« Le lendemain de Noël, l'amour »
Depuis plusieurs heures maintenant les deux adolescents avaient quittés l'école de Poudlard. Laissant derrière eux le monde magique, le passé et tout ce qui aurait et allait se passé. Désormais ils ne seraient que deux à vivre, à vivre ensemble. Chaque fois qu'ils prenaient un transport pour le voyage, Harry se sentait éloigné de plus en plus de ce qui avait été sa véritable maison, mais il ne semblait avoir aucun remords de son acte ou encore de la tristesse, au contraire. Il avait la plus belles des adolescentes à ses côté, un monde à découvrir avec elle et pour une fois, commencer une vie normal… Même si à 16 ans ce n'était pas des plus idéal, mais l'ancien sorcier ne semblait déranger par cette pensée. Lui et Miya s'aimait déjà beaucoup, alors pourquoi ne pas tenter cette chance qui se trouvait à lui? Cette chance de peut-être être libre et vivre simplement avec une fille, sa petite amie?
Il avait la cape d'invisibilité, le train et plusieurs transport à l'incognito qu'ils se donnaient pour retrouver Londres, le véritable monde. Ils avaient voyager pendant plusieurs heures déjà et ils se sentaient à plat et crever. Ils n'avaient rien avaler du trajet, le soleil commençait à se lever petit à petit et Harry se demandait si ses amis allaient se douter ou savoir ce qui était arriver. Enfin, voir le visage de Miya le fit changer aussitôt et il se concentra sur eux. À la sortit de la bus, ils enfileraient à nouveau la cape et se dirigeraient dans Londres, plus précisément dans les quartiers des habitants. Là ils auraient sans doute une chance de trouver une maison abandonner ou encore une âme charitable pour les hébergés.
Le jeune homme aux cheveux de jais souria, il pourrait travailler dans un restaurent pas très jolie et tout crasseux, ramenant quelques choses à manger dans sa maison, plutôt délabrer et abandonner pour en nourrir sa petite amie et lui. Elle, se trouverait sûrement un travail quelconque et ainsi de suite. Pour une première fois, il se sentait heureux avec Miya. Une simple fille, un simple rien et aucun ami. La paix qui commençait et le changement de vie.
Même si quelques fois les gens les regardait bizarrement, les tourtereaux se contentèrent de posé les yeux sur l'un de l'autre et ignorer ses esprit fou. Alors qu'ils se murmuraient des petits brins de paroles, des rires à l'occasion, le regard des gens se posaient sur eux, comme si les deux adolescents venaient d'une autre galaxie. L'autobus s'arrêta d'un coup sec, le chauffeur marmonna des bribes de mots lassant et impolie, tandis que le couple prirent leur bagage et descendirent à l'instant, la bus fila d'un coup sec. Le vent souffla férocement, faisant basculer les valises par-ci et par-là, les cheveux de la jeune filles s'étalèrent dans tout les sens, sans rien voir et Harry ressemblait à une énorme « moppe » noirs. L'asiatique se mit à faire un rire moqueur et le sorcier toucha ses cheveux pour ensuite se renfrogner.
Hey! C'est pas marrant et encore moins gentil! Bougonna celui-ci.
Mais Miya ne pu s'arrêter alors qu'ils commencèrent à se chamailler, rire, la fenêtre d'une maison tout près cogna fortement, faisant sursauter le jeune couple qui regardèrent dans la vitre. Une vieille dame d'un certains âge, sûrement le centenaire! Cognait dans sa vitre à l'aide de sa canne.
Allez-vous en! Bande de morveux, on s'entend plus ici. Hurla la vieille dame, avant de s'étouffer et de partit vers son salon.
Elle a dit? Demanda Miya à Harry, dont elle perçu son haussement d'épaule interrogatif.
L'asiatique se rapprocha, il faisait frisquet qu'un peut, mais assez pour qu'elle puisse s'étendre dans les bras de son amoureux, la réchauffer. Le manteau d'Harry ouvert, la jeune fille alla s'y cacher et le sorcier à recouvra de son même manteau à l'air et ainsi de ses bras contre la peau de la jeune fille qui n'avait malheureusement, que petit cotte en Jeans. Les deux amoureux se regardèrent un instant.
Au fais quoi? Demanda Harry, content de voir sa copine si près de lui, de cette chaleur qui les recouvrait.
Rien… Je veux me recouvrir de ton corps et dormir ici.
Un faible sourire en coin, l'oriental s'approcha du visage du garçon qui souriait toujours, elle voulait encore goûter à ses lèvres et heureusement c'était réciproque. Les adolescents s'embrassèrent dans cette brise froide, mais qui paraissait intensément chaud par leur deux corps, d'ailleurs le baiser était encore plus chaleureux. Mais tout s'arrêta d'un coup brusque lorsqu'une voiture passa près d'eux, des adolescents du même âge, les amoureux semblèrent intimider par les paroles de la gang de gars :
Jolie baguette, tu devrais la lui enfoncer dans sa petite ch……
Harry pressa sa main sur sa poche arrière puis inséra sa baguette plus profondément pour que personne ne puisse la voir à nouveau. Il se sentait timide et honteux dont la façon des gars qui lui avait lancer ces paroles, enfin ceux qui répliquait surtout à Miya. Mais il fut heureux de voir que celle-ci voulait les ignorer en la voyant se cacher encore plus dans son manteau, la tête contre le torse. L'ancien sorcier de Gryffondor se pencha aussitôt, laissant Miya à certaine question et attrapa la ganse de sa valise. Pressa la main et fixa les merveilleux yeux de SON asiatique.
On ferais mieux de trouver un abris, se serra plus sure sans doute.
D'un bref signe de la tête, Miya se recula à contre cœur de la chaleur de son amant. Elle y était si bien que sa tête pris une mine triste, mais le baiser de son petit ami la fit sourire de plus belle et à son tour elle empoigna sa valise et tout deux traînèrent sur le trottoir, espérant trouver une certaine maison, mais pour plus de précaution, ils s'étaient vêtu à nouveau de la cape d'invisibilité.
Miya sentait ses jambes devenir de plus en plus douloureuse à chaque pas fait. Harry l'entraînait si loin dans cette ville, enfin dans se quartier. Mais fallait dire qu'il n'avait pas vraiment de maison abandonner ou encore, après tout à l'heure, les gens semblaient plutôt fou. Alors éviter de demander d'être hébergé surtout. L'asiatique regardait son petit ami, essayant de suivre les pas et elle souria. Il était si….
Aussitôt, l'adolescente trébucha sur le trottoir et Harry passa par dessus, les valises d'un bout à l'autre et la petite Hedwidge qui roulait dans la cage. La cape s'envola à l'instant, mettant le couple à découvert. Harry était sur tout son long, la tête légèrement relever, les gens toute écarter et la valise qui venait d'atterrir sur lui. Miya était juste devant, la tête adosser contre la valise d'Harry et la sienne qu'elle avait échapper sur l'herbe du terrain. Dès qu'elle se tourna, le garçon replaça ses lunettes et fixa la jeune fille, fronçant les sourcils.
Tes malchanceuse à se point?
J'crois que oui. Répondit l'asiatique timide.
Miya posa les yeux, pas évident, le trottoir était tout relever.
Comme si j'aurais pu voir ça! Répliqua Miya.
Oui. Susurra Harry, amusé par sa petite amie.
Celle-ci se renfrognât, mais Harry semblait plutôt rire de son air. Il s'approcha lentement, poussa la valise sur le côté, ses paumes de mains contre le trottoir froid et vint embrasser la jeune fille qui s'était retourner pour accepter ce « présent ».
Oh moins, tu devrais me remercier, on a peut-être trouver ce qu'il nous faut. Répondit l'oriental aux cheveux noirs en pointant la maison face à eux.
Le jeune homme détourna la tête vers le terrain ensuite vers la maison. Elle semblait abandonner, un bon début et la pancarte indiquait « à vendre ». Harry souria, se leva même si l'asiatique protesta et il s'approcha de la pancarte planter dans l'herbe. Il se retourna vers Miya qui était toujours assise sur le trottoir et sourit.
Elle est à nous alors!
Le sorcier de Poudlard donna un coup de pied sur la planche de bois et réussit à arracher la pancarte et la jeta plus loin dans l'herbe. L'asiatique se leva aussitôt, entraînant les bagages vers son petit ami, ainsi qu'Hedwidge. Les deux tourtereaux entrèrent dans la maison après plusieurs minutes à essayer de défoncer la porte. Un coup réussit, ils laissèrent leur bagages dans l'entrée et Harry déposa Hedwidge sur la table qui semblait celle du salon. Il était tout à fait content, non seulement avait-il une petite amie, mais un toit et des meubles bien rempli.
Le jeune garçon s'avança et regarda chaque meuble, alors que Miya commençait déjà à pénétrer dans la maison. Celle-ci se dirigea vers le salon à son tour, regardant Harry sillonner dans la pièce. Même un foyer était présent. C'était donc à rêver! L'asiatique enleva sa tuque coloré qui lui écrasait les cheveux, la tira sur la cage d'Hedwidge et se frotta les cheveux dans tout les sens, espérant avoir du volume. Harry s'approcha de sa petite amie, toujours aussi souriant et l'avança vers lui.
On y est… Répondit celui-ci légèrement.
Ouais!
Même si dans leur voix n'avait-il pas beaucoup d'émotion, ils en étaient bien heureux d'être ensemble, simplement tout les deux. Harry serra encore plus sa petite amie et l'embrassa de nouveau. Il pourrait donc faire tout ce qu'il voulait? La sorcière se laissa bercer par les lèvres du garçon qui s'accrochait de plus en plus à ses lèvres, ensuite sa joue et finit dans son cou. Ses mains entourèrent le cou du garçon, voulant être beaucoup plus près de lui. Leur regard se croisèrent un bref instant avant que Miya s'y rattaque et s'engage dans des baiser enflammer. Le garçon aimait, il en était fou. L'asiatique le caressait de ses mains dans ses cheveux, il en avait des centaines de frissons qui parcourait sa nuque, il frémissait mais s'était merveilleux. Les lèvres les plus savoureuse, il pouvait les toucher et sentir les siennes chaque fois sur celle de l'adolescente.
Alors qu'elle commençait à descendre tranquillement dans son cou, elle pu ressentir les faibles chocs du sorcier, plutôt les frissons qu'il appréciait tant et qu'elle se permettait d'ajouter, pour son propre plaisir et celui de son amoureux. Harry bouillonnait de plus en plus, son ventre laissait filer des milliers de papillons, et sa gorge était sèche, même si s'était un délice d'être enflammer par Miya. Il était temps, temps de découvrir autre chose que des petits baisers qui le faisait souffrir, patienter. Il voulait plus et personne ne pourrait les arrêter….
Aussitôt, ils tombèrent sur le divan, quelque peut moelleux. Miya se posa librement sur le sorcier qui resserra ses mains contre les hanches de l'asiatique. Pendant qu'elle le caressait de centaines de baiser, Harry commençait à enlever le manteau de la sorcière et posa légèrement ses mains sur le corps de Miya. Il n'était plus obligé de la maintenir, sur lui elle était parfaitement en place et la tête du garçon se maintenait contre la tête du divan. Les minutes passèrent si lentement pendant que Miya et Harry s'embrassait qu'il ne virent aucunement que la pièce prenait feu de leur chaleur corporelle, bouillonnait si fort et le désir des deux adolescents si intense que tout se bousculait.
Il y a donc pas de limite dans cette maison… Répliqua l'oriental dans un simple souffle.
Pas pour nous… Et j'en suis satisfait comme ça. Libre à toi de te laisser allé, de nous faire découvrir le grand bonheur.
Sur cette réponse, Miya n'hésita aucunement et continua son manège depuis le début. Harry détachait petit à petit le chemisier de la jeune fille, s'était de même que pour lui, ressentant les mains de Miya sur son torse. La chaleur explosait de plus en plus, brûlait plus intensément que Harry la désirait si férocement. Un désir qu'il pouvait enfin ouvrir sans la moindre limite, un désir que Miya lui tendait librement, sans règles, un désir qui le brûlait et qui l'agitait…
Hermione ouvrit lentement un œil, puis l'autre. Elle se leva lentement, comme si le feu n'existait pas en cette instant, mais il était tout de même le 25 décembre. Ce qui était étrange, elle ne semblait pas énerver de trouver ses cadeaux sous le sapin. S'était donc la première fois ou une des premières fois qu'elle passait Noël à Poudlard :
En bonne compagnie… Murmura la sorcière en pensa à Ron.
Il y avait plus beaucoup de bruit dans le dortoir, normal, la plupart des élèves étaient retourner chez leur parents pour passé Noël, les vacances et être en famille. Bien qu'elle aimait faire du ski avec ses parents, elle pourrait peut-être réussir à tout mettre au clair avec Ron pendant se séjour. Ou retrouver les deux tourtereaux. Alors qu'elle déplia le rideau, bailla à la vu du dortoir vide, le préfète se leva et enfila une robe de chambre. Hermione commençait à descendre et juste au moment où elle mit le pied sur le sol de la salle commune, elle entendit la voix d'un grand homme, la voix d'un rouquin se jeter sur elle.
Chouette! Regarde les cadeaux.
La jeune fille plissa les yeux par le trop grand enthousiaste du roux.
Tu ressembles à Colin.
Hey! Même pas vrai! Marmonna Ron, fâcher.
La sorcière se moqua.
Enfin, sinon ta oublié que ta mère te tricote toujours un pull?
Ronald s'assit aussitôt dans les marches du dortoir et jeta le cadeau par terre. Pour une fois, pour une simple fois aurait-il pu avoir autre chose qu'un pull? Hermione se pencha et s'assit auprès du grand roux, le regardant. Il était tellement merveilleux, lui faisait tellement un telle effet, qu'elle devait lui dire. Oui lui dire! …. La préfète tourna les yeux vers le sapin de Noël, repensant à son premier baiser avec Ron, la veille. S'était totalement fou, mais pas assez long.
Alors qu'elle resta pensive, Ron était allé vers le sapin et rapporter quelques à Hermione, en fait, ceux qu'il avait fait pour elle.
Tiens, c'est de… hum… moi! Répondit-il timidement en tendant le paquet à la sorcière.
C'est quoi? Demanda Hermione, beaucoup trop curieuse et excité pour la première fois.
Hermione commença à déchirer vigoureusement la paquet, mais lorsqu'elle aperçu le cadeau, celle-ci l'enroula autour du cou de Ron et se mit à tirer pour l'étouffer.
QUOI! … Tu me donnes les stupides PULL DE TA MÈRE!
Mais… mais… le rouge te…. Te va mieux que…. Que moi! Souffla le grand roux en train d'étouffer.
Il a un énorme W en grosse tête orange fluorescente sur le pull! Tu crois que je vais passé inaperçu avec ÇA!
Hermione… stp…
QUOI!
Celle-ci relâcha Ron aussitôt qu'elle le vit devenir bleu. La sorcière lança le pull assez loin pour ne plus le voir, mais un élève de première le reçu en plein visage, vacilla et se cogna la tête contre le mur dans un bruit lourd et ensuite contre le bureau avant de s'éffrondrer par terre. Le roux se retourna vers Hermione, de grand yeux :
Tu las tué!
Non… il est juste sonner. Répliqua celle-ci froidement.
Qu'est-ce qui ta pris?
Je déteste tes maudits PULL! Tu m'as rien trouver alors tu ma fais de la charité! J'suis capable d'avoir de l'argent tu sauras!
Le préfet tendis un nouveau cadeau à la jolie sorcière, espérant qu'elle apprécie celui-ci, mais devant le regard d'Hermione, Ron paniqua. La sorcière avait empoigner la paquet de fleur, plutôt le paquet de fleur de bonbon de chez Honeydukes et l'avait lancer encore plus loin pour que tout les bonbons revole dans la salle.
Qu'est-ce qui te prends!
Tes maudit cadeau son nul à ….
Ça va! Ca va. D'habitude on dit que c'est l'intention qui compte! Répliqua Ron en se levant.
La sorcière aux cheveux bouclés se leva à son tour.
C'est ça? Même le plus pire des garçons n'aurait pas donner de telle truc à une fille!
Tu devrais être heureuse que quelqu'un pense à t'offrir quelque chose! Harry et Miya on déjà ouvert leur truc et nous ont rien laisser! Ta aucun cadeau!
Hermione, furieuse, botta le genou de Ron avec son pied, mais Ron ne répondit rien. Une énorme fureur venait de se prendre entre les deux Gryffondor et tout deux voulait se battre, s'arracher les cheveux ou encore…
La sorcière fut la première à se jeter sur le grand roux. Essayant d'être à la hauteur, la jeune fille embrassa Ronald passionnément et des plus longs baiser jusqu'à maintenant. Le grand roux n'essaya aucunement de riposter, il voulait plutôt goûter aux lèvres d'Hermione qui n'avait pu savourer plus longtemps hier. Leur deuxième et vrai baiser fut plus longs, plus merveilleux et plus tendre… La sorcière se recula légèrement.
Ron…
Celui-ci attendit que la jeune fille parle avant d'agir ou de lever la voix lui même.
Je… depuis un certains moment je… je…. Ressent…
À l'instant même, Parvati déambula dans la salle commune, le sourire aux lèvres et ce fut de même pour Seamus plus loin. Les deux nouveaux Gryffondor s'était jeter vers leur cadeaux :
Ouais! Nos cadeaux.
Alors que Parvati se retourna, elle échappa son cadeaux sur la tête de Seamus qui cherchait le siens. Ce qu'elle voyait? Hermione Granger et Ron Weasley s'embrasser à pleine bouche… Et non de petit baiser tout sympathique…
