Auteur : Alita 19
Dislaimer : les personnages appartiennent à JK Rowling.
Rating R
Pairing HP/DM
onarluca : merci merci j'espère que ce chap aussi va te plaire moi jle trouve pas super mais bon c d choses qui arrivent mdr :p allez bye
Thealie : ba merci bocou parcontre tu dis que tadore la facon dont je vois les deux heros ba moi en fait là jsui un peu perdui pasqe justement jarrive pa trop à trouver quel caractère leur donnerd ans cette fic alors si ta un conseil à me doner vasy nesite pa merci encore et à plus j'espère
ange de un cisme : ta vu ta vu ? j'azi enfin mi un chap de cette fic ! ca faisait longtemp ! mdrrr merci pour ta review et pi ba jes père à très bientôt ! (surout si tu veux metre un chap en ligne) ptdrr la fille qui va te harceler ! loll allez bisous
slydown : et ben la voilà la suite ! toi qui la voulait :p lol tkt c pa grave si tu laiss d review courtes c dja super sympa den laisser une jte chariait lote fois c tou lol ba j'espère que tu va pouvoir lire ce chap et que ta pa decrioché nan paszqe ca fait longtemps que j'ai pa mi un chap de cette fic (eh oui les études oblige lol) pass une bonne soirée à plus !
serpentis-draco : :D :D jadore les truc tristes c mon kif lolllll dailleurs jadore les bad end (non non nai pa peur jvai pa en faire une pour celle là lol quoi que… sait-on jamais :p) en tout cas merci pour ta review : c vrai quoi ca fait du bien de savoir que les lecteurs saperçoivent que c tristres ca veut dire que jecris pas super super mal ptdrrrr bon allez jte a plus avant de dire dotre connerie :p bye
Darkiliane : merci pour ta review elle ma fait très plaisir mais une chose : soit patiente ! ptdr ba oui c vrai koi ! fo pa ke drago sous tout gentil des le debut et pi en plus g un truc à tavouer : jadore quan drago fait d menace de mort mdrrr oulà nan mai d foi jme di kil fo vraiment ke jarrete decrire d conneries pareilles moi lol bon ba jespère ke ce chap va te plaire bye bye
vega264 : tkt pas jvais ecrire un chap de Conais tu le diable maintenant et tu laura pour quan tu rentrera dailleur si cas trouve o moment ou tu va lire cette reponse tu laura dja lu mdrrrr merci pour toutes tes reviews mon tit auteur préféré ! bonne lecture ! (heu enfin jespère' lol) bisous !
Vif d'or : ah ! ba là tu me fait plaisir nan pasqe g eu une review où on me disait que c t dommage la réaction de drago et du coup jme suis posé des questions ! mais grace à toi, je n'ai plus aucun doute : il FALLAIT que drago réagisse comme c aca fait tro bien jtrouve lol (normal que je pense ca tu me dira puisque c moi qui lai ecrit mdrr) ba merci bocou pour ta review et jespère vraiment que ce chap là te plaira autant que le précédent. A la prochaine !
Note de l'auteur : bon ba jvous souhaite à tous une exellente lecture ! Desolée pour le bug j'espère que vous pourrez enfin lire ce chap qui a eu vraiment du mal à se mettre en ligne mdr (heu nan j'y suis pour rien (petit sourire inocent) enfin... presque pas :p)
Titre : Je suis à lui
Fin du chapitre précédent : Il s'endormit là-dessus, se disant que s'il était passé par les mêmes épreuves qu'Hermione allait devoir traverser, il devrait être capable de s'occuper d'elle. Alors, pourquoi n'y arrivait-il pas ? S'il ne pouvait l'aider, alors personne ne le pourrait.
Chapitre III : Une envie folle de…
Le lendemain matin, Drago reçut une lettre de la part de son père. Il l'informait que le projet du mariage de son fils avec Pansy Parkinson se concrétisait et qu'il avait prévenu la veille au soir le professeur Severus Rogue de mettre au courant l'intéressée.
Drago ne savait comment prendre cette nouvelle. Bien sûr, cette union était prévue depuis sa naissance, et bien avant même. Mais la nouvelle était soudaine et le serpentard se posait des questions : pourquoi son père avait-il accéléré les choses sans même l'en informer ?
Lorsqu'il releva la tête de sa lettre, il croisa le regard de Potter. Il le vit alors baisser les yeux et rougir légèrement lorsque Hermione Granger, la sang de bourbe, tourna la tête vers son ami. A midi, Harry garda la tête baissée durant tout le repas et il ne remarqua même pas que la jeune fille s'était levée. Il en fit de même au bout d'un certain moment et quitta la Grande Salle. Il n'était pas plus tristes que d'habitude, pas plus malheureux, pas plus désespéré. Et pourtant, quelque chose semblait ne pas aller.
Le soir, après le repas, il décida d'aller parler au directeur de Poudlard de sa vision de la veille. Il omettrait de lui raconter sa rencontre avec Drago Malfoy. Plus encore, il omettrait de dire qu'il était dans les couloirs à cette heure là plutôt que dans son dortoir.
Il arriva devant la gargouille qui gardait le bureau d'Albus Dumbledore et celle-ci s'écarta avant même qu'il n'ai eu le temps de prononcer le mot de passe, laissant le passage à Severus Rogue, professeur de potion.
« Le directeur vous attendait. Suivez-moi. »
Et il escorta Harry jusqu'à la porte du bureau. Ils entrèrent tous les deux dans la pièce en désordre. Harry se tint droit devant le vieillard qui semblait le jauger à chaque instant depuis qu'il avait fait son entrée à Poudlard, il y avait à peu près sept ans de cela. Albus garda le silence quelques minutes, observant son protégé de son œil lucide. Il engagea enfin la conversation.
« J'ai entendu des cris cette nuit dans les couloirs de Poudlard. »
Ainsi, se dit Harry inquiet, il est déjà au courant.
« Que s'est-il passé, Harry ? » demanda le puissant sorcier d'un ton protecteur.
« Voldemort a pris de la puissance, il a commis un meurtre cette nuit, j'ai tout vu… et plus encore. »
Rogue fit un geste pour prendre la paroles mais Harry se tourna vivement vers lui avant qu'il n'ai pu dire quoi que ce soit.
« Professeur, je sais parfaitement ce que vous allez dire : si j'avais suivis correctement vos courts d'occlumencie, je n'en serais pas là. Laissez-moi vous dire une chose : je pense que si j'ai ces vissions et que je n'arrive pas à les contrôler c'est pour une bonne raison, même si nous ne la connaissons pas encore. De plus, il me semble que nous ne pourrions pas savoir quoi que ce soit des faits et gestes de notre ennemi si je n'avais pas ces visions. Nous en savons déjà si peu… »
« Je ne vous permet pas de prendre ce ton arrogant lorsque vous me parlez, jeune Potter. Et je ne vous permet pas non plus d'avoir la prétention de savoir à l'avance ce que je vais dire. Je n'avais aucunement l'intention de vous parlez de votre incompétence à comprendre l'occlumencie, fit-il avec un sourire suffisant et victorieux sur le visage. Je voulais vous demander ce que vous entendez par 'et plus encore'. »
Harry garda son air assuré mais il se donnait mentalement une gifle. Décidément, il avait beau s'améliorer dans les jouxte verbales, il n'était toujours pas au point. Pour le moment, il avait perdu. Mais son professeur de potion ne perdait rien pour attendre.
« Et bien je voulais dire que j'ai eu des visions de meurtres, mais des meurtres qui n'étaient pas en train de se passer. Ils étaient déjà commis… ou pas encore. En tous cas, les visions que j'ai eues cette nuit n'étaient pas toutes volontairement envoyées par Voldemort. La première oui, mais lorsque les autres sont… apparues à mon esprit, la sensation de la présence du mage avait disparue. Ca n'avait rien à voir avec les précédentes, continua-t-il en secouant la tête, les yeux légèrement baissés, dans le vague. Elles étaient cent fois plus fortes, plus puissantes. »
« Hum… Harry, d'où penses-tu que ces visions soient venues ? » demanda le directeur, les yeux plissés.
Harry ne supportait pas lorsque son protecteur prenait cette voix là. Il semblait toujours savoir quelque chose qu'il ne voulait pas dire et ça avait le don de mettre le jeune homme dans tous ses états. Aussi, plutôt que de répondre, il préféra simplement secouer la tête. Il ne savait pas d'où venaient les images qui l'avaient agressé la veille mais il aurait pu dire à Albus ce qu'il avait ressenti à ce moment, cette sensation étrange d'un appel au secours, d'un signal d'alerte. C'était un avertissement, il en était pratiquement sûr. Mais puisque le vieillard semblait tout savoir, il n'avait qu'à se débrouiller pour se rendre compte de ça.
Le directeur se tourna vers la fenêtre. Il se rendait bien compte que Harry Potter prenait du caractère au fil des jours, et ce depuis quelques mois déjà. Il sourit en pensant aux nombreux duels verbaux auxquels, depuis peu, il assistait, dans ce bureau, entre l'espion et le survivant. Harry Potter n'était plus l'enfant qu'il avait été. Et Albus préférait cela. Il avait compris depuis le début de cette année scolaire que seul le survivant avait une chance de mettre fin à la guerre qui faisait rage depuis plusieurs décennies. Et il fallait alors que l'éventuel sauveur soit fort.
« Bien. Tu peux aller rejoindre tes camarades. A moins que tu n'ai autre chose à nous dire ? »fit encore le directeur, un sourire ironique au coin des lèvres, et les yeux plissés par la malice.
Harry avait compris que le sorcier faisait allusion à ce qu'il c'était passé la nuit dernière dans le parc et il se rengorgea. Il ne savait pas pourquoi, et n'en chercha même pas la cause, mais il eu la sensation d'une atteinte à sa vie privée. Il mit en marche son système de défense sans même s'en rendre compte.
« Bien sûr, professeur, que j'ai quelque chose à rajouter : j'ai une envie folle d'embrasser Drago Malfoy. »
Sur ce, il quitta la pièce en claquant la porte. Si ce vieillard n'avait pas compris qu'il se fichait complètement de son ironie crétine et du fait qu'il sache toujours tout ce qu'il se passait à Poudlard, alors il était plus bête que ce qu'il ne pensait. Il venait de se moquer royalement du directeur de l'école et il n'en avait absolument aucun remord. S'il aiait beaucoup l'homme qui l'avait sauvé plus d'une fois, il n'acceptait pas pour autant qu'il se fiche de lui.
Pourtant, alors qu'il grommelait dans les couloirs, Rogue souriait d'un air carnassier, en pensant déjà à la punission qu'il pourrait mettre à ce sale petit morveux.
« Vous n'allez tout de même pas laisser cet avorton se moquer de vous comme cela. Il faut lui apprendre à être un peu sérieux ! »
Dumbledore afficha un air soucieux.
« Oh ! Mais il était on ne peut plus sérieux. »
Lorsque Harry fit irruption dans la salle commune des griffondors, il s'aperçu que tous les regards étaient tournés vers Hermione. Elle se dirigeait vers son dortoir et les élèves murmuraient sur son passage. Harry se dirigea vers son amie. Il se devait de la soutenir, il était temps qu'il prenne ses responsabilités et qu'il aille tendre la main à son amie. Mais au moment où il allait l'interpeller, il entendit un murmure plus fort que les autres, une phrase d'une petite fille de première année :
« Comme elle doit être malheureuse… »
Harry se figea en entendant ces mots qui lui poignardèrent le cœur. Malheureuse. Hermione en avait fait autant que lui et s'était retournée vers la fille avant de monter les marches qui menaient à son dortoir à toute vitesse. Elle alla s'enfermer dans sa solitude habituelle. Lorsqu'elle disparue, Harry décida de monter se reposer. Il avait besoin de réfléchir et l'envie d'aider Hermione ne le tentait plus du tout. Malheureuse. Il n'arriverait jamais à lui rendre son sourire. Il était porteur de malheur, alors comment guérir la souffrance de son amie ; il était né pour tuer un sorcier, alors comment consoler une jeune fille du meurtre de ses parents ?
Il s'endormit sur son lit sans qu'il n'ait eu le temps de se changer pour la nuit.
Il rêva d'une course folle dans le parc de Poudlard, il rêva d'une chute, d'un corps auprès de lui. Et des mots résonnaient : Bien sûr, professeur, que j'ai quelque chose à rajouter : j'ai une envie folle d'embrasser Drago Malfoy. Des mots dits pour se moquer, des mots dits sans y penser, mais des mots qui pourtant paraissaient alors si justes à son esprit.
Il se réveilla en sursaut en entendant la sonnerie du réveil. Il était en sueur et avait la bouche sèche. Il ne se rappelait pas de son rêve mais il savait qu'il avait été étrange, comme s'il n'avait pas été réellement endormi.
Il se leva, comme tous les matins, et fit ce qu'il faisait tous les matins. Le quotidien était la meilleure arme contre la douleur. Et il faisait bon usage de cette vérité.
La journée se passa comme toutes les autres journées, jusqu'à ce qu'arrive l'heure du cours de potion que les griffondors et les serpentards partageaient. Il remarqua bien qu'Hermione n'allait pas bien. Il voyait ses yeux rester fixes sur son bouquin ouvert, déviant parfois pour regarder par-dessus les lignes qui défilaient. Il suivit son regard et comprit qu'elle regardait en direction des serpentards. C'est à ce moment-là qu'il croisa le regard gris acier de Drago Malfoy. Il se sentit rougir et dévia vivement les yeux. Il fixa Rogue durant toute l'heure afin de ne pas voir la teinte méprisante qu'avaient pris les yeux de son ennemi.
Voilà voilà bon ba comme dab : dites moi ske vous en pensez ! (grand sourire)lol allez bye !