Disclaimer : les personnages que vous reconnaissez ne m'appartiennent pas,
pas plus que l'histoire, qui appartient à RossWrock et est intitulée en
anglais : Harry Potter and the power of Time. Vous pouvez la trouver dans
mes histoires favorites. Bonne lecture.
Chapitre 3 : dans les entrailles de Gringotts
Marchant à l'intérieur du Chaudron Baveur si tôt le matin, celui-ci était virtuellement vide. Harry pouvait voir Tom se tenir derrière le bar essuyant quelques verres avec un torchon, et quelques patrons assis autour de deux tables à l'arrière. Harry devina qu'il était encore tôt, mais ne savait pas l'heure exacte car il n'avait toujours pas remplacé sa montre depuis la deuxième tâche du Tournoi des Trois Sorciers. Acheter une nouvelle montre était juste l'un des éléments sur sa très longue liste d'achats pour la journée. Mais le premier stop, c'était Gringotts.
Se dépêchant de traverser la taverne afin de ne pas être vu, avec Hedwige sur son épaule, Harry entra dans l'allée arrière et tapa les quelques briques qui permettaient l'entrée sur le Chemin de Traverse. « Trois en bas, deux de côté. » marmotta Harry en se rappelant la combinaison correcte. Il n'avait pas été sur le Chemin de Traverse depuis avant sa troisième année, et c'était une merveille qu'il puisse encore s' en rappeler. L'arcade s'ouvrit, et Harry courut presque à travers, tellement il était pressé de commencer ses achats du jour. Les grandes colonnes blanches de Gringotts se dressaient à distance, et Harry avança rapidement à travers les deux massives portes frontales. Harry se rappelait la peur qu'il avait sentie à passer devant les gardes gobelins durant son premier voyage avec Hagrid.
Approchant du bureau d'un banquier, Harry pris la queue pour attendre son tour. Pour s'assurer ne pas être vu, il garda sa capuche haute, et sa tête basse. Ce fut finalement son tour, et Harry s'approcha du comptoir. « Je voudrais accéder à mon coffre s'il vous plaît. » dit Harry en glissant sa clé sur le bureau. « Je voudrais aussi vous demander d'échanger quelque monnaie en argent moldu. C'est nouveau pour moi, j'ai donc quelques questions. »
Le gobelin assis au-dessus d'Harry regarda intensément sa clé, mais ne demanda pas une identification d'identité. Harry se demanda si le gobelin savait qu'il essayait de cacher son identité. Mais aussi, avec toutes les transactions qu'ils devaient faire avec les mages noirs et autres, Harry devina que tant qu'ils étaient payés, les gobelins ne s'inquiétaient pas. Il parla finalement après avoir examiné une minute la clé d'Harry. « Veuillez aller sur votre droite et dites au gobelin affecté au transport que vous désirer visiter votre coffre monsieur. Il vous escortera là-bas. Et pour votre autre requête, vous pouvez demander un transfert de fonds au Bureau d'Information et d'Echange Moldu à votre retour. Il y a quelques options différentes, alors écoutez bien. Bonne journée, monsieur. »
Harry hocha en remerciement, repris la clé de son coffre, et sortit de la ligne vers la droite, marchant vers le gobelin qui attendait déjà au chariot de mine. Harry monta par-dessus le côté, et fut heureux qu'Hedwige ait décidé d'attendre dehors, vu le chariot commençait à prendre de la vitesse.
« Coffre 1295 s'il vous plaît ! » cria Harry au conducteur au-dessus du bruit du chariot.
« Oui M. Potter, nous serons là-bas dans très peu de temps. » Répondit le gobelin.
Harry se demanda comment le gobelin connaissait son nom et le regarda de près. Bien qu'Harry soit derrière lui, et faisait face au dos du gobelin, Harry reconnut assez tôt la petite forme de Griphook, le même gobelin qui l'avait escorté à son coffre toutes ces années auparavant. Harry, pensant que cela serait poli, dit, « Merci à vous Griphook. C'est bon de vous revoir. »
Sa réponse fit se faire retourner Griphook et regarder Harry bizarrement, mais celui-là ne dit rien. Quelques minutes plus tard, après beaucoup de tours et détours, le chariot s'arrêta, et Griphook descendit suivi par Harry.
« Lanterne s'il vous plaît. » ordonna Griphook envers Harry, et Harry se pencha dans le chariot pour prendre la lumière, pas le moins du monde surpris par la requête. Il la tendit à Griphook, et regarda le petit homme trotter vers les grandes portes du coffre. La prochaine requête ne choqua pas non plus Harry. « Clé s'il vous plaît. » Harry tendit la clé de son coffre à Griphook et recula, regardant les portes s'ouvrir en grand. Griphook rendit sa clé à Harry et se tint au côté des portes du coffre, attendant qu'Harry fasse ses affaires.
Harry avança dans son coffre, toujours stupéfait par les larges piles de gallions d'or, de mornilles d'argent, et de noises de bronze qui se dressaient haut depuis le sol. Harry ne pouvait même pas dire qu'il avait pris de l'argent hors de son coffre pendant les cinq dernières années. Alors qu'il ne dépensait jamais une énorme quantité d'argent dans le passé, il en dépensait toujours une assez grande quantité durant toutes ces années en cadeaux de Noël, visites à Pré-au-Lard, et ses fournitures scolaires annuelles.
« Griphook », demanda Harry, « pouvez-vous me dire la quantité d'argent que j'ai actuellement ? »
« Oui monsieur. » répondit-il. « Je vous demande pardon monsieur, mais comment me connaissez-vous ? »
Harry fut confus par la question, mais y répondit cependant. « Eh bien, vous ne vous rappelez peut-être pas, mais vous m'avez conduit une fois à mon coffre, il y a quelques années. Honnêtement, j'ai été assez surpris de vous revoir. Je suis sûr qu'il doit y avoir des centaines de gobelins travaillant à Gringotts, et je vous ai vu deux fois maintenant. Pourquoi demandez-vous ? »
Griphook fut prudent dans sa réponse, et prit un moment pour parler. "Je me rappelle votre précédente visite, c'est juste bizarre pour un sorcier, et un si jeune en l'occurrence, de se rappeler du nom d'un gobelin. Pour la plupart un gobelin est un simple gobelin. Je ne peux même pas me rappeler la dernière fois que j'ai été adressé par mon nom."
"Eh bien, déclara Harry, " je ne suis pas comme la plupart des sorciers que j'ai rencontrés. Durant les quelques années où j'ai été autour, je me suis lié d'amitié avec un dragon, un hypogriffe, deux géants, quelques elfes de maison, et une poignée de centaures. Je devine que cela vient de mon éducation moldue, mais je trouve l'attitude de la plupart des sorciers préjudiciable envers les autres espèces magiques. C'est l'une des choses les plus désagréables à propos du monde magique. Mais avec un idiot comme Ministre, à quoi peut-on s'attendre ? " Harry réalisa qu'il commençait à radoter, et s'arrêta là.
"Très bien, monsieur. Et pour votre question à propos de vos ressources, il devrait y avoir un parchemin enchanté vers l'arrière qui indique les actifs de ce coffre. Il se met à jour magiquement à chaque dépôt et retrait que vous faites. Si vous voulez, vous pouvez le prendre avec vous, puisque c'est juste une copie de l'original. Pour une liste complète de vos autres actifs, vous devrez voir un directeur de banque. " Griphook fut très serviable dans sa réponse.
Harry commença à grimper par-dessus la pile de noises avant même que Griphook n'ait fini sa réponse. Au coin arrière gauche de la pièce, il y avait en effet un petit piédestal avec un parchemin au sommet. Mais avant qu'Harry ne l'ait atteint, la dernière affirmation de Griphook le fit tombe. " D'autres actifs ! " cria Harry derrière lui. " Que voulez-vous dire par autres actifs ? "
Griphook sembla très inconfortable, mais répondit néanmoins. " Ce n'est normalement pas ma place de le dire monsieur, mais je crois que vous avez accès à un autre grand coffre dans l'un des niveaux bas et à haute sécurité. Ce coffre ne comprend que vos fonds de réserve qui ont été mis en place pour vous. L'autre coffre, si j'avais à deviner, est le coffre de la famille Potter. La plupart des familles à sang-pur en ont."
Harry fut plus choqué qu'il ne l'aurait cru. Il avait toujours su qu'il était riche, et que son père venait d'une lignée de pur-sang, mais il avait toujours assumé que ceci était son seul coffre. Il ne pouvait même imaginer ce qu'il pourrait y avoir dans un coffre plus grand et à haute sécurité. Au moins cela rendrait sa prochaine décision plus facile, spécialement s'il n'avait pas à se baser sur ses "fonds de réserve" pour le reste de sa vie. Harry reprit son sang-froid et monta le reste du chemin sur le piédestal à l'arrière. Le parchemin au sommet était un assez simple document. Il avait son nom au sommet, Harry James Potter, et la somme totale de ses fonds sur les lignes du bas. Entre les deux était un enregistrement des 15 derniers retraits que lui, ou Mme Weasley pour lui-même, avaient fait. Durant les cinq dernières années, Harry additionna rapidement, il avait retiré une quantité totale de 417 gallions, 3 mornilles, et 23 noises.
Regardant de nouveau à la ligne du bas, ce n'était pas une merveille qu'Harry ne puisse voir la différence dans les piles de monnaie chaque année qu'il passait ici. En accord avec le parchemin, qui selon Griphook était correct, Harry avait accès à une fortune. Plus précisément, environ 2.792.461 gallions ! " Whaou ! ", pensa Harry, " et c'est juste mes fonds de réserve ? Que peut-il y avoir dans l'autre coffre ? "
Cela lui prit un moment pour se rappeler la raison pour laquelle il était là en premier lieu, mais après un temps, Harry glissa le parchemin dans une poche de sa robe, et retira la lettre qu'il avait écrite la nuit précédente. Ouvrant l'enveloppe et sortant la lettre, Harry la relut une dernière fois.
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Cher Mr et Mme Weasley,
Je veux vous remercier tous deux pour tout l'amour et le support que vous m'avez offert Durant ces années. Ces derniers mois ont été durs pour moi, mais je pense Que j'ai finalement dépassé ma perte, et accepté mon rôle tel que je le vois. Cela n'a peut être aucun sens pour vous maintenant, mais dans un temps proche cela sera Probablement le cas. De toutes façons, j'ai décidé de devenir un peu plus indépendant après Les évènements de cette précédente année scolaire, et l'une des premières décisions que j'ai Faites est de repayer votre gentillesse de la seule façon que je peu. L'argent que j'ai Déposé sur votre compte est un petit symbole des remerciements que je peux vous donner Pour m'avoir accepté dans votre famille.
Si vous ressemblez un tant soi peu à Ron, ou Ginny, ou Fred et Georges, ou le reste De votre clan, je sais que vous voudrez refuser cet argent. J'ai laissé des instructions Pour Gringotts comme quoi vous ne serez pas capable de déposer d'argent sur mon Compte, jamais. Laissez-moi s'il vous plaît faire cela pour vous. Vous et votre famille Etes de si merveilleuses personnes, et m'avez donné ce dont j'avais si désespérément Besoin. Laissez-moi retourner votre gentillesse. Ne pensez pas à cela comme à de L'argent ; pensez juste comme moi-même je le fais, monnaie. Votre famille est riche de Gentillesse et d'amour, et il se trouve que je suis riche de gallions et de mornilles.
Je sais que cela peut être douloureux de vous le rappeler, mais vous souvenez-vous l'été Dernier quand vous (Mme Weasley) avez rencontré cet épouvantard, et avez vu Chaque membre de votre famille mourir. Je sais que c'était votre plus grande peur, mais Pour moi, me voir inclus dans votre famille était l'un de mes plus heureux moments. Je Suis sûr que vous savez, je n'ai jamais su ce qu'était l'amour jusqu'à ce que je quitte Les Dursley pour Poudlard, et rencontré de gentilles personnes comme vous.
Alors s'il vous plaît profitez de ce don. Achetez de nouveaux habits, quelques Balais, ajoutez une chambre ou deux au Terrier. Mr Weasley, vous pouvez Même allez acheter des prises et des piles à votre cœur content. Ou peut- être Remplacer votre ancienne voiture que j'ai contribué à détruire. Et ne vous inquiétez Pas à propos de moi, je ne vais pas citer des chiffres, mais j'ai beaucoup plus de Fonds d'où ils viennent. En fait, je vais à peine noter qu'ils manquent.
Je ne m'attends pas à ce que vous trouviez cette lettre jusqu'à au moins la moitié De l'été, donc si tout va comme je l'ai prévu, vous ne me verrez pas, et n'aurez Pas la possibilité de m'étrangler jusqu'à ce que vous ayez sérieusement considéré Mes mots, et combien cela compte pour moi. Ce n'est pas un acte de charité, c'est Simplement un acte d'amour. Les moldus dans une situation comme celle-ci ont une Merveilleuse maxime : ce qui est à moi est à vous, et ce qui est à vous est à moi.
Alors encore merci, et profitez. Je comprendrai si vous ne voulez pas mentionner Cela à vos enfants(je sais que Ron a tendance à être jaloux), ou si vous ne voulez Même pas me mentionner cela. Aucun remerciement n'est nécessaire.
Avec tous mes remerciements et amour,
Harry
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" Oui, ça sera très bien ", pensa Harry. Il se sentait toujours coupable quand ses amis devaient acheter des livres usés, ou porter des robes de seconde-main. Harry portait les vêtements usés de Dudley, et il haïssait cela avec ferveur. Il avait voulu faire cela pendant très longtemps, mais chaque fois qu'il allait à Gringotts, Molly Weasley était toujours à ses côtés, comme la mère nourricière qu'elle était. Il n'en avait jamais eu la possibilité. Maintenant il pouvait.
La nuit dernière quand Harry avait écrit la lettre, il n'avait pas une idée exacte de l'argent qu'il leur donnerait, mais il pensait que cela serait de quelques milliers de gallions. Cependant, après avoir su qu'il était beaucoup plus riche qu'il ne le pensait, Harry décida d'augmenter ce montant. Même s'il n'avait accès qu'à 2.792.461 gallions dans ce coffre seul, il pourrait toujours vivre avec pendant quelques dizaines d'années. Il avait l'intention de dépenser beaucoup avec toutes les courses qu'il avait prévues de faire aujourd'hui, mais Harry ne pouvait imaginer dépenser plus de cinq à dix milles gallions au plus.
" Griphook ", demanda Harry, " si je désire faire un dépôt dans un autre coffre que je ne possède pas, est-ce permis ? Et plus important, est-ce quelqu'un d'autre que nous deux en aura connaissance ? "
Griphook devint de nouveau nerveux, il ne cachait manifestement pas ses émotions très bien. " Mr, vous êtes autorisé à utiliser votre monnaie comme vous le désirez, y compris déposer dans un autre compte. Et pour votre autre question, je ne suis pas supposé vous dire. "
Harry avait suspecté cela. Après tout, Dumbledore avaient toujours contrôlé sa vie auparavant, pourquoi s'arrêter maintenant. Décidant de prendre un risque, Harry s'approcha du chétif gobelin lentement et le fixa directement dans les yeux. " Griphook, reportez-vous mes actions à qui que ce soit ici ? Je trouve cela bizarre de ne voir que vous chaque fois que je viens visiter mon coffre. Je ne veux pas vous causer des problèmes, et je jure que je ne vais pas répéter ce que vous direz à d'autres, mais je vous demande d'homme à homme. De quoi Albus Dumbledore est-il informé ? Il a contrôlé mes actions pendant beaucoup trop longtemps, et je ne suis pas surpris qu'il se mêle de mes affaires ici aussi. Dites-moi s'il vous plaît, de quoi est-il informé ? "
Griphook ne voulait visiblement pas répondre, mais il le fit, et Harry pensa que c'était une bonne chose de se rappeler du nom du gobelin après tout ce temps. La conversation qu'il avait eue précédemment avait manifestement persuadé Griphook de soit lui faire confiance, soit de l'apprécier assez pour aller contre les ordres de Dumbledore.
" Monsieur ", commença Griphook, " oui, j'ai peur que je doive reporter vos actions à mon supérieur. Comprenez s'il vous plaît que je suis sous de stricts ordres de faire ainsi. Il se trouve que je vous vois plus qu'honorable et poli, je vais donc vous dire ce que je dois reporter. " Griphook y fit allusion intentionnellement. " Bien que je ne connaisse pas tous les détails, ce que je sais est ceci. Vous êtes à liberté de faire ce que vous voulez des fonds de ce coffre. Cependant, une lettre est envoyée à Mr Dumbledore par mon supérieur direct si vous faites un simple retrait de plus de 1000 gallions, ou un retrait total de 20.000 gallions en un mois. Ces instructions ne concernent pas les transferts de fonds à d'autres comptes, puisqu'ils ne sont pas considérés comme des retraits. Etant mineur cependant, vous êtes incapable d'ouvrir de nouveaux comptes pour vous-même. Vous n'êtes pas autorisé d'effectuer de retrait de votre coffre familial que j'ai mentionné plus tôt, à moins d'être accompagné par votre gardien."
Griphook sembla presque s'arrêter ici, mais continua d'une voix tendue. " Entre vous et moi monsieur, une petite échappatoire connue dans la loi est que, bien que vous êtes incapable d'effectuer des retraits de ce compte étant mineur, vous y avez toujours accès. Ce n'est pas seulement de l'argent qui réside dans la plupart des coffres de famille, mais des objets personnels d'importance, actes et titres de propriété, et autres documents légaux semblables. Puisque votre coffre de famille a été fermé pendant beaucoup d'années, et que les taux d'intérêt ont fluctué dans le temps qui a passé, je ne pense pas que quiconque ait une idée exacte des sommes qu'il contient."
Ainsi les suspicions d'Harry étaient confirmées, Dumbledore regardait combien d'argent dépensait Harry. C'était une bonne chose que Griphook lui ait laissé savoir cela, parce qu'Harry avait l'intention de dépenser beaucoup d'argent aujourd'hui.
" Merci d'être honnête, j'apprécie cela. " Dit Harry au petit homme. " J'ai quelques petites choses à vous demander. Veuillez transférer 300.000 gallions au coffre familial d'Arthur et Molly Weasley, ainsi que cette lettre. Ne les informez pas de ce transfert, veuillez les laisser découvrir cela par eux-même. Je désire aussi retirer exactement un millier de gallions, afin de ne pas monter toute attention qui soit indésirable. Et je voudrais visiter mon coffre familial, pour évaluer sa valeur. Est-ce qu'une de ces actions requiers de vous un rapport à votre supérieur ?"
Griphook ne put s'empêcher de sourire narquoisement alors qu'il secouait sa tête et disait," Non monsieur, pas du tout."
Et donc Griphook aida Harry à compter exactement un millier de gallions à mettre dans son porte-monnaie, qui devint très lourd. Il aida aussi à compter une pile de 300.000 gallions du côté éloigné du coffre, pour être transféré aux Weasley plus tard dans la journée. La lettre d'Harry fut placée au sommet de la grande pile, les portes du coffre furent fermées, et quelques minutes plus tard, après une plus grande chevauchée qu'il ne s'y attendait, Harry était plus profondément sous Londres qu'il ne l'ait jamais été avant. Apparemment quand Griphook disait l'un des coffres les plus bas, il le signifiait réellement. Au lieu des coffres qu'il voyait normalement, le coffre de famille des Potter, nombre 37, était dans une place très différente par rapport à celles qu'il avait vu avant. Il avait toujours entendu des rumeurs de Dragons et autres gardant les coffres de Gringotts, mais Harry n'avait jamais vu quelque chose proche de ce niveau de sécurité avant, il ne considérait donc pas ces rumeurs pour vraies. Maintenant il pouvait dire qu'il avait eu tord. Il était dans une caverne si large qu'Harry ne pouvait voir le plafond d'où il était assis dans l'ombre. Les rails sous lui étaient soutenus par une très petite corniche, entourés par un gouffre profond. Harry se pencha au-dessus du côté du char de mine, et comme le plafond, ne pouvait voir non plus le fond. Et oui, il y avait des Dragons. Dix au compte d'Harry, plus petits que ceux qu'il avait rencontré avant et d'une espèce inconnue, mais dangereux néanmoins. Ils étaient perchés sur des affleurements de roche au long des murs par intervalles, surveillant précautionneusement la caverne.
" Griphook ? " Harry mourait de savoir la réponse à cette question. " Comment ces dragons sont-ils retenus? Et tous les coffres familiaux sont- ils sous autant de protection ?"
Harry n'en était pas sûr, parce qu'il n'avait jamais entendu un gobelin faire cela avant, mais il aurait pu jurer qu'il avait entendu Griphook rire légèrement." Monsieur, les dragons demeurent libres pour dissuader toute personne indésirable. Ils sont d'une espèce spéciale élevée seulement par des gobelins, et attaquent quiconque n'est pas accompagné d'un employé de Gringotts tel que moi-même, qui y a accès. Et non, les coffres familiaux ne sont pas tous situés à ce niveau. Les 100 premiers coffres dans Gringotts sont les plus vieux, et par là même appartiennent aux plus vieilles des familles à sang-pur, telle que la votre. Il y a une rumeur que vous pourriez aimer savoir, qui est que les coffres 1-4 appartenaient à l'origine aux quatre fondateurs de Poudlard. Il n'y a aucune preuve évidemment, et maintenant les coffres appartiennent à d'autres familles, mais cela est cru par beaucoup."
" C'est intéressant, merci." Harry ne pouvait s'empêcher d'être impressionné par les connaissances de Griphook.
Alors qu'il roulaient doucement sur les rails, Harry ne put s'empêcher de noter quelques noms familiers sur les coffres devant lesquels il passait. Rogue, Longdubas, Turpin, Nott, Vector, Abbot...les noms ne cessaient de défiler. Harry nota même à son horreur le nom Malfoy, mais en y regardant de plus près il rit bruyamment en notant que leur coffre avait le nombre 99." Très près Draco ", marmotta Harry, " juste deux coffres plus loin et tu n'aurais pas un sang aussi pur que tu nous le fais croire." Harry enregistra cette information pour peut-être taquiner Dracon par la suite, alors que le char à mine freinait puis stoppait.
" Nous y voilà monsieur, coffre numéro 37, coffre familial des Potter. " Griphook répéta la procédure demandant la lanterne de nouveau, et approcha les portes aussi grandes que celles de la Grande Salle à Poudlard. Et de nouveau, comme il l'avait fait pour le coffre 713 il y a cinq ans, il traça une ligne de son long doigt osseux le long de la porte devant lui, jusqu'à ce qu'un clic bruyant puisse être entendu, mais les portes ne s'ouvrirent pas. Griphook recula alors et se retourna pour s'adresser à Harry. " S'il vous plaît monsieur, placez la paume de votre main dans le cercle désigné, et prononcez clairement votre nom complet. C'est la dernière mesure de sécurité en place pour permettre l'accès à votre coffre."
Et Harry fit donc ainsi. Il s'avança, plaça sa main droite là où Griphook l'indiquait, et prononça d'une voix claire, " Harry James Potter." Les portes s'ouvrirent, et Harry avança dans le coffre de sa famille complètement choqué.
Il ne savait pas à quoi s'attendre évidemment. Harry n'avait pas spéculé à propos de la taille du coffre des Potter durant sa longue course ici, mais Harry ne s'attendait jamais à ceci. La pièce était grande! Au moins dix fois plus grande que son autre coffre, sans doute plus. Et ce n'étaient pas justes les piles de monnaie. Il y avait beaucoup plus. Bijoux, livres, fournitures, portraits, armes. Tout ce à quoi vous pouviez penser était juste devant lui. Ajoutez une glacière et une cuisinière, et l'on pourrait même vivre dans ce soi-disant "coffre."
" Griphook ", commença Harry, " est-ce juste moi, ou tout cela est-il incroyable ?"
Harry jura de nouveau que Griphook avait ri avant de se retourner, " Je n'ai été que dans quelques coffres familiaux à ce niveau, et ne suis pas à liberté de vous dire ce que j'ai vu à l'intérieur, mais je me dois d'être d'accord avec vous, c'est particulièrement impressionnant. L'argent, les bijoux et autres éléments similaires sont normaux, mais les fournitures, armes, livres sont plutôt inhabituels. Normalement je crois, ils devraient être placés dans une maison. Pour une quelconque raison, votre famille a décidé de garder beaucoup de leurs possessions ici. Si vous désirez regarder autour, veuillez le faire, mais rappelez-vous, aucun argent de ce coffre ne doit dépasser ces portes. Si cela se produit, un des directeurs de banque sera alerté d'un retrait illégal, et vous aurez une vue beaucoup plus proche de ces dragons qui vous intéressaient tant auparavant."
Harry ne pouvait qu'accepter en commençant à regarder autour. Les piles d'or et d'argent s'expliquaient facilement, ainsi que les bijoux et autres valeurs. Bien qu'il y en ait en grandes quantités, Harry les dépassa et se dirigea directement vers l'arrière de la pièce. Des livres, de toutes tailles et formes, étaient partout : pilés haut par-dessus les fournitures, placés dans de grandes bibliothèques, même empilés sur le sol." Si Hermione était ici, elle ne partirait jamais ! " pensa Harry. Les objets d'art étaient aussi impressionnants. La plupart étaient enveloppés précautionneusement, mais quelques pièces étaient ouvertes, et Harry put apercevoir les portraits de ce qui devait être sa famille.
A la droite des livres et fournitures, attachées au mur, étaient les armes qu'Harry avait vues auparavant. Il semblait que tout un arsenal était stocké ici. Epées, dagues, arcs, lances, armures...la liste était interminable. Et en y regardant de plus près, certaines des armes semblaient briller d'une étrange lumière." Evidemment ", pensa Harry, " certaines de ces armes doivent être magiques. Je me demande quelles propriétés elles ont ? "
Refaisant son chemin à l'avant du coffre, Harry regarda les boîtes alignées contre les murs. Celles-ci constituaient les objets les plus déplacés dans ce coffre, puisque c'étaient de simples boîtes de rangement moldues. Harry compta qu'il y en avait six en tout, placées l'une au-dessus de l'autre en pyramide. Ne s'inquiétant pas trop de combien de temps il prenait, Harry marcha vers la boîte du haut et tenta de l'ouvrir, mais une vieille enveloppe poussiéreuse était posée au sommet de la boîte. Un mot était écrit dessus. Harry.
Lentement, Harry ouvrit la lettre qui lui était adressée, et des larmes coulèrent de ses yeux alors qu'il lisait la lettre qui lui avait été écrite presque 15 ans plus tôt, de ses parents.
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Notre très cher Harry,
Si tu lis cette lettre, alors nous nous excusons, car cela signifie que nous Sommes morts, et que tu as vécu. Nous savons depuis un certain temps Que Lord Voldemort est après nous, et a apparemment réussi. Nous ne Savons pas dans quelle sorte de monde tu as grandi, mais avec bon espoir Voldemort n'est plus et tu as mené une vie heureuse avec Sirius Black, ton Parain. C'était notre désir qu'il te garde si quoi que ce soit nous arrivait, et C'est un homme bon. Si Sirius n'a pas survécu à la guerre, ce dont nous Espérons n'est pas le cas, alors nous t'avons placé aux soins d'Albus Dumbledore, Qui est légèrement fou, mais un homme doux et bon. Il te placera dans une Maison où tu seras aimé et en sécurité, et te gardera quand tu auras grandi.
Si les choses vont telles que prévues, et que tu es avec Sirius, tu as 13 ans Maintenant, et bon anniversaire ! C'était notre vœu de te rendre tes possessions Légitimes, qui sont dans les murs de ce coffre. Si les choses avec Sirius ne Fonctionnent pas, ce qui nous l'espérons ne se produira jamais, tu seras alors informé Par les gobelins de Gringotts la veille de ton 17e anniversaire, lorsque tu deviendras un Adulte. Ou si tu ressembles un tant soi peu à ton père, un vrai faiseur de troubles, tu Liras cette lettre longtemps avant que tu sois supposé.
Tu dois te demander pourquoi ce coffre contient tant d'objets qui n'ont aucun droit à Etre dans un coffre de banque, et cette raison est simple. Quand nous avons découvert Que Voldemort était après nous, nous avons décidé de nous cacher avec toi, pour te Protéger à tout prix. Abandonner notre maison nous a fait beaucoup de mal, mais était Nécessaire pour assurer ta sécurité. Ce n'était donc pas une perte totale, le Manoir Potter Fut virtuellement vidé de ses valeurs, et son contenu amené ici. Nous craignons que le Manoir Ne soit depuis longtemps détruit, mais s'il ne l'est pas, il t'appartiendra de nouveau quand tu Seras adulte. Nous allons nous cacher à notre maison d'été à Godric Hollow, et si cela survit Aussi à la guerre, elle t'appartient également désormais.
Les caisses sur lesquelles cette lettre fut placée contiennent tous les documents légaux, expliquant Les possessions que ta famille a, ainsi qu'un inventaire complet de toutes les choses amenées Ici depuis le Manoir Potter. Bien que nous n'aimons pas nous vanter, la ligne Potter est très Vieille et très distinguée, et nos ancêtres ont été très sages dans les investissements qu'ils ont Faits au long des années. Inutile de le dire, tu viens de devenir un très riche jeune homme, basé Uniquement sur la valeur des propriétés. La monnaie actuelle est sujette à des taux d'intérêts, et A été avec bon espoir douce au long des années.
Le petit fonds de réserve que nous avons installé séparément pour toi a été créé dans l'intention de Te servir durant tes années scolaires. Si Voldemort n'a pas encore été vaincu, il devrait y en avoir Assez pour durer au moins jusqu'à ce que tu obtienne ton diplôme, et est capable de sécuriser ton Embauche. Si comme nous l'espérons, et que Voldemort est mort, nous osons dire alors que les doux Taux d'intérêts feront de tes fonds de réserve une petite fortune en soi- même. Sens toi libre de transférer toute Monnaie restante à ce coffre, ou gardes cela séparé si tu le désires.
Juste pour que tu le saches, au cas où ton père ait raison et que tu rentres ici longtemps avant que tu n'en Soit supposé, jusqu'à ce que tu sois un adulte légal, ou que tu n'en soit permis par ton gardien (Sirius seulement), Tu n'es pas autorisé de dépenser l'argent inclus dans ces murs. Cependant, les fournitures, livres, papiers dans ces caisses, Etc...sont de libre accès pour toi. Gardes juste tes mains hors de l'argent et des bijoux ! Nous espérons que tu auras Une belle maison un jour pour la remplir avec tes possessions, et jusqu'à ce que tu en ais une, gardes s'il te plaît Les possessions de ta famille en sécurité dans ce coffre.
Encore une fois, s'il te plaît crois combien nous t'aimons, et saches que nous sommes morts nous battant pour un Monde où nous voulions que notre fils puisse vivre. Nous aurions pu fuir, ou nous donner à Voldemort comme Tant d'autres l'ont fait, mais nous ne nous serions jamais pardonné à nous même. Le monde que nous connaissons Maintenant n'est pas un monde dans lequel nous voulons que tu grandisses. Au revoir Harry, il n'y a plus beaucoup A dire, et je suis sûre qu'au long des années tu auras toutes tes questions à propos de nous répondues. Encore une Fois, nous t'aimons, et espérons que tu continues à mener une vie très gaie et joyeuse.
Avec notre plus profond amour,
Maman et Papa.
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Harry pleurait toujours ouvertement en repliant soigneusement la lettre, et la glissa dans une poche de ses robes. Il n'aurait jamais pensé qu'il pourrait être aussi heureux et aussi triste en même temps, mais c'est ce qu'Harry ressentait en ce moment.
Heureux parce que maintenant il savait que ses parents l'aimaient, implicitement. Evidemment, cela était mentionné avant, mais Harry n'avait jamais eu de preuve tangible, c'étaient juste les rêves d'un petit enfant, apeuré, enfermé dans un petit placard. Mais cette lettre était une évidence, une preuve, que ses parents ne sont pas morts par accident, mais complètement pour Harry. Et ils sont morts pour le protéger, des horreurs même de Voldemort qui se répandaient de nouveau dans le monde magique. Lisant la lettre de ses parents, Harry devint encore plus déterminé dans ses convictions que jamais de se dresser et combattre Voldemort et ses mangemorts. Si la cause était assez bonne pour que ses parents meurent pour elle, pour protéger leur fils contre cela, alors la cause était assez bonne pour Harry. Et non seulement pour l'enfant futur qu'il pourrait avoir un jour s'il était extrêmement chanceux, mais pour tout enfant qui ne devrait jamais connaître la terrible enfance qu'Harry avait eue, grandir sans parents, sans amour, et sans espoir.
Mais il était aussi triste, et légitimement. Manifestement ses parents souhaitaient qu'il grandisse avec Sirius, et non seulement cela ne se passa jamais, mais Sirius était maintenant mort, et la lettre rappela de douloureux sentiments de culpabilité qu'Harry pensait rejetés. Harry était aussi triste parce que ses parents avaient placé leur confiance en Dumbledore, et il l'a manifestement trahie comme il l'a fait pour Harry. Harry avait peut-être été placé dans une maison où il était en sécurité, mais il n'y avait définitivement pas d'amour. Et nulle part dans la lettre ses parents ne mentionnaient cette maudite prophétie. Cela signifiait que Dumbledore ne la leur a jamais dite, un droit qu'il n'avait jamais eu. Ses parents n'ont jamais su pourquoi Voldemort était après eux, et s'ils avaient su, peut être quelque chose aurait-il été fait différemment. Harry s'était senti un pion de Dumbledore avant, mais jamais plus qu'en ce moment. Comment un homme ne pouvait-il pas dire aux parents d'un enfant, aimants, tendres parents, que la destinée de leur enfant unique était de détruire un homme aussi maléfique?
Harry pensa à toutes ces choses en se dirigeant hors des portes du coffre, ne prenant que la lettre de ses parents avec lui. Il reviendrait plus tard pour collecter quelques livres, mais pas maintenant. Non seulement n'avait- il nulle part où les mettre, mais Harry n'avait pas envie de plonger dans les possessions de ses parents morts pour le moment.
" Griphook, j'aimerais revenir maintenant s'il vous plaît. " murmura Harry.
" Oui monsieur, tout de suite. " Griphook semblait sentir l'humeur d'Harry, et ne dit rien de plus.
Le retour au hall de Gringotts fut aussi long et aventureux que la course qu'il avait eue avant, mais Harry ne le remarqua pas. Il prit ce temps pour se rassembler. Il avait encore beaucoup à faire aujourd'hui, et il était plus convaincu que jamais que cela devait être fait. Autant Harry avait envie de s'effondrer dans un lit et de pleurer, cela devrait attendre pour le moment.
Le char à mine, vingt minutes plus tard, s'arrêta dans le hall, et Harry en sortit. Avant qu'il ne se rende au Bureau d'Information et d'Echange Moldu, il se retourna vers Griphook et s'agenouilla devant lui. " Griphook, c'a été un jour très émotionnel et important pour moi. Merci d'avoir été honnête et pour toute votre aide. S'il y a quelque chose que je peux jamais faire pour vous, n'hésitez pas à demander. Je sais que les relations sorciers/gobelins ne sont normalement pas aussi bonnes, mais s'il vous plaît regardez au-delà de cela. Merci."
Griphook sembla sidéré et ne fit que hocher alors qu'Harry se levait et partait lentement. Il avait encore des affaires à faire à Gringotts, et il n'y avait de meilleur temps que le présent. Harry se rendit de nouveau à la fin d'une ligne, et regarda de nouveau à un gobelin différent derrière un autre bureau.
" Puis-je vous aider monsieur ? " demanda le gobelin.
Harry, qui avait remis ses lunettes de soleil en entrant dans le hall, inclina sa tête recouverte d'une capuche au gobelin en réponse. " Oui. J'ai l'intention de faire beaucoup d'achats dans le monde moldu dans les prochaines semaines, et ai besoin de convertir une grande quantité de gallions en monnaie moldue. Je n'ai jamais converti une large somme avant, et me demandais s'il y avait un différent taux d'échange, ou si Gringotts prend un pourcentage différent sur de larges quantités ? "
" Intelligent de votre part de vous en inquiéter monsieur. " Répondit le gobelin. " Bien que les taux d'échange restent les mêmes, le taux normal de commission de 11% descend d'1% pour des quantités de plus de 1000 gallions, et 3% pour des quantités de plus de 1000 gallions. "
" Très bon, merci beaucoup ", dit Harry, " mais mes affaires dans le monde moldu requerrons de moi de faire des achats beaucoup plus chers. Y a t'il d'autres options ? "
Les yeux du gobelin s'agrandirent grandement à l'affirmation d'Harry. Harry parlait de beaucoup d'argent, et tout le monde savait que les gobelins étaient gloutons comme des démons. " Oui monsieur, et pourrais-je dire, très intelligent de votre part de demander. Il y a une autre option moins connue que la plupart des sorciers ne choisissent pas parce qu'ils ne la comprennent pas complètement. Dites-moi monsieur, savez-vous ce qu'est une carte de crédit ? "
Harry rit presque à la question du gobelin. Bien qu'il ait rarement vu sa tante ou son oncle s'en servir, puisqu'il n'avait jamais le droit d'aller faire les courses, Harry savait évidemment ce qu'une carte de crédit était. Il riait presque parce que si le gobelin disait ce qu'il pensait qu'il disait, il pouvait presque imaginer un confus sorcier pur-sang, tenant une petite pièce de plastique, et essayant de figurer d'où l'argent venait.
" Oui, je suis familier avec les cartes de crédit. " Répondit Harry.
" Très bien. " Continua le gobelin." La dernière option à laquelle je me réfère délivre une carte de crédit moldue standard en votre nom, mais la note vient ici à nous. Nous convertissons la somme de vos achats en monnaie sorcière en utilisant un taux d'échange standard, et retirons cette quantité de votre coffre. La limite de crédit est toujours la moitié de la quantité d'or dans le coffre en question, et le taux de commission que Gringotts met en œuvre diffère légèrement. Au lieu d'un pourcentage fixe fait de la somme que vous dépensez, Gringotts va déduire un taux plat de 50 gallions par mois. C'est environ la quantité que nous prendrions à travers des commissions normales si vous échangiez 6000 gallions. Vous pouvez annuler la carte de crédit à tout moment, mais tout mois en cours est facturé 50 gallions. "
Harry était extatique. C'était exactement ce dont il avait besoin, un moyen de dépenser de l'argent moldu sans avoir à porter une grande quantité de liquide. Et il n'aurait jamais à visiter Gringotts de nouveau en personne s'il ne le voulait pas. " Oui, j'aime cette option. " Harry informa le gobelin. " Existe t'il une option similaire offerte pour faire des affaires avec l'argent sorcier ? " Harry pensait que cela ne ferait pas de mal de demander.
" Oui monsieur ! " Les yeux du gobelin s'agrandirent de nouveau. " Nous offrons une bourse enchantée qui offre un lien direct à votre coffre. Seul votre main peut y prendre de l'argent, mais tout le monde peut y faire des dépôts. Dites simplement à haute voix le montant que vous désirez retirer, introduisez votre main, et le montant correct de gallions sera à l'intérieur. Normalement nous offrons cette bourse pour le prix de 300 gallions, mais pour un si bon consommateur tel que vous, je vais baisser le prix à 200. "
Harry rit intérieurement de nouveau. S'il avait su cela avant, il aurait payé 400 gallions pour avoir un accès si aisé à son coffre. Mais il retint le sourire qui menaçait son visage, parce qu'il savait quelles types de créatures étaient les gobelins. Tous n'étaient pas aussi honnêtes que Griphook. " Je vais vous dire " , dit-il au gobelin, " baissez le prix de la bourse à 150 gallions, et je vais prendre cela, plus la carte de crédit avec la garantie que je ne vais pas annuler pour au moins un an. Avons-nous un marché ? " Harry supposa que pour certaines personnes, comme les Weasley, les 450 gallions qu'Harry était sur le point de dépenser étaient une grande quantité de monnaie. Mais prenant en compte les 2.000.000 de gallions dans son fond de réserve, sans mentionner sa fortune familiale à laquelle il aurait accès dans environ un an, Harry n'avait aucun remord à dépenser son argent.
Manifestement le gobelin pensait de la même façon que les Weasley, et n'essaya même pas de marchander sur le prix. " D'accord ! " cria t'il. " Veuillez vous rendre dans mon bureau monsieur, pour remplir les papiers appropriés, et vous pourrez partir dans très peu de temps. Voulez-vous du thé ? " Harry ne fut pas surpris que le gobelin ait accepté aussi vite qu'il l'avait fait, mais quand il mit un signal de fermeture sur son bureau, devant une ligne d'au moins dix personnes, Harry fut tout de même un peu choqué.
Cependant, il aimait les résultats rapides, déclina poliment le thé, et entra le bureau du gobelin. Une fois dans un semblant de privauté, Harry échangea de nouveau les lunettes de soleil qu'il portait contre les siennes afin qu'il puisse lire correctement les papiers. Cela semblait être très standardisé, et il n'eut aucun problème à signer les papiers, mais Harry savait qu'il devait résoudre de nouveau le problème de Dumbledore.
" Excusez-moi monsieur ? " s'adressa Harry au gobelin. " Tout semble en ordre, et j'ai rempli toutes les informations requises, mais j'ai une question qui pourrait influencer ma décision finale. " Harry remarqua que le gobelin se redressait à cette affirmation. Manifestement il ne voulait pas perdre une telle opportunité.
" J'ai été amené à comprendre que certaines précautions sécuritaires inhabituelles ont été placées sur mon compte. Je sais qu'un Mr Albus Dumbledore est notifié si certains critères sont rencontrés. Je crois comprendre qu'en signant ces documents, je ne suis pas en condition de rencontrer ces critères qui informerons Mr Dumbledore de mes actions. Je voudrais votre assurance que je suis correct dans mes présomptions, et une réponse honnête dans le cas contraire pourrait être très profitable pour Gringotts. "
Le gobelin regarda bizarrement à Harry, et commença à parler. " Monsieur, je ne suis pas sûr de quelles précautions sécuritaires vous parlez, mais soyez sûr que toutes nos relations d'affaires sont assez confidentielles. Si vous voulez plus d'assurances... " le gobelin cessa de parler dès qu'Harry eut relevé sa capuche et enlevé son bonnet de ski. Cicatrice et brillants yeux verts visibles, il n'y avait aucun doute que le gobelin l'ai désormais reconnu.
" Mr Pott-tter ! " bégaya le gobelin. " Je dois dire que c'est un honneur de mener de telles affaires avec une personne telle que vous. Oui, maintenant je comprends vos questions. Si je peux être franc? Est-ce votre désir de garder les problèmes dont nous avons discuté de l'attention de Mr Dumbledore ? "
" Oui, " répondit Harry, " ça l'est. "
" Et bien alors monsieur, tant qu'aucune condition ne nécessite qu'un directeur de banque informe Dumbledore de vos actions, toutes nos affaires sont gardées confidentielles. Personne d'autre n'a besoin de savoir. Cependant, bien que j'assume que des directives ont été agréées entre les directeurs de banque et Mr Dumbledore, je n'ai personnellement aucune idée de ce qu'elles pourraient être. Je pourrais toujours demander, mais cela mènerai à ce que les directeurs de banque deviennent conscients de vos questions. Mais si je peux me permettre, les papiers liés au Département d'Echange Moldu demeurent généralement à l'intérieur de celui-ci. Je pense que vous serez en sécurité tant que vous adhèrerez à quelques directives qui soient mises en place. "
De nouveau, un gobelin disait à Harry exactement ce qu'il avait besoin de savoir. Tant qu'il ne faisait pas un retrait ou achat qui excède 1000 gallions, ou 20.000 en un mois, Dumbledore ne saura jamais. Carte de crédit ou non, porte-monnaie enchanté ou non. Harry n'avait que peu d'expérience à traiter avec des gobelins, mais il les appréciait déjà. Très stricts et confidentiels, ils obéiraient aux règles et lois à la lettre. Mais toute échappatoire qui puisse exister n'embêterait pas les gobelins, et ils prenaient sans doute avantage de lois écrites peu intelligemment.
" Très bien monsieur ! Je pense que nous avons un marché alors. " Harry tendit les papiers au gobelin. " Et je vous remercie pour votre honnêteté et opinion. Je pense que notre conversation et ma présence ici aujourd'hui peuvent rester entre nous-même ? "
Le gobelin sourit de nouveau. " Oui, absolument Mr Potter. C'a été un plaisir de faire des affaires avec vous. " Harry ne put s'empêcher de penser que le sourire du gobelin était causé par le papier du sommet, qui était l'acte d'achat du porte-monnaie enchanté. Le prix a été rempli à 300 gallions. Apparemment, Harry avait oublié son escompte de bon consommateur.
Et donc avec cela, quinze minutes plus tard, Harry sortait de Gringotts, dans la brillante lumière de la mi-journée. Ayant de nouveau mis ses lunettes de soleil et son bonnet de ski, Harry regarda le soleil et estima qu'il devait être aux environs des 11h. Il avait du passé environ près de 3h à Gringotts, et avait toujours beaucoup à faire ce jour-ci. Donc avec sa nouvelle carte de crédit dans son portefeuille, et un porte-monnaie enchanté en poche, Harry sortit pour faire quelques sérieuses dépenses.
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Et voilà le troisième chapitre. 14 pages Word, je n'en reviens pas. Pour la suite, je pense que je ne pourrai la mettre que dans deux semaines, mais comme j'ai déjà dis à certains de mes revieweurs, mieux vaut des mises à jour éloignées que quatre d'un coup et rien pendant un ou deux mois. Bon, j'espère que vous avez aimé. Et pour les réponses aux reviews, voilà :
Artemis : merci beaucoup pour ta review, ça m'a fait très plaisir.
Le Dragon Noir : merci beaucoup, tu es vraiment adorable. Bon, pour MSN, on a apparemment réussi à se débrouiller. Et pour mes mises à jours, je crois que tu as compris avec l'explication que je viens de mettre. Merci beaucoup pour la conversation hier soir, j'avais trop aimé, c'était vraiment génial. Bon, gros bisous, et j'espère que tu as aimé.
Tiffany Shin : merci, j'apprécie. Tu as aimé ?
Khisanth : je penses que tu n'as pas tout compris : c'est une traduction (parfois un peu libre, d'accord), alors l'imagination, je n'en ai pas besoin en réalité. Sinon, voilà enfin la suite. J'espère que tu aimes toujours autant.
Tidus : ça c'est gentil. Pour l'action, il y en aura un tout petit peu dans le quatrième, celui-ci est très informatif et quand même indispensable. Pour l'action, il faut attendre quand même longtemps, car c'est surtout descriptif, mais le principe est quand même intéressant (se servir du pouvoir du temps pour se perfectionner, ainsi que se rebeller contre Dumbledore. Bon, je radote là). Bon, gros bisous aussi, et j'espère que tu l'as quand même aimé, je l'ai trouvé bien ce chapitre aussi.
Andadrielle : t'es trop super aussi, et vraiment enthousiaste, ça fait vraiment plaisir de connaître des personnes comme toi. Merci pour ta review au fait, les tiennes me font toujours sourire. Bon, à plus, et encore merci.
Petites sorcières : c'est l'auteur qui a coupé là, il ne me viendrait même pas à l'idée de couper avant la fin, même si cela signifiait uploader plus vite. Sinon, c'est vrai que Dung s'est bien fait avoir, bien fait pour lui. Bon, j'espère que vous avez aimé. Bisous, et @ plus.
Voilà, la suite dans deux semaines (je crois l'avoir déjà dis d'ailleurs, mais bon...). Gros bisous à tous, et encore merci à mes revieweurs, c'est vous qui me faites avancer.
Serena.
Chapitre 3 : dans les entrailles de Gringotts
Marchant à l'intérieur du Chaudron Baveur si tôt le matin, celui-ci était virtuellement vide. Harry pouvait voir Tom se tenir derrière le bar essuyant quelques verres avec un torchon, et quelques patrons assis autour de deux tables à l'arrière. Harry devina qu'il était encore tôt, mais ne savait pas l'heure exacte car il n'avait toujours pas remplacé sa montre depuis la deuxième tâche du Tournoi des Trois Sorciers. Acheter une nouvelle montre était juste l'un des éléments sur sa très longue liste d'achats pour la journée. Mais le premier stop, c'était Gringotts.
Se dépêchant de traverser la taverne afin de ne pas être vu, avec Hedwige sur son épaule, Harry entra dans l'allée arrière et tapa les quelques briques qui permettaient l'entrée sur le Chemin de Traverse. « Trois en bas, deux de côté. » marmotta Harry en se rappelant la combinaison correcte. Il n'avait pas été sur le Chemin de Traverse depuis avant sa troisième année, et c'était une merveille qu'il puisse encore s' en rappeler. L'arcade s'ouvrit, et Harry courut presque à travers, tellement il était pressé de commencer ses achats du jour. Les grandes colonnes blanches de Gringotts se dressaient à distance, et Harry avança rapidement à travers les deux massives portes frontales. Harry se rappelait la peur qu'il avait sentie à passer devant les gardes gobelins durant son premier voyage avec Hagrid.
Approchant du bureau d'un banquier, Harry pris la queue pour attendre son tour. Pour s'assurer ne pas être vu, il garda sa capuche haute, et sa tête basse. Ce fut finalement son tour, et Harry s'approcha du comptoir. « Je voudrais accéder à mon coffre s'il vous plaît. » dit Harry en glissant sa clé sur le bureau. « Je voudrais aussi vous demander d'échanger quelque monnaie en argent moldu. C'est nouveau pour moi, j'ai donc quelques questions. »
Le gobelin assis au-dessus d'Harry regarda intensément sa clé, mais ne demanda pas une identification d'identité. Harry se demanda si le gobelin savait qu'il essayait de cacher son identité. Mais aussi, avec toutes les transactions qu'ils devaient faire avec les mages noirs et autres, Harry devina que tant qu'ils étaient payés, les gobelins ne s'inquiétaient pas. Il parla finalement après avoir examiné une minute la clé d'Harry. « Veuillez aller sur votre droite et dites au gobelin affecté au transport que vous désirer visiter votre coffre monsieur. Il vous escortera là-bas. Et pour votre autre requête, vous pouvez demander un transfert de fonds au Bureau d'Information et d'Echange Moldu à votre retour. Il y a quelques options différentes, alors écoutez bien. Bonne journée, monsieur. »
Harry hocha en remerciement, repris la clé de son coffre, et sortit de la ligne vers la droite, marchant vers le gobelin qui attendait déjà au chariot de mine. Harry monta par-dessus le côté, et fut heureux qu'Hedwige ait décidé d'attendre dehors, vu le chariot commençait à prendre de la vitesse.
« Coffre 1295 s'il vous plaît ! » cria Harry au conducteur au-dessus du bruit du chariot.
« Oui M. Potter, nous serons là-bas dans très peu de temps. » Répondit le gobelin.
Harry se demanda comment le gobelin connaissait son nom et le regarda de près. Bien qu'Harry soit derrière lui, et faisait face au dos du gobelin, Harry reconnut assez tôt la petite forme de Griphook, le même gobelin qui l'avait escorté à son coffre toutes ces années auparavant. Harry, pensant que cela serait poli, dit, « Merci à vous Griphook. C'est bon de vous revoir. »
Sa réponse fit se faire retourner Griphook et regarder Harry bizarrement, mais celui-là ne dit rien. Quelques minutes plus tard, après beaucoup de tours et détours, le chariot s'arrêta, et Griphook descendit suivi par Harry.
« Lanterne s'il vous plaît. » ordonna Griphook envers Harry, et Harry se pencha dans le chariot pour prendre la lumière, pas le moins du monde surpris par la requête. Il la tendit à Griphook, et regarda le petit homme trotter vers les grandes portes du coffre. La prochaine requête ne choqua pas non plus Harry. « Clé s'il vous plaît. » Harry tendit la clé de son coffre à Griphook et recula, regardant les portes s'ouvrir en grand. Griphook rendit sa clé à Harry et se tint au côté des portes du coffre, attendant qu'Harry fasse ses affaires.
Harry avança dans son coffre, toujours stupéfait par les larges piles de gallions d'or, de mornilles d'argent, et de noises de bronze qui se dressaient haut depuis le sol. Harry ne pouvait même pas dire qu'il avait pris de l'argent hors de son coffre pendant les cinq dernières années. Alors qu'il ne dépensait jamais une énorme quantité d'argent dans le passé, il en dépensait toujours une assez grande quantité durant toutes ces années en cadeaux de Noël, visites à Pré-au-Lard, et ses fournitures scolaires annuelles.
« Griphook », demanda Harry, « pouvez-vous me dire la quantité d'argent que j'ai actuellement ? »
« Oui monsieur. » répondit-il. « Je vous demande pardon monsieur, mais comment me connaissez-vous ? »
Harry fut confus par la question, mais y répondit cependant. « Eh bien, vous ne vous rappelez peut-être pas, mais vous m'avez conduit une fois à mon coffre, il y a quelques années. Honnêtement, j'ai été assez surpris de vous revoir. Je suis sûr qu'il doit y avoir des centaines de gobelins travaillant à Gringotts, et je vous ai vu deux fois maintenant. Pourquoi demandez-vous ? »
Griphook fut prudent dans sa réponse, et prit un moment pour parler. "Je me rappelle votre précédente visite, c'est juste bizarre pour un sorcier, et un si jeune en l'occurrence, de se rappeler du nom d'un gobelin. Pour la plupart un gobelin est un simple gobelin. Je ne peux même pas me rappeler la dernière fois que j'ai été adressé par mon nom."
"Eh bien, déclara Harry, " je ne suis pas comme la plupart des sorciers que j'ai rencontrés. Durant les quelques années où j'ai été autour, je me suis lié d'amitié avec un dragon, un hypogriffe, deux géants, quelques elfes de maison, et une poignée de centaures. Je devine que cela vient de mon éducation moldue, mais je trouve l'attitude de la plupart des sorciers préjudiciable envers les autres espèces magiques. C'est l'une des choses les plus désagréables à propos du monde magique. Mais avec un idiot comme Ministre, à quoi peut-on s'attendre ? " Harry réalisa qu'il commençait à radoter, et s'arrêta là.
"Très bien, monsieur. Et pour votre question à propos de vos ressources, il devrait y avoir un parchemin enchanté vers l'arrière qui indique les actifs de ce coffre. Il se met à jour magiquement à chaque dépôt et retrait que vous faites. Si vous voulez, vous pouvez le prendre avec vous, puisque c'est juste une copie de l'original. Pour une liste complète de vos autres actifs, vous devrez voir un directeur de banque. " Griphook fut très serviable dans sa réponse.
Harry commença à grimper par-dessus la pile de noises avant même que Griphook n'ait fini sa réponse. Au coin arrière gauche de la pièce, il y avait en effet un petit piédestal avec un parchemin au sommet. Mais avant qu'Harry ne l'ait atteint, la dernière affirmation de Griphook le fit tombe. " D'autres actifs ! " cria Harry derrière lui. " Que voulez-vous dire par autres actifs ? "
Griphook sembla très inconfortable, mais répondit néanmoins. " Ce n'est normalement pas ma place de le dire monsieur, mais je crois que vous avez accès à un autre grand coffre dans l'un des niveaux bas et à haute sécurité. Ce coffre ne comprend que vos fonds de réserve qui ont été mis en place pour vous. L'autre coffre, si j'avais à deviner, est le coffre de la famille Potter. La plupart des familles à sang-pur en ont."
Harry fut plus choqué qu'il ne l'aurait cru. Il avait toujours su qu'il était riche, et que son père venait d'une lignée de pur-sang, mais il avait toujours assumé que ceci était son seul coffre. Il ne pouvait même imaginer ce qu'il pourrait y avoir dans un coffre plus grand et à haute sécurité. Au moins cela rendrait sa prochaine décision plus facile, spécialement s'il n'avait pas à se baser sur ses "fonds de réserve" pour le reste de sa vie. Harry reprit son sang-froid et monta le reste du chemin sur le piédestal à l'arrière. Le parchemin au sommet était un assez simple document. Il avait son nom au sommet, Harry James Potter, et la somme totale de ses fonds sur les lignes du bas. Entre les deux était un enregistrement des 15 derniers retraits que lui, ou Mme Weasley pour lui-même, avaient fait. Durant les cinq dernières années, Harry additionna rapidement, il avait retiré une quantité totale de 417 gallions, 3 mornilles, et 23 noises.
Regardant de nouveau à la ligne du bas, ce n'était pas une merveille qu'Harry ne puisse voir la différence dans les piles de monnaie chaque année qu'il passait ici. En accord avec le parchemin, qui selon Griphook était correct, Harry avait accès à une fortune. Plus précisément, environ 2.792.461 gallions ! " Whaou ! ", pensa Harry, " et c'est juste mes fonds de réserve ? Que peut-il y avoir dans l'autre coffre ? "
Cela lui prit un moment pour se rappeler la raison pour laquelle il était là en premier lieu, mais après un temps, Harry glissa le parchemin dans une poche de sa robe, et retira la lettre qu'il avait écrite la nuit précédente. Ouvrant l'enveloppe et sortant la lettre, Harry la relut une dernière fois.
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Cher Mr et Mme Weasley,
Je veux vous remercier tous deux pour tout l'amour et le support que vous m'avez offert Durant ces années. Ces derniers mois ont été durs pour moi, mais je pense Que j'ai finalement dépassé ma perte, et accepté mon rôle tel que je le vois. Cela n'a peut être aucun sens pour vous maintenant, mais dans un temps proche cela sera Probablement le cas. De toutes façons, j'ai décidé de devenir un peu plus indépendant après Les évènements de cette précédente année scolaire, et l'une des premières décisions que j'ai Faites est de repayer votre gentillesse de la seule façon que je peu. L'argent que j'ai Déposé sur votre compte est un petit symbole des remerciements que je peux vous donner Pour m'avoir accepté dans votre famille.
Si vous ressemblez un tant soi peu à Ron, ou Ginny, ou Fred et Georges, ou le reste De votre clan, je sais que vous voudrez refuser cet argent. J'ai laissé des instructions Pour Gringotts comme quoi vous ne serez pas capable de déposer d'argent sur mon Compte, jamais. Laissez-moi s'il vous plaît faire cela pour vous. Vous et votre famille Etes de si merveilleuses personnes, et m'avez donné ce dont j'avais si désespérément Besoin. Laissez-moi retourner votre gentillesse. Ne pensez pas à cela comme à de L'argent ; pensez juste comme moi-même je le fais, monnaie. Votre famille est riche de Gentillesse et d'amour, et il se trouve que je suis riche de gallions et de mornilles.
Je sais que cela peut être douloureux de vous le rappeler, mais vous souvenez-vous l'été Dernier quand vous (Mme Weasley) avez rencontré cet épouvantard, et avez vu Chaque membre de votre famille mourir. Je sais que c'était votre plus grande peur, mais Pour moi, me voir inclus dans votre famille était l'un de mes plus heureux moments. Je Suis sûr que vous savez, je n'ai jamais su ce qu'était l'amour jusqu'à ce que je quitte Les Dursley pour Poudlard, et rencontré de gentilles personnes comme vous.
Alors s'il vous plaît profitez de ce don. Achetez de nouveaux habits, quelques Balais, ajoutez une chambre ou deux au Terrier. Mr Weasley, vous pouvez Même allez acheter des prises et des piles à votre cœur content. Ou peut- être Remplacer votre ancienne voiture que j'ai contribué à détruire. Et ne vous inquiétez Pas à propos de moi, je ne vais pas citer des chiffres, mais j'ai beaucoup plus de Fonds d'où ils viennent. En fait, je vais à peine noter qu'ils manquent.
Je ne m'attends pas à ce que vous trouviez cette lettre jusqu'à au moins la moitié De l'été, donc si tout va comme je l'ai prévu, vous ne me verrez pas, et n'aurez Pas la possibilité de m'étrangler jusqu'à ce que vous ayez sérieusement considéré Mes mots, et combien cela compte pour moi. Ce n'est pas un acte de charité, c'est Simplement un acte d'amour. Les moldus dans une situation comme celle-ci ont une Merveilleuse maxime : ce qui est à moi est à vous, et ce qui est à vous est à moi.
Alors encore merci, et profitez. Je comprendrai si vous ne voulez pas mentionner Cela à vos enfants(je sais que Ron a tendance à être jaloux), ou si vous ne voulez Même pas me mentionner cela. Aucun remerciement n'est nécessaire.
Avec tous mes remerciements et amour,
Harry
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" Oui, ça sera très bien ", pensa Harry. Il se sentait toujours coupable quand ses amis devaient acheter des livres usés, ou porter des robes de seconde-main. Harry portait les vêtements usés de Dudley, et il haïssait cela avec ferveur. Il avait voulu faire cela pendant très longtemps, mais chaque fois qu'il allait à Gringotts, Molly Weasley était toujours à ses côtés, comme la mère nourricière qu'elle était. Il n'en avait jamais eu la possibilité. Maintenant il pouvait.
La nuit dernière quand Harry avait écrit la lettre, il n'avait pas une idée exacte de l'argent qu'il leur donnerait, mais il pensait que cela serait de quelques milliers de gallions. Cependant, après avoir su qu'il était beaucoup plus riche qu'il ne le pensait, Harry décida d'augmenter ce montant. Même s'il n'avait accès qu'à 2.792.461 gallions dans ce coffre seul, il pourrait toujours vivre avec pendant quelques dizaines d'années. Il avait l'intention de dépenser beaucoup avec toutes les courses qu'il avait prévues de faire aujourd'hui, mais Harry ne pouvait imaginer dépenser plus de cinq à dix milles gallions au plus.
" Griphook ", demanda Harry, " si je désire faire un dépôt dans un autre coffre que je ne possède pas, est-ce permis ? Et plus important, est-ce quelqu'un d'autre que nous deux en aura connaissance ? "
Griphook devint de nouveau nerveux, il ne cachait manifestement pas ses émotions très bien. " Mr, vous êtes autorisé à utiliser votre monnaie comme vous le désirez, y compris déposer dans un autre compte. Et pour votre autre question, je ne suis pas supposé vous dire. "
Harry avait suspecté cela. Après tout, Dumbledore avaient toujours contrôlé sa vie auparavant, pourquoi s'arrêter maintenant. Décidant de prendre un risque, Harry s'approcha du chétif gobelin lentement et le fixa directement dans les yeux. " Griphook, reportez-vous mes actions à qui que ce soit ici ? Je trouve cela bizarre de ne voir que vous chaque fois que je viens visiter mon coffre. Je ne veux pas vous causer des problèmes, et je jure que je ne vais pas répéter ce que vous direz à d'autres, mais je vous demande d'homme à homme. De quoi Albus Dumbledore est-il informé ? Il a contrôlé mes actions pendant beaucoup trop longtemps, et je ne suis pas surpris qu'il se mêle de mes affaires ici aussi. Dites-moi s'il vous plaît, de quoi est-il informé ? "
Griphook ne voulait visiblement pas répondre, mais il le fit, et Harry pensa que c'était une bonne chose de se rappeler du nom du gobelin après tout ce temps. La conversation qu'il avait eue précédemment avait manifestement persuadé Griphook de soit lui faire confiance, soit de l'apprécier assez pour aller contre les ordres de Dumbledore.
" Monsieur ", commença Griphook, " oui, j'ai peur que je doive reporter vos actions à mon supérieur. Comprenez s'il vous plaît que je suis sous de stricts ordres de faire ainsi. Il se trouve que je vous vois plus qu'honorable et poli, je vais donc vous dire ce que je dois reporter. " Griphook y fit allusion intentionnellement. " Bien que je ne connaisse pas tous les détails, ce que je sais est ceci. Vous êtes à liberté de faire ce que vous voulez des fonds de ce coffre. Cependant, une lettre est envoyée à Mr Dumbledore par mon supérieur direct si vous faites un simple retrait de plus de 1000 gallions, ou un retrait total de 20.000 gallions en un mois. Ces instructions ne concernent pas les transferts de fonds à d'autres comptes, puisqu'ils ne sont pas considérés comme des retraits. Etant mineur cependant, vous êtes incapable d'ouvrir de nouveaux comptes pour vous-même. Vous n'êtes pas autorisé d'effectuer de retrait de votre coffre familial que j'ai mentionné plus tôt, à moins d'être accompagné par votre gardien."
Griphook sembla presque s'arrêter ici, mais continua d'une voix tendue. " Entre vous et moi monsieur, une petite échappatoire connue dans la loi est que, bien que vous êtes incapable d'effectuer des retraits de ce compte étant mineur, vous y avez toujours accès. Ce n'est pas seulement de l'argent qui réside dans la plupart des coffres de famille, mais des objets personnels d'importance, actes et titres de propriété, et autres documents légaux semblables. Puisque votre coffre de famille a été fermé pendant beaucoup d'années, et que les taux d'intérêt ont fluctué dans le temps qui a passé, je ne pense pas que quiconque ait une idée exacte des sommes qu'il contient."
Ainsi les suspicions d'Harry étaient confirmées, Dumbledore regardait combien d'argent dépensait Harry. C'était une bonne chose que Griphook lui ait laissé savoir cela, parce qu'Harry avait l'intention de dépenser beaucoup d'argent aujourd'hui.
" Merci d'être honnête, j'apprécie cela. " Dit Harry au petit homme. " J'ai quelques petites choses à vous demander. Veuillez transférer 300.000 gallions au coffre familial d'Arthur et Molly Weasley, ainsi que cette lettre. Ne les informez pas de ce transfert, veuillez les laisser découvrir cela par eux-même. Je désire aussi retirer exactement un millier de gallions, afin de ne pas monter toute attention qui soit indésirable. Et je voudrais visiter mon coffre familial, pour évaluer sa valeur. Est-ce qu'une de ces actions requiers de vous un rapport à votre supérieur ?"
Griphook ne put s'empêcher de sourire narquoisement alors qu'il secouait sa tête et disait," Non monsieur, pas du tout."
Et donc Griphook aida Harry à compter exactement un millier de gallions à mettre dans son porte-monnaie, qui devint très lourd. Il aida aussi à compter une pile de 300.000 gallions du côté éloigné du coffre, pour être transféré aux Weasley plus tard dans la journée. La lettre d'Harry fut placée au sommet de la grande pile, les portes du coffre furent fermées, et quelques minutes plus tard, après une plus grande chevauchée qu'il ne s'y attendait, Harry était plus profondément sous Londres qu'il ne l'ait jamais été avant. Apparemment quand Griphook disait l'un des coffres les plus bas, il le signifiait réellement. Au lieu des coffres qu'il voyait normalement, le coffre de famille des Potter, nombre 37, était dans une place très différente par rapport à celles qu'il avait vu avant. Il avait toujours entendu des rumeurs de Dragons et autres gardant les coffres de Gringotts, mais Harry n'avait jamais vu quelque chose proche de ce niveau de sécurité avant, il ne considérait donc pas ces rumeurs pour vraies. Maintenant il pouvait dire qu'il avait eu tord. Il était dans une caverne si large qu'Harry ne pouvait voir le plafond d'où il était assis dans l'ombre. Les rails sous lui étaient soutenus par une très petite corniche, entourés par un gouffre profond. Harry se pencha au-dessus du côté du char de mine, et comme le plafond, ne pouvait voir non plus le fond. Et oui, il y avait des Dragons. Dix au compte d'Harry, plus petits que ceux qu'il avait rencontré avant et d'une espèce inconnue, mais dangereux néanmoins. Ils étaient perchés sur des affleurements de roche au long des murs par intervalles, surveillant précautionneusement la caverne.
" Griphook ? " Harry mourait de savoir la réponse à cette question. " Comment ces dragons sont-ils retenus? Et tous les coffres familiaux sont- ils sous autant de protection ?"
Harry n'en était pas sûr, parce qu'il n'avait jamais entendu un gobelin faire cela avant, mais il aurait pu jurer qu'il avait entendu Griphook rire légèrement." Monsieur, les dragons demeurent libres pour dissuader toute personne indésirable. Ils sont d'une espèce spéciale élevée seulement par des gobelins, et attaquent quiconque n'est pas accompagné d'un employé de Gringotts tel que moi-même, qui y a accès. Et non, les coffres familiaux ne sont pas tous situés à ce niveau. Les 100 premiers coffres dans Gringotts sont les plus vieux, et par là même appartiennent aux plus vieilles des familles à sang-pur, telle que la votre. Il y a une rumeur que vous pourriez aimer savoir, qui est que les coffres 1-4 appartenaient à l'origine aux quatre fondateurs de Poudlard. Il n'y a aucune preuve évidemment, et maintenant les coffres appartiennent à d'autres familles, mais cela est cru par beaucoup."
" C'est intéressant, merci." Harry ne pouvait s'empêcher d'être impressionné par les connaissances de Griphook.
Alors qu'il roulaient doucement sur les rails, Harry ne put s'empêcher de noter quelques noms familiers sur les coffres devant lesquels il passait. Rogue, Longdubas, Turpin, Nott, Vector, Abbot...les noms ne cessaient de défiler. Harry nota même à son horreur le nom Malfoy, mais en y regardant de plus près il rit bruyamment en notant que leur coffre avait le nombre 99." Très près Draco ", marmotta Harry, " juste deux coffres plus loin et tu n'aurais pas un sang aussi pur que tu nous le fais croire." Harry enregistra cette information pour peut-être taquiner Dracon par la suite, alors que le char à mine freinait puis stoppait.
" Nous y voilà monsieur, coffre numéro 37, coffre familial des Potter. " Griphook répéta la procédure demandant la lanterne de nouveau, et approcha les portes aussi grandes que celles de la Grande Salle à Poudlard. Et de nouveau, comme il l'avait fait pour le coffre 713 il y a cinq ans, il traça une ligne de son long doigt osseux le long de la porte devant lui, jusqu'à ce qu'un clic bruyant puisse être entendu, mais les portes ne s'ouvrirent pas. Griphook recula alors et se retourna pour s'adresser à Harry. " S'il vous plaît monsieur, placez la paume de votre main dans le cercle désigné, et prononcez clairement votre nom complet. C'est la dernière mesure de sécurité en place pour permettre l'accès à votre coffre."
Et Harry fit donc ainsi. Il s'avança, plaça sa main droite là où Griphook l'indiquait, et prononça d'une voix claire, " Harry James Potter." Les portes s'ouvrirent, et Harry avança dans le coffre de sa famille complètement choqué.
Il ne savait pas à quoi s'attendre évidemment. Harry n'avait pas spéculé à propos de la taille du coffre des Potter durant sa longue course ici, mais Harry ne s'attendait jamais à ceci. La pièce était grande! Au moins dix fois plus grande que son autre coffre, sans doute plus. Et ce n'étaient pas justes les piles de monnaie. Il y avait beaucoup plus. Bijoux, livres, fournitures, portraits, armes. Tout ce à quoi vous pouviez penser était juste devant lui. Ajoutez une glacière et une cuisinière, et l'on pourrait même vivre dans ce soi-disant "coffre."
" Griphook ", commença Harry, " est-ce juste moi, ou tout cela est-il incroyable ?"
Harry jura de nouveau que Griphook avait ri avant de se retourner, " Je n'ai été que dans quelques coffres familiaux à ce niveau, et ne suis pas à liberté de vous dire ce que j'ai vu à l'intérieur, mais je me dois d'être d'accord avec vous, c'est particulièrement impressionnant. L'argent, les bijoux et autres éléments similaires sont normaux, mais les fournitures, armes, livres sont plutôt inhabituels. Normalement je crois, ils devraient être placés dans une maison. Pour une quelconque raison, votre famille a décidé de garder beaucoup de leurs possessions ici. Si vous désirez regarder autour, veuillez le faire, mais rappelez-vous, aucun argent de ce coffre ne doit dépasser ces portes. Si cela se produit, un des directeurs de banque sera alerté d'un retrait illégal, et vous aurez une vue beaucoup plus proche de ces dragons qui vous intéressaient tant auparavant."
Harry ne pouvait qu'accepter en commençant à regarder autour. Les piles d'or et d'argent s'expliquaient facilement, ainsi que les bijoux et autres valeurs. Bien qu'il y en ait en grandes quantités, Harry les dépassa et se dirigea directement vers l'arrière de la pièce. Des livres, de toutes tailles et formes, étaient partout : pilés haut par-dessus les fournitures, placés dans de grandes bibliothèques, même empilés sur le sol." Si Hermione était ici, elle ne partirait jamais ! " pensa Harry. Les objets d'art étaient aussi impressionnants. La plupart étaient enveloppés précautionneusement, mais quelques pièces étaient ouvertes, et Harry put apercevoir les portraits de ce qui devait être sa famille.
A la droite des livres et fournitures, attachées au mur, étaient les armes qu'Harry avait vues auparavant. Il semblait que tout un arsenal était stocké ici. Epées, dagues, arcs, lances, armures...la liste était interminable. Et en y regardant de plus près, certaines des armes semblaient briller d'une étrange lumière." Evidemment ", pensa Harry, " certaines de ces armes doivent être magiques. Je me demande quelles propriétés elles ont ? "
Refaisant son chemin à l'avant du coffre, Harry regarda les boîtes alignées contre les murs. Celles-ci constituaient les objets les plus déplacés dans ce coffre, puisque c'étaient de simples boîtes de rangement moldues. Harry compta qu'il y en avait six en tout, placées l'une au-dessus de l'autre en pyramide. Ne s'inquiétant pas trop de combien de temps il prenait, Harry marcha vers la boîte du haut et tenta de l'ouvrir, mais une vieille enveloppe poussiéreuse était posée au sommet de la boîte. Un mot était écrit dessus. Harry.
Lentement, Harry ouvrit la lettre qui lui était adressée, et des larmes coulèrent de ses yeux alors qu'il lisait la lettre qui lui avait été écrite presque 15 ans plus tôt, de ses parents.
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Notre très cher Harry,
Si tu lis cette lettre, alors nous nous excusons, car cela signifie que nous Sommes morts, et que tu as vécu. Nous savons depuis un certain temps Que Lord Voldemort est après nous, et a apparemment réussi. Nous ne Savons pas dans quelle sorte de monde tu as grandi, mais avec bon espoir Voldemort n'est plus et tu as mené une vie heureuse avec Sirius Black, ton Parain. C'était notre désir qu'il te garde si quoi que ce soit nous arrivait, et C'est un homme bon. Si Sirius n'a pas survécu à la guerre, ce dont nous Espérons n'est pas le cas, alors nous t'avons placé aux soins d'Albus Dumbledore, Qui est légèrement fou, mais un homme doux et bon. Il te placera dans une Maison où tu seras aimé et en sécurité, et te gardera quand tu auras grandi.
Si les choses vont telles que prévues, et que tu es avec Sirius, tu as 13 ans Maintenant, et bon anniversaire ! C'était notre vœu de te rendre tes possessions Légitimes, qui sont dans les murs de ce coffre. Si les choses avec Sirius ne Fonctionnent pas, ce qui nous l'espérons ne se produira jamais, tu seras alors informé Par les gobelins de Gringotts la veille de ton 17e anniversaire, lorsque tu deviendras un Adulte. Ou si tu ressembles un tant soi peu à ton père, un vrai faiseur de troubles, tu Liras cette lettre longtemps avant que tu sois supposé.
Tu dois te demander pourquoi ce coffre contient tant d'objets qui n'ont aucun droit à Etre dans un coffre de banque, et cette raison est simple. Quand nous avons découvert Que Voldemort était après nous, nous avons décidé de nous cacher avec toi, pour te Protéger à tout prix. Abandonner notre maison nous a fait beaucoup de mal, mais était Nécessaire pour assurer ta sécurité. Ce n'était donc pas une perte totale, le Manoir Potter Fut virtuellement vidé de ses valeurs, et son contenu amené ici. Nous craignons que le Manoir Ne soit depuis longtemps détruit, mais s'il ne l'est pas, il t'appartiendra de nouveau quand tu Seras adulte. Nous allons nous cacher à notre maison d'été à Godric Hollow, et si cela survit Aussi à la guerre, elle t'appartient également désormais.
Les caisses sur lesquelles cette lettre fut placée contiennent tous les documents légaux, expliquant Les possessions que ta famille a, ainsi qu'un inventaire complet de toutes les choses amenées Ici depuis le Manoir Potter. Bien que nous n'aimons pas nous vanter, la ligne Potter est très Vieille et très distinguée, et nos ancêtres ont été très sages dans les investissements qu'ils ont Faits au long des années. Inutile de le dire, tu viens de devenir un très riche jeune homme, basé Uniquement sur la valeur des propriétés. La monnaie actuelle est sujette à des taux d'intérêts, et A été avec bon espoir douce au long des années.
Le petit fonds de réserve que nous avons installé séparément pour toi a été créé dans l'intention de Te servir durant tes années scolaires. Si Voldemort n'a pas encore été vaincu, il devrait y en avoir Assez pour durer au moins jusqu'à ce que tu obtienne ton diplôme, et est capable de sécuriser ton Embauche. Si comme nous l'espérons, et que Voldemort est mort, nous osons dire alors que les doux Taux d'intérêts feront de tes fonds de réserve une petite fortune en soi- même. Sens toi libre de transférer toute Monnaie restante à ce coffre, ou gardes cela séparé si tu le désires.
Juste pour que tu le saches, au cas où ton père ait raison et que tu rentres ici longtemps avant que tu n'en Soit supposé, jusqu'à ce que tu sois un adulte légal, ou que tu n'en soit permis par ton gardien (Sirius seulement), Tu n'es pas autorisé de dépenser l'argent inclus dans ces murs. Cependant, les fournitures, livres, papiers dans ces caisses, Etc...sont de libre accès pour toi. Gardes juste tes mains hors de l'argent et des bijoux ! Nous espérons que tu auras Une belle maison un jour pour la remplir avec tes possessions, et jusqu'à ce que tu en ais une, gardes s'il te plaît Les possessions de ta famille en sécurité dans ce coffre.
Encore une fois, s'il te plaît crois combien nous t'aimons, et saches que nous sommes morts nous battant pour un Monde où nous voulions que notre fils puisse vivre. Nous aurions pu fuir, ou nous donner à Voldemort comme Tant d'autres l'ont fait, mais nous ne nous serions jamais pardonné à nous même. Le monde que nous connaissons Maintenant n'est pas un monde dans lequel nous voulons que tu grandisses. Au revoir Harry, il n'y a plus beaucoup A dire, et je suis sûre qu'au long des années tu auras toutes tes questions à propos de nous répondues. Encore une Fois, nous t'aimons, et espérons que tu continues à mener une vie très gaie et joyeuse.
Avec notre plus profond amour,
Maman et Papa.
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Harry pleurait toujours ouvertement en repliant soigneusement la lettre, et la glissa dans une poche de ses robes. Il n'aurait jamais pensé qu'il pourrait être aussi heureux et aussi triste en même temps, mais c'est ce qu'Harry ressentait en ce moment.
Heureux parce que maintenant il savait que ses parents l'aimaient, implicitement. Evidemment, cela était mentionné avant, mais Harry n'avait jamais eu de preuve tangible, c'étaient juste les rêves d'un petit enfant, apeuré, enfermé dans un petit placard. Mais cette lettre était une évidence, une preuve, que ses parents ne sont pas morts par accident, mais complètement pour Harry. Et ils sont morts pour le protéger, des horreurs même de Voldemort qui se répandaient de nouveau dans le monde magique. Lisant la lettre de ses parents, Harry devint encore plus déterminé dans ses convictions que jamais de se dresser et combattre Voldemort et ses mangemorts. Si la cause était assez bonne pour que ses parents meurent pour elle, pour protéger leur fils contre cela, alors la cause était assez bonne pour Harry. Et non seulement pour l'enfant futur qu'il pourrait avoir un jour s'il était extrêmement chanceux, mais pour tout enfant qui ne devrait jamais connaître la terrible enfance qu'Harry avait eue, grandir sans parents, sans amour, et sans espoir.
Mais il était aussi triste, et légitimement. Manifestement ses parents souhaitaient qu'il grandisse avec Sirius, et non seulement cela ne se passa jamais, mais Sirius était maintenant mort, et la lettre rappela de douloureux sentiments de culpabilité qu'Harry pensait rejetés. Harry était aussi triste parce que ses parents avaient placé leur confiance en Dumbledore, et il l'a manifestement trahie comme il l'a fait pour Harry. Harry avait peut-être été placé dans une maison où il était en sécurité, mais il n'y avait définitivement pas d'amour. Et nulle part dans la lettre ses parents ne mentionnaient cette maudite prophétie. Cela signifiait que Dumbledore ne la leur a jamais dite, un droit qu'il n'avait jamais eu. Ses parents n'ont jamais su pourquoi Voldemort était après eux, et s'ils avaient su, peut être quelque chose aurait-il été fait différemment. Harry s'était senti un pion de Dumbledore avant, mais jamais plus qu'en ce moment. Comment un homme ne pouvait-il pas dire aux parents d'un enfant, aimants, tendres parents, que la destinée de leur enfant unique était de détruire un homme aussi maléfique?
Harry pensa à toutes ces choses en se dirigeant hors des portes du coffre, ne prenant que la lettre de ses parents avec lui. Il reviendrait plus tard pour collecter quelques livres, mais pas maintenant. Non seulement n'avait- il nulle part où les mettre, mais Harry n'avait pas envie de plonger dans les possessions de ses parents morts pour le moment.
" Griphook, j'aimerais revenir maintenant s'il vous plaît. " murmura Harry.
" Oui monsieur, tout de suite. " Griphook semblait sentir l'humeur d'Harry, et ne dit rien de plus.
Le retour au hall de Gringotts fut aussi long et aventureux que la course qu'il avait eue avant, mais Harry ne le remarqua pas. Il prit ce temps pour se rassembler. Il avait encore beaucoup à faire aujourd'hui, et il était plus convaincu que jamais que cela devait être fait. Autant Harry avait envie de s'effondrer dans un lit et de pleurer, cela devrait attendre pour le moment.
Le char à mine, vingt minutes plus tard, s'arrêta dans le hall, et Harry en sortit. Avant qu'il ne se rende au Bureau d'Information et d'Echange Moldu, il se retourna vers Griphook et s'agenouilla devant lui. " Griphook, c'a été un jour très émotionnel et important pour moi. Merci d'avoir été honnête et pour toute votre aide. S'il y a quelque chose que je peux jamais faire pour vous, n'hésitez pas à demander. Je sais que les relations sorciers/gobelins ne sont normalement pas aussi bonnes, mais s'il vous plaît regardez au-delà de cela. Merci."
Griphook sembla sidéré et ne fit que hocher alors qu'Harry se levait et partait lentement. Il avait encore des affaires à faire à Gringotts, et il n'y avait de meilleur temps que le présent. Harry se rendit de nouveau à la fin d'une ligne, et regarda de nouveau à un gobelin différent derrière un autre bureau.
" Puis-je vous aider monsieur ? " demanda le gobelin.
Harry, qui avait remis ses lunettes de soleil en entrant dans le hall, inclina sa tête recouverte d'une capuche au gobelin en réponse. " Oui. J'ai l'intention de faire beaucoup d'achats dans le monde moldu dans les prochaines semaines, et ai besoin de convertir une grande quantité de gallions en monnaie moldue. Je n'ai jamais converti une large somme avant, et me demandais s'il y avait un différent taux d'échange, ou si Gringotts prend un pourcentage différent sur de larges quantités ? "
" Intelligent de votre part de vous en inquiéter monsieur. " Répondit le gobelin. " Bien que les taux d'échange restent les mêmes, le taux normal de commission de 11% descend d'1% pour des quantités de plus de 1000 gallions, et 3% pour des quantités de plus de 1000 gallions. "
" Très bon, merci beaucoup ", dit Harry, " mais mes affaires dans le monde moldu requerrons de moi de faire des achats beaucoup plus chers. Y a t'il d'autres options ? "
Les yeux du gobelin s'agrandirent grandement à l'affirmation d'Harry. Harry parlait de beaucoup d'argent, et tout le monde savait que les gobelins étaient gloutons comme des démons. " Oui monsieur, et pourrais-je dire, très intelligent de votre part de demander. Il y a une autre option moins connue que la plupart des sorciers ne choisissent pas parce qu'ils ne la comprennent pas complètement. Dites-moi monsieur, savez-vous ce qu'est une carte de crédit ? "
Harry rit presque à la question du gobelin. Bien qu'il ait rarement vu sa tante ou son oncle s'en servir, puisqu'il n'avait jamais le droit d'aller faire les courses, Harry savait évidemment ce qu'une carte de crédit était. Il riait presque parce que si le gobelin disait ce qu'il pensait qu'il disait, il pouvait presque imaginer un confus sorcier pur-sang, tenant une petite pièce de plastique, et essayant de figurer d'où l'argent venait.
" Oui, je suis familier avec les cartes de crédit. " Répondit Harry.
" Très bien. " Continua le gobelin." La dernière option à laquelle je me réfère délivre une carte de crédit moldue standard en votre nom, mais la note vient ici à nous. Nous convertissons la somme de vos achats en monnaie sorcière en utilisant un taux d'échange standard, et retirons cette quantité de votre coffre. La limite de crédit est toujours la moitié de la quantité d'or dans le coffre en question, et le taux de commission que Gringotts met en œuvre diffère légèrement. Au lieu d'un pourcentage fixe fait de la somme que vous dépensez, Gringotts va déduire un taux plat de 50 gallions par mois. C'est environ la quantité que nous prendrions à travers des commissions normales si vous échangiez 6000 gallions. Vous pouvez annuler la carte de crédit à tout moment, mais tout mois en cours est facturé 50 gallions. "
Harry était extatique. C'était exactement ce dont il avait besoin, un moyen de dépenser de l'argent moldu sans avoir à porter une grande quantité de liquide. Et il n'aurait jamais à visiter Gringotts de nouveau en personne s'il ne le voulait pas. " Oui, j'aime cette option. " Harry informa le gobelin. " Existe t'il une option similaire offerte pour faire des affaires avec l'argent sorcier ? " Harry pensait que cela ne ferait pas de mal de demander.
" Oui monsieur ! " Les yeux du gobelin s'agrandirent de nouveau. " Nous offrons une bourse enchantée qui offre un lien direct à votre coffre. Seul votre main peut y prendre de l'argent, mais tout le monde peut y faire des dépôts. Dites simplement à haute voix le montant que vous désirez retirer, introduisez votre main, et le montant correct de gallions sera à l'intérieur. Normalement nous offrons cette bourse pour le prix de 300 gallions, mais pour un si bon consommateur tel que vous, je vais baisser le prix à 200. "
Harry rit intérieurement de nouveau. S'il avait su cela avant, il aurait payé 400 gallions pour avoir un accès si aisé à son coffre. Mais il retint le sourire qui menaçait son visage, parce qu'il savait quelles types de créatures étaient les gobelins. Tous n'étaient pas aussi honnêtes que Griphook. " Je vais vous dire " , dit-il au gobelin, " baissez le prix de la bourse à 150 gallions, et je vais prendre cela, plus la carte de crédit avec la garantie que je ne vais pas annuler pour au moins un an. Avons-nous un marché ? " Harry supposa que pour certaines personnes, comme les Weasley, les 450 gallions qu'Harry était sur le point de dépenser étaient une grande quantité de monnaie. Mais prenant en compte les 2.000.000 de gallions dans son fond de réserve, sans mentionner sa fortune familiale à laquelle il aurait accès dans environ un an, Harry n'avait aucun remord à dépenser son argent.
Manifestement le gobelin pensait de la même façon que les Weasley, et n'essaya même pas de marchander sur le prix. " D'accord ! " cria t'il. " Veuillez vous rendre dans mon bureau monsieur, pour remplir les papiers appropriés, et vous pourrez partir dans très peu de temps. Voulez-vous du thé ? " Harry ne fut pas surpris que le gobelin ait accepté aussi vite qu'il l'avait fait, mais quand il mit un signal de fermeture sur son bureau, devant une ligne d'au moins dix personnes, Harry fut tout de même un peu choqué.
Cependant, il aimait les résultats rapides, déclina poliment le thé, et entra le bureau du gobelin. Une fois dans un semblant de privauté, Harry échangea de nouveau les lunettes de soleil qu'il portait contre les siennes afin qu'il puisse lire correctement les papiers. Cela semblait être très standardisé, et il n'eut aucun problème à signer les papiers, mais Harry savait qu'il devait résoudre de nouveau le problème de Dumbledore.
" Excusez-moi monsieur ? " s'adressa Harry au gobelin. " Tout semble en ordre, et j'ai rempli toutes les informations requises, mais j'ai une question qui pourrait influencer ma décision finale. " Harry remarqua que le gobelin se redressait à cette affirmation. Manifestement il ne voulait pas perdre une telle opportunité.
" J'ai été amené à comprendre que certaines précautions sécuritaires inhabituelles ont été placées sur mon compte. Je sais qu'un Mr Albus Dumbledore est notifié si certains critères sont rencontrés. Je crois comprendre qu'en signant ces documents, je ne suis pas en condition de rencontrer ces critères qui informerons Mr Dumbledore de mes actions. Je voudrais votre assurance que je suis correct dans mes présomptions, et une réponse honnête dans le cas contraire pourrait être très profitable pour Gringotts. "
Le gobelin regarda bizarrement à Harry, et commença à parler. " Monsieur, je ne suis pas sûr de quelles précautions sécuritaires vous parlez, mais soyez sûr que toutes nos relations d'affaires sont assez confidentielles. Si vous voulez plus d'assurances... " le gobelin cessa de parler dès qu'Harry eut relevé sa capuche et enlevé son bonnet de ski. Cicatrice et brillants yeux verts visibles, il n'y avait aucun doute que le gobelin l'ai désormais reconnu.
" Mr Pott-tter ! " bégaya le gobelin. " Je dois dire que c'est un honneur de mener de telles affaires avec une personne telle que vous. Oui, maintenant je comprends vos questions. Si je peux être franc? Est-ce votre désir de garder les problèmes dont nous avons discuté de l'attention de Mr Dumbledore ? "
" Oui, " répondit Harry, " ça l'est. "
" Et bien alors monsieur, tant qu'aucune condition ne nécessite qu'un directeur de banque informe Dumbledore de vos actions, toutes nos affaires sont gardées confidentielles. Personne d'autre n'a besoin de savoir. Cependant, bien que j'assume que des directives ont été agréées entre les directeurs de banque et Mr Dumbledore, je n'ai personnellement aucune idée de ce qu'elles pourraient être. Je pourrais toujours demander, mais cela mènerai à ce que les directeurs de banque deviennent conscients de vos questions. Mais si je peux me permettre, les papiers liés au Département d'Echange Moldu demeurent généralement à l'intérieur de celui-ci. Je pense que vous serez en sécurité tant que vous adhèrerez à quelques directives qui soient mises en place. "
De nouveau, un gobelin disait à Harry exactement ce qu'il avait besoin de savoir. Tant qu'il ne faisait pas un retrait ou achat qui excède 1000 gallions, ou 20.000 en un mois, Dumbledore ne saura jamais. Carte de crédit ou non, porte-monnaie enchanté ou non. Harry n'avait que peu d'expérience à traiter avec des gobelins, mais il les appréciait déjà. Très stricts et confidentiels, ils obéiraient aux règles et lois à la lettre. Mais toute échappatoire qui puisse exister n'embêterait pas les gobelins, et ils prenaient sans doute avantage de lois écrites peu intelligemment.
" Très bien monsieur ! Je pense que nous avons un marché alors. " Harry tendit les papiers au gobelin. " Et je vous remercie pour votre honnêteté et opinion. Je pense que notre conversation et ma présence ici aujourd'hui peuvent rester entre nous-même ? "
Le gobelin sourit de nouveau. " Oui, absolument Mr Potter. C'a été un plaisir de faire des affaires avec vous. " Harry ne put s'empêcher de penser que le sourire du gobelin était causé par le papier du sommet, qui était l'acte d'achat du porte-monnaie enchanté. Le prix a été rempli à 300 gallions. Apparemment, Harry avait oublié son escompte de bon consommateur.
Et donc avec cela, quinze minutes plus tard, Harry sortait de Gringotts, dans la brillante lumière de la mi-journée. Ayant de nouveau mis ses lunettes de soleil et son bonnet de ski, Harry regarda le soleil et estima qu'il devait être aux environs des 11h. Il avait du passé environ près de 3h à Gringotts, et avait toujours beaucoup à faire ce jour-ci. Donc avec sa nouvelle carte de crédit dans son portefeuille, et un porte-monnaie enchanté en poche, Harry sortit pour faire quelques sérieuses dépenses.
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Et voilà le troisième chapitre. 14 pages Word, je n'en reviens pas. Pour la suite, je pense que je ne pourrai la mettre que dans deux semaines, mais comme j'ai déjà dis à certains de mes revieweurs, mieux vaut des mises à jour éloignées que quatre d'un coup et rien pendant un ou deux mois. Bon, j'espère que vous avez aimé. Et pour les réponses aux reviews, voilà :
Artemis : merci beaucoup pour ta review, ça m'a fait très plaisir.
Le Dragon Noir : merci beaucoup, tu es vraiment adorable. Bon, pour MSN, on a apparemment réussi à se débrouiller. Et pour mes mises à jours, je crois que tu as compris avec l'explication que je viens de mettre. Merci beaucoup pour la conversation hier soir, j'avais trop aimé, c'était vraiment génial. Bon, gros bisous, et j'espère que tu as aimé.
Tiffany Shin : merci, j'apprécie. Tu as aimé ?
Khisanth : je penses que tu n'as pas tout compris : c'est une traduction (parfois un peu libre, d'accord), alors l'imagination, je n'en ai pas besoin en réalité. Sinon, voilà enfin la suite. J'espère que tu aimes toujours autant.
Tidus : ça c'est gentil. Pour l'action, il y en aura un tout petit peu dans le quatrième, celui-ci est très informatif et quand même indispensable. Pour l'action, il faut attendre quand même longtemps, car c'est surtout descriptif, mais le principe est quand même intéressant (se servir du pouvoir du temps pour se perfectionner, ainsi que se rebeller contre Dumbledore. Bon, je radote là). Bon, gros bisous aussi, et j'espère que tu l'as quand même aimé, je l'ai trouvé bien ce chapitre aussi.
Andadrielle : t'es trop super aussi, et vraiment enthousiaste, ça fait vraiment plaisir de connaître des personnes comme toi. Merci pour ta review au fait, les tiennes me font toujours sourire. Bon, à plus, et encore merci.
Petites sorcières : c'est l'auteur qui a coupé là, il ne me viendrait même pas à l'idée de couper avant la fin, même si cela signifiait uploader plus vite. Sinon, c'est vrai que Dung s'est bien fait avoir, bien fait pour lui. Bon, j'espère que vous avez aimé. Bisous, et @ plus.
Voilà, la suite dans deux semaines (je crois l'avoir déjà dis d'ailleurs, mais bon...). Gros bisous à tous, et encore merci à mes revieweurs, c'est vous qui me faites avancer.
Serena.
