Titre : Secret Famille
Auteur : Shina Alias Shirna
Disclaimer : Les beaux bishô de Gundam Wing ne sont pas à moi.
Genre : Il y aura de tout et de rien alors à vous de voir.
Note de l'auteur : Voila le chapitre deux .J'espère qu'il vous plaira.
Réponse à la review de Floirinoir : Voilà la réponse à toute tes questions .Merci pour ta review.
SECRET FAMILLE.
-Qui êtes-vous ? demanda Trowa encore essoufflé.
-Je suis la personne qui tien vos vies entre ces main.
Un frisson parcouru l'échine des trois amis. Cet homme était-il l'un de ceux qui voulaient les éliminer ? Allait-il les remettre aux personnes qui les poursuivaient .Ils n'en savaient rien et cela était le pire des châtiments. L'inconnu, jusqu' alors caché par les ombres, sauta des poubelles sur lesquelles il était perché et s'avança vers nos trois compagnons mais pas assez pour qu'ils puissent voir son visage. Ils pouvaient sentir son regard scrutateur se poser sur eux.
-Que nous voulez vous ?demanda Wufei.
-C'est moi qui pose les questions ici, pas vous, répondit l'étranger.
-Ecoutez, lui dit Trowa, nous ne voulons pas d'ennuis .La seul chose que voulons actuellement c'est rentrer chez nous.
-Vous habitez où ?
-Frocknaite, lui lança Heero.
-Vous êtes des beaux quartiers. Je me disais bien que personne d'ici ne pourrait se payer des fringue comme ceux-là, répliqua t-il d'un ton dédaigneux.
-Qu'allez-vous nous faire ?redemanda le chinois.
-Tu dois être sourd .Je viens de te dire qu'ici c'est moi qui pose les questions. Vous n'êtes en position pour rien sinon m'obéir. Vous allez me suivre sans discuter c'est claire ?
-Vous pouvez toujours courir, répliqua Trowa, aucun d'entre nous ne vous suivra où que ce soi.
-Il ne me semble pas vous avoir demandez votre avis. Je vous est donnez un ordre vous le faîte un point c'est tout, s'écria l'homme visiblement outré que quelqu'un est mis son autorité en doute.
-Et si nous ne le faisons pas, que ferez-vous ? Siffla Chang véritablement agacé par
-Je n'hésiterais pas à vous abattre sur le champ.
-Alors faîte le tout de suite car nous ne partirons pas avec vous, déclara froidement le Japonais.
-Alors ce sera avec plaisir, dit l'intrus en sortant un objet brillant de sa poche, que nos amis purent facilement identifié comme étant un revolver. Il le pointa sur le garçon aux cheveux en bataille, retira la sécurité.
-Attendez ! L'interrompit Wufei, puisque vous comptez nous tuer pourquoi restez vous encore caché dans l'ombre. Il me semble que les morts ne parlent pas, et je ne veux pas me faire tuer par un homme dont je n'aurais jamais vu le visage.
Le principal concerner eu un petit rire puis sortit de l'ombre.
Il n'était pas question d'un homme mais d'un adolescent de leur âge. Il mesurait environs 1 mètre 80 et avait les yeux gris. Ses cheveux étaient en vert foncé. Il portait un jean bleu, déchiré par endroit, et son T-shirt était dans le même état que son bas. Sa peau autrefois blanche était actuellement noircie, certainement par le fais du manque d'eau, et il était victime d'une maigreur alarmante. Mais malgré toute ces chose on ne pouvait nier que le jeune homme était beau. Malheureusement son milieu de vie ne lui permettait pas de pouvoir prendre soin de lui Les trois garçons ne manquèrent pas de le remarquer et le lui auraient sûrement dit si la situation n'était pas si critique.
-Maintenant que vous avez vu mon visage, adieu très cher .Il releva l'arme qu'il avait quelque seconde plus tôt abaissée et visa de nouveau Heero, qui ne flancha pas, mais au lieu d'entendre la détonation de la balle et la voix de l'asiatique on entendit le crie de douleur du délinquant et le bruit de son arme touchant le sol avec force.
Le dernier nommé se tenait la main droite avec force, essayant de stopper le flot de sang qui sortait de sa main blessée. Un couteau lui était élégamment rentré dans la main. Les jeunes riches se retournèrent pour faire face à leur sauveur et pour le remercier mais restèrent statufiés quand ils virent la beauté de celui-ci. Si l'autre garçon était beau celui-là était tout simplement magnifique.
Le garçon était châtain et avait une grande et, à première vue, souple natte qui lui battait au creux de ses reins. Il mesurait à peu près 1 mètre 70. Ses vêtements n'étaient pas usés mais ils n'étaient pas neuf non plus. Sa fine taille et son corps assez efféminé aurait pu le faire passer pour un faible si ses muscle ne paraissait de sous ses habit. Mais le plus impressionnant était ses yeux. Une couleur fascinante et rare. Un mélange de bleu et de violet. Amnétyste.
Ce n'est que lorsque le jeune homme aux cheveux vert repris la parole que nos trois amis, revenant à eux , constatèrent qu'ils mâtaient, sans aucune gêne, le garçon natté.
-Pourquoi as-tu fais cela Duo ?
-Tu le méritais Zack .Ces garçons ne t'ont rien fait.
La voix du châtain était mélodieuse, douce. Une chanson que l'on voudrait écouter sans arrêt.
-Comment peux tu le savoir ? Tu n'étais pas avec moi que je sache.
-Tu as raison je n'étais pas avec toi mais derrière toi. Il y a nuance certes mais cela n'empêche que j'ai tout vu.
-Et de quoi je me mêle d'abord ?
-De ce qui me regarde. Et ferme ta gueule, rajouta t-il quand le dénommé Zack allait répliqué, je ne veux rien entendre. Nous règlerons ce petit problème à mon retour .Maintenant file et dis à Hilde de te soigner la main.
Le jeune, ne se faisant pas répéter l'ordre deux fois, ramassa son arme là rangea dans sa poche, passa côté des trois compagnons puis à côté du châtain et partit sans un mot de plus. Le dit Duo le regarda partir puis détourna les yeux de son ami pour les posé sur les étranger qui le regardait encore.
Heero, Trowa et Wufei, qui avaient assistés à la scène, se demandaient comment un adolescent plus grand qu'eux pouvait obéir, sans broncher, au ordre de quelqu'un d'aussi svelte que lui. Bien que l'épisode du couteau soit très explicite ils leurs restaient encore quelques doutes.
Le dernier arrivé déclara, tout en leur faisait un sourire franc :
-Salut, je m'appelle Duo Maxwell, j'ai 17 ans et je suis d'origine américaine. Vous êtes ?
Là, les trois amis étaient carrément sur le cul. Comment ce type avait fait pour passer du regard quasiment meurtrier au sourire le plus sincère en moins de deux minutes. Impossible. Ce fut le brun à la mèche, qui après quelque seconde de flottement, prit la parole.
-Je suis Trowa Barton et voici mes amis Heero Yuy et Chang Wufei. Je tiens à te remercier de nous avoir aidé tout à l'heure.
-Vous n'avez pas à me remercier, répondit l'américain souriant toujours, c'est à moi de m'excuser pour le comportement indigne de mon compagnon. Veillez le pardonner je vous pris.
-Et pourquoi le nous pardonnerions ? demanda hardiment le japonais.
Duo encra son regard amnétyste dans les deux lacs colbat.
-Parce qu'il n'est pas vraiment mauvais, dit-il après un moment.
- Quel drôle de façon de le montrer, grogna le chinois.
-C'est parce qu'il est, tout comme moi, schizophrénique qu'il a réagit comme cela.
-Schizophrénique ? Et de quoi à t-il peur ? Questionna curieusement Yuy.
-De tout ce qui ne fait pas partit de son entourage habituel. Vous avez du le surprendre quand vous êtes rentrés dans ce couloir et ne vous connaissant pas…
-Je comprend mieux, avoua Chang.
-Vous devriez rentrer chez vous. Ce n'est pas vraiment votre place les bas quartiers comme celui-ci.
-Nous aimerions bien mais nous sommes tous bonnement perdu, expliqua Barton.
-Si vous voulez je peux vous reconduire chez vous ? Où habitez-vous ?
-Se sera avec plaisir, dit Trowa sans aucun doute soulagé, nous habitons à Frocknaite.
-Je le connais coin. C'est la banlieue. Venez je vais vous montrer le chemin. On passera par des raccourcis comme ça vous serez là bas en 15 minutes environs.
Tous esquissèrent.
-Dans ce cas let's go.
Ils partirent, le natté en tête, vers la banlieue. Plusieurs personnes connaissaient Duo et le saluait, lui demandant parfois d'où il connaissait les trois riches qui le suivaient. À cette question il répondait tout simplement : « À chacun c'est petit secret ». C'est mot était souvent suivit d'un rapide clin d'œil avant puis il recommençait sa route sous le rire de la personne à qui était destiné le geste.
Les trois jeunes hommes remarquèrent bien vite que le natté était une véritable pipelette. Il parlait sans arrêt et si je ne sais par qu'elle miracle il le faisait c'était pour reprendre son souffle et repartir de plus belle dans son babillage.
Babillage qui ne semblait pas ennuyer le Japonais plus que ça. Car, en effet, Heero n'avait pas quitté une seule seconde des yeux l'américain qui l'ayant, au même titre que les autres, remarqué ne manquait pas une occasion de se frotté à lui.
Après 15 minutes de marche ils arrivèrent, comme promis, dans la partie la plus aisée du pays .Le châtain était en extase devant toute cette luxure. Jamais de toute sa vie il n'avait vu autant de chose aussi rare, coûteuse et belle. Toutes les maisons ou plutôt les villas présentes possédaient un jardin, qui devait bien faire une bonne centaine de fois sa pauvre case. Tout était beau, soigné et propre. Même le trottoir sur lequel ils marchaient devait avoir été nettoyé des heures durant.
Les quatre jeunes marchèrent encore et s'arrêtèrent devant une propriété immense. Sur le portail était gravé, en lettres d'or, B&K qui devait représenter les premières lettres du nom de famille des habitant de la demeure. La maison en elle-même, typée Française, était une imposante bâtisse situé au fond d'un espace vert remplit de fleur et d'arbre de différentes espèces. Un chemin tracé entre la végétation menait à un garage ou était déjà garé une Mercedes noir aux vitres teintes. À chaque fenêtre resplendissait des bouquets de roses de multiple couleur. Les rideaux, de couleur bleus, bougeaient avec le vent calme donnant une impression de sérénité. L'habitation était définitivement apaisante.
-Je crois que c'est ici que nos chemins se séparent Maxwell, déclara Wufei sur un ton solennel.
-Je le crois aussi Chang, répondit le principal concerné, en tout cas j'ai été ravi de vous rencontrer, même si ce n'était pas dans les meilleures conditions.
-Ce n'est pas grave, dit Heero, je souhaite que votre ami aille mieux.
-Je vous remercie de votre compréhension envers lui car il est très mal traité par les autres.
-Ce n'est pas toujours facile d'être différent, ajouta Trowa, voulez vous vous joindre à nous pour le repas ? Et comme cela je présenterais à mon père celui à qui nous a sauvé là vie. Ne serait se pas une bonne idée ?
-Tu dis vrai Barton, capitula le Chinois.
-Que décides tu ?questionna le Japonais.
-Et bien je me vois de l'obligation de décliner l'invitation.
-Pourquoi, s'enquit le brun aux cheveux en bataille.
-Je suis attendu chez moi .Je suis vraiment navré.
-Pas autant que nous.
-Je n'en doute pas Barton mais ce n'est que partie remise j'en suis sur. Le monde est petit.
-Alors à bientôt Duo.
-À bientôt Heero, répondit-il avec un sourire charmeur, Barton, Chang au plaisir de vous revoir.
-De même, dirent en temps les deux nommés. Puis les trois fortunés rentrèrent dans la villa.
-Au revoir Trowa ou devrais-je dire cousin, murmura le châtain pour lui-même avant de partir.
À SUIVRE.
Voilà le chapitre deux. J'espère qu'il vous a plus
Duo qui saute partout- Je plais à mon Hee-chan.
Shina- Duo ça suffit maintenant. Je peux encore casser Heero avec Réléna.
Heero qui sort son gun et qui le pointe sur le front de l'auteur- Omae o korosu.
Shina- D'accord je n'ai rien dit. Bon alors si le chapitre vous à plus ou encore vus à complètement répugner faite le moi savoir en laissant une review. Pleaseeeeeee !!!!!!. A la prochaine. Kisu
