Après une longue réflexion j'ai finalement décider d'écrire tout la fanfic comme si le personnage était le narrateur je pense que cela montrera mieux le côté psychologique du personnage. Et les paroles des personnages sont entre guillemets « ».

Réponse reviews :

Melitta Fairy : Je te remercie énormément pour ton reviews. Je doit dire qu'avant ce chapitre si même l'auteur n'avait pas la moindre idée de quoi sa fic allait parler. Et ne t'inquiète pas pour Ginny elle ne sera pas la plus déprimer de l'histoire. J'espère que ce chapitre va te plaire.

Chapitre 2 : Un paysage trompeur

Le soleil se montra à son heure habituelle, mais dans ma chambre du Chaudron Baveur j'étais réveillé depuis longtemps. J'avais beau essayé de dormir rien n'arrivait à m'enlever de la tête les paroles de mon oncle. Je ne sais pourquoi je leur trouvais une importance spéciale. Peut- être que, c'était seulement parce que mon oncle avait eu l'air si sérieux quand il les avait dites ou simplement une intuition. J'étais sûr que je trouverais la réponse dans les prochains jours. Après avoir pris mon petit déjeuner je décidai de trouver un endroit où je pourrais m'installer et observer les gens qui passaient. Mon choix s'arrêta sur une place à l'ombre proche d'un magasin de farces et attrape.

Ici je pourrais voir tout les gens qui passent sans vraiment me faire remarquer

Je ne remarquai rien de vraiment extraordinaire. Au contraire toutes les personnes qui passaient semblaient joyeuses et heureuses de vivre. Surtout les enfants qui n'arrêtaient pas de courir partout sous l'œil attentif de leur mère. Doucement je me laissai envahir par une tranquillité d'esprit que rien ne semblait pouvoir venir troubler. Après trois heures t'observation je commençai à avoir faim et décidai de rentrer au Chaudron Baveur pour un petit casse-croûte. De retour sur le chemin je me dis que peut-être ce n'était pas la bonne méthode et que je devrais plutôt aller regarder dans certaine boutique. Mon choix se porta sur la boutique de farce et attrape qui semblait plutôt animée. Dès que j'y mis les pieds je sus que je ne m'étais pas trompé.

Les allées débordaient de gag jets plus incroyables les uns que les autres : des crèmes- canari, des oreilles à rallonge, des bonbons longues langues, des pétards, etc. Des personnes de toute âge, surtout des jeunes, se promenaient admiraient et choisissaient, avec difficulté, plusieurs produits qu'ils allaient payer à la caisse qui était tenue par une jeune femme brune.

« Vous regardez pour quelque chose en particulier ? »

Me retournant vers un jeune homme roux à l'air plutôt sympathique je répondis :

« Non, je fais juste regarder, mais il semblerait que vous ne manquez pas de client dans cette boutique. »

« En effet! Et je vous dirais chers messieurs qu'en ce moment il n'y à presque personne contrairement à certain jour. »

« Et bien mes félicitations, puis-je vous demander si vous est l'heureux propriétaire de cette boutique. »

« Je le suis en effet avec mon frère nous l'avons créée après notre sortie de l'école. »

« Et bien si vous avez autant de talent pour les farces je plains les professeurs que vous avez eus. »

« Je pense que nous sommes maintenant reconnus comme les plus grands fauteurs de troubles de toute l'histoire de Poudlard. »

« Vous êtes allés à Poudlard vous avez donc eux mon oncle comme directeur. »

« Vous êtes le neveu d'Albus Dumbledore, et bien ça alors je ne l'aurais jamais cru. »

« Et bien si! Cela fait longtemps que je n'avais pas mis les pieds en Angleterre je vois qu'elle n'a pas changé. »

« Et pourtant si. Vous ne savez le nombre de choses qui s'est passé. »

Au moment précis où il dit ces mots j'eus l'impression qu'un éclair de tristesse traversa ses yeux, mais quand je voulus m'en assurer elle avait déjà disparu.

« Je ne veux pas vous déranger plus longtemps. »

« Ne croyez pas que vous me dérangez cela me fait plaisir de parler avec vous. »

« GEORGES! »

Une voix de garçon venant de la porte d'entrée attira mon attention. Un jeune garçon roux (donc on ne pouvait douter du lien de parenté avec l'autre) avait fait son entrée. Si vous n'avez jamais vu une personne qui porte un lourd fardeau et bien je peux vous dire que ce n'est pas joyeux à voir. Bien que l'homme semblait en bonne santé les traits tirés de son visage laissaient passer une trop grande douleur. Ses yeux n'avaient plus aucun n'éclat et je pouvais y lire une détresse encore plus grande. Tout ce que cet homme faisait ressentir en moi n'était que malheur et tristesse. Je me retournai vers Georges.

« Qui est-ce? »

« C'est mon jeune frère Ron. Je dois vous quitter j'avais oublié qu'il voulait me voir aujourd'hui. »

Je quittai la boutique de farce et attrape croyant avoir appris quelque chose sans portant savoir quoi. Je

décidai de retourner au bureau de mon oncle pour lui faire part de mes découvertes. Quand j'arrivai au Ministère il semblait tout à fait apte à discuter sur le sujet.

« Et bien cher neveu votre jolie promenade vous a-t-elle été salutaire ? »

« Je répondrai oui et non. »

« J'attends des explications plus détaillés. »

« D'après ce que j'ai pu voir la majorité des gens étaient joyeux et de bonne humeur, mais… »

« Mais… »

« J'ai aperçu un jeune garçon qui aurait selon moi besoin de beaucoup de réconfort. »

« As-tu rencontré un de ses frères ? »

« Oui, vous savez donc de qui je parle. »

« Il doit en effet s'agir de Ronald Weasley qui travail comme chef des Aurors. Tu as dû remarquer le diffèrent émotionnel qu'il a avec son frère. »

« La différence est assez frappante. »

« Pourtant tout les deux on une femme magnifique, des enfants et un travail plutôt bien rémunéré. Pourquoi donc sont- t-ils si différents ? »

« Vous allez encore me sortir votre raison de vivre. »

« Exactement. Je vais t'aider. Si tu perdais une personne qui t'est extrêmement chère comment réagirais-tu? »

« Je pense que pendant un bout je serais très triste. »

« Et bien vois- tu Georges ou Fred, selon celui que tu as rencontré ainsi que Ron ont perdu il y a 10 ans une personne qui leur était chère. Pourtant alors que Ron s'est enfoncé de plus en plus dans son désespoir les deux autres se sont trouvés une raison de vivre et ont combattu ce malheur. »

« J'aimerais savoir à quoi tout cela mène. Qu'attendez-vous de moi? »

« Seulement respecter les dernières volontés d'un de mes élèves. »

« Cet élève devait vous être cher. »

« Tu ne sais pas à quel point. »

« Quelles sont ses dernières volontés? »

« Tu le sauras en temps et lieu pour le moment tout ce que tu as à faire c'est une biographie de sa vie grâce aux nombreux témoignages des gens qui l'ont connu. »

« Je peux donc savoir son nom. »

« Bien entendu. Il s'appelait Harry Potter. »

Voilà le deuxième chapitre de cette merveilleuse fic. Veuillez bien remercier Petite Puce qui a eu la gentillesse de relire tout mon texte pour corriger mes nombreuses fautes d'orthographes.

Pour le prochain chapitre se sera au retour de mon voyage en France ( environ 4 semaines)