Tite : Secret Famille
Auteur : Shina Alias Shirna.
Disclaimer : Les beau bishô de gundam Wing ne sont pas à moi. Bouuuuuuuuuuuuuuuuuu.
Genre : Il y aura de tout et de rien alors à vous de voir.
Note de l'auteur : Ben pour une fois je ne sais pas quoi dire .Lol. J'espère que ce chapitre vous plaira.
Réponse aux reviews : Je remercie toute les personne qui ont eux la gentillesses de m'en laisser.Ca m'a fais vachement plaisir et ça m'a hyper motivé pour la suite. Voila .Kisu.
SECRET FAMILLE
-Alors à bientôt Duo.
-À bientôt Heero, répondit-il avec un sourire charmeur, Barton, Chang au plaisir de vous revoir.
-De même, en dirent même temps les deux nommés. Puis les trois fortunés rentrèrent dans la villa.
-Au revoir Trowa ou devrais-je dire cousin, murmura le châtain pour lui-même avant de partir.
Le japonais marchait en direction de la propriété au côté de ses amis. Il ne pouvait s'empêché de lancer de fréquent coup d'œil au travers du grillage pour regarder la silhouette du natté disparaître. Quand il ne la vit plus, il eu comme un pincement au cœur. Ce fut comme si l'on venait de lui arracher une partie de lui .Il détourna finalement les yeux pour sentir ceux de ses camardes se poser sur lui.
-Quoi ?demanda t-il sachant pourtant très bien ce qu'ils allaient lui dirent.
-Tu le trouve mignon hein Yuy ? Le taquina Wufei.
-Je ne vois pas de quoi tu parles, rétorqua le concerné.
-Pas de quoi mais plutôt de qui ?opina Trowa, et puis tu sais très bien de qui on parle. Mais si tu as des trous de mémoire je vais te la rafraîchir. Il s'appelle Duo Maxwell, il a 17 ans et il est d'origine américaine. Il a une grande natte qui lui tombe sur le bas du dos et….
-C'est bon, c'est bon. Je vois de qui tu parles, dit le brun aux cheveux en bataille en rougissant un peu, mais quoi d'abord. Je le regardais mais ça ne veut rien dire.
-Tu le regardais ?redemanda Chang, au non mon cher dis plutôt que tu le dévorais des yeux. Même ses vêtements n'ont pas servit à grand-chose vu comment ton regard se faisait pénétrant, se moqua t-il encore.
-Bien qu'il faille quand même avoué que dès qu'il s'en est rendu compte il n'a fait qu'amplifier les choses.
Le japonais rougit encore un peu en se souvenant de la manière avec laquelle le jeune le touchait ou lui parlait. L'éclat qu'il y avait dans ses yeux amnétyste quand il le regardait. Ses sourires si doux et provocateurs le rendant irrésistible. Sa natte souple.
Ses lèvres si tentatrices, sa voix mélodieuse et envoûtante. Oui il fallait qu'il se rende à l'évidence, le natté l'avait complètement charmé. Il avait été jusqu'à l'appelé par son prénom pour lui dirent au revoir, chose que le châtain ne c'était empressé de faire à son tour.
Sans vraiment s'en rendre compte, il était resté silencieux le reste du trajet vers la maison, plonger dans ses réflexions. Ce n'est que lorsque Trowa sonna à la porte pour que l'on vienne leur ouvrir qu'il sortit de sa semi transe.
Les portes s'ouvrirent quelques secondes plus tard sur un domestique qui, en les reconnaissant, se mit à crié :
-Monsieur, madame, les voilà !!! Ils sont de retour !! Ils sont là !!!Entrez messieurs, dit-il ensuite beaucoup plus calmement, mais à peine furent-ils rentrés que Madame Barton, ex Mademoiselle Kushrénada, leur tomba dessus une lueur d'inquiétude visible dans ses yeux bleu.
-Comment allez- vous ?demanda t-elle anxieusement, vous n'êtes pas blessé ?dit-elle encore en inspectant les adolescent sur toute leur couture, Dieu merci non vous êtes intacte.
-Ne vous inquiété pas mère nous somme saint et sauf. Nous n'avons pas une égratignure. Mais si vous voulez déplorer quelque chose, alors déplorer nos vêtements, déclara le brun à la mèche avec un petit sourire en coin face à l'attitude démesurément protectrice de sa mère.
-Trowa ce n'est pas le moment de faire des blagues idiotes. J'étais folle d'inquiétude.
-Je sais, pardonnez moi.
-Il n'y a plus d'inquiétude avoir Madame Barton, ajouta le jeune homme aux cheveux et aux yeux noir nous sommes vivant et je pense que c'est le principal. La dernière nommée lui sourit franchement.
La mère Barton est une femme de taille moyenne, 1 mètre 65. Son prénom est Véronique. Les traits, gracieux et fin de son visage, la faisaient paraître plus jeune qu'elle ne l'était. Souvent il arrivait qu'on lui donne la trentaine alors quelle approche bientôt de la cinquantaine. Ses cheveux, contrairement ceux de son mari, était encore éclatant. Elle était coiffée d'un chou stricte et très serré. Sa fine taille faisait envie à pas mal de ses amies ou jeune fille du pays. Toujours fier, elle n'hésitait pas à rabaisser toute personne qui avait le malheur de contrecarrer ses plans ou de nuire à son image. Elle ferait tous pour les réduirent aux silence ou tous simplement les faire disparaître. C'est surtout son plus grand point commun avec son époux. Ils seraient près à éliminer n'importe qui pour la renommé la plus propre et sans tache. Mais si pour cela il fallait m'être sous terre l'un de leur propre enfant.
Etant sur qu'ils n'avaient rien, la maîtresse de maison repris ses habitudes d'aristocrate.
-Parfait, puisque vous allez bien, dit elle en arrangeant sa coiffure, je vais me retirer dans ma chambre. Je suis exténuée. Je vais me reposer et nous en parlerons pour le repas de midi. En attendant, dit-elle encore en regardant dans air méprisable les habits des trois jeunes hommes, vous devriez prendre un bain. Vous ne sentez pas la rose et vos les haillons qui vous servent actuellement de vêtement ne sont pas dans les meilleurs des états. Sur ce je me retire, dit-elle tous sourire en partant en direction des escaliers qui menait au premier étage ou se trouvait les chambres. En passant elle ordonna froidement à un employer qui passait par la de préparer un bain pour les trois jeunes.
- C'est tout ? S'enquit Wufei quand la femme fut assez éloignée pour ne pas pouvoir l'entendre. Sans vouloir te vexer Barton, je crois bien que ta mère est un peu buttée sur les bords.
-Pas qu'un peu, répondit vaguement l'intéresser.
-Mais ton père, il n'est pas venu voir si nous allions bien, déclara Heero, c'est étrange je croyais qu'il serait arrivé même avant ta mère.
-Mes parents sont des êtres bien étranges. Vous l'apprendrez avec le temps.
-Oui, dit franchement le chinois, mais j'aurais tout de même cru qu'ils auraient été plus anxieux que ça.
Pour toute réponse le brun à la mèche leva un peu les épaules.
-Restez-vous parmi nous ?
-Effectivement.
-C'est vrai que nous n'avons pas vraiment eu le temps de te le dire, rajouta le japonais.
-Ce n'est pas un problème. Pour l'instant allons plutôt suivre le conseille de ma mère et nous changer et surtout nous reposer.
Tous acceptèrent et empruntèrent le chemin qu'avait, il y a quelques minutes, emprunté madame Barton. Ils arrivèrent au premier étage et chacun se dirigèrent vers leur chambre.
POV HEERO
Je rentre dans ma chambre, ferme la porte et mis adosse. À ce moment et seulement à celui la je me laisse aller. La fatigue peu facilement se voir sur mon visage d'habitude impassible. J'ai eu beau ne rien dire, mais j'ai vraiment eu peur. Cette journée est vraiment la pire de toute ma vie. Non elle n'est pas la pire. Elle avait simplement mal commencé. Oui, c'est ça car aujourd'hui j'ai rencontré un ange. Duo. Cela peu paraître fou mais je pense à lui sans cesse. Son visage, ses yeux si rieux, ses lèvres. Je crois que je deviens fou. Un bon bain me ferait du bien. C'est surtout que je commence à avoir chaud.
Je marche vers l'armoire ou toute mes affaire son déjà installés. J'attrape les premiers vêtements qui me passe sous la main, prend une serviette et rentre dans la salle d'eau. La baignoire est déjà remplie. Je glisse ma main dans le liquide inodore et transparent pour constater qu'il est encore chaud. Je me déshabille sans autre forme de procès et pénètre dedans. Je me sens si bien. J'attrape le gel douche vanille et m'en met partout .Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça, dans la baignoire avec de la mousse sur l'eau et sur mon corps. Dans tous les cas quand j'en suis sortis il était pile poil l'heure d'aller déjeuner. Je m'habilla aussi vite que je pus et sortis en trombe de la chambre. En passant dans le couloir je m'aperçu que les chambre de Wufei et Trowa étaient ouverte et vide. Kuso. Je suis en retard. Je descends les escaliers aussi silencieusement qu'un chat mais aussi rapidement qu'une panthère. Je marche d'un pas rapide vers la salle à manger et quand j'y entre je reçois le regard accusateur de Madame Barton, celui hautain de son mari, interrogatif de leur fils et moqueur de Chang qui sait que j'ai des pannes de baignoire de temps en temps. Bref c'est sous une flopée d'yeux que je m'installe, le plus discrètement possible, à table. Je crois que c'est moi qu'il attendait car je vois quelque employé emmener le repas aussitôt que je m'assois. Ils nous servent puis déposent les plateaux sur la table et s'en vont vers la cuisine. Personnellement, j'ai toujours aimé leur uniforme. Noir. Nous commençons à manger dans un silence pesant. Des minutes passèrent avant que Véronique ne brise le silence.
-Alors, commença t-elle, racontez nous en détaille comment c'est passé cet embuscade.
Comme pour montrer son intérêt à la phrase le père de famille releva la tête de son assiette et regarda les trois plus jeunes.
-Et bien, commença leur fils, nous étions arrivé « Au bonheur de tous », nous somme sorti de la voiture et un veille homme, ivre je pense, nous à tout bonnement insulté, n'y tenant pas trop compte nous prirent, comme Heero, la direction du magasin. Mais avons été stoppé dans notre avancé par une bagarre qui éclata. Nos gardes allèrent donc séparer les bagarreurs mais les derniers cités étaient armés et ils ouvrirent le feu blessant plusieurs de nos hommes de main. Quand nous avons vu ceci, mes amis et moi sommes partis en courant mais d'autres hommes, sûrement de mèche avec les deux autres, nous suivaient déjà. Au bout d'un moment nous avons réussi à les semer et nous sommes caché dans un couloir sombre. Par chance ils sont passés sans même nous voir. Mais nous étions arrivé sans nous en rendre compte dans un quartier qui nous était inconnu. Nous étions perdu. Si il n'y avait eu ce garçon nous serions certainement encore dans ce quartier a nous demander comment en sortir.
-Un jeune ? Quel jeune homme, demanda la mère très curieuse de savoir a qui elle devait la vie de son fils.
-Un châtain avec une très longue natte, répondit le chinois, Duo, Duo maxwell. C'est Bien cela Yuy ?
Il n'hérita de la par du nommé Yuy qu'un regard noir.
-Oui c'est bien cela, lâcha quand il vit que tout étaient posé sur lui-même si certain se faisait moqueur
-Mère cela ne va pas ?questionna Trowa voyant le visage de sa mère devenir blême.
FIN DE POV HEERO
POV VERONIQUE
Ce…Ce…Ce n'est pas…possible. Non j'ai du avoir mal entendu. Je ne peux pas le croire. Non. Non. J'ai l'impression que tout s'effondre autour de moi. Pour toutes les personnes habitant dans cette ville, pourquoi mais pourquoi a-t-il fallut qu'il tombe sur son cousin ? Pourquoi ? Mon dieu et…et…si …si il le lui avait dit. Si ce va nu pied avait dit à Trowa la vérité ? Non il ne lui à pas. Non il ne là pas fait car sinon Tro m'en aurait déjà parler. Mon Dieu, mon Dieu que vais-je faire ?
Je jette un coup d'œil à mon mari qui me répond par un regard plus que noir, me faisant clairement comprendre que je devais me calmer au plus vite. Je reprends mon souffle que j'avais perdu sous le coup de la nouvelle. Allez, tu auras largement le temps de pleurer sur ton sort.
FIN DE POV VERONIQUE
-Oui sa va. Je suis juste un peu fatiguée, répondit-elle.
-Bien. Mais tu devrais te reposer maman.
-N'est pas d'inquiétude. Mais dis moi tu n'as pas emmener ce Duo pour que nous puissions le remercier, j'aurais t'en aimé le connaître, mentit-elle.
Son mari la regarda étonné par ce qu'elle venait de dire. Elle lui lança un regard lui disant de jouer le jeu avec elle. Il hocha légèrement la tête de façon positive.
-Ta mère à raison, émit son père, pourquoi ne la tu pas invité ?
-Je l'ai fait mais il a refusé l'invitation car il était attendu ailleurs.
-Dommage, dit le père.
Le reste du repas se passe en silence. Quand ils eurent finit chacun sortit de table et les trois amis partir ensemble. Ils décidèrent d'aller à la piscine de la maison ils passèrent donc par leur chambre avant d'aller derrière la demeure ou se trouvait l'endroit tant désiré.
Ils y restèrent toute la fin de la journée. Malgré tout l'effort qu'il faisait chacun savait que quelque chose tracassait le brun a la mèche. Quand ils rentrèrent de nouveau dans la villa ils se retirèrent tous dans leur chambre respective.
POV TROWA
Je sens qu'il a un trucqui cloche. Ce midi ma mère m'a menti je le sais bien que je n'eu rien dit. Je ne crois pas à ses subits coups de fatigues. C'est trop louche. Je veux en avoir le cœur net. Je sors donc de la pièce dans laquelle je me trouve actuellement et me dirige vers les escaliers. Mon dieu je l'ai ai déjà vu depuis ce matin. Je les descends pour la énième fois de ma triste vie. Quand j'arrive en bas, je prends le chemin menant au bureau de mes parents, je pense que c'est bien le seul endroit ou je peux les trouver à cette heure. Je marche d'un pas rapide. En arien de temps je me retrouve devant l'objet de mes recherches. La porte est ouverte. J'entends les bruits d'une conversation. Curieux, je m'avance un peu plus et j'écoute ce qu'ils disent.
-Qu'allons nous faire ?
-Je ne sais pas Véronique.
-Mais bon sang pour toutes les personnes présentent dans ces rues pourquoi à t-il fallut qu'ils tombent sur lui ?
Mais de qui parlent-ils ?
-J'étais au même endroit que toi je rappelle.
-Je le sais Rodrigue, je n'ai pas de trou de mémoire.
-Alors ?
-Alors quoi ?!!!!
-Alors que comptes tu faire ?
-Sur mon front il n'est pas écrit boite à idée je te signale.
-Pas la peine de sortir de tes griffes.
-Pour l'instant la seule chose que nous pouvons faire c'est faire tout notre possible pour que Trowa ne le revois jamais. Faire tout notre possible pour qu'il ne sache jamais que Duo Maxwell est son cousin.
À SUIVRE
Voila le troisième chapitre est bouclé mais avec beaucoup de retard quand même.
Duo- Ca tu la dis.
Shina- T'es rien demandé.
Duo- Ze boude.
Shina- Ba vas-y comme ça je pourrais dire les dernière phrase en paix .Hum hum. Donc si vous avez aimez ou mme détesté ce chapitre faite le moi savoir en me laissant une review .Bay