I Titre : Secret Famille.

Auteur : Shina Alias Shirna.

Disclaimer : Même si je disais que je me suiciderais si les créateur ne me donnaient pas les g –boys ils ne me les donnerais pas alors c'est toujours la même chose les bishôs son po a moi.

Genre : Il y aura de tout alors à vous de voir.

Note de l'auteur : Bon j'espère avoir mis moins de temps à écrire ce chapitre que le précédent. Mais ça m'étonnerais vraiment lol . Arrivé de nouveaux personnages. Mais ça vous allez le remarquer vous-même. Lol. Bonne lecture

REPONSE AUX REVIEWS :

Shali Maxwell : Oui Quat-chan a apparu. Enfin.lolJe l'avais caché sous mon lit. Mdr. C'est sur la fête elle va être musclé. La relation Heero Duo elle va avancé mais je pense pas que je vais en parler dans ce chapitre. Mais par contre il y aura une belle surprise.Vi vi vi C'est vrai que c'est vachement mais avec moi il faut s'attendre à tout .Mici pour la review.

Lucy Hp : Vi on me le dit souvent. Mais c'est pour le suspense. Mdr. Et oui j'ai po le cœur à laisser Tro-chou tout seul. Lol. Comment t'as devinée pour Wu ? Mdr. Thank pour la review.

Florinoir : MDR !Oui oui ça y est. Et j'essayerais d'être plus régulière. J e dis j'essayerais. Parce que les volent planés je les accoste de plus en plus mal. Mdr. Et le pauvre il va en voir de toute les couleurs. C'est fille sont de véritable piranhas et lui il va en prendre plein laface .Lol. Arigato pour la review.

Kaorulabelle : Miiiiiiiciiiiiiiiii. Lol .Il faut l'avouer je suis pas vraiment très forte en ortho. Alors c'est vraiment simpa de ta part de me proposé ça. D'ailleurs tu le fais déjà Mdr. Merci pour la review.

Maintenant place a la fic.

SECRET FAMILLE

Il frappa à la porte et l'ouvrit sans attendre que l'on vienne lui ouvrir. Ce qu'il vit le surpris. Tout les domestique était en train de décorer le hall d'entrer. Les deux autres étaient aussi étonnés que lui. La pièce était magnifique. Voulant savoir en quel l'honneur de toutes c'est décoration de fête était de sortit. Il en demanda la raison à une employée qui lui répondit :

Comment Monsieur, vous n'êtes pas au courant ? Il y a une fête en votre honneur se soir.

La jeune fille partit et Trowa devint blême. La fête. Oh oui ça y est il s'en rappelait. Sa bouche s'ouvrit et ses yeux s'agrandirent. La seule chose qu'il put penser fut :

Nooooooooooooooooooooooooooooooon !

POV TROWA.

Dites moi que je rêve. Ce n'est pas vrai. Pas ce soir. Pas après une si bonne journée. Ce n'est pas possible, je dois être maudit. Oui c'est ça. Ca ne peut être que ça. Je ne veux pas assister a cet soirée. Pas question.

Faites ce que vous voulez les gars mais moi je me casse, m'écriais-je en faisant demis tours.

Hors de question ! Tu restes la, protesta Wufei en me retenant le bras, tu es un homme tu dois assumer.

Chang dit vrai.

Assumer quoi ? Une bande de fille déchaînée qu'on a le culot d'appelés jeunes femmes de la haute société ? Je préfère ne pas essayer, répliquais-je en me débattant.

On ne te demande pas ton avis, répondit Heero en m'empêchant lui aussi d'atteindre la porte, on est dans la même galère je te rappel. Ca ne nous enchante pas non plus.

Dans ce cas on fout tous le camp.

NON ! dirent de concert les deux asiatique.

A enfin vous voilà, dit une voix bien connue.

FIN DE POV TROWA.

Oui nous sommes rentré Madame Barton, répondit le chinois en lâchant le français de même que Heero.

Bonsoir Madame

Bonsoir mère.

Bonsoir les garçons. Ou diable étiez vous passé ? Environs deux heures après votre départ vos gardes sont revenus en nous disant que vous vous étiez volatilisé. Où étiez vous ?

Eu..., commença le méché.

Et bien …., poursuivit le japonais.

Nous étions…., ajouta le chinois.

Avec moi, termina une voix.

Tous regardèrent dans la direction d'où était venu la voix, soit derrière nos trois amis, pour voir Treize finir de fermer la porte tout en les regardant.

Avec toi ? reprit Véroniqua, mais tu es parti après eux de la maison.

Oui je sais. Nous nous sommes rencontrés devant un magasin le vêtement « Fashion » .

La femme leva un sourcil perplexe. Elle sentait bien qu'il y avait quelque chose de louche la dessous. Aussi décida t'elle de continuer à les questionner. Ils finiraient tôt ou tard par se piéger.

Mais a quoi cela servait-il de laisser vos gardes ? Vous auriez très bien pu y aller avec eux. Je ne comprends pas.

Souvenez-vous ou apprenez si vous ne le saviez pas qu'il n'est pas très agréable de se promener en ville avec une lignée d'homme vous suivant.

D'accord c'est embêtant mais on finit par les oublier.

Ce n'est pas seulement embêtant c'est terriblement gênant. Et encore plus pour ce que nous devions faire.

« Mais ou veut-il en venir » se demandèrent les trois plus jeunes qui suivait l'échange en silence.

Et que deviez vous faire ? dit encore la Mère Barton qui croyait enfin avoir piégé les jeunes hommes.

Que peuvent bien faire 4 mecs dans une ville bondé de fille les une plus séduisante que les autres ?

Sous la réponse douteuse de son fils Véroniqua rougit violement. Elle ne s'attendait vraiment pas a ça. Nos compagnons pour leur part n'en revenaient pas. Treize prétendait qu'ils avaient dragué de charmante demoiselle toute la journée alors qu'ils étaient tous homo. C'était quoi la mauvaise blague. Treize lui fut heureux de voir que sa mère avait crut en son mensonge. D'ailleurs à voir les rougeurs étaient apparu sur les joues des plus jeunes, ils devaient être extrêmement gênés.

A …, réussit a dire la femme après quelques minute de silence, si ce n'est que ça….

Que cela pourrait-il être d'autre Mère ?demanda Trowa rentrant dans le jeux de son frère.

Euh …et bien….Oh et puis laissez tombé. L'important c'est que vous soyez rentré a temps. Allez vite vous changé, ça ne va pas tarder à commencer.

Ils acquiescèrent et prirent la direction des chambres.

Merci Treize. Tu m'as vraiment aidé.

De rien petit frère. Mais je crois que tu me dois une petite explication. Non ?

En effet oui.

Alors vas-y. Dis moi oui vous étiez.

C'est une assez longue histoire Treize, dit Wufei, et je ne crois pas que notre présence, à Heero et à moi, soit vraiment indispensable.

Mais….

Pas de mais, lui répondit automatiquement le chinois.

Ok, si c'est demandé si gentiment. Et puis depuis quand tu m'appel par mon prénom Wu ?

Le concerné pris au dépourvut rougit furieusement.

Dit moi Chang dois-je me préparer a t'appelé beau frère ?se moqua Trowa.

Et même plus tôt que tu ne le crois petit frère, rajouta l'aîné en passant un bras autours des épaules du garçon au cheveux de jais.

Ce dernier qui avait un peu baissé la tête la releva subitement, ouvrant les yeux comme si l'on venait de le frapper avec un massue.

Mais ça va pas, s'écria t-il, te dérange pas surtout. Je suis pas une onna moi.

Mais tu réagis tout comme ma belle, le taquina encore Treize.

JE NE SUIS PAS TA BELLE ! ET BA LES PATTES ! cria t-il en se dégageant.

Mais voyons je ne voulais pas te gênée princesse, insista Kushrénada.

Mais c'est qu'il me cherche ! Marmonna le chinois plus que rouge. Barton tu devrais apprendre a ton frère les bonne manière…. Mais ….de quoi vous riez tous les deux ?

Devant la tête de leur camarade les rirent du japonais et du français redoublèrent d'intensités. Face a tant d'hilarité l'ainé du méché se permit une sourire.

Bon se n'est pas tout mais il faut que j'aille me préparer. Et vous devriez de même. A plus tard vous deux, dit-il pour les jeunes mort de rire. A tout de suite dulcinée, rajouta t-il a l'intention du garçons aux yeux noir en lui embrassant le bout du nez.

TREIZE ! hurla alors celui-ci ayant maintenant une jolie teinte rouge sur le visage.

POV TROWA

Je ferme la porte de ma chambre et m'y adosse. Je repense a la journée qui viens de s'écoulée. Je dois bien l'avouer c'est la première fois que je me suis autant amusé. Je regrette même qu'elle ne comporte pas plus de 24 heures. On devrait peu être faire plus de sortie se genre. Quoi que mon frère ne sera pas toujours là pour nous couvrir. Je suis encore étonné du prétexte qu'il a trouvé pour nous sortir de ce mauvais pas. Mais le plus important c'est que ça a marché. Vu la tête qu'avait ma mère ça ne peut pas en être autrement .Etrangement mes pensé divague vers un certain blond ayant pour nom Quatre. Je vais peu être me répéter mais il tout simplement beau. C'est yeux turquoise et ses cheveux blonds lui donnaient un air d'ange déchu. Son calme et sa douceur semblent être sans borne. J'ai l'impression de le connaître depuis toujours alors que je ne suis au courant de son existence que depuis a peine quelque heures. Bizarrement sa présence me manque terriblement. Si cela m'était possible je l'aurais fait venir a moi mais je ne crois pas qu 'il apprécierait d'être traîné de chez lui et amené ici, chez un garçon qu'il connaît de puis moi de 12 heures, a une heure aussi tardive. Je lâche un soupir las. Bien que très distrayante elle était tout de même crevante cette escapade. Je suis déjà épuisé alors que le pire reste à venir. La fête. Rien que d'y penser j'en ai des sueurs froides. Je vais devoir toute me les coltiner pendant la soirée. Je crois que j'e vais prévoir quelque que petite excuse pour pouvoir leur glisser entre les doigts car sinon je ne tiendrais pas.

Je me mets finalement debout, laissant libre d'accès la porte. Bon qu'est ce que je vais mettre ? Bonne question. Pourquoi les vêtements que je me suis acheté tout a l'heure ? Non. Vos mieux éviter de faire mes parents sauter au plafond en me voyant arrivé avec un ensemble cuir assez moulant. J'ouvre mon armoire et regarde a l'intérieur. Je prends les premiers habits qui me tombent sous la main. Cela fera largement l'affaire. J'attrape ma serviette et entre dans la salle de bain. Je ne compte pas en sortir tout de suite.

Je fais coulé l'eau et la règle a la bonne température. Prendre un bon bain dans la baignoire ne me fera pas de mal et puis ça me retardera un peu. Quand tout est prêt je me glisse dans l'eau. Mais je crois que la chance m'a tournée le dos car même pas quinze minute après mon entré dans mon bain un domestique m'annonce a travers la porte que je suis attendu dans le hall et que les invités commence à arrivés. Malheur. Je lâche un grognement et lui répond que j'arrive. Merde. Ca n'arrive vraiment qu'a moi ce genre de truque.

Je m'extirpe avec difficulté de l'eau et m'entour le rein avec ma serviette. Après mettre séché je m'habille et sort de la salle d'eau. J'entre de nouveau dans la chambre et regarde mon reflet dans mon miroir. Parfait. Je réajuste le col et me coiffe rapidement et me dirige vers la sorite de la pièce. En arrivant dans le couloir je vois Heero et Wufei avançant dans ma direction.

Nous venions justement te chercher Barton, dit le chinois quand il fut arrivé a ma hauteur.

Ce ne sera pas nécessaire comme tu peux le constaté. Je suis prêt.

Bien. Allons-y dans ce cas car ta mère nous à déjà fais appelé, ajouta le japonais.

Je ne peux retenir un soupire qui exprime tout le fond de ma pensé a ce sujet. Nous prenons le chemin des escaliers, bien que ce soit a contre cœur pour ma part. Nous sommes au sommet des derniers nommés. IL y a déjà foule dans le grand hall. Allez mon cher courage.

FIN DE POV TROWA.

Bonjour Madame Barton.

Bonjour Réléna et Dorothy. Comment allez vous ? dit elle en étreignant les jeunes fille tour a tour.

Très bien merci, répondit poliment la dite Réléna.

Et vous ? demanda Dorothy

On ne peut mieux. Vous êtes devenue de bien jolie jeune femme.

Les jeunes fille sourire a ce compliment et la remercièrent.

Réléna était une blonde aux cheveux lui tombant dans le dos. Elle avait les yeux bleu et un visage assez fin. Ses lèvres rose donnaient très souvent l'impression d'avoir été coloré par un des nombreux fars quelle possédait. Elle était l'héritière de la famille Peacecraft du royaume de Sank. Elle était polie et intelligente. Elle avait bon cœur et ne faisait pas la différence des classes sociales. Elle n'est pas nous plus homophobe et surtout était pacifiste. La jeune fille avait aussi hérité du beauté indéniable.

Dorothy était elle aussi blonde. Elle aurait pu être aussi ou sinon plus belle que Réléna si elle n'avait pas eu ses grand sourcil se terminant en fourche. Elle avait des yeux bleu clair. Ses cheveux lui tombant sur le bas du dos. Son visage lui donnait l'air d'une personne arrogante et méprisante mais elle ne l'était pas. Au pire elle pouvait devenir très taquine voir collante mais sans plus. Elle faisait partit de la famille Catalognia.

Les dites jeune femme remercièrent Véroniqua.

Mais je ne vois pas Trowa. Il n'est pas la ? demanda subitement Dorothy.

C'est vrai je ne le vois pas moi non plus.

Il ne devrait pas tarder je l'ai fait lui et ses amis, répondit la brune.

Lui et ses amis ? repris Réléna.

Oui. Il a invité Heero et Wufei.

Heero est ici ? Quelle bonne surprise, dit-elle tout sourire.

Ah ! Justement les voila, ajouta Madame Barton en désignant le haut des escaliers.

Tous les regards se plaquèrent alors sur les trois jeunes hommes tant attendus. Ces regards génèrent passablement nos trois amis mais ne s'en formalisèrent pas.

Ils descendirent les marches, souriant a certaines personnes, disant bonjour à d'autres. Ils se sentirent bien mieux quand ils virent que les parents du français n'avaient pas invité que des filles. Ils pourraient donc a tout moment trouver un peu de compagnie. Ils se dirigèrent ensuite vers une sorte d'estrade. Trowa monta dessus faisant face a ses invités. Il prit la parole :

Tout d'abord, bonsoir à toutes et à tous Je tiens à vous remerciez d'avoir répondu présent a mon invitation. J'espère que vous passerez une agréable soirée. Pour ma part, je pense que se sera le cas. Que la fête commence.

Après un tonnerre d'applaudissement, les musiciens jouèrent leur première note.

Et bien Trowa ? C'est vrai ce mensonge ? le taquina Wufei quand il fut revenu auprès de ses compagnons.

Bien sur que non. C'est pour cela que c'est un mensonge.

Dans tout les cas tu devras te tenir sur ce mensonge pour ne pas décevoir toute c'est si jolie fille qui se sont déplacées pour te voir.

Tu devrais te préparer mentalement au lieu de me dire des bêtises Yuy. Par ce que je ne crois pas que Réléna te lâchera de la soirée, répondit au tac le méché.

Réléna ? dit Heero complètement alarmé.

Oui. Je les vus. Elle était avec son pot de colle. Dorothy, renchérit Chang.

Tiens en parlant de la louve la voila, murmura Barton en voyant la jeune fille arrivée accompagne de son inséparable acolyte.

Bonsoir messieurs.

Bonsoir Réléna, bonsoir Dorothy, répondirent d'une même voix les garçons en baisant les mains des deux jeunes femmes.

Joyeux anniversaire Trowa.

Merci les filles.

Comment vas-tu Heero ?demanda Peacecraft.

Très bien Léna et toi ?

Beaucoup mieux depuis que tu es près de moi, dit-elle avec un sourire.

Et bien je crois que Chang et moi allons vous laissez, intervint subitement Trowa, n'est ce pas Chang ?

Bien sur, répondit le concerné son l'œil horrifié du japonais.

Amusés vous bien, lança le méché au demoiselle, bonne chance,souffla t-il a l'oreille de son ami.

Lacheur, reçu t-il en guise de réponse.

Ses compagnons eurent un sourire entendu et s'apprêtaient a s'en aller quand :

Wufei.

Le jeune homme eu une sueur froide.

Oui Dorothy ? dit passable apeuré le chinois.

Je voudrais te parler. Cela se pourrait-il ?

Le garçon aux cheveux noirs fut parcouru d'un tremblement. Ne pouvant refusé l'invitation en ce jour si important, sans créé un scandale ou sans paraître impoli, il l'accepta à contre cœur. La blonde lui rendit un sourire carnassier avant de l'entraîner loin, dans un coin dans l'immense hall.

Trowa se retrouva alors seul et ne voulant pas se faire accoster par toute une bande de furie il pris la direction d'un petit groupe d'homme qui s'était formé. Il avança le plus vite que le lui le permis ses jambes, tous en essayant de ne pas faire voir son envi fulgurante de fuir cet endroit. Il n'était plus qu'a dix mettre du groupe. Neuf, huit ,sept, six, cinq… Un sourire éclaira son visage. Quatre, trois , deux…

Trowa !

L'interpellé sursauta. Manifestement les dieux étaient contre lui.

POV TROWA

Mais putain de merde. Je suis maudit. Pourquoi vous faites c'est grand yeux. J'ai bien le droit de dire mes pensé non ? J'étais si près du but. A même pas deux mètres et il a fallut que miss la rousse m'interpelle. Si seulement je pouvais la frapper. Mais en attendant je ne peux pas. Alors je me dirige bon gré mauvais gré a la rencontre de cet Rasvergberg. Je lui sourie et lui demande si elle et ses amies sont à l'aise. Elles me répondent que oui et me demandent pourquoi je les fuis. Si s'étais si évidant vous auriez pu me laissez m'en aller. Je leur réponds qu'elles se font de fausses idées et que jamais je ne fuirais de si jolies jeunes femmes. Il n'en faillait pas plus pour les faire gloussées comme des pintades. Bon dieu.

Sans que je m'en rende compte, elles avaient formé un cercle autour de moi. Je dois maintenant supporter leurs mains baladeuses qui atterrissent sur mon derrière. L'une me propose de la faire danser. J'accepte. Pas d'autre alternative de toue façon. Nous sommes au milieu de l'espace de danse et nous évoluons gracieusement. Elle me regarde avec ses yeux noisette. Puis elle pose sa tête au creux de mon épaule. Galère ! Bon, ça pourrait être pire. Mais…mais…Ce serait passa langue que je sentirais sur mon cou. Mais si. Mais elle ma lèche. Aaaaaaaaah. Mais non mais non mais non. Je ne veux pas de sa salive non merci. Elle peux ce la garder. Elle en aura besoin pour parler. D'un mouvement d'épaule j'arrive a lui faire redressé sa tête. Je lui lance un regard glacé qui la calme tout de suite. Note : pensé a remercier Heero. La danse est enfin terminé nous retournons rejoindre les autres et c'est rebelote. J'ai de nouveaux droit au mains aux fesse. Y a deux solutions. Une : je fais un crime sanglant et fais fuir le reste des invité, je me retrouve en prison et je suis enfin libéré de ces furies. Deux : je me met a hurler en vers et contre tous et je leur avoue de la façon la plus brusque qu'il soit que je suis homo.

Finalement, j'opte pour la troisième solution. Je prêtant une affaire a réglé dans la cuisine et me retire en leur promettant de revenir le plus vite possible. Mon œil. Je crois que la cuisine n'aura jamais été aussi loin. Je traverse la salle et vois un Wufei en train de danser avec une Dorothy qui l'étrangle presque. Le malheureux. Mais il n'est pas le seul. Un peu plus loin je vois Heero valsé avec Réléna. Je pensais que Catalognia était collante mais que dire pour Léna a cet instant précis. Ne pas chercher, je crois que c'est al meilleur des solutions. Me dirigeant toujours vers la cuisine je jette un rapide coup d'œil a ma montre. 23h 30. Elles m'ont quand même bien retenues. Je dois stopper dans ma progression. Quelqu'un me retient fermement par le bras. Je me tourne pour voir de qui il s'agit et deviné qui je vois ?... Une fille ? Oui bon d'accord. Mais pas n'importe laquelle. C'est Krysta Maratéria . C'est une amie d'enfance. Elle ne venait pas à la maison aussi souvent que Chang ou Yuy mais elle était adorable. Elle fait partie des rares personnes à savoir pour ma préférence sexuelle. Mais je n'ai pas eu a le lui le dire. Elle l'a devinée. Elle est très intelligente. Elle a changé depuis la dernière fois que nous nous sommes vu. Mais pas assez pou ne pas que je la reconnaisse. Elle est noire avec des cheveux lui tombant librement dans le dos. Elle a une frange et celle-ci lui retombe sur le front. Ses yeux sont gris mélangé avec du bleu. Ses lèvres sont roses et elle a toujours le sourire. Elle ferait tout pour moi et je ferais tout pour elle. Elle est un peu comme ma petite sœur. Je l'adore.

Alors comme ça on ne dit plus bonsoir a ses amis ? dit-elle

Bonsoir princesse, répondis-je en la saluant, comment vas tu, demandais-je en la serrant dans mes bras.

Bien mieux que toi a ce que je peux voir.

Tu dis vrai.

Nous rions un instant puis discutons de tout et de rien. Je croix que si je devais aimé une femme se serais elle. Elle n'a que 16 ans mais est aussi raisonnable qu'une fille de 22. Je vois Heero envoyé Réléna chercher quelque chose et il en profite pour partir. Je lui fais un signe de main et il nous rejoint.

Alors on s'amuse bien avec sa princesse, le taquinais-je.

C'est sa va y moque toi. Mais tu n'étais pas aussi taquin quand tu étais avec toutes tes amies.

La j'avoue que je me suis tu. Il avait raison le japono.

Il marque un point Tro, me fais remarqué Krysta.

Malheureusement oui,répondis-je, Heero je te présente Krysta .Kysta voici Heero.

Enchantée.

Tout le plaisir est pour moi. Enfin une qui sait se tenir en société.

Nous rions tous trois.

Ou as-tu envoyé Réléna ?demandais-je curieusement.

Chercher Dorothy.

Pouquoi ?demande a son tour Maratéria.

Et bien pour me débarrasser d'elle. Et par la même occasion délivré Wufei. Tiens le voila justement.

Merci Yuy je te dois une fier chandelle, dit le chinois quand il fut arrivé.

Mais je t'en pris. Je ne suis pas un lâcheur moi,dit le concerner.

Ca veut dire quoi ça ? questionna l'unique jeune femme en regardant tour a tour le je japonais puis le français.

Oh.Euh .. C'est une longue histoire,commença le méché, je ..je te la raconterais plus tard.

Ouai ouai. Et moi je suis une conne ? Ca sens le coups foiré a plein nez.

Mais non, se défendit Chang , du tout.

Menteur, intervint Heero.

Je le savais. Ils t'ont laissé seul avec la blonde la-bas hein ?dit-elle en désignant Réléna qui cherchait sans doute le garçon aux cheveux en bataille accompagnée de Dorothy.

En plein dans le mille. Au faite je suis Heero.

Krysta

Et Yuy elles arrivent.

Non tous mais pas ça…

Pas de problème je m'en occupe, coupa la fille, faites comme si de rien n'était.

FIN DE POV TROWA

Ah vous voila enfin, fit Réléna quand elles furent a leur hauteur.

Vous êtes partis alors que nous n'avions pas finit de discuter, renchérit Catalognia.

Venez qu'on puisse finir, termina Peacecraft.

Non, déclara la noire.

Comment, dit les deux filles.

J'ai dis non, repris Marateria en se retournant puisque elle tait resté de dos jusqu'à maintenant, laquelle des lettres de ce mots n'avez-vous pas compris ? A moins que ce soit le mot en lui-même que vous ne compreniez pas. Si c'est le cas je ne ferais un plaisir de vous en donner la définition.

Mais ils ne sont pas a vous. Vous ne pouvez pas décidé pour eu, lâcha Dorothy.

A bon ? Ils ne sont pas a moi ? Ca c'est ce que tu dis ce n'ai pas ce qu'il pense ou ce qu'il en est. Ils sont a moi et ils se trouve que je suis très possessive donc je ne prête pas, dit Krysta. Si c'est tout ce que vous aviez a leur dire vous pouvez les laissez. Ils se trouvent que nous étions en très grande conversation avant que vous nous interrompiez, di-elle en les toisant, sur ce au revoir, et elle se retourna pour faire face aux garçons qui étaient complètement largué.

Les deux autres s'en furent honteuses et outrées.

Wouaw la tu as fait fort ma puce.

Merci Tro.

Dis moi quelle est la date de notre mariage déjà, demanda le chinois.

La jeune fille fit de grand yeux puis se mit a rire très vite suivit des autres.

Ils parlèrent pendant un long moment, jusqu'à ce que Wufei les prive de sa compagnie pour allez sur le balcon. Lorsqu'il y fit il s'appuya sur le bord et savoura la sensation du vent caressant doucement son visage.

Tu t'amuses bien ?

Il sursauta et regarda qui était venu le déranger. Cette personne n'était autre que Treize qui le regardait en souriant tenant un verre de champagne dans l'une de ses main.

-Si pour toi t'amusé veux dire être collé par Dorothy Catalognia alors oui je m'amuse bien, répondit-il en s'emparant du verre de Kushrénada qui était venu s'appuyer lui aussi sur le bord du balcon.

Non je ne crois pas que ce soit s'amuser. Je dirais même que c'est un enfer.

Alors tu as ta réponse, déclara le chinois souriant tous en lui rendant son verre.

Ca te dirais une promenade ?demanda t-il en encrant son regard dans celui de Chang.

Pourquoi ?

Pour discuter. Et puis se serais bien plus intéressant que de passer le reste de la soirée en compagnie de ta très chère Catalognia.

En disant cela il rapprochait son visage de celui du chinois.

Se serait avec plaisir mais je crois qu'on va devoir remettre ça a plus tard.

Treize stoppa dans son avancé et leva un sourcil interrogatif. Pour toute réponse Wufei lança de furtif coup d'œil sur sa gauche. Le frère du méché compris très vite qu'ils n'était plus seul et qu'ils étaient épiés.

Dis moi tout de suite que tu as peur…

Mais qu'est ce que tu racontes Kushrénada. Je n'ai pas peur du tout mais ….

Mais bien sur que tu as peur. Peur de perdre.

Quoi !dit alors Chang qui ne comprenait plus rien à ce qui se passait.

Tu as très bien entendu. Je te battrais avec une facilité déconcertante à l'épée.

L'adolescent compris alors que son aîné venait, avec rapidité, de changer de sujet. Ou tout du moins de masqué avec celui-ci leur sujet de conversation d'origine. Il ne se fit pas prier pour suivre la pas.

Ne me fais pas rire. Personne ne peut me battre. Et je te le prouverais ou tu veux, quand tu veux et a l'heure que tu veux.

On relève le défit. Très bien. A la salle d'entraînement sur le coté gauche de la maison, dans deux jours et à dix heures précise. Ca te va ?

C'est parfait.

Alors à bientôt Chang, termina Treize avec un clin d'œil. Il se détourna pou rencontrer le regard un grain amusé de sa mère. Il avait frôlé la catastrophe. Il devra remercier le chinois pour ça et il avait bien une idée pour faire cela.

Il salua sa mère et rentra de nouveau dans le hall ou il invita Krysta a dansé sous le regard embêté de son frère. C'est vrai que lorsque la jeune fille était la il n'avait rien a craindre des autres mais sans elle s'était une autre histoire. Par chance la fête était pratiquement terminé. Et il avait tenu bon.

Se fut avec une joie non caché entendit le dernier morceaux s'achevé. Il était 4h 25 du matin et il était vraiment fatigué. Après avoir salué tous ses invité, et les avoir proprement mis a la porte, il monta se coucher laissant Heero,Wufei et Kysta, qui en passant restait dormir chez lui, en grande conversation sur le comment chasser un pot de colle en trois leçon.

Il arriva dans sa chambre et pris l'initiative de se déshabiller. La fatigue n'aidant pas il ne réussit qu'a s'écrasé lamentablement sur le sol. Abandonnant sa première idée il se coucha tout vêtu. Il aurait bien le temps de faire sa demain.

A SUIVRE…

Voila chapitre six finit .Alors je n'ai aucune excuse pour mon si grand retard a part ma fainéantise. Ce chapitre je le fini sur un mal de tête po possible. Gomen pour les faute d'ortho mais j'ai pas le cœur a vous faire plus attendre.Alors il ne passera pas par ma béta lectrice. Et un nouveaux couple en vu. TREIZE ET WUFFI.

5-C'EST WUFFEI.

Moi- ben oki wuffi montre po les dents.

Je vous laisse kisu tout le monde. Et a bientôt ,je l 'espère, pour un new chapitre.