Salut ! Alors lemon dans ce chapitre ! Pour la chanson ça peut paraître hors-sujet, mais en fait ça l'est pas ! (ça vous avance, hein ? )
Lyoo : merci pour ta fic XD
Fushicho : voilà j'arrive
Chibi Zia : bonne chance pour retrouver ton chien xX. Evidemment que Brooklyn est seme ! C'est dans son caractère !
Chibi Taya : malheureusement il va aussi y avoir du Ray/Kai et du Kai/Mystou ! Mais pas de Brooky/Ray !
Kammy : ben j'écris quand j'ai le temps, soit le samedi matin ou le dimanche matin, et jamais deux jours de suite, donc ça fait à peu près une fois par semaine (sauf si j'ai autre chose de prévu). Wondering c'est la quatrième du deuxième CD, elle est trop bien
Ray : je l'ai pas vu non plus, sauf des extraits en japonais www.brooklyn-fansite.tk
Chapitre 8 : Where Is My Mind ? (The Pixies)
Attention, ce chapitre, lemon (relation sexuelle...), ne pas lire si vous ne vous y sentez pas prêt.
POV de Brooklyn
Kai est allongé sous moi, et je le regarde avec satisfaction. C'est agréable de le voir comme ça, un peu perdu, alors que durant notre dernier match, c'était moi qui était perdu. Ses yeux violets se posent sur mes mains encore immobiles, et les suivent tandis que je les amène doucement sur ses lèvres. Elles sont douces, et agréables au toucher, cela me fait plaisir de les sentir ainsi, souples sous mes doigts.
Il attend que je l'embrasse, je le devine à la façon dont il se redresse légèrement, mais je n'en ai pas envie. Brusquement, je me sens lasse de sa présence, la situation m'ennuie. Mais j'ai un devoir à accomplir si je veux remporter les prochains championnats ; je ne peux pas me permettre de m'en débarasser maintenant.
Je retire son écharpe, et j'embrasse doucement son cou ; il frissone, et sa réaction m'amuse. Je ne savais pas qu'il était aussi sensible à ce genre de gestes. Pas de chance pour lui, moi, les préliminaires m'ennuient, je veux juste éprouver du plaisir.
Je me redresse, et je serre sa chevelure bleue entre mes doigts, avant de guider son visage entre mes jambes, le faisant s'agenouiller devant moi. Il se laisse faire, mais je sens qu'il n'est pas habitué à ce genre de situation. C'est normal, il est tellement intimidant, j'imagine que ses partenaires se sont toujours incliné devant lui.
Je le presse contre moi, mais il résiste un peu, je suppose que ça lui déplaît. Peu importe, il apprendra à satisfaire mes désirs.
De fait, il cède, et commence à me lécher doucement ; je soupire de plaisir, et je lui fait signe de continuer. J'aime beaucoup cette sensation, cette chaleur et ce désir. Je me concentre, et je cherche à enfermer ce moment dans ma mémoire. Il me tète impatiemment, et je le laisse faire. Pas jusqu'au point de me faire atteindre l'orgasme, toutefois ; je veux le prendre maintenant, sinon je vais perdre me contrôle sur lui.
Je m'écarte, et lui fait signe de me lâcher ; il obéit, et me regarde presque timidement, attendant mon signal. D'un geste, je le fais s'allonger et écarter ses cuisses ; je m'installe au-dessus de lui, et, sans aucune précaution, que ce soit un préservatif ou du lubrifiant, je le pénètre.
Il bouge un peu sous moi, et je le sens se raidir ; cela lui fait probablement mal. Tant mieux, car si il ne proteste pas, cela signifie que je le tient bien sous contrôle.
Je continue à lui faire l'amour, et je sens qu'il apprécie mon comportement ; doucement, il me murmure d'accélérer, mais je refuse ; je veux que ça dure longtemps, j'aime l'idée qu'il est totalement en mon pouvoir, j'aime la pression sur mon sexe, et j'aime sa façon de gémir impatiemment.
Brusquement, je cède à la tentation, et j'achève ce que j'ai commencé ; nous atteignons l'orgasme, lui avant moi, et je m'écarte, écoeuré, en le voyant répandre son sperme.
Cette nuit, je dormirai seul, je n'ai pas envie qu'il m'envahisse. Et je veux que chacune de ses pensées soit fixée sur moi, sur mon corps.
