Disclamer: aucun des personnages principaux et lieux ne m'appartiennent à part devinez qui? Elanore bien sur! Il se peut que vous cher lecteurs remarquiez des similitudes avec des scènes du film et du livre. Ne vous en inquiétez pas c'est tout à fait normal, je dirais même c'est fait exprès.


C'est avec un certain plaisir que j'ai pu remarquer que la bonne reponse à la question qui était " à quel miracle Adan faisait allusion" n'a pas été trouvée. Et c'est avec un grand plaisir que je vous annonce maintenant que vous pouvez toujours jouer, la réponse n'étant pas donnée tout de suite. Et non je ne donnerais pas d'indices comme me la demander queq'un qui adore ma fic (lol).


En réponse aux reviews:

quequ'un qui adore ta fic: très original ton pseudo. je suis contente que ma fic te plaise. en ce qui concerne le miracle je ne peut pas donner d'indice mais en lisant bien le chap 9, quelque chose devrait te mettre sur la voix. C'est tout ce que je peut te dire. je sais que ça serait triste de la voir mourir. Qui sait ce qui va se passer? moi je le sait hi hi hi!! mais la aussi je ne dirait rien sauf en présence de mon avocat, lol. Voila la suite.

sab-black: ravi que ma fic te plaise, et surtout ravi de t'avoir parmi mes revieweurs. Tu veux la suite? Bien sur que tu la veux, tout le monde la veux. et bien j'ai un bonne nouvelle pour toi: La voilà!!.

moon cat 22:je suis très contente de te savoir revenue saine et sauve de Londres. Tu vas pouvoir travailler la suite de ta fic comme ça! lol. c'est pas sur qu'ils vont pouvoir sauver leur fille. Il y a peut être un espoir. a quelles genres de bêtises fais-tu allusion? Suivant ton conseil, je continue. Bisous à toi aussi.

Gedauphin: Ton message ne pouvait être plus clair que ça. Néanmoins ça me fait plaisir que tu adore la fic. Toi aussi tu veux la suite, alors pour toi aussi la voilà.

Itarïlë: Tout d'abord bienvenue parmi mes admirateurs, lol. Non sérieux bienvenue parmi mes revieweurs. Voilà un nouveau chap.

Lysbeth-Beriawen: Pour ce qui est de la solution, je crois que tu vas encore rager, car comme je l'ai dit plus haut il m'est impossible de la réveler du moins tant que personne n'a trouver de quoi il s'agissait.Pour ce qui est de la suite eh bien la voilà. En passant j'adore ce que tu écrit, pour certaines de tes fics t'a du t'en rendre compte dans les reviews que je t'ai écrite.

Nessa 158: le miracle auquel Adan fait allusion va peut être changer son destin. Ce que je peut te conseiller c'est de lire la suite peut être que ça répondra à ta question. Voilà la suite.

Bonne lecture avec le chap 10.

Chap 10

Elanore s'éveilla le lendemain matin aux premières lueurs de l'aube comme à son habitude. Elle était blottit dans les bras de son amant. Elle décida de le réveiller doucement. Elle l'embrassa tendrement. Il réagit mais ne se réveilla pas pour autant. Il la serra plus étroitement dans ses bras. Elle caressa son doux visage et attendit une réaction. Elle ne se fit pas attendre. Un sourire étira les lèvres du jeune elfe.

« Il est réveillé » pensa-t-elle. Elle continua de laisser courir ses doigts sur sa peau douce : le long des épaules puissantes et musclées, le long de sa poitrine bien dessinée, et le long de son torse.

Aussitôt le sourire du jeune elfe s'accentua et il ouvrit les yeux. Il attrapa ensuite sa fine main et y déposa un baiser.

Il se pencha ensuite vers elle et l'embrassa en guise de bonjour. Elanore passa ses bras autour de son cou et l'attira à elle. Elle répondit passionnément au baiser.

Ils se séparèrent à regret, et se levèrent car ils devaient repartir aujourd'hui.

Elanore revêtit ses vêtements de rôdeuse et plia la robe qu'Eowyn lui avait fait remettre la veille.

Lorsqu'ils pénétrèrent dans la salle royale pour manger avant de repartir, seuls Aragorn, Eomer et Mithrandir étaient présent.

Après s'être salués, ils commencèrent à manger.

Alors qu'ils étaient absorbés par leur petit déjeuner, Elanore en levant la tête croisa le regard d'Eomer. Il la regardait. Ses yeux se teintèrent de tristesse. Ils avaient une expression indéfinissable et Elanore se sentit mal à l'aise. Apparemment personne n'avait remarqué ce qui venait de se passer. Eomer baissa précipitamment les yeux lorsqu'elle le regarda de nouveau.

Il lui cachait quelque chose pensa-t-elle alors. Mais quoi ? Elle ne le savait pas mais elle n'allait pas tarder à le savoir.

Lorsqu'elle eu terminer, elle sortit et alla aux écuries. Elle prépara et attendit.

Elle se concentra et pénétra l'esprit d'Eomer. Il le sentit immédiatement. Il essaya de résister à cette emprise mais ne le put. Elle était plus forte que lui. Elle l'obligeat à venir dans les écuries et de lui dire ce qui n'allait pas.

Eomer terminait son petit déjeuner lorsqu'il sentit quelque chose d'étrange. Il entendait la voix d'Elanore dan sa tête et eu comme un flash. Il vit surtout ses yeux. Il comprit qu'elle avait pénétré son esprit et qu'elle le contrôlait. Il essaya de résister le mieux qu'il put mais il ne le put. Elle était bien plus forte que lui, il s'en rendait compte. Il cessa lors de lutter et la laisser le guider. Il adressa de vagues excuses à ses compagnons qui n'avaient rien remarqués de son étrange comportement et sortit. Il ne contrôlait plus son corps, Elanore le faisait pour lui. Ses pas le menèrent aus écuries.

Arrivé à destination, il se retrouva face à Elanore. Elle lui souriait. Il réalisa alors que lorsqu'elle souriait comme en cet instant précis, elle était vraiment d'une beauté incomparable. Il n'arrivait à la comparer à personne. Il ne trouva surtout personne qui aurait pu rivaliser avec elle au niveau de sa beauté Il se reprit aussitôt. Elle était déjà avec quelqu'un et semblait heureuse avec cette personne. Il n'avait pas l'intention de la volé à Legolas, puisqu'ils formaient un très beau couple tout les deux.

Il attendit. Rien ne se passait. Elanore se décida à parler.

-Roi Eomer, excusez-moi de vous avoir obligé de venir en ce lieu, mais il se trouve que j'ai pu remarquer votre étrange attitude pendant le petit déjeuner. J'ai l'impression que l'on me cache quelque chose ! C'est bien de cela qu'il s'agit ? Vous me cachez quelque chose, n'est-ce pas ? Alors j'aimerais que vous me disiez de quoi il s'agit !

-Vous pourriez très bien lire mes pensées ainsi vous sauriez de quoi il retourne ! répondit-il le visage grave.

-Je préfère l'honnêteté, et je préfère que vous me le disiez de vous-même, s'il vous plait.

-Si c'est ce que vous voulez !

-C'est ce que je veux. Dites moi qu'y a-t-il ?

-Bien...hier soir, je vous ai demandé si aujourd'hui vous aviez trouvé votre bonheur et vous m'avez répondu que oui, sans aucune autre explication et j'avais alors remarquer la tristesse qui voilaient vos beaux yeux ainsi que ceux de Legolas.

-Oui je me souviens. Où voulez-vous en venir ?

-Eh bien, ne comprenant pas pourquoi tant de tristesses dans vos yeux à tout les deux, après votre départ, je me suis entretenu avec Aragorn. Il m'a alors révélez votre destin que j'ignorais, dit-il précipitamment. Je suis désolé. Je ne comprends pas comment peut-on réserver un tel destin pour une personne comme vous.

-Merci, mais personne n'y peut rien. Mon destin si triste soit-il a été écrit voila fort longtemps. IL a été écrit avant ma naissance.

-Il m'a aussi parlé de votre relation avec notre ami Legolas. Vous l'aimez et cela se voit.

-Je l'aime mais il va souffrir par ma faute !

-Non ce n'est votre faute, seulement vous n'y pouvez rien, vous ne pourrez pas l'empêcher de souffrir. Nous avons décidé de le soutenir du mieux que nous pourrons durant cette épreuve.

-Merci Eomer mais je pense que vous ne pourrez rien faire pour l'empêcher de souffrir. Vous savez la souffrance que peut éprouver un elfe est totalement différent de celle que vous éprouvés vous le hommes. La souffrance chez les elfes est très forte parfois insupportable. Un elfe peut mourir de chagrin, et j'ai peur que se soit se qui se passera pour Legolas si sa douleur est trop forte.

-Nous essaierons tout de même de faire de notre mieux pour lui.

-Merci Eomer. Je savais que vous ne laisseriez pas un ami dans la détresse. Promettez moi que quoi qu'il arrive vous veillerez sur lui pendant un moment. Les premiers temps surtout.

-Ne vous inquiétez pas, vous pouvez compter sur moi.

-Merci Eomer, roi du Rohan.

Eomer acquiesça d'un geste de la tête.

Comme prévu lorsqu'ils repartirent d'Edoras, il n'y avait qu'Elanore, Legolas, Aragorn, Gimli, Mithrandir, Eomer, Faramir, ainsi que quelques hommes. Le reste de l'armée était restée à Edoras et partirait une semaine plus tard pour les rives du fleuve Anduin.

Ils chevauchèrent dans les plaines du Rohan en passant par la Trouée du Rohan. Ils atteignirent Sûnland où ils firent une halte pour déjeuner et pour laisser les chevaux se reposer un peu.

Lorsqu'ils reprirent leur chevauchée, ce fut pour s'arrêter dans la région d'Eregion aux pieds des montagnes. Ils y établirent le campement.

Encore une journée et ils arriveraient à Rivendell. Mais il y avait quelque chose qui perturbait Elanore. Ils n'avaient rencontrés aucuns obstacles sur leur route alors que le messager au Gondor leur avait appris qu'une troupe d'orques se dirigeaient également vers Rivendell.

Elle fit part de ses appréhensions à Mithrandir qui lui aussi s'étonnait de ce fait.

Elle ne savait que penser lorsqu'elle fut interrompue dans ses pensées par un étrange malaise.

C'était difficile à expliquer. Elle sentait que quelque chose allait arriver mais ne savait pas quoi !

Au fur et à mesure que les minutes passaient, ce malaise grandissait. Elle sut que c'était les orques qui approchaient et allaient les attaquer.

Elle donna aussitôt l'alerte. Chacun se mit en place prêt à se battre. Tous dégainèrent leurs épées à l'exception de Gimli qui préférait sa hache et de Legolas qui utilisait son arc.

Il prit une flèche dans son carquois et banda son arc, prêt à tirer.

Moins de cinq minutes plus tard, les orques faisaient leur apparition.

Aussitôt une flèche siffla à côté de son oreille. Legolas avait décoché sa première flèche qui atterrie en plein dans la poitrine d'un orque qui s'effondra raide mort.

Il rechargea aussitôt son arc et une seconde flèche partie.

Au fur et à mesure que les orques approchaient, Elanore se rendit compte qu'ils étaient bien plus nombreux qu'elle ne l'avait pensé.

Ils ne seraient jamais assez face aux orques. Tant pispensa-t-elle. Ils n'avaient pas le choix. Ils devront se battre et elle était prête.

Lorsque les orques attaquèrent, ils répliquèrent. Legolas avait troqué son arc contre son épée.

Elle évitait avec grâce et souplesse tous les coups des orques et lorsqu'elle frappait à son tour, elle atteignait toujours sa cible.

Tout autour d'eux, il y avait bon nombre d'orques morts.

Elle était tellement occupée à se défendre qu'elle ne vit pas l'orque qui se trouvait en retrait par rapport aux autres et qui était monté sur un rocher surplombant ainsi le champ de bataille. Il tenait un arc à la main qu'il chargea avec une flèche spéciale qui contenait une substance qui permettrait ainsi à son maître d'entrer en contact avec elle et de la contrôler.

Début du flash back de l'orque

Sauron se tenait dans une pièce qui lui servait à fabriquer tout sorte d'arme et qui contenait différentes substances et poisons. Il était en compagnie de ses sorciers nazguls qui venaient de préparer une mixture brunâtre de laquelle se dégageait une odeur insupportable pour un homme ou pour un elfe mais supportable pour ses créatures.

L'un des sorciers nazguls s'approcha de son maître une lèche à la main. Il venait de la tremper dans la mixture.

-Grâce à potion que nous avons préparé, vous pourrez entrer en contact avec cette Elue. Quand vous serez sure qu'elle sera sous votre domination, vous pourrez lui faire faire ce que vous voulez, elle ne pourra que vous obéir car elle se sentira paralyser.

-Bien, très bien ricana Sauron de sa voix métallique. Comment devons nous procéder ?

-Il suffit que quelqu'un comme l'un de vos orques l'attaque. Elle recevra cette flèche et la potion fera très rapidement effet et à ce moment elle ne pourra que vous obéir maître.

-Ah ah ah !!! Lorsqu'elle sera sous mon contrôle, je deviendrais plus fort et personne ne pourra plus jamais me vaincre.

La dessus, il prit la flèche des mains du sorcier nazgul et sortit de la pièce. Il marcha à travers les décombres de son ancienne tour et se rendit dans les sous-sols. Il s'arrêta devant une porte, derrière laquelle on entendait comme toujours des éclats de voix. Les orques comme à leur habitude étaient en train de se disputer et allaient bientôt en arriver aux mains si personnes ne les interrompaient.

La porte de la salle s'ouvrit en grand, interrompant tout ce qui se passait dans cette pièce.

Le Seigneur des ténèbres fit son entrée et tous les regards se tournèrent vers lui.

-J'ai le plaisir de voir que l'on ne peut pas vous laisser quelques instants tout seuls sans que vous vous battiez. Bande d'incapable c'est comme ça que vous voulez gagner une bataille si vous vous entre tués avant que la bataille ait eu lieu !!

-Non maître, répondirent en chœur les voix craintives des créatures qu'il avait crée.

-J'ai une mission pour certains d'entre vous.

Il désigna un groupe d'orques qui sortirent à sa suite. Le chef de cette troupe avança aux côtés de Sauron.

-Vous partez immédiatement pour Rivendell. Vous n'attaquerez pas la cité et attendraient que l'Elue s'y présente. Elle doit y récupérer un objet que je préférerais voir entre mes mains plutôt qu'entre les siennes.

-Bien maître...

-Je n'ai pas finit ! tonna-t-il. Il se peut que vous les rencontreraient sur votre chemin, car elle ne sera peut-être pas seule. Vous les attaquerez et n'ayez aucune pitié pour eux. Tuez-les tous sauf elle. Il me la faut vivante vous entendez.

-Oui maître, dit il. Vous entendez vous autres. Il ne faudra pas tuer la fille mais vous pourrez tuer les autres. Puis se tournant de nouveau vers Sauron. Y a-t-il autre chose que nous devons savoir ?

-Oui, se sera vous qui la blesserez. Pour cela, il vous faudra utiliser cette flèche. Elle a été trempée dans une potion qui me permettra ensuite de la contrôler. Je veux que cous la blessiez au bras. Si vous échouez dans votre mission, je me ferais un plaisir d'utiliser mes instruments de torture sur vous !!

-Oui maître. Tout se passera bien.

-Maintenant partez !!

La petite troupe d'orque se mit en route et sortie du Mordor pour se mettre en route pour Rivendell. Ils venaient juste de sortir lorsqu'ils tombèrent sur des hommes du Gondor qui les observaient. Ils les tuèrent tous à l'exception d'un qui bien que blessé réussit tout de même à prendre la fuite. Ils avaient perdus quelques orques au combat mais étaient encore nombreux.

Fin du flash back de l'orque

Elanore ne vit pas l'orque mais elle entendit au dernier moment, la flèche qui siffla en traversant les airs ainsi que la voix de Legolas

--Elanore attention ! hurla-t-il.

Trop tard, la flèche atterrit dans son bras gauche. Elle chancela sous le choc et pria intérieurement de ne pas mourir.

Elle pensa alors qu'ils auraient eu plus de chance face aux orques si ils avaient été plus nombreux.

Alors qu'elle pensait cela, derrière elle apparut une lumière jaune éblouissante. Elle entendit de nouveau une flèche siffler à ses oreilles, puis une autre, et encore une autre. Les flèches venaient de derrière elle. En levant la tête, elle vit alors l'orque qui l'avait attaqué s'effondrer raide mort une flèche dans la poitrine et une autre en milieu du front.

En regardant autour d'elle, elle vit que tous hommes, elfes, nains et orques avaient arrêtés de se battre et regardaient la lumière derrière elle.

Elle se retourna alors et la l'intensité de la lumière diminua. Elle se retrouva alors face à .... une armée. Qui était-ce ? D'où venait-elle ?

Elle ne le savait pas. Tout ce qu'elle savait c'est que cette armée était apparue comme par magie, alors qu'eux étaient en difficultés.

Un cavalier s'avança alors et s'arrêta à la hauteur d'Elanore. Il descendit de son magnifique cheval blanc. Il la salua dans une profonde révérence. L'inconnu lui fit alors face. C'était un elfe blond aux yeux bleus. Il était vêtu d'une cape de velours rouge. En dessous, il arborait une armure en une sorte de métal de couleur or. Il tenait un arc à la main et comme Legolas, il avait un carquois rempli de flèches dans le dos. A la taille, il avait également une longue épée qui pour le moment était rangée dans son fourreau. Il s'adressa alors aux orques :

-Vous ne toucherez plus jamais à notre étoile. Et sur un geste de la main, tous les cavaliers lui obéirent et chargèrent les orques qui commençaient à s'enfuir. Les cavaliers les massacrèrent en un temps record. Les cavaliers revinrent tous sains et saufs. Aucun n'avait été blessé.

Elle s'en étonna et à ce moment, il se présenta :

-Je me présente, je suis Haldir de Lorien, Elanore.

-Comment connaissez-vous mon nom ? Comment saviez-vous que nous avions besoin d'aide ?

-Vous nous avez appelés, Elanore

-Moi ? Non vous devez faire erreur. Je n'ai appelé personne.

-Bien sur que si vous nous avez appelés. Souvenez-vous, vous avez pensé que vous auriez eu plus de chance si vous aviez été plus nombreux.

Effectivement, elle se souvenait l'avoir pensé.

-Mais comment....

Le reste de sa phrase se perdit car un cri venait de retentir derrière elle et Legolas accourut rapidement. Il s'arrêta net en voyant Haldir.

-Haldir de Lorien ? Mais comment est-ce possible ? Vous êtes morts ! Je vous ai vu tomber dans les bras d'Aragorn !

-En effet, Legolas, fils de Thranduil je suis mort. Mais Elanore nous a appelés alors nous sommes venus en renfort. Souvenez-vous Elanore, les anges du destin vous ont dit que vous bénéficierez de l'aide de personnes auxquelles vous ne penserez pas.

-C'est vrai, mais comment pourrais-je parler aux......morts ?

-Vous êtes l'Elue donc vous possédez ce pouvoir. Rentrer en contacte avec nous. Nous avons été renvoyés pour vous venir en aide. Nous avons reprit notre apparence humaine. Nous sommes bien vivant à vos yeux. Nous ne craignons aucun coup et aucunes armes. Rien ne peut nous tuer puisque nous sommes déjà morts. Au moment où je vous parle, nous sommes en apparence aussi vivant que vous, mais nous sommes morts.

Aragorn aussi avait accourut, ainsi que toute la compagnie. Tous étaient étonnés. Ils venaient d'être en partie sauvés par une armée composée exclusivement d'elfes qui étaient morts mais qui paraissaient pourtant bien vivant.

-Je ne sais comment vous remercier, murmura Elanore.

-En nous laissant mener à bien notre mission et en nous appelant la prochaine fois que vous aurez besoin de nous.

-En quoi consiste votre mission ? demanda Legolas

-Nous devons vous protéger Elanore et vous en particulier, mais vous tous aussi qui êtes également présent jusqu'à votre arrivée à Rivendell. Une fois que vous y serez arrivés, nous disparaîtrons jusqu'à votre prochain appel, Elanore notre étoile.

Tous ces événements en étaient trop pour Elanore. De plus cette flèche qui était encore plantée dans son bras gauche lui faisait horriblement mal. Elle chancela et entendit à peine Haldir l'appeler avant de s'évanouir dans ses bras.

Ils ne perdirent pas de temps. Aussitôt qu'elle s'était évanouie, ils avaient accourus auprès d'Haldir.

Haldir retira lentement la flèche de son bras puis y apposa une sorte de baume à base d'herbe, qui ralentira l'infection de la blessure, car tous savaient qu'une blessure causée par un orque pouvait se révéler mortelle.

-Legolas, il faut partir maintenant. Cette blessure ne me dit rien qui vaille. Puis s'adressant à Aragorn. Nous partons immédiatement avec Legolas et Mithrandir. Nous irons plus vite avec nos chevaux. Rassemblez vos hommes et les miens. Ils vous obéiront et rejoignez nous à Rivendell.

Il siffla alors un cavalier qui approcha avec le cheval d'Haldir. Il tenait également la bride d'un autre cheval blanc que Legolas reconnut immédiatement comme étant celui d'Elanore. Comprenant son interrogation, Haldir précisa :

-Nous irons plus rapidement avec ces chevaux, Legolas. Prenez Cunde e i lom. Je prends Elanore avec moi, elle sera en sécurité.

Il enfourcha son cheval et Legolas et Aragorn installèrent Elanore devant lui. Ils l'avaient installée en amazone. Haldir l'entoura d'un bras avant de rabattre un pan de sa cape sur elle.

Gandalf monta Gripoil et Legolas eu plus de mal avec le cheval d'Elanore. Il lui fallut quelques minutes avant de pouvoir le calmer, car le cheval avait senti que sa maîtresse était en danger.

Enfin Haldir donna le signal du départ et les trois chevaux blancs s'élancèrent très rapidement dans la plaine.

Elanore eu vaguement conscience d'être installée sur un cheval et que quelqu'un la prenait contre lui. Elle ne reconnaissait pas cette personne. Ce n'était pas Legolas, ça elle le savait.

-Legolas, gémit-elle. Où êtes-vous, ne me laissez pas seule !

-Vous n'êtes pas seule, nous sommes là, nous allons vous protéger. Legolas est à vos côtés. Ne vous en faites pas Elanore , notre étoile, lui répondit une douce voix d'homme en elfique.

Elle reconnaissait vaguement cette voix, et cela la rassura un peu. Elle se sentait faible. Cette douleur au bras lui faisait mal, horriblement mal. Elle n'arrivait pas à se réveiller. Cela lui faisait peur. Elle n'arrivait pas non plus à bouger. Elle avait l'impression d'être paralyser. Elle comprit que c'était à cause de la flèche si elle ne pouvait pas bouger. Cette flèche devait être maléfique.

Quelqu'un essayer de s'introduire dans son esprit sentit-elle alors comme elle l'avait fait avec le roi Eomer. Elle essaya de résister mais ses efforts pour résister lui en coûtaient. Quelqu'un essayait de la manipuler. Ses efforts l'affaiblissaient.

Alors qu'elle cessait toute lutte parce qu'elle était trop faible pour continuer à lutter, elle eu l'impression de se trouver dans un autre endroit. Un endroit sombre, où la peur se ressentait. Elle entendit alors une voix cruelle, quelque peu métallique qui lui fit froid dans le dos.

Cette voix devenait de plus en plus claire. Elle n'eu aucun mal à identifier cette voix. Elle n'était autre que celle de Sauron !

« Elanore, cela fait longtemps que j'attendais ce moment » entendit-elle alors dans sa tête.

« Non » pensa-t-elle en retour.

« Si », répondit-il à sa muette supplication. « Bientôt vous m'appartiendrez, et plus personne ne pourra rien contre moi. Je serais le plus fort, cela grâce à vous. Grâce au don que vous me ferez ! »

« Jamais » pensa-t-elle en réponse aux propos de Sauron. « Vous ne m'aurez jamais, je préférerais mourir plutôt que de vous faire don de mes pouvoirs »

« Ne vous inquiétez pas vous allez mourir » déclara-t-il ironiquement « Vous mourrez comme vos parents. Au moins leur mort aura servi à quelque chose » ajouta-t-il cruellement

« Mes parents, vous les avez tués sans aucune pitié. Ils n'avaient rien fait. »

« Si, ils savaient où vous vous trouviez, et n'ont rien voulu dire. Je les aie torturés mais comme ils ne me révélaient toujours aucune information à votre sujet, je m'en suis débarrassé. »

« Vous êtes cruel, injuste. Tuer des innocents » pensa-t-elle.

« Mais au contraire ce fut un vrai plaisir, les entendre hurler.... »

« Arrêtez » hurla-t-elle

« Non, j'ai une meilleure idée ».

Alors une vision lui apparue. C'était une pièce sombre. Il n'y avait aucune lumière. Il y avait des orques dans cette pièce. A se moment, une silhouette entrer par une porte. Elle la reconnue aussitôt. C'était Sauron. Il s'avança au milieu de la pièce ou se trouvait de sortes de tables. La, elle entendit Sauron demander à ce qui se trouvait sur la table : « Où est-elle ? ». Le silence lui répondit. Il reprit la parole pour dire « Vous allez le regretter ». Alors un mécanisme se fit entendre et on entendit deux voix hurler de douleur. Ces vois, elle n'eu aucune difficulté à les reconnaître. C'était ses parents qu'il était en train de torturer.

« Non !»

Un sinistre ricanement lui répondit

« Ama, Ada »,(Maman, Papa )hurla-t-elle.

Elle hurla et Haldir sentit que ses forces l'abandonnaient. Il fallait agir très vite ou ils la perdraient pour de bon. Aussitôt il lança son cheval encore plus vite. Ses deux compagnons firent de même. Les trois chevaux filaient comme des flèches. Ils arriveraient bientôt, encore un effort.

-Elanore, murmura-t-il, accrochez vous. Nous serons bientôt arrivés à Rivendell. Puis il lui parla dans sa langue naturelle, l'elfique : « Ne nous abandonnez pas maintenant Elanore. Vous êtes prêt du but. Ne le laissez pas vous prendre. Combattez-le, vous le pouvez. Vous savez ce que vous devez faire, alors faites le Elanore notre étoile »

Bien qu'inconsciente, ces paroles Elanore les entendit clairement. Elle n'était pas la seule à les avoir entendues. Sauron les entendit aussi.

« Plus personne ne peut rien pour vous. Encore peu de temps et vous m'appartiendrez. Je gagne toujours, ricana-t-il.

« Pas cette fois, je me battrais jusqu'au bout et je ne vous laisserez pas gagner, vous perdrez »

« Comment ça je perdrais ? Vous ne pouvez rien contre moi » menaça-t-il.

« C'est ce que nous allons voir, je sais ce que je dois faire et je vais le faire » pensa-t-elle en retour.

« Elanore ! Qu'avez-vous l'intention de faire ! Vous m'appartenez ! » gronda-t-il.

« Jamais » pensa-t-elle en réponse à ses propos.

Elle était faible mais avait encore un peu d'énergie. Elle l'utilisa.

Alors une sorte de cocon se matérialisa autour d'elle. Il l'a maintiendrait en sécurité jusqu'à leur arrivée à Rivendell.

Juste avant que la voix de Sauron ne s'estompe dans sa tête, elle l'entendit encore lui hurler :

« Vous m'appartenez ! »

Le silence se fit dans sa tête.

Elle entendit seulement la voix d'Haldir qui lui dit en elfique :

-Je savais que vous y arriverez, Elanore notre étoile bien aimée.

Durant tout le temps que mit le reste de la chevauchée, elle entendait régulièrement la vois d'Haldir qui lui apprenait où ils se trouvaient. La nuit était passée, et les cheveux ne montraient aucun signe de fatigue.

Les premières lueurs du jour apparaissaient lorsqu'ils arrivèrent à Rivendell. Legolas la prit dans ses bras et elle en eu vaguement conscience. Elle le sentit surtout car elle reconnaissait la chaleur qui émanait de son amant puisque le cocon qui s'était formé autour d'elle s'évapora à ce moment.

Elrond les attendait. A la vue d'Haldir, il perdit un instant tous ses moyens mais se reprit très vite.

-Seigneur Elrond, les explications viendront plus tard. Pour l'heure il faut s'occuper d'Elanore, dit Haldir devant l'air quelque peu ébahi du Seigneur Elrond.

-Il faut se dépêcher, intervint Legolas. Vite, je sens qu'elle s'en va. Je ne veux pas la perdre vous m'entendez. Alors vite.

Elrond était en tête et Haldir fermait la marche. Ils traversèrent une partie du royaume au pas de course. Elrond ouvrit une porte et y entra avec Legolas sur ses talons.

Legolas y déposa avec précaution Elanore sur le lit et lui prit la main.

-Sortez, leur dit alors Elrond

-Non, répliqua Legolas du tac au tac. Que ça vous plaise ou non je reste.

-Comme vous voudrez.

Elrond se plaça au dessus de la blessure et commença à la nettoyer.

Puis il lui parla en elfique. Il lui ordonnait de revenir. Elanore gémit faiblement. Elrond continua donc à lui parler. Il était perplexe. Elle aurait déjà du revenir. Pendant une bonne heure encore, il lui ordonna de revenir. Sa médecine ne s'était jamais soldée par un échec. Il ne voulait pas y croire. Elle devait revenir.

A ce nomment là, les anges du destin firent leur apparition au pied du lit. Ils s'approchèrent en silence.

-Seigneur Elrond, votre médecine seule ne sera pas efficace. Vous avez besoin de notre aide, lui dit Ingwe l'ange elfe.

Elrond acquiesça d'un signe de tête, il s'était rendu compte que sa médecine seule ne parviendrait pas à la ramener mais n'avait pas voulu en faire part aux autres pour ne pas les effrayer. IL laissa donc sa place aux anges. Il alla donc de l'autre côté du lit près de Legolas qui tenait toujours la main de sa bien aimée. Il recommença à lui parler et à lui ordonner de revenir.

Les deux anges placèrent leur main droite sur la blessure et leur main se mit aussitôt à irradier. La blessure irradia à son tour. Tout le corps d'Elanore se mit alors à irradier. Legolas qui tenait toujours la main d'Elanore vit sa propre main se mettre à irradier. Tout son corps irradia faiblement mais il irradia. Il lui communiquait de sa force. Il sentit la chaleur dans la main de sa compagne.

-Elle revient, les informa-t-ils. C'est bien Elanore, continuez de vous battre et revenez parmi nous, lui murmura-t-il.

Ils restèrent encore une dizaine de minutes puis la lumière disparut.

-Elle est revenue, dit alors Adan l'ange homme.

Les deux anges du destin murmurèrent alors des paroles incompréhensibles en posant une main sur le front d'Elanore et reculèrent ensuite de quelques pas en s'inclinant dans une profonde révérence envers Elanore.

-Elle dormira jusqu'à demain matin, dit Adan.

-Elle doit maintenant se reposer, compléta Ingwe.

-Venez Legolas. Vous pourrez revenir la voir plus tard. Pour l'heure nous devons parler.

C'est à regret que Legolas quitta le chevet de sa bien aimée.

Elrond accompagné de Gandalf, Legolas, les deux anges du destin et Haldir se rendirent dans un jardin près de l'endroit où s'était tenu le conseil un an plus tôt pour la quête de l'anneau. Là ou ils se trouvaient se trouvaient des bancs en bois, décorés à la manière des elfes. Des courbes se mêlaient entre elles. Ces courbes étaient gravées dans le bois des bancs.

Les deux anges s'assirent côte à côte sur un banc. Gandalf s'installa sur un banc aux côté de Legolas et lui posa une main sur l'épaule en guise de soutient : lui aussi aimait beaucoup Elanore, quelques fois il la considérait comme sa propre fille et avait été très affecté lorsqu'elle avait reçue cette flèche dans le bras. Legolas le regarda, le comprit et esquissa un faible sourire. Elrond prit place sur un siège et Haldir sur un autre siège face à Elrond.

-Haldir, comment est-ce possible ? Je ne comprends pas. Vous êtes... et il s'interrompit en regardant Haldir qui pourtant en ce moment paraissait bien vivant.

-Mort, suggéra ce dernier. Oui je suis mort comme tous les elfes qui sont en ce moment précis sou les ordres d'Aragorn. Mais notre étoile possède le don d'entrer en contact avec nous. Elle l'a d'ailleurs fait sans s'en rendre compte, et nous sommes intervenus en réponse à sa demande.

-Ce sont nous les responsables, intervint Ingwe. Nous savions que pour mener à bien son destin, Elanore aurait besoin de bien de l'aide de ceux qui voudrons bien l'aider.

-Nous connaissions les exploits d'Haldir qui était déjà intervenu avec d'autres elfes pour aider les hommes du Rohan sur votre demande Seigneur Elrond, intervint à son tour Adan. Nous nous sommes alors rencontrés, et nous lui avons demander s'il était prêt à aider personne pure et unique dans sa mission.

-Je leur ai alors répondu qu'ils pourraient toujours compter sur mon aide et sur celle de mon peuple.

-Nous lui avons alors demander de former rapidement une armée parmi les elfes qui sont déjà volontaire et qui voulaient venir en aide à notre Elue, dit Ingwe.

-Deux jours plus tard, une armée digne de ce nom était prête à entrer en scène. Ils n'attendaient plus que le signal, dit Adan.

-Le signal, c'était l'appel d'Elanore, intervint Gandlf qui avait attentivement suivit leur raisonnement.

-C'est exact, dirent les deux anges du destin.

-Hier soir alors que nous venions de bous arrêter pour la nuit, nous avons été attaqués par les orques qui se dirigeaient ici, dit Legolas.

-J'ai effectivement reçu un message, il y a une semaine. J'avoue avoir été déstabiliser par cet étrange messager. J'ai néanmoins prit connaissance de ce massage. Il m'apprenais la prochaine arriver d'une troupe d'orque et il était signer du Roi Elessar.

-C'était Estel, affirma l'un des deux anges. Son fidèle compagnon.

-Lorsqu'ils ont attaqués, Elanore a été blessée. Elle a alors eu une pensée qui ressemblait étrangement à un souhait. Elle avait besoin de nous. Au moment où elle formulait cette pensée, avec une partie de mon armée nous sommes allés lui prêter main forte, leur apprit Haldir. Nous nous sommes rendu compte qu'elle avait été blessée, et nous sommes venus le plus rapidement possible, grâce aux chevaux les plus rapides de la Terre du Milieu.

Un silence se fit parmi eux. Chacun méditait sur ces paroles. Legolas avait le regard qui s'éloignait en direction de la chambre dans laquelle se reposait Elanore.

-Nous devons malheureusement vous apprendre une bien triste nouvelle, déclara Adan.

-Cette flèche qu'elle a reçue dans le bras est l'une des dernières inventions des sorciers de Sauron. Ils ont trouvés le moyen d'entrer en contact avec elle. Il a réussit à s'introduire dans son esprit pendant que vous l'ameniez ici, nous le savons mais comme elle était trop faible, elle n'a pu résister.

Nous devons vous prévenir, surtout vous Legolas feuille verte qu'il essaiera à de nouveau de s'introduire dans ses pensées. Il aura sûrement plus de mal car elle aura retrouvé ses forces mais il essaiera. Il essaiera de la rallier à sa cause. Alors il va falloir être sur vous gardes car on ne sait pas ce qu'il va essayer de faire.

Ils discutèrent encore quelques instants sur la conduire à adopter, puis les deux anges du destin disparurent en permettant à Haldir d'attendre le réveil d'Elanore avant de repartir avec ses hommes.

Legolas partit aussitôt au chevet d'Elanore et la veilla toute la journée pendant qu'elle dormait. A plusieurs reprises, Elrond vint en compagnie d'Haldir et de Gandalf pour prendre de ses nouvelles.

Legolas passa également la nuit à son chevet installé dans un fauteuil.

Vu que personne n'a trouver la bonne réponse à l'allusion d'Adan, vous pouvez continuer à m'envoyer vos reviews avec vos propositions. Qui sait quelqu'un trouvera peut-être la bonne réponse.

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