Auteur : Amy Shinomori
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amyshinomori@hotmail.com,
cherche mort rapide et indolore.
Titre : Amin mela lle (partie 4)
Base : Lotr (plus précisément, les deux tours)
Notes : je viens de me prendre une droite au
milieu d'un centre commercial bondé.
La vie est une fête !

Amin mela lle

La lune était déjà très haute dans le ciel sans nuage qui couvrait la Lorien. La faible brise agitait les branches, l'air chaud jouait gracieusement dans sa longue chevelure, toute d'or et d'argent, la projetait derrière lui avec délicatesse, brume de soie et de satin entre les doigts de son aîné. Si beau, tout était toujours si beau et si doux. au commencement. Mais bien vite, ce qui avait commencé sous le nom de rêve se muait en cauchemar et, derrière les rideaux de larmes de douleur qui voilaient ses yeux, aucune beauté n'atteignait plus son âme meurtrie.

« Mon pauvre enfant » se moquait souvent l'aîné « la beauté dont te gratifié la nature doit te paraître bien futile en pareil endroit. Tout est si pâle ici, si froid. alors que tu es si chaud et plein de passion et de fougue. Pauvre, pauvre Haldir, n'es-tu pas soulagé que j'ai entendu ton appel muet ? N'es-tu pas plein de gratitude envers celui qui t'offris son toit et même son lit »

Sur ce, sa voix se durcissait et ses petits yeux d'un bleu liquide se couvraient du voile repoussant de la luxure alors même que ses lèvres se tordaient en un rictus cruel.

« Répond-moi, Haldir, fils du roi Halmir, frère de Dame Haleth. oh, j'oubliais que tout tes souvenirs de cette époque t'avaient été retiré. » ricane l'ancien, caressant d'une main avide la courbe délicate des reins du jeune elfe impassible. « Cela doit faire mal de ne même plus se connaître soit-même. allons, mon jeune ami, dis m'en plus sur tes souffrances... je sais qu'elles sont là, quelques part, caché sous ton masque d'indifférence. »

Irrité par le silence prolongé de son vis à vis, le vieil elfe s'empare brutalement des hanches fines qui se découpent entre les plis gracieux de la tunique grise du jeune Gardien de Lorien avant de le plaquer durement contre un arbre.

« Tu es seul, comme toujours, Haldir, mon enfant. si peu envieux de t'attirer les grâces des autres, si peu soucieux de ce que l'on pense de toi. tu es froid comme la pierre et ton c?ur n'est que glace. Ou du moins, ce n'est que l'image que tu renvois. Mais je sais que derrière ce mur là, quelque chose de chaud et de terriblement passionné bat, quelque chose qui ne demande qu'à être libéré. Haldir, mon Haldir, pourquoi ne laisse-tu donc pas tomber ton armure, nous ne sommes plus en guerre depuis bien longtemps. »

Mais la réponse se perd, quelque part entre le cerveau du jeune elfe et ses lèvres et il se contente de lancer un regard froid et distant à celui qui se dit son sauveur. Quelques soient les émotions qui traversent son c?ur, rien n'apparaît sur son masque glacé, même si quelque part, dans le fond de son être, il doit lutter farouchement pour faire taire les sanglots qui menacent d'éclater.

« Tu ne réponds pas. ou du moins, jamais à moi. C'est bien triste, Haldir, bien triste pour toi. Aujourd'hui, tout joue contre toi. et tu es trop fier pour aller demander de l'aide à qui que ce soit. »

Triomphant, l'autre elfe se presse contre lui, clamant avec force et brutalité la courbe délicate de son coup de sa langue affamée, jouant de ses mains sur la poitrine finement musclée qui se soulève contre la sienne et d'un coup de hanches brutal, il révèle sa honteuse raideur qui pulse contre les plis de sa robe, humectant déjà le tissu de sa vile semence. Répugné, Haldir ne peut que se laisser faire, sans un mot.

« Si froid. tu es si froid et pourtant, je sens ce c?ur brûlant qui se déchaîne sous ta peau. si dur et indifférent, mais pas plus fort pour autant. non, si fragile, petit elfe » susurre cette créature qui fut autre fois un model pour lui de son abominable langue, fourchue et pleine de venin.

Déjà brisé depuis bien des décennies déjà, le corps d'Haldir se pli doucement au bon vouloir de celui de son aîné, mais son visage, lui, reste impassible, intemporel. trop de souffrances déjà endurées, trop de blessures accumulées et personne pour entendre les cris étouffés de l'enfant qui sanglote désespérément dans le fond de son c?ur. non personne.

Durement, il se retrouve à genoux sur le sol, toujours plaqué contre le tronc blanchâtre. la créature devant lui, s'est également agenouillée et s'affaire à présent au dénouement soigneux de la ceinture qui retient la tunique grise de sa victime. Avec un sourire victorieux, il écarte les pants de l'habit et expose la chaire pâle et tendre au froid glacial de la forêt qui mord sans merci le corps du jeune Gardien. Les mains avides reprennent alors leur méticuleuse exploration, la langue retrouve rapidement son chemin dans son cou. et il se laisse faire, impuissant, serrant désespérément les quelques feuilles qu'il trouve sur le sol dans ses poings blancs, le visage aussi mobile que celui d'une statue.
Dans un vain espoir de s'écarter de la scène, son regard se perd dans le lointain, cherche à s'enfuir, mais les mains froides et brutales ont déjà trouvé leur chemin vers le lacet de son pantalon blanc. Toujours plus affamées, elles se glissent entre le tissu et la peau tendre du ventre d'Haldir qui réprime difficilement le frisson de dégoût que lui inspire cette caresse.

Les minutes s'écoulent toujours, avec une lenteur insupportable et les attouchements vicieux n'en finissent plus sur le corps à présent exposé du jeune elfe brisé.
Il ouvre doucement les yeux pour s'apercevoir que l'autre s'est relevé et qu'il le tire sur ses genoux sans ménagement avant de guider, d'une main tremblante de désir sur sa nuque, son visage dans les plis tendus da robe. a bout de souffle, l'aîné glisse un doigt dans sa bouche pour l'entrouvrir et remonte le tissu pâle de son habit avant de plonger sa raideur humide entre les lèvres rouges d'Haldir.

« Haldir » gémit-il en s'enfonçant profondément dans la bouche, se délectant de la douce chaleur qui se repend autour de lui, frottant outrageusement son membre douloureux contre la langue soyeuse du jeune elfe à genoux devant lui. « j'espère que tu aimes ça autant que moi » halète-t- il « car crois moi, tu ne mérite pas mieux mon pauvre enfant. non. »

Discrète et silencieuse, une larme roule sur le visage éteint du pauvre archer. Ses mains se serrent et se desserrent convulsivement sur le feuillage mort qui tapisse le sol de la forêt. A chaque va et vient, le membre durcit s'enfonce un peu plus profondément entre ses lèvres, et à chaque coup, il va taper contre le fond de sa gorge, entraînant une grande vague de nausée dans son rythme infernal.

« Oh. » gémit le vieil elfe en accélérant ses coups de hanches « Elbereth. ta bouche est douce »

Au bord du gouffre, il se laisse alors aller et le dernier cri qui meurt sur ses lèvres pincées résonne sans merci au oreilles sensibles du jeune gardien ravagé.

« Lor. Loriendil ! »

***

De doux murmures attirent mon attention alors que je reprend péniblement connaissance. La plus grave des deux voix qui s'affrontent semble émaner de la forme massive qui s'étale contre mon dos. Je n'ai pas conscience de grand chose. je sais juste que quelque chose d'infiniment plus chaud que tout ce que j'ai rencontré jusqu'alors se presse contre mon dos et que deux bras puissants me bercent tendrement, de la même manière dont on berce un enfant endormis. Et, bien que cela semble étrange, même pour moi, je dois admettre que je ne bougerai pour rien au monde.
Le souvenir de mon rêve refait alors surface et une vague de doute m'envahis. non, trop chaud, trop fort. ça ne peut pas être lui. pitié, tout mais pas lui. J'envisage brièvement la possibilité de me dégager mais me rend alors compte que mon corps est comme privé de toute force.

Devant moi, je sens une présence étrangère et une petite voix flûtée s'égosille, malmenant durement mes oreilles sensibles.

« Eomer, tu ne sais pas ce que tu fais ! »

« Au contraire, je sais parfaitement, petite s?ur ! Je fais ce que j'ai à faire ! Pour l'amour du ciel nous lui devons bien ça. »

La voix est profonde et mélodieuse.

Mais pas la voix d'un elfe. pas la sienne.

Et elle résonne dans tout mon être, puissante, comme seule la voix d'un homme peut l'être. J'ouvre doucement les yeux et jette un regard autour de moi dans l'espoir de trouver quelque chose de familier dans la pièce qui m'entoure. C'est un endroit plutôt sombre, assez mal éclairé et je lutte quelques instants avant de voir les choses distinctement autour de moi. Au bord du lit sur lequel je repose est assise une jeune femme dont les longs cheveux blonds coulent en légères vague sur ses épaules fines et exposées. Le regard qu'elle me lance est alors tout sauf amical et je fronce les sourcils en m'apercevant d'une autre présence dans son dos.

Je dois vraiment être très affaibli pour avoir négliger quelque chose qui émet tant de puissance, pensai-je en relevant mon visage pour apercevoir celui du propriétaire de la poitrine accueillante qui se presse contre mon dos.

« Vous avez bien dormis ? » me demande ce dernier avant de me sourire d'un air rassurant.

Légèrement perdu, je le dévisage longuement. De longs cheveux blond cuivré, légèrement ondulés cerclent son visage franc. D'intense yeux sombre, à mi-chemin entre le marron et le vert foncé, cachés derrière une épaisse rangée de cils blonds se braquent sur moi et un fin sourire étire ses lèvres pleines et finement dessinées. Une légère barbe blonde mange la partie inférieure de son visage, vieillissant considérablement ce qui semble, à mes yeux, être un jeune homme de 25 années humaines tout au plus.

Le brouillard qui recouvrait mon esprit se soulève doucement et je fronce les sourcils en me remémorant les événements de la veille.

« Vous ? » questionnai-je d'un air perdu.

« Moi » me répond-il en souriant avant de ramener ma tête contre son cou d'un geste plein de délicatesse. Puis, en se retournant vers l'homme d'âge mûr qui le fixe avec intensité depuis quelques minutes déjà, il poursuit « Oncle Théoden, je. »

« Oui » sourit soudain le vieil homme en pausant une main sur l'épaule de la petite blonde « nous allons te laisser. je voulais simplement savoir si tu étais bien sûr de ta décision et apparemment, c'est le cas. Je ne vais pas te tourmenter plus longtemps, mon brave Eomer. C'était un geste plein de courage. » il me lance un regard amusé et ajoute « aussi plein de courage que la décision qui vous conduit jusqu'à nous, Haldir de Lorien. nous ne saurons jamais assez vous remercier. »

Avec un dernier regard vers son neveu, le roi des Rohirrims se retire en laissant la porte ouverte derrière lui en signe d'invitation pour la jeune femme qui demeure devant nous.

« Eomer. »

« Ma décision est prise petite s?ur. » conclut le jeune homme en affirmant sa prise autour de mes épaules.

Sans un mot de plus, elle se lève et quitte la pièce avant de refermer la porte derrière elle. Eomer pousse un long soupire et se laisse retomber paisiblement entre les draps. La position est certes des plus déconcertantes mais pour lui, rien de plus naturel que de serrer un elfe dans ses bras en se recouchant à moitié nu.

A moitié nu !?

Gêné, je rougis furieusement en prenant conscience du fait que je ne suis guère plus vêtu que lui et tente de dissimuler ma semi-nudité derrière la couverture.

« Comment vous sentez vous ? » me demande-t-il gentiment en se redressant sur un coude pour me regarder dans les yeux.

Allongé sur le dos, je remue inconfortablement pour trouver ma place sur ce matelas infiniment moi agréable pour mon pauvre dos que la douce chaleur qui vient de s'écarter de moi. Prenant visiblement conscience de mon malaise, l'homme se penche doucement au dessus de moi, une lueur concernée dans le regard, et me souris d'un air rassurant. Après quelques secondes d'hésitations, je plonge mon regard dans le siens et ne trouve dans le fond de ses yeux que douceur et bienveillance.
Avec un soupire soulagé, je tourne la tête et lance un regard vers la fente étroite dans le mur.

« Il fait nuit. » constatai-je à haute voix.

« Effectivement. » sourit-il d'un air amusé.

Je jette un coup d'?il furtif dans sa direction. ses long cheveux tombent tels des rideaux épais de chaque coté de son visage. un si beau visage. si doux. Je secoue vigoureusement la tête et reporte mon attention sur la petite fenêtre.

« Vous ne m'avez pas répondu » devant mon regard interrogateur, il s'explique d'un air toujours aussi amusé « Lle tyava quel ? »

Surpris de l'entendre s'exprimer dans ma langue, je souris discrètement devant la maladresse de sa prononciation et le fort accent rohirrim que je sens derrière ses mots.

« Uma, adan, amin tyav' eithel. »

« esta. avez-vous soif ? » me demande-t-il, tendant déjà son bras musclé hors des couvertures pour attraper le petit gobelet d'eau qui repose sur la table de chevet.

Je fait signe que d'un bref mouvement de tête et tente d'attraper le récipient d'une main tremblante.

« Laissez-moi faire » souffle-t-il en posant le bord du gobelet contre mes lèvres « buvez. »

« Je n'ai pas besoin de vous pour boire, jeune Eomer » lançai-je, tentant une nouvelle fois d'attraper le verre « donnez-le moi »

« Non, vous allez tremper les draps avec vos mains tremblantes » se moque-t- il.

« Alors gardez-la votre eau ! Je refuse de me faire servir de la sorte. »

« Très bien, mourrez de soif ! » lance-t-il avec en fronçant les sourcils d'un air contrarié.

Irrité, il repose le gobelet sur la table et croise ses bras sur sa poitrine en fixant le mur, devant lui. Assoiffé, je ne le quitte pas des yeux. Tout ses traits sont tendus, jusqu'à la forme délicate de ses lèvres roses et je ne peux m'empêcher de trouver cette expression adorable. Je déglutit péniblement et humecte mes lèvres sèches avant de lui tourner le dos pour essayer de retrouver le sommeil... si je dois passer plus de quelques semaines avec cette homme, je ne donne pas cher de sa peau, ni de la mienne.

Quelques instants à peine après avoir fermé les yeux, je sens quelque chose de frais se poser contre mes lèvre et ouvre soudainement les yeux pour trouver Eomer, allongé sur son flanc face à moi, pressant gentiment le bord du gobelet remplis d'eau à l'entrée de ma bouche, un sourire attendri aux lèvres.

« Buvez » me demande-t-il gentiment en m'aidant à me redresser. « Votre organisme a besoin d'eau pour guérir. »

Ne pouvant que l'approuver sur ce point, je m'approche légèrement et entrouvre mes lèvres pour laisser courir l'eau fraîche le long de ma gorge. Toujours gêné par ma position de faiblesse, je recouvre sa main de la mienne d'un geste hésitant pour contrôler le débit de l'eau. Ayant vidé le contenu du verre, je lance un regard à l'homme en essuyant doucement mes lèvres humides. Un large sourire s'est dessiné sur mon visage et ses yeux sombres se sont fixé sur moi avec une expression amusée.

« Vous buvez comme une femme, elfe » sourit-il

« Et je suppose que vous buvez comme un orc, humain »

« Probablement » s'amuse le jeune homme en posant une main sur mon épaule pour m'attirer à lui. « avez vous encore soif ? »

« non » soufflai-je en me laissant entraîner. « que faites-vous ? »

« Vous tremblez. »

« Ahhh. merci » soupirai-je dans le creux de son épaule, respirant profondément a travers les fines mèches de cheveux blonds qui caressent mon nez. « je. je crois que j'ai froid. »

« Je sais. moi aussi »

Un lourd silence tombe sur la pièce et aucun de nous deux ne semble décidé à le briser. Je pousse un long soupire et laisse mes bras se nouer autour de la poitrine accueillante de l'homme. Lui se contente de me presser un peu plus étroitement contre lui en commençant à me bercer.

« Haldir » commence-t-il soudain. il semble hésiter à poser sa question, cherchant probablement les mots adéquates « Quel. quel âge avez vous ? »

Surpris pas sa curiosité, je cherche rapidement la réponse mais me rend compte que je ne peux lui en apporter aucune.

« J'ai perdu le compte il y a bien longtemps. 2000, peut-être bien 2500 ans » soupirai-je, espérant le satisfaire. « et vous, Eomer ? »

« J'ai 27 ans »

« C'est bien jeune pour un Capitaine, même pour un mortel. »

« Je sais. » il marque une légère pause avant de reprendre. « 2000 ans n'est pas un âge très avancé. je vous pensais plus vieux. » avoue-t-il d'une voix lointaine.

Quelques minutes passent avant qu'il ne reprenne la parole, un sourire éclatant aux lèvres.

« Voulez-vous que je vous amène sur le balcon ? » demande-t-il poliment « le jour va bientôt se lever et un peu d'air frais vous fera le plus grand bien, qu'en pensez-vous. ? »

Un léger sourire effleure mes lèvres et je lui lance un regard plein de gratitude. Silencieux merci à celui qui me tira des bras de Mandos sans même me connaître.

« Laissez-moi enfiler quelque chose d'abord. »

L'aurai-t-il fait si il m'avait connu ? L'aurai-t-il fait pour la créature pitoyable que je suis ? Dans mon âme résonne encore la voix sournoise de celui qui me brisa il y a tant d'années déjà.

Va, pauvre enfant, mais n'oublie pas que tu ne méritera jamais mieux que ce que je t'offre. tu ne mérite rien, même pas de partager notre toit. Mandos aurai mieux fait de te garder au lieu d'encombrer de nouveau ces terres de ta présence inutile.

Réprimant péniblement les larmes qui me montent à la gorge, je me laisser docilement tirer hors des draps par Eomer qui m'attire calmement à lui pour placer son bras autour de mes épaules et me guider à travers la pièce.

Haldir, mon Haldir. qui voudrait de toi tel que tu es ? Pauvre enfant, ne te berce pas d'espoirs. ta place est à nos cotés. a mes cotés et jamais tu ne m'échappera.

***

note : non, jem pas Celeborn. ou du moins, dans du moins, pas dans le film. ct juste une petite entracte pov Haldir avant de reprendre le pov Eomer. bah voui, normalement. cette partie-ci m'est venue lors d'une séance de gratte. je bataillait avec des tablature de « Nine days » (groupe génial ! c vraiment super beau les paroles et la musique est démente avec un guitariste du tonnerre. cherchez sur kazaa ou e-mule, ça vaut le détour) quand j'ai lut les paroles de Revolve. et là, jsuis partie jusqu'à 2h30 du matin. vala, du coup, g des poches énormes sous les yeux ce matin ! je pourrai presque m'y prendre les pieds ! C terrible !