Hara yeta ai

Auteur : Koruni

Disclaimer : Rien à moi, tout aux autres (K.Minekura et L.Jadot)

Genre : Yaoi, philosophique, romance

Déroulement de l'histoire : Deuxième partie, chapitre 3-7, POV Sanzo

A propos : 1. Me revoilà, je sais, j'ai mis beaucoup de temps, mais avec l'école, le karaté, le dessin,…J'ai mis du temps quoi ! Mais au moins je suis là !

Je préviens, je vais martyriser un peu Goku dans ce chapitre ! Je suis désolée, mais c'est pour notre bien à tous.

Goku : Pas le mien !

Koruni : Je te promets qu'après ça ira mieux !

Goku : Vrai ?

Koruni : Vrai.

Goku : Bon ben alors, je consens.

Merci. Bref, je vous le jure que je ne m'acharne pas contre Goku ! Je l'adore, je n'ai rien contre lui. Et puis désoler aussi pour Gojyo…--° Bon, je vous laisse (avant de me faire tuer par leur fans respectifs !)

Gojyo et Goku : Merci à tout nos fans qui « essaient » de la tuer !

Koruni : Ketchi !

2. J'utilise quelques mots japonais :

Hara yeta : J'ai faim

Ai : amour

Hai : oui

Koroeru kappa : sale kappa

Urusai : La ferme !

Iié : Non

Nani : Quoi ?

Kso : Merde !

Saru : singe

Bakka : Idiot, con, stupide

Betsuni : Rien de particulier

Desu ne : N'est-ce pas ?

Ero kappa : Kappa pervers

Ketchi : Méchant

3. Réponses aux reviews :

Nahel Mais non, tu n'es pas bête…Juste tête-en l'air, comme moi (ce qui n'a rien de rassurant…) ! La tension va encore montée d'un cran par après, jusqu'à une explosion ? Peut-être, je n'en sais rien...-° Voilà, la the suite. Lol

Warriormeuh Mignon ? Pas bon ça…Y a de meilleurs choses qui se mangent. (Ero Koruni !) Merci beaucoup, ça me fait plaisir de savoir que tu me lis avec plaisir…

Recif Je ne suis pas sûr que Sanzo aie trouvé le bisou mignon si tu veux mon avis, mais bon, lui y il n'a pas d'avis à émettre alors…Je ne sais pas combien il va y avoir de chapitre…Encore un qui clôturera la deuxième partie et puis je vais faire une troisième partie aussi…Donc…

Onarluca Voilà la suite, mais pas vite…--

Ten-shi Je suis contente que ça te plaise !

Abygaelle Merci beaucoup pour tes applaudissements mais ne frappe pas stp…se cache derrière Kyo Soma Je le ferais pluuuus…T-T

Laurie Bon, j'accorde le fait que je fais des fautes…boude Mais toi aussi ! Je ne trouve pas que se soit encore un vrai lemon pour le moment, malgré la scène du bandeau. Et je fais (gomen !) quand même souffrir Goku…Non, pas taper ! fiiiiile

Florinoir Si, si, il y a une suite et même une troisième partie à venir…Mais tues Sanzo après cette fic si possible, j'en ai encore besoin…

Bisous à tous et à toutes ! Remerciements spécial à Laurie que j'adore et à mes fidèles lecteurs qui sont là depuis le début jusqu'à maintenant, et à tout les nouveaux lecteurs aussi !

Chapitre 7 : L'âme mise à nue

« Saurais-je trouver la porte de ce paradis perdu qui n'est autre que ton cœur… ? »

Au tenkai

Sur son siège, Bosatsu, la grande déesse de la miséricorde, soupire une fois de plus. « Ils sont décidément bien surprenants ces quatre-là. D'abord il y a eu Tenpo et Kenren, mais ça c'était prévisible, pensa-t-elle. Mais j'ai bien peur qu'il en soit peut-être tout autre pour Konzen et le petit singe…Konzen ne se laissera pas faire comme ça, il a bien trop à perdre. Mais s'il rejette Goku, alors nous allons avoir des problèmes… »

"Kanzenon Bosatsu !" s'écria alors une voix.

Ce n'était autre que Jiroushin, qui accourait essouffler.

"Vous avez remarqué les perturbations qu'il y a eu ! s'exclama-t-il."

"Mais oui, comme d'habitude, vous retardez de plusieurs années…Il est déjà trop tard à présent."

Elle bailla, puis croisa les jambes.

"Demo, Kanzenon…tenta Jiroushin."

"Laisse ! Laissons les faire, même si l'envie me démange de…"

Elle se tut et eut un doux sourire.

"Oh et puis, qu'ils me divertissent !" conclu-t-elle.

Une goutte de sueur apparut à la tempe de Jiroushin qui dit :

"Ka…Kanzenon Bosatsu…"

Dans le monde des mortels

« Ne le tues, pas, ne le tues pas, ne le tues pas,… » m'ordonna mon esprit. Et pourtant, une autre grande volonté me commandait de le détruire sur-le-champ.

Goku me regardait, pétrifié, il avait l'air de ne plus pouvoir respirer. Ce qui ne me convenait pas étant donné que je désirais l'étrangler. Mais je pourrais me contenter de le rouer de coups…

Il n'y avait pas un bruit, mais un silence lourd s'était immiscé dans la pièce. Je n'avais plus bougé depuis que je m'étais redressé pour lui faire face. Mes mains me démangeaient, et leur colère devenait douleurs de ne pas pouvoir frapper. Mes muscles s'étaient crispés et j'avais serré mes dents. J'avais l'impression d'être un animal féroce qui allait attaquer sa proie au moindre mouvement de sa part.

Comme pour vérifier son geste, Goku porte sa main sur ses lèvres encore humides.

C'est le signal que j'attendais.

Je me lève brusquement, le gifle et le plaque rudement contre le mur, ce qui le fit glisser. Le choc lui avait coupé le souffle, et alors que j'allais le frapper une deuxième fois, ses yeux rencontrèrent les miens. Son regard mêlait tristesse et douleur…, je ne pus que me sentir coupable.

J'avais encore été trop brusque, comme avec Gojyo et Hakkai. Et alors, pour la première fois de ma vie, je détourne les yeux de cette couleur dorée. Une forte pression me bloquant la poitrine, comme un sentiment de regret douloureux. Mais pas question de m'excuser pour autant ! Néanmoins, je ne voyais pas comment défaire mon geste. Je dus, alors, ravaler ma fierté et, le tenant par les épaules, je le remis sur pieds.

Fuyant ses yeux, je me retourne et quitte cette pièce à l'atmosphère trop pesante où venait de se dérouler une scène bien étrange…


On est le lendemain, toujours dans la jeep, toujours en route vers l'Ouest, toujours pas de monstres en vue, et pas de village. On pourrait croire que tout est normale, sauf que Gojyo et Hakkai ne m'ont, pour ainsi dire, plus adressé la parole, et que Goku est ramolli à un stade où il a arrêté de se plaindre. Sans compter que je m'ennuie à en mourir. Etant de donner que personne ne se dispute, je n'ai personne à baffer ou à engeuler. Alors, je me contente de fumer clope sur clope.

A la tombée de la nuit, il faut nous rendre à l'évidence, il va falloir camper. On sort donc la bâche, jusqu'à ce que l'on remarque qu'elle s'est déchirée.

"Génial ! Vive le vent glacé de la belle étoile !" ironise Gojyo.

Effectivement, le temps s'était rapidement rafraîchi et je vis Goku grelotter. J'esquissais un mouvement dans sa direction, puis me ravivais à temps.

Mais kssssooo ! Qu'est-ce qu'il m'arrive pour le moment ? Pourquoi je suis si con ? Parce que c'est le cas de le dire, je suis au même niveau que Goku point de vue conneries. Pas Goku, le saru.

"Peut-être pourrions-nous trouver un abri ?" hasarde Hakkai.

"Où ? Tu vois ça où, dans le désert ?" répondit Gojyo.

"Sumimasen, je…je n'y avais pas pensé."

"Ben, non, ça m'étonnes pas tiens !" lance aigrement le kappa.

"Sumimasen, tout est de ma faute…J'ai mal calculé la distance, et j'ai oublié de vérifier la bâche."

La voix de Hakkai tremble, mais il m'est impossible de savoir si c'est de colère ou de peine. Quoi qu'il en soit, il s'éloigna rapidement en nous plantant là. Gojyo avait la bouche grande ouverte et les bras ballants, Goku semblait renfrogné et Hakkai venait de partir. Je commence à croire que je ne suis pas le seul qui ne tourne pas rond…

"Goku, va chercher du bois, dis-je."

Il se lève et s'éloigne rapidement. Je me retrouve seul avec Gojyo. Il me regarde avec agressivité, mais je reste impassible. Debout, l'un en face de l'autre, dans les pénombres de la nuit. Ses yeux carmin cherchent une faille en moi, mais je l'aborde brusquement, l'empêchant ainsi de continuer :

"Tu sors vraiment avec Hakkai ?"

"Ca ne te regarde pas !" crache-t-il.

"Non, c'est vrai. Tu l'aimes ?"

"C'est quoi ces questions de merde ! Je me mêle de ta vie, moi ! Qu'est-ce que ça peut te faire !" crie-t-il.

"Moi ? Betsuni, mais je crois que Hakkai peut être très touché. Personnellement, ce n'est pas mon problème, mais comme tu l'aimes,…"

Il me regarde furieusement de haut en bas puis il dit :

"Non, mais c'est pas vrai là, je rêve ! Tu veux me donner des conseils ? Toi ? T'es même pas capable de régler tes différents avec un mineur et tu crois pouvoir me juger !"

Il me piqua au vif.

"Je ne vois pas de quoi tu parles, répondis-je durement."

"Ah non ? Je te parle d'un gamin de 18ans, cheveux bruns, qui bouffe tout le temps, un bakka, qui n'arrêtes pas de te dévorer du regard tout au long de la journée."

"Arrêtes d'inventer des conneries koroeru kappa !"

Je sens une certaine rage m'envahir, et ma voix s'est élevée. J'allai le flinguer s'il continuait !

"Des conneries ! Depuis le temps que ça dure, t'aurais dut remarquer depuis un bon moment, mais égoïste comme tu es, tu as préféré devenir aveugle je parie ?"

Il avait apparemment décidé d'évacuer sa colère sur moi. Très bien, j'allais lui rendre la pareil !

"Moi au moins je ne passe pas ma colère sur les nerfs de tout le monde, je ne suis pas un enfant du malheur !" l'invectivais-je.

Il fut choqué, et je vis toute son expression se transformer. Je lui avais quasiment reproché d'être un enfant tabou, sachant à quel point ce sujet lui était sensible. J'ajoute sournoisement :

"C'est probablement pour ça que ton frère t'as abandonné."

"Sanzo !"

C'était Hakkai, revenu de son expédition. Il avait l'air offusqué de mes paroles, et de mauvaise humeur.

"Qu'est-ce qu'il te prend ? Ca ne te ressembles pas de dire de telles choses. Pourquoi tu fais ça ?" demande Hakkai.

"Laisse tombé, il n'a rien de bon en lui, il est pourri, déclare Gojyo. Kogaiji avait bien raison, tu ne mérites pas Goku. Tu n'as pas assez de savoir-vivre et de respect pour ta propre personne, alors je ne vois pas comment tu pourrais en donner à quelqu'un d'autre…Tu ne peux pas aimer !"

"Non, la différence est que je vous aime pas, je ne vous veux pas avec moi, mais vous n'arrêter pas de me coller, et ça me rend dingue. J'en ai ras-le-bol de vous !"

J'étais meurtri, il venait de trouver mon point faible : je ne suis pas capable d'aimer quelqu'un parce que je ne suis pas capable de le protéger…Ma plus grande faiblesse, c'est moi-même, et tout ce que j'approche.

Je m'éloigne vivement d'eux, mon âme blessée, une douleur sourde au fond de la gorge. En fuyant ainsi, j'avais le même comportement qu'un gosse ! Lamentable…Je me sentais ridicule, et vide. Et comme à chaque fois, je transforme ma douleur en rage, et je tape brutalement dans les pierres qui se trouvent sur mon chemin. Je finis par me sentir mal, et je m'assis.

J'avais marché assez loin, et il faisait noir à présent. Je sentais le froid pénétrer mes os, et je me calais entres deux rochers. J'avais la nausée, et un mal de tête m'assaillait. Mais je n'avais pas de fièvre. C'était juste l'énervement. Au moins, cette nuit, je la passerai seul. Curieusement, cette pensée ne m'apporta pas le réconfort que j'espérais. Elle eut plutôt l'effet contraire. Mais je n'eus pas le temps d'y réfléchir, car la fatigue m'envahit et je m'endormis.


Je me réveille en sursaut. J'étais trempé de sueur, et le froid de la nuit me frappa le visage. Je cherchais ce qui avait bien put me réveiller, mais je n'y voyais rien si ce n'est la lune et les étoile. Puis soudain, j'entends :

"SAAANZOOOO !"

C'était la voix d'un Goku désespéré, qui me tomba brutalement dessus.

"Sa…Sanzo ?"

"Qui veux-tu que ce soit d'autre ?"

Et il se lança brutalement dans mes bras avant d'éclater en sanglot. Je le serrai fort contre mon torse.

« Ton sourire me désarme, tes yeux m'emprisonnent, je suis ta nouvelle proie…»

A suivre…

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Et voilà ! Moment de calinou pour Yohko the demo qui me l'avait demandé ! Pfiiiou…J'suis contente d'avoir fini, il est

3h19 du mat (comme toujours) et je suis un peu crevé là…

Sanzo : Tant mieux, tu seras plus facile à exterminer…

Gojyo : On y va lentement, hein ? Faut la faire souffrir !

Goku : Et on la mange pour terminer !

Hakkai : Moi je piquerais ses livres.

Gojyo : Et tout le reste !

Sanzo : Elle a des trucs intéressants ?

Goku : Ca dépend du point de vue…Mais elle un harisen ! Moi je le veux !

Hakkai : Pas question, pas d'objets dangereux pour toi, Goku.

Goku : Mais j'en veux un ! chibi eyes suppliant

Hakkai : Et bien…

Sanzo : Ni penses pas, c'est moi qui le prendrais.

Gojyo : Et pourquoi toi ?

Sanzo : Parce que je suis le plus martyriser dans cette fic.

Goku : Même pas vrai ! C'est moi !

Koruni : Vous êtes tous des bakkas. Faudrait déjà me tuer avant tout ça. Vous connaissez pas le proverbe : « Ne vends pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué » ?

Tous : Heu…

Koruni : Laissez tomber…

Monuri : Koni-chan ! Y a Kiko qui arrête pas de m'embêter !

Koruni : Mais bordel ! C'est pas ta fic ici ! Dégage !

Monuri : Mais heu ! Tiens ! Goku ! T'es là ?

Goku : Oui oui.

Monuri : Comment tu vas ? Tu es quoi sur ces pages ?

Goku ; Je suis un suicidaire, amoureux de Sanzo, qui profite de son sommeil pour l'embrasser.

Monuri : Tu déconnes ?

Koruni : DEGAGE !TU DEVRAIS DORMIR A CETTE HEURE !FILE !

expédie la gamine dans sa fic

Koruni : Et maintenant, vous me laissez dormir.

Gojyo : Ah non ! D'abord on te tues !

Sanzo : On te torture.

Hakkai : On te vol.

Goku : Et on te bouffe !

Gojyo : Et on la viol !

Sanzo : A quatre ?

Gojyo : T'as jamais fais de partouze ?

Goku : C'est quoi ?

Gojyo : Ben c'est quand il y a plusieurs mecs et des filles qui sont dans le même lit et qui…

Hakkai couvrant de sa voix le reste de la phrase : CENSURE GOJYO !

Sanzo mode harisen en action : Ero kappa !

Goku : J'ai pas su entendre…

Hakkai : Ils sont drôle, desu ne Koruni ?

Koruni : …Zzzz…..Zzzz…

Gojyo horrifié : Oh non ! On peut plus la tuer ! Elle dort !

Zzzz…Zzzz…Zzzz…

vision sur Gojyo qui se couche à terre au milieu de tout les autres qui sont tombés mort de fatigue