Le destin d'Elanore

Disclamer: La plupart des personnages principaux ne sont pas à moi mais au génie Tolkien. Je me suis basée surtout sur le dernier film ainsi que sur le livre.

Chap 1:

Quelques moi après le couronnement du roi Aragorn, Legolas vivait dans la citadelle de Minas Tirith. Il jouissait d'une grande liberté mais il manquait quelque chose dans sa vie. Quoi ? Il ne saurait le dire. Tout allait pour le mieux jusqu'à ce jour, une belle journée d'été. Aragorn devait se trouver avec sa femme, et Gimli devait encore être en train de participer à un concours de bière, se qui fit sourire Legolas alors qu'il avait demander à Gimli de l'accompagner dans sa promenade, il avait refusait car il préférait participer à son concours. Legolas se trouvait près des écuries. Il allait rebrousser chemin et repartir au palais royal lorsqu'il entendit des éclats de voix. A première vue, cela ressemblait à une simple dispute entre un couple mais son instinct d'elfe lui disait qu'il s'agissait de bien plus qu'une simple dispute, et son instinct ne le trompait pratiquement jamais. Alors suivant son instinct, il s'approcha de l'endroit d'où venaient les éclats de voix. C'est là qu'il la vit. Elle était seule face à dix gardes et elle tentait de se libérer de l'emprise des gardes. Elle portait une cape de soie noire à capuche qui lui tombait aux pieds. La capuche recouvrait sa tête, ce qui empêchait Legolas de voir son visage. Il n'entendait que le son de sa voix : une voix claire et douce. Tout ce qu'il comprit c'est qu'il était question de vol de cheval. D'où il se trouvait, il voyait bien la scène, mais personne ne semblait faire attention à lui. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait qu'il devait venir en aide à cette jeune personne, qui qu'elle puisse être, quoi qu'elle ait pu faire. Ce qui le décida à entrer en scène, ce fut ce qu'il vit : un des gardes qui semblait être le chef des gardes, las de voir que sa prisonnière ne répondait pas à ces questions, la gifla. La gifle fut tellement forte qu'elle la déstabilisa et la jeune femme s'effondra. C'est à cet instant que Legolas intervint. En deux bonds, il fut entre la jeune femme et les gardes. Son beau visage elfique reflétait de la colère et de l'indignation. Il tenait à la main son épée, prêt à frapper.

-Ecartez-vous, maître elfe ! Ceci est une affaire entre cette voleuse de chevaux et nous. déclara celui qui semblait être le chef.

-Je vous en prie, ne l'écoutez pas s'exclama la jeune femme. Sa voix était empreinte de tristesse mais aussi d'une grande peur

-Sale menteuse ! s'exclama le chef, les gardes t'on vu arriver ce matin avec ce cheval, sans selle, ils t'on vu entrer dans les écuries et en ressortir sans le cheval, et pas plus tard qu'en début d'après midi ils t'on vu y pénétrer à nouveaux. Etant donné qu'il s'agit des écuries royales, ils m'ont prévenus et nous sommes intervenus.

-Je n'ai jamais volé de cheval de ma vie dit la jeune femme.

-Depuis 3000 ans que je suis sur terre, je n'ai jamais vu un homme lever la main sur une femme ! tonna Legolas, le visage plus menaçant que jamais. Et ce n'est sûrement pas aujourd'hui que je vais tolérer une telle conduite. les informa-t-il.

Il se tourna et se baissa vers la jeune femme. Il lui tendit la main pour l'aider à se relever. Ce fut une main tremblante qu'il prit lorsqu'elle se releva. Il passa un bras autour ses épaules en signe de protection. Lorsqu'il la regarda pour voir si elle allait bien, il ne vit que très rapidement une lèvre fendue. La jeune femme avait baissait la tête au moment ou il tournait la tête vers elle.

Pourquoi ne voulait-elle pas qu'il voit son visage ? se demanda-t-il. Il ne le savait pas mais avait bien l'intention de le découvrir.

-Je vais vous conduire chez le roi, c'est un ami l'informa-t-il, vous lui expliquerez ce qui vient de se passer, et je suis sur qu'il vous croira quand vous dites que vous n'avez pas volé ce cheval, mais que ce cheval vous appartient.

Au moment où il prononçait ces paroles, il perçut un mouvement de recul chez sa compagne. Il ressentait son appréhension ainsi que sa peur. C'était la première fois qu'il ressentait les sentiments des autres personnes, ça ne lui était jamais arrivé de ressentir les sentiments des autres, avec une telle intensité, ce qui l'inquiéta quand même un peu, mais pour l'instant il devait s'occuper de cette jeune inconnue. Il accentua la pression de son bras sur ces épaules en signe de protection, pour lui faire comprendre qu'elle pouvait compter sur lui.