coucou! voici la suite, cette fois-ci, c'es Ron qui en prends pour son grade! niark niark niark, bonne lecture!

réponses aux reviews:

onarluca: tout d'abord merci pour ta review, ça fait vraiment trop plaisir d'en recevoir! et pour ce qui va se passer, t'inquièt' c'est prévu, mais faut les embéter un peu, ces Harry et Ron! oui, je sais, moi etre pas bien, moi etre sadique!

sakurazukamori8: Pansy? j'aime bien le concept de petite peste serpentardienne... donc forcément j'ai pensé à elle. mais bon, la mettre avec Dray, je veux dire, il a beaucoup trop de classe pour l'idée que je me fais d'elle, et puis bon. pour ce qui concerne blaise, en fait j'ai écris ce truc sans parler de lui, et il est bien commencé... je peux faire quelque chose je crois, bonne idée! alors, ave qui vais-je le mettre un regard machiavélique se dessine sur le visage de surimi, qui n'en a pas vu que ce n'est qu'un baton de crabe!... vais voir! gros bisous et mici bici encore pour ta review, ça m'a fait très plaisir! espérons que ce morceau te plaise, un peu chargé peut-être, mais ça empire avec la suite.

"salut, ron!" dit une voix sensuelle derrière lui. Ron sursauta, il ne s'attendait pas à ce que quelqu'un le retrouve dans la salle sur demande qu'il avait l'habitude d'utiliser pour travailler quand les discours de Hermione l'exaspérait trop. surtout que la voix était manifestement celle d'une fille, il ne la reconnaissait pas bien, mais il savait qu'il l'avait entendu auparavant. avant qu'il puisse se retourner, des mains froides avait attaché autour de ses yeux un foulard rouge sang. les mains lui caressèrent la joue, et il sentis un souffle brulant à son oreille.

" shht" fit la voix qui semblait ronronner. " ne dis rien surtout."

" qui est-ce?"

Pansy se retint de soupirer, ces gryffondors étaient franchement débiles.

"laisses-moi faire." dit-elle encore à son oreille, et elle lui suça le lobe. Ron sentit sa respiration s'accélerer. les mains froides caressèrent son torse, puis descendirent en complète synchronisation avec la langue de l'inconnue, les unes en direction de sa bringuette, l'autre du creu où se rencontrait le cou et l'épaule. Pansy mordit doucement Ron, le faisant réagir avec délectation.

" wohoho!" s'affola Ron " qui que ce soit, ne fais pas ça!"

" toi tu parles trop" grogna Pansy, et elle prit le foulard vert qu'elle avait attaché autour de son cou pour baillonner le Gryffondor ( oui, je sais, c'est assez sado-maso... et ce n'est PAS un de mes fantasmes, milka!). elle fit reculer la chaise de Ron et se mit devant lui, le libérant de son pantalon. Ron crut que son coeur allait exploser hors de sa poitrine. il n'osait pas retirer ses mains des accoudoirs de sa chaise, et même si il avait osé, il était sûr qu'elles ne l'auraient pas obéit à cet instant.les mains froides massèrent ses cuisses, remontant dangereusement vers un lieu sensible. la bouche de l'inconnue faisait de même.

ron ne put s'empécher de grogner de plaisir lorsque Pansy lui retira son caleçon, frolant au passage de ses doigts glacés et hyper-manucurés l'érection de ron. elle sourit en voyant le pouvoir qu'elle avait déjà sur sa proie. le pari était gagné d'avance.

oOoOoOoOoOoOoO

" vous allez bien, tous les deux?" s'inquiéta Hermione.

Ron et Harry n'avait pas dit un mot depuis qu'ils étaient arrivé dans la Grande salle pour diner.ils avaient passé l'après-midi entier à se promener dans les alentours du chateau, chacun de leur coté, laissant Hermione à son triste sort dans la salle commune où elle travaillait ses devoirs d'arithmancie.

c'est alors qu'un groupe de serpentards entra dans le réfectoire, avec à sa tête Malefoy et Parkinson, qui parlaient avec un sourire machiavélique et grand gestes de mains. Hermione fronça les sourcils en voyant Harry détourner le regard et Ron palir. Malefoy regarda dans leur direction, et fit un signe de la main plus que caricaturale à Harry. Parkinson se tordait de rire.

jamais on avait vu à gryffondor un tel arc-en-ciel de couleurs couvrir trois visages. Harry était aussi rouge que les tentures de son lit dans la tour; Ron était aussi jaune que l'écharpe des pouffsoufles, et Hermione était aussi verte que la cravate de Goyle.

" mais qu'est-ce qui se passe ici?" demanda lentement Hermione en regardant intensivement Harry. il se réfugia dans la contemplation de sa purée et se perdit dans les profondeurs abyssale du bégaiement.

" je... heu... je ne... je n'en ai aucune idée..."

" à d'autres" dit Hermione en roulant des yeux. " pourquoi est-ce que Malefoy te fait un signe de la main, tout d'un coup?"

Harry fut sauvé des griffes d'une Hermione soupçonneuse par le gloussement d'allégresse d'une certaine petite soeur d'un certain meilleur ami qui elle, avait plus de certitudes que de soupçons. elle montrait la gorge de son frère, sans pouvoir prononcer le moindre mot.

" Ron! qu'est-ce que tu as dans le cou?" demanda immédiatement Hermione en voyant un tache noire.

" quoi?" répondit Ron, soudainement inquiet de tout ces regars sur lui. Harry vit à la table des serpentards Parkinson chuchoter quelque chose à l'oreille de Malefoy, et ils éclatèrent d'un rire aussi franc que celui de Ginny, bien que beaucoup plus mauvais et méprisant.

Harry poussa le pull de Ron légèrement, révélant que les taches était en fait des mots écrits à l'encre. à l'évidence, Ron n'avait pas pu écrire cela lui-même.

" tu es à moi" lut Harry, intensifiant le gloussement de Ginny, et le jaune poussin de Ron par la même occasion.

Ron regarda à la table des serpentards. Parkinson lui fit un clin d'oeil, avant de passer sa langue sur sa lèvre supérieur. Ron serra les dents. elle l'avait ligoter sur la chaise avant de lui offrir une fellation ,dont il se souviendrait longtemps, l'après-midi même, puis lorsqu'il était sur le point d'arriver, elle avait arréter ce qu'elle était en train de faire, et avait fait deux ou trois choses dont il n'avait eu aucune idée. ensuite, elle avait retirer le bandeau de ses yeux, et lui avait fait un clin d'oeil en disant " un avant gout, bébé. rejoins-moi ce soir dans la salle de bain des préfets à sept heure si tu veux en avoir plus." elle l'avait alors laisser là, nu, frustré, et ligoté, au milieu de la salle sur demande. il lui avait fallu une demi-heure pour réussir, après s'être laissé tomber lourdement au sol, lui et la chaise sur laquelle il était, à atteindre sa baguette et lancer un sortilège pour se libérer. il est vrai que sans main et sans la capacité de prononcer quoi que ce soit distinctement, c'est assez difficile.

Harry jeta un coup d'oeil dans la direction de Malefoy. il mangeait avec bonne apétit son ragout, mais toujours avec autant de classe. Harry rougit encore plus de colère, mais surtout contre lui-même. comment avait-il pu être aussi stupide? il s'était quasiment jeté sur Malefoy. Malefoy! et le pire, c'est que le blondinet favoris des serpentards le mettait toujours hors de lui, le répugnait toujours autant. pourtant... il avait aimé embrasser Malefoy, il avait même désirer recommencer, et encore, et encore, et encore... il avait frissoner de plaisir sous les caresses du serpentard, il y avait répondut... c'était comme si il venait de découvrir une autre personne à l'intérieur de lui, et de toute évidence, il haïssait cette personne autant de Malefoy. et l'apothéose, c'était qu'il avait promis à son nouveau petit ami de le retrouver le soir même dans une salle qu'il ne connaissait pas, et Malefoy, pour plus de sûreté, lui avait confié un plan pour qu'il trouve plus facilement l'endroit. Malefoy avait ajouté: " et si tu ne viens pas, Potter, je te tues."

" tu crois que tu me fais plus peur que Voldemort, Malefoy?"

" non, mais je peux t'envoyer une beuglante à l'heure du petit déjeuner lundi disant combien tu m'as brisé le coeur... tu ne voudrais pas que tes amis découvrent que tu as couchés avec moi, alors que ce ne serait pas vrai? ce serait tellement de choses perdues..."

Harry détestait Malefoy... il le détestait... autant qu'il se détestait lui-même pour être presque impatient d'être au soir-même, six heures trente. de toute façon, il ne coucherait jamais avec Malefoy, il ne le laisserait pas faire. il n'était pas gay, et même s'il l'était, il n'était pas assez cinglés pour marcher dans les plans glauques de son pire ennemi. non, il allait juste aller au rendez-vous pour parler avec Malefoy, le convaincre de le laisser tranquille, et si possible, l'embrasser . non, non non non! il n'avait pas dit embrasser, il avait dit frapper. avait-il dit embrasser?

" putin" dit Hermione qui semblaitde plus en plus inquiète en voyant la tête de ses deux amis.

oui, exactement le mot qu'il cherchait... putin... PUTIN! il NE VOULAIT PAS embrasser Malefoy! non il ne le voulait pas! pas du tout! il n'était pas homosexuel. il n'était pas attirer par Malefoy. il n'était pas attirer par le teint de porcelaine de Malefoy, par l'océan métallique de ses yeux, par la ligne de barbe naissante le long de sa machoire, par l'odeur ennivrante qui s'exhalait de ses pores, par la voix rauque et cinglante, par la cascade de cheveux d'un blond presque blanc qui glissait sous les doigts, par sa démarche élégante et sûr de lui, par le nez droigt qu'on mourrait d'envie de mordre, par le corps grand et musclé, pas du tout surdimensionné, totalement parfait, et qu'on devinait encore plus attrayant sans les vêtements... oh, oui, Hermione avait raison, putin, il désirait Malefoy!

a suivre...bientôt!