte ?
Lou: Pas du tout. J'ai rien à faire pour le moment.
Trowa : Mais comment tu vas faire pour écrire si t'as pas tes brouillons ?
Lou: Et que je t'en pose des questions ! Je me rappelle un peu de ce que j'ai écris. D'ailleurs, je demande au fanficteuses/eurs de ne pas être trop regardant.
Chapitre, je sais pas combien : Puzzle.
Maison des G-Boys :
Quatre : Je suis épuisé. Aussi bien physiquement que nerveusement. Je ne sais pas comment font Wufei et Heero.
Trowa: C'est le contre coup. Heero doit ressentir la même chose, mais il ne se laissera pas dominer pas ses sensations.
Athéna: Vous devriez vous reposer un peu.
Quatre: Nan, on peut pas. On doit rechercher les Mads et dieu seul sait si c'est dur de les trouver !
Athéna: Je m'en occupe déjà !
Trowa : Comment ça ?
Athéna : Je viens de lancer une recherche. Je finirai bien pas trouver quelque chose.
Quatre : Pourquoi pas. Comme ça on va pouvoir détresser.
Trowa : En attendant, j'arrive pas à me faire à l'idée de parler dans le vide. C'est bizarre tout de même.
Athéna: Le fait que vous ne puissiez me voir vous dérange -t-il autant ?
Trowa: Pour ma part, oui. C'est déconcertant.
Quatre: C'est vrai que c'est drôle de n'avoir aucun interlocuteur.
Athéna: Dans ce cas, si vous le désirez, je peux activer ma fonction visuelle.
Trowa: Qu'est-ce que c'est encore ? Un hologramme ?
Athéna : Nan.
Quatre: Nan? Tu disais pas ça avant ?
Athéna : J'ai un logiciel d'apprentissage! Enfin c'est pas grave. ! Je dispose d'une enveloppe extérieure. Elle à été créé dans le but de servir mes maîtres. Cependant, si vous le voulez, je peux également projeter une image holographique. Mais cette façon ne me permettra pas de vous venir en aide.
Quatre: Fais comme tu veux.
Athéna: Désolé, mais je ne suis pas programmée pour pouvoir prendre des décisions importantes par moi-même. Il me faut un ordre.
Trowa: A quoi tu nous servirais si t'avais une enveloppe ?
Athéna: Je peux faire énormément de chose. Le ménage, la cuisine, le repassage, la protection de la maison…
Quatre: Je sais pas si le ménage nous servirait à grand chose pour le moment.
Athéna: Il est tout de même plus agréable de voir quelqu'un, non ?
Quatre: Oui. Dans ce cas, active ta fonction… je sais pas quoi là…
Trowa: Fonction humaine, Quatre. Juste une minute Athéna. Si tu te sers d'un corps, l'ordinateur central sera vide ?
Athéna: Non. Le corps n'est qu'une extension de moi. L'ordinateur principal sera juste mit en veille en ce qui concerne ma fonction vocale. Tout le reste sera en marche via moi.
Trowa: Je vois. Bon, alors active ta fonction.
Athéna: Activation en cours… Veuillez patienter…
Pendant une bonne minute, rien ne vient briser le silence du salon où étaient Trowa et Quatre puis au bout d'un moment, un bruit mécanique s'éleva du garage. Alors que Trowa s'étonnait de se bruit, la porte de la cuisine menant à l'extension s'ouvrit et une mince silhouette se dessina dans l'entrebâillement. Une jeune fille d'environ 16 ans entra dans la cuisine et se dirigea vers le salon. Ses cheveux longs couleur ambre, qui descendaient jusqu'à ses chevilles, faisait ressortir ses yeux d'un vert magique et sa peau légèrement doré accentuait sa beauté. Elle portait une robe de soubrette noire qui cachait ses genoux. Deux petites mèches, attachées par des barrettes au niveau de ses joues, encadraient son visage fin. La jeune fille, qui d'après Trowa, devait faire 1 m 65, s'approcha gracieusement d'eux, le visage souriant. Trowa qui regardait cette apparition d'un œil quelque peu septique se leva de son fauteuil.
Trowa: Qui êtes-vous et comment êtes-vous entrez ici ?
Athéna: Allons, ce n'est que moi Trowa. Ceci est mon corps synthétique.
Quatre: Mais… Tu as la forme d'une femme.
Athéna: Et oui. Vous pensiez que j'était un homme ?
Trowa: Je ne savait pas. Je pensait que tu n'avais pas forcément une forme humaine.
Athéna: Maintenant, tu le sais. Athéna est à l'origine le nom d'une déesse, d'où ma forme féminine.
Quatre: C'est stupéfiant ! On dirait une personne normale !
Athéna: Mon corps est composé à 70 de fibres synthétiques, 10 de titanium . Le reste n'est autre que les différents processeurs et câbles qui me permettent de bouger. Une personne inconnue est incapable de savoir que je suis un robot. Ceux qui m'on fabriqué ont mis beaucoup de temps et de savoir dans ma conception.
Trowa: Et bien. Quatre, ton père devait vouloir cacher quelque chose.
Quatre: Justement. Athéna, tu sais pourquoi tu as été fabriqué ?
Athéna: Oui.
Trowa: Dans quel but alors ?
Athéna: Je suis désolé mais il m'est impossible de vous en parler, sauf si vous avez le code qui déverrouille la sécurité sur ce dossier.
Quatre: Quoi ? Un code… On n'a rien.
Athéna: Dans ce cas, je ne peux rien vous révéler.
Trowa; C'est pas grave.
Athéna: Désirez-vous que je prépare du thé ?
Quatre: Pourquoi pas. Ah ! Oui, je veux dire.
Athéna: Pour certaine demande, je n'ai pas besoin d'une réponse nette. Faire le thé, par exemple, est une tâche qui ne demande aucune réponse. Je peux le faire de moi-même. Seule les grandes tâches doivent être voulut.
Quatre: Je vois.
Athéna: Mais avant de faire quoique ce soit, je dois vous équiper de bigle.
Trowa: C'est quoi ça ?
Athéna: Le bigle est une sorte de petit émetteur. Je vous le place soit dans le dos sur le coup, soit sur le poignet. Il me permet de connaître toutes vos conditions physiques, c'est à dire le nombre de battements de votre cœur, votre pression artérielle, vos nombres de globules rouges et blancs… Ainsi que votre position. Le bigle est équipé de nanomachines qui me permette de vous aider en cas de besoin. Ces dernières peuvent soit endormir la personne soit la soigner.
Trowa: Mais ça va pas la tête. Elles peuvent nous tuer ?
Athéna: Qui ? Les nanomachines ? Impossible. D'une part, elles n'en n'ont pas les capacités et d'autre part, elles sont entièrement sous mon contrôle. Or moi-même, je suis réglementée par certains programmes qui m'empêche de faire du mal à mes maîtres.
Quatre: Pourquoi tu veux nous mettre ça?
Athéna: Cela me permet de vous protéger et de connaître votre état de santé. C'est ma programmation principale.
Trowa: On est obligé ?
Athéna: Pas du tout. Mais il est préférable de l'avoir.
Quatre: Bon, d'accord alors.
Trowa: Quatre !
Athéna: Vous ne risquez rien, je vous assure.
Trowa: Soit !
Athéna: Où voulez-vous que je les mettes ?
Trowa: C'est gros ?
Athéna: Pas du tout. La taille de la tête d'une épingle environ. Il ne sera même pas visible.
Quatre: Lequel endroit est le mieux ?
Athéna: Le poignet.
Trowa: Alors va pour le poignet.
Athéna: Donnez moi vos mains.
Pendant que Trowa et Quatre lui tendait leur main droite, Athéna sortit les petits objets de nulle part. Elle chercha la veine principale sur l'intérieur du poignet puis posa le micro ordinateur. Aussitôt, une sensation de piqûre surprit les deux jeune homme puis la toute petite bulle noire disparût totalement.
Athéna: Voilà qui est fait… Hum… Votre tension est légèrement élevée surtout toi Quatre. Un peu de calme vous fera le plus grand bien.
Au moment ou Athéna se tourna pour aller dans la cuisine, un petit bruit, à peine audible, attira son attention et celle des deux autres pilotes. Athéna changea de direction pour se diriger vers la porte d'entrée.
Trowa: Qu'est-ce que c'est ?
Athéna : Mr Chang arrive.
A l'instant même, la porte s'ouvrit à la volé et Wufei entra. Il n'eut même pas le temps de faire trois pas que Athéna lui sauta dessus. Elle le força à retirer son vêtement puis lui passa des chaussons.
Wufei: Mais c'est qui elle ?
Trowa: Rien. C'est juste Athéna.
Quatre: Athéna, qu'est-ce que tu fais ?
Athéna: Il est de mon devoir de prendre soin de cette maison et de mes maîtres.
Trowa: Où est Heero ?
Wufei: Justement, il m'envoie pour vous dire qu'on reviendra tard. Le patron du café nous à mentit et nous allons suivre quelqu'un qui pourrait avoir des informations.
Quatre: Mais c'est dangereux.
Wufei: Pas le choix, de plus…
Athéna: Mr Chang, je dois vous mettre un bigle.
Wufei ne prêtant pas attention à Athéna: Si tu veux… De plus Heero trouve louche le patron. Aie…
Wufei sursauta quand le bigle entra en contact avec sa peau. Il regarda Athéna et lui jeta un regard noir.
Trowa: T'en fais pas. C'est rien.
Athéna: Vous devez vous assoire Mr Chang. Votre rythme cardiaque est trop élevé.
Wufei: Comment tu sais ça ? Et puis, arrêtes de m'appeler Chang. Moi c'est Wufei.
Athéna: Bien Wufei. Mais vous devez tout de même vous reposer un peu.
Quatre: Je ne suis pas rassurer en vous sachant en filature. Prend un portable Wufei, si jamais on a besoin de vous avoir.
Trowa: C'est pas une bonne idée mon chéri. Un téléphone ça peut faire beaucoup de bruit !
Athéna: J'ai ce qu'il vous faut. C'est une montre qui sert un peu à tout. Téléphone vibreur, lunettes infrarouges…
Wufei: Mais on se croirait à l'armée…
Athéna: Ces montres sont très spéciales. Elles pourraient appartenir à James Bond en personne, si vous voyez ce que je veux dire.
Trowa: Fait voir.
Athéna se retourna puis alla dans le garage. Un long moment s'écoula avant qu'elle ne revienne. Quand elle arriva devant les garçons, elle tenait deux montres assez grosses qu'elle tendit à Wufei. Celui-ci en passa une à son poignet et l'examina.
Wufei: Elle à l'air normal cette montre !
Athéna: Oui. Appuyez sur ce bouton maintenant.
A la demande de la jeune fille, le Chinois pressa le bouton bleu. Aussitôt, le cadran de l'horloge s'ouvrit et un menu apparût. Dessus, Wufei pouvait lire différentes choses comme Micro, Lunette nuit, lunette chaleur, lunette loupe, téléphone, caméra, enregistrer son ou image, armements…
Athéna: Voici le menu de la montre. Chaque rubrique correspond à une fonction. Le micro c'est pour le téléphone ou les talki-walki. Il y a différentes visitions avec les lunettes. Infrarouge, permettant de voir la nuit, chaleur, c'est à dire qui se repère à la chaleur des chose… Il vous suffit de vous promenez dans les menus en tournant le bouton. Pour choisir, appuyez une fois dessus. Et personne ne se doutera de ce qu'est vraiment cette montre.
Wufei: C'est parfait. J'y vais.
Athéna: Stop. Il vous manque les lunettes et le micro.
Trowa: Mais enfin Athéna, Wufei ne va pas se promener avec !
Athéna: Bien sur que non, Trowa. Tu as parfaitement raison. Mais justement, ce ne sont pas des accessoires tout simple.
Athéna ouvrit son autre mains. A l'intérieur, il y avait deux boucle d'oreille aimantées.
Athéna: Si vous avez besoin des lunettes ou du micro, il vous suffit de presser cette boucle d'oreille quelques secondes. Les deux apparaîtront comme par magie. En faite, ils sont miniaturisés dedans. Une fois que vous avez fais ça, il faut sortir le tout petit câble qu'il y a dans le montre et le brancher sur la boucle d'oreille. C'est très simple vous verrez.
Wufei: Euh… Ok. Je suppose que les autres sont pour Heero !
Athéna: Oui.
Wufei: Bon, alors j'y vais.
Athéna: Faîtes très attention à vous.
Wufei remit rapidement ses chaussures puis se précipita dehors, laissant à nouveau les garçons en compagnie de Athéna.
Dans un endroit pas très loin de Heero.
Duo regardait vaguement le plateau que Treize lui avait apporté. Il refusait de manger, préférant mourir de faim plutôt que de rester entre les mains de ce traître. Cependant, il savait que Heero le recherchait et il voulait le revoir. Il avala donc un petit bout de poulet au curry et vida goulûment son verre de jus d'orange, qui avait un drôle de goût. Duo s'allongea de tout son long sur le sol froid et s'endormit rapidement, trop épuisé. Mais au bout d'une trentaine de minutes, alors qu'il dormait profondément, un bruit le réveilla en sursaut. Treize était côté de lui. Il regardait le plateau de nourriture, en sourire en coin. Duo ne chercha même pas à se lever. Il avait la tête qui tournait et son corps était brûlant. Il vit Treize s'approcher lentement.
Treize : Je vois que tu as mange mais surtout que tu as bu… C'est une bonne chose. Du moins pour moi !
Duo d'une voix sensuelle et fatiguée : Qu'est-ce que ça peut te faire ?
Treize : Oh ! Mais beaucoup de chose. Surtout vu ce que j'ai mis dans ton verre…
Duo sursauta et posa sa main sur sa bouche.
Duo: Qu'est-ce que… Qu'est-ce que j'ai bu ?
Treize : Vu ton état, je dirais que le produit commence à faire effet.
Duo : Tu…
Duo vit Treize s'approcher encore plus, il voulut reculer mais il s'emmêla dans un tissu. Quand il tourna la tête, il entre-vit une couverture avant de tomber dessus.
Treize : J'ai installé une couette pendant que tu dormais. Ce sera plus confortable comme ça.
Comme Duo était tombé sur le tissu, Treize en profita pour le bloquer. Duo essaya bien de l'en empêcher mais en vain. Treize se mit juste au-dessus de lui puis avec douceur passa une main sur la nuque du jeune natté et se colla un peu plus à lui. De son autre main, il commença à explorer le corps de Duo qui malgré la drogue, résistait beaucoup. L'Américain se tordit dans tous les sens afin de se glisser dans un trou laissé par son adversaire mais rien n'y fit. Treize le laissa faire, jubilant de le voir vaciller ainsi avec une frénésie grandissante. N'écoutant ni ses larmes ni ses supplications, Treize recommença son exploration de la peau parfaite de Duo. Il laissa ses mains errer et caresser tous ce qu'il y avait. Duo se mit, au bout d'un moment, à gémir légèrement, ce qui ne fit qu'augmenter le désir de Treize qui très vite arracha l'un après l'autre tous ses vêtements, dénudant sauvagement la gorge et le ventre d'albâtre de Duo. A demi étouffé par le poids de son violeur, aveuglée par les larmes, Duo s'attendait à tout. Pourtant les baisers torrides vinrent à bout de la résistance du jeune homme. Après un long moment, Duo s'abandonna totalement aux caresses de Treize qui prit de plus en plus de plaisir. Au bout d'un temps Treize se déshabilla, un Duo provoquant dans ses bras. Faut dire qu'il avait mit la dose dans le jus d'orange. Il regarda un instant ce corps parfait puis attrapa le pénis de son prisonnier et le câlina de plus en plus faisant retentir encore plus de râles rauques. Quand Treize sentit Duo frémir, il remplaça ses mains par sa bouche en continuant son mouvement, arrachant encore un peu plus des plaintes à Duo. Il se mit à sucer goulûment le sexe du jeune natté puis, voyant qu'il était enfin tout oui, inséra directement deux doigts, copieusement mouillés, dans son intimité. Duo se cambra d'un coup et laissa un gémissement de plaisir monter dans l'air. Treize s'activa donc avec soins, deux doigts dans un trou, le sexe de Duo dans la bouche. Lui-même commençait à ressentir les réactions des plaintes de son compagnon. Finalement, Duo poussa un cri de pur plaisir, mélanger avec le nom de Heero et éjacula. Treize recueilli la semence blanche et chaude et s'empressa de l'avaler. Sans laisser le temps au jeune homme de reprendre son souffle, il glissa un troisième doigts puis, après avoir relevé les cuisses de Duo, les replaça par son propre phallus. Il entreprit de faire un mouvement de va et de vient entre les reins du jeune homme, d'abord lentement puis plus rapidement. Plus le mouvement s'accentuait plus Duo gémissait et criait. Les petites plaintes d'allégresse du début laissèrent la place à de forts gémissements érotiques. Dans un dernier effort, Treize se contracta et laissa sa marque s'insinuer dans Duo, qui hurla le nom de son amant de toujours. Le souffle lent, les membres courts, Treize se mit sur le côté et jeta un coup d'œil à Duo. C'est seulement à ce moment qu'il comprit. Duo pleurait toutes les larmes de son corps et ne cessait d'appeler Heero. Le kidnappeur se mit à hauteur de Duo, un sourire sadique sur les lèvres.
Treize: Je savais que tu préférais la compagnie des hommes.
Duo : Sale… Sale porc !
Treize : Heero est peut-être plus gentil ?
Duo : Tu es un monstre.
Treize : Tu as aimé n'est-ce pas ? Ne le nies pas !
Treize attrapa le sexe encore durcit de Duo.
Duo : Hmmm… Ahh.
Treize: Tu vois, tu aimes.
Duo se mordant la lèvre : C'est… Hummm…C'est ta foutu drogue…Aaaaa !
Treize : En tout cas, tu m'appartiens maintenant.
Duo : Uuuuuhh… Ja… aaaaahhhaaa… Jamais. Hummmf..
Treize : C'est ce qu'on va voir mon Duo.
Juste quelques minutes après que Wufei soit partit, une nouvelle sonnerie se fit entendre. Quatre, qui avait posé sa tête sur l'épaule de Trowa, ouvrit les yeux et regarda Athéna venir vers eux, avec des tasses de thé.
Athéna : Je viens de recevoir des nouvelles de vos Mads. Le spider que j'ai programmé vient de trouver des informations. Attendez. J'ai plusieurs réactions venant d'Internet.
Trowa : Déjà ?
Athéna : J'ai mis le paquet.
Un autre bruit retentit dans la pièce mais cette fois ce n'était pas un simple bib. Il s'agissait plus d'une alarme. Quatre se mit à paniquer mais Athéna le rassura.
Athéna : Quelqu'un essaye de forcer mes protections pour entrer.
Trowa : Je croyais que tu étais inviolable !
Athéna : Pour le moment, il n'a réussit à passer que 2 pare feu. Ce qui est déjà un record. Je vais bloquer son ordinateur.
Quatre : Attends. Et si s'était un des Mads. Celui de Heero est très fort en informatique.
Athéna : Celui qui cherche à s'infiltrer est effectivement un très bon hacker. Je vais tenter d'établir une connexion.
Les yeux d'Athéna se perdirent dans le vide et changèrent de couleur. Du vert, il virèrent au bleu et des uns et zéros défilaient à l'intérieur. Au bout de plusieurs secondes, Athéna sortit de sa torpeur.
Athéna : Je viens d'établire le contact. J'ai réussit à le convaincre, il accepte de vous parler. Je peux vous mettre en relation visuelle et sonore si vous voulez.
Trowa : Vas-y.
Athéna s'approcha de la télévision puis passa une main dans ses cheveux. Elle en sortit un petit câble et le brancha sur la télé. Celle-ci s'alluma toute seule et l'image de J apparut sur l'écran. En même temps, une minuscule caméra sortit de la table du salon, manquant de renverser les tasses, et se régla.
Athéna : Voilà. Il peut vous voir maintenant. La télévision est reliée à internet.
J : Quatre ? Trowa ? C'est bien vous ? Pourquoi tout ce remue ménage ?
Quatre : J ! Bonjour. Désoler mais il faut qu'on vous parle.
J : Où est Heero ?
Trowa : Justement, c'est de ça dont on veut vos parler.
J : Vous êtes sûr que cette ligne est sécurisée ?
Athéna : Oui. Vous ne risquez rien.
J : Qui est avec vous ?
Quatre : C'est Athéna.
L'androïde s'approcha de Quatre, le fils toujours relier à elle, et entra dans le champs visuel de la caméra. Elle s'inclina furtivement et afficha son plus beau sourire.
Athéna : Bonjour. Je suis Athéna, l'IA de cette maison. Je suis chargé de la protection de cette demeure et de ses occupants. C'est moi qui vous ais cherché. Je vous prie de bien vouloir m'excuser si j'ai fait une erreur.
J : Un androïde ? Tu réfléchis toute seule ? Impressionnant. C'est toi qui m'a empêcher de percer tes protections ?
Athéna : En effet Monsieur.
J : Tu dois être puissante…
Trowa : Bon, on est pas là pour parler d'Athéna. Vous ferez les présentations plus tard.
J : Très bien ! Qu'est-ce que vous voulez savoir ?
Quatre : Voilà. Duo a été enlevé et Heero le recherche.
J : Hummm… L'attitude de Heero laisse à désirer.
Trowa : Heero à changer. Et c'est mieux ainsi…
Quatre : Bref ! Le kidnappeur demande une forte rançon. Et on n'a pas l'argent.
J : OZ ?
Trowa : Non. Rien à voir avec nos Gundams.
J : Soyez plus explicite SVP.
Quatre : C'est un certain Treize…
J : Treize ? Le fils du Directeur de OZ ?
Trowa : Mouais… Vous le connaissez ?
J : De nom. C'est peut-être un piège.
Quatre : Non. Il en veut à Heero.
Trowa : Il a eut un différent avec lui.
J : Pourquoi s'en prendre à Duo dans ce cas !
Quatre : Euh… C'est à dire que… Enfin, vous voyez…
Trowa : Ce n'est pas le plus important.
J : Vous ne l'avez toujours pas trouvé ? Quel âge a-t-il ?
Quatre : Notre age environ.
J : Ce n'est qu'un gosse ! Vous devriez l'avoir déjà arrêté.
Trowa : Justement non. Treize est en fait un projet. Euh.. Athéna, tu peux lui redire ?
Athéna : Bien sûr. Treize est le résulta d'un projet génétique du nom de C.H.A.R.L.E.Y. Ses capacités intellectuelles et physiques sont beaucoup plus développés.
J : C'est impossible ! RIDICULE
Quatre : Quelque chose ne va pas ?
J : Le projet Charley est abandonné depuis très longtemps.
Quatre : Vous connaissez ce projet ?
Trowa : Comment savez-vous ça ?
J : Et bien…J'ai travaillé dessus !
Trowa et Quatre : QUOI ?
J : Et oui. Ce projet est ancien et … Et le seul enfant à avoir survécut est… c'est Heero.
Trowa : Pardon ?
Quatre : Ben ça alors !
J : Heero est le douzième enfant et le seul de vivant.
Trowa : Ce qui explique sa santé de fer…
Quatre : Et son intelligence.
J : Vous m'avez dit que Treize avait votre âge. Mais c'est impossible.
Athéna : En fait, Treize n'a que 10 ans. Il à été placé dans une cuve de croissance.
J : Je vois.
Quatre : Alors, Heero n'est pas humain !
J : Bien sûr qu'il est humain. C'est ce qu'on appelle un Bébé éprouvette, mais amélioré. Il peut rester plus longtemps sans respirer, il supporte des température plus chaude, il s'essouffle moins vite, ses muscles sont beaucoup plus résistant…
Trowa : Et intellectuellement ?
J : Il se sert d'un très grande partie de son cerveau. Au moins la moitié alors que les êtres humains n'en utilisent que les 1/10ème. Temps de réaction plus court, possibilité de faire plusieurs choses en même temps, mémoire d'éléphant… etc. Et puis, il a ma formation.
Quatre : Nous passeront sur ce « petit détail ». Il faut retrouver Duo. Avez-vous l'argent un millon.
J : Non. Nous ne pouvons pas vous aider. Les autres vous dirons la même chose. Désolé.
Trowa : Merci tout de même.
J : Tenez moi au courant.
La communication coupa et la télévision s'éteignit également. Alors que Trowa trempait ses lèvres dans sa tasse, Quatre s'écroula sur son épaule et soupira. Athéna les regarda bizarrement.
Athéna : Il faut vous reposer, surtout toi Quatre. Je vais vous laisser.
Trowa : J'aime pas ne rien faire.
Athéna : Pour le moment, vous ne pouvez pas agir. Profitez-en.
Heero était toujours au même endroit, dans la même position que celle où Wufei l'avait laisser. Il ne quittait pas des yeux la porte du café. Au moment ou le Chinois arrivait, totalement essoufflé, le patron, suivit d'une jeune fille aux cheveux courts, sortit du café. Il referma la porte à clef puis après avoir jeter un coup d'œil à droit puis à gauche, emmena la demoiselle.
Heero : Tiens donc ! Il avait réellement peur qu'on lui parle. Il l'a raccompagne pour être sûr. C'est donc qu'elle sait quelque chose.
Wufei : Qu'est-ce qu'on fait ?
Heero : On la suit. Elle rentre certainement chez elle.
Wufei : Attends Heero. Mets ça. C'est un émetteur, je t'expliquerai plus tard.
Heero s'empara de la montre et la passa à son poignet. Il s'élança ensuite derrière leur cible, ne laissant pas a Wufei de reprendre son souffle, en faisant bien attention à être à une distance respectable pour ne pas être vu et les suivre facilement. Avec la rapidité et l'agilité du chat, les deux compagnons se collèrent telles des ombres sur les murs et se déplacèrent en silence. Plusieurs fois, le patron se retourna pour vérifier que personne ne les suivait mais les deux garçons restèrent invisible comme le vent. Rapidement, la nuit commença à tomber si bien que Heero et Wufei avaient du mal à voir leur proies. Wufei s'arrêta un instant. Tout en montrant à Heero comment faire, il appuya sur sa montre. Une fois que le menu fut affiché, il le régla . Ensuite, il enclencha sa boucle d'oreille. Wufei sentit quelque chose se refermer sur sa peau puis sa vue devint toute noir. Il chercha le fils de la montre et le brancha, difficilement, sur émetteur. Aussitôt, le paysage réapparut. Seulement, il ne distinguait plus que des formes composées de couleurs rouges, jaunes et orange. Tout le reste était vert. Rapidement, ils se remirent en route et au bout d'une bonne demi-heure, ils virent le jeune fille entrer dans une petite maison. Comme le patron était toujours devant la porte, Heero décida de rengainer sa fureur et d'attendre. Et la chance fut avec eux. Seulement 10 min après, l'homme costaux s'éloigna à grandes enjambées de le demeure. Heero et Wufei se ruèrent sur la porte en même temps. Lorsqu'ils frappèrent à la porte, un léger bruit de serrure se fit entendre et la poignée tourna, entrebâillant la porte. Mais dès que Hilde vit les deux garçon, elle referma la porte violemment. Malheureusement, Heero, plus rapide, la bloqua avec son pied et l'ouvrit en fonçant dedans, envoyant promener le jeune fille qui s'écrasa à l'autre bout du couloir.
A suivre…
Lou : et bin, voilà la suite… Chui contente de moi…
Duo: Espèce de … Sale per… Tu vas me le payer…
Lou : Nani ? Ah ça ! Je trouve ça mignon moi. T'aurais pus être violé sauvagement…
Duo: TU VOIS UNE DIFFERENCE TOI ?
Lou : Ba oui … Treize t'as chouchouté.
Treize : Hum… Moi j'ai adoré. Duo est si… Je pourrais recommencer ?
Lou : On verra…
Heero : Et moi ?
Lou : Euh… Bin, c'est à dire que … En fait je… Tu vois quoi !
Heero : Mais encore ?
Lou : Désolé…
Heero : Tu veux dire que … Attends un peu ma grande …
Lou : AaaaAaaHhhHHh ! Kyyyyaaaaa! Sauve qui peut. Chris, aide moi…
Trowa: Moi j'aimerai bien avoir la suite. Qu'est-ce que vous en pensez ?
Quatre: Tout à fait d'accord. Vous savez ce qui vous reste à faire !