Réponses aux reviews
louvegrise : Yeah, t'es pas encore partie ! Je suis contente, ça m'a fait une belle review lol. Pour ce qui est du plan de Syaoran, c'est vraiment rien de super, alors faut pas s'attendre à un coup de théâtre. J'espère que le chapitre te plaira quand même.
Jaina : Pour le coup de poing, fallait bien que Kanji souffre un peu. Pour l'instant, tout marchait bien pour lui, alors il a bien fallu que je change un peu les choses, pour le plus grand bonheur des lecteurs ;-)
Pami : Ouah, ça fait toujours plaisir de recevoir des compliments comme ça. Alors, j'espère que la suite ne te décevra pas.
aminteitha : Pour le magnifique coup de poing gracieusement offert par Eriol, on va dire crochet du droit. Je suis vraiment contente que ma fic te plaise. Ça me fait toujours très plaisir quand quelqu'un me dit qu'il a lu tous les chapitres d'un coup et qu'il a aimé ça.
malicia56 : Bonne idée de se mettre à la place d'Eriol. On aurait tous voulu faire de même, non ? Et pour l'idée de Syaoran, t'as qu'à aller lire, parce que moi je dirai rien !
ciçouille : Tu risques d'être déçue, le plan n'est pas si diabolique que ça. Mais bon, chapeau à Syaoran pour son idée du magnétophone.
MISSGLITTER : Je suis contente de t'avoir rendue si joyeuse, alors. Et Kanji… ben il est foutu, alors il a pas trente six mille solutions. Prison ! lol
Ipikou : 1 à 0 pour Eriol. Lui aussi ça le démangeait de faire la peau à Kanji. Voilà la suite, j'espère que je ne t'ai pas trop fait attendre.
SyaoSyao : Tout de même, je ne peux pas être trop sadique avec Kanji, quand je pense à tout ce que tu vas lui faire subir lorsque la fic sera terminée. Je commence à la plaindre. Tout compte fait… pas vraiment, en fait lol.
alex00783 : Ouah, chapeau pour la scène d'horreur, on s'y serait vraiment cru. Et merci de l'avoir laissé en vie pour quelques chapitres encore. Bon, comme je suis plutôt inspirée et que la fin de ta review était plutôt… menaçante, je m'empresse de poster la suite.
Elenthya : Ouais, cassée, Sakura ! Et Eriol, on a envie de l'embrasser. Perso, je me ferais pas prier :-)
Ridelliz : Rha, tu m'as percée à jour ! Enfin, tu n'as qu'à lire pour constater par toi-même.
marion-moune : Pauvre petite Sakura, quand même. Mais bon, j'admets qu'elle le méritait un peu.
dragonia : T'es trop pressée ! Mais bon, la déclaration d'amour, c'est pour bientôt. Et un grand merci à Eriol pour avoir tabassé Kanji ;-)
Kaoru Kinomiya : Ok, alors je me suis dépêchée pour mettre la suite. Vive Eriol, à mort Kanji lol
N/A Je dois vraiment beaucoup vous aimer pour poster ce chapitre en si peu de temps. Alors une petite note pour dire que ceci est probablement l'avant-dernier chapitre. J'espère que je ne vous décevrai pas trop, et que ça vous fait plaisir que je poste les chapitres à un rythme industriel. Je ne vous retiens pas plus longtemps, et bonne lecture !
Release my soul
Chapitre 17
Sakura POV
Lorsque je me réveillai le lendemain matin, je fus aussitôt prise d'un affreux mal de tête. De plus, j'avais de la difficulté à mettre de l'ordre dans mes idées. Je restai donc couchée un moment, jusqu'à ce que les souvenirs de la veille me reviennent peu à peu en mémoire. Je grimaçai. La discothèque, Kanji, Eriol… Je savais maintenant quel était le goût que je n'arrivais pas à identifier dans ce que j'avais bu. Celui de l'alcool. Malheureusement, il était un peu tard pour s'en rendre compte. Kanji avait eu le temps de me saouler. Mais pourquoi ? Il avait l'air si gentil, si attentionné… Je sentis les larmes me monter aux yeux, et au prix d'un grand effort, je réussis à les refouler. D'abord Syaoran, et maintenant lui… Quelles mauvaises surprises me réservait encore l'avenir ? Me sentant sombrer dans la mélancolie, je me levai et me rendis à la salle de bain, où je pris une aspirine pour essayer de faire passer ma gueule de bois. Ensuite, je pris une bonne douche chaude, ce qui me fit sentir un peu mieux. Heureusement qu'il n'y avait pas d'école aujourd'hui, car je n'étais vraiment pas au meilleur de ma forme. Je descendis les escaliers et jetai un coup d'œil au planning. Papa était parti hier soir et ne revenais que dans trois jours, et Toya était sorti pour la journée. Je serais donc toute seule. Après un rapide petit-déjeuner, je regardai l'heure. Il était presque dix heures et demie. Alors que je m'interrogeais sur ce que j'allais faire de ma journée, le téléphone sonna. Je me levai et allai répondre.
- Allô ?
- Bonjour Sakura, c'est Tomoyo.
- Tomoyo ! Je suis contente de t'entendre.
- Est-ce que ça va ? Eriol m'a tout raconté, pour hier…
- Ça peut aller. Disons que j'ai connu des jours meilleurs.
- Est-ce que tu as quelque chose de prévu, aujourd'hui ?
- Non, je suis toute seule à la maison.
- Ça te dirait de venir chez moi ? J'en profiterais pour finir ta robe, il ne reste que la touche finale à faire.
Le bal. Je l'avais complètement oublié, celui-là. Et c'était dans deux jours… Je n'étais plus certaine de vouloir y aller. Je n'avais même plus de cavalier, étant donné que Syaoran avait disparu. Syaoran… Je n'avais pas eu de nouvelles de lui depuis qu'on l'avait reconnu coupable. Qu'est-ce qu'il faisait, en ce moment ? Est-ce qu'il allait bien ?
- Sakura, tu es là ?
- Hein ? Euh, oui, oui. Tu disais ?
- Je te demandais si tu voulais venir chez moi.
- Ah, oui. Quand est-ce que tu veux que je vienne ?
- Dès que tu es prête.
- Ok, alors j'arrive.
- À tout de suite.
Je raccrochai. Je n'avais pas vraiment la tête à ça, mais au moins, ça me ferait sortir. J'enfilai donc une petite veste et sortis de chez moi. Tomoyo n'habitais pas trop loin, alors je pouvais me rendre chez elle à pied. Une fois arrivée, une domestique me fit entrer et me conduisit dans une immense pièce qui faisait office de salle de couture à mon amie. Lorsqu'elle me vit arriver, elle se jeta sur moi et me tendit la robe.
- Va te changer. J'ai fait quelques petites modifications, alors ça devrait aller.
J'allai donc mettre la robe, puis je revins vers mon amie. Elle me regarda avec des yeux remplis d'admiration.
- Sakura, tu es tout simplement magnifique. Tu vas en faire craquer plus d'un.
- Tu penses ?
- J'en suis certaine. Allez, monte sur le tabouret.
Je fis comme elle me disait, et elle fit les dernières retouches. Puis, elle examina son travail d'un œil expert.
- Même Eriol n'en reviendra pas. Des plans pour qu'il me trompe avec toi. Il va falloir que j'aille vous espionner pour être sûre qu'il ne tombe pas sous ton charme.
J'éclatai de rire.
- Compte sur moi, ça n'arrivera pas.
- Et pourquoi ? Ton cœur est déjà pris ?
- Par qui voudrais-tu qu'il soit pris ?
- Par Syaoran, peut-être bien…
Encore lui. Depuis un certain temps, il occupait toutes mes pensées. Et puis, je devais admettre que lorsque j'avais choisi le modèle de robe que je voulais, j'avais choisi quelque chose qui lui plairait. Je voulais qu'il me trouve jolie. Pourquoi ? Ça, je ne l'avais jamais su.
- Je… non, Tomoyo. Tu sais bien que c'est impossible.
- Pourquoi ? À cause de cette histoire ?
- Oui.
- Mais s'il ne s'était rien produit, aurait-il eu une chance ?
- Ah, Tomoyo, j'en sais rien ! Arrête de me poser des questions pareilles !
- D'accord.
Elle me regarda tristement, puis retourna à sa couture. Ses paroles restèrent néanmoins dans mon esprit. S'il ne s'était rien produit, aurait-il eu une chance ?
Normal POV
Le lendemain se passa plutôt bien pour Sakura. Elle ne croisa pas Kanji de la journée, ce qui la soulagea. Après l'école, Syaoran attendait Eriol, anxieux. Lorsqu'il arriva, il s'empressa de lui demander :
- Alors ?
Eriol sourit.
- Bonne nouvelle ! J'ai parlé à un responsable du bal, et il m'a dit que c'était ok. On a été chanceux, il n'a pas trop posé de questions.
- Génial. J'ai hâte de voir la tête des autres.
Eriol redevint sérieux.
- Il va falloir être très prudent. Il suffit que tu te fasses voir, et tout le plan tombe à l'eau. Bien sûr, avec l'enregistrement, on va pouvoir te sortir de là, mais ça ne produira pas le même effet.
- Je sais. Je vais me faire discret. Au fait, est-ce que tu sais si Sakura a trouvé, euh…
- Un nouveau cavalier pour te remplacer ?
- Ouais…
- Je n'en suis pas certain, mais je ne crois pas. En tout cas, c'est sûr qu'elle n'ira pas avec Kanji.
Syaoran eut un sourire coquin.
- J'aurais payé cher pour voir ça. Eriol, toujours si doux, si calme, flanquer un crochet du droit à Kanji.
Embêté, Eriol répondit :
- Ouais, bon… N'en fais pas tout un plat. Moi aussi, je peux m'énerver, des fois.
- Tu l'as dit à Tomoyo ?
- Euh, non. Je lui ai seulement dit que j'ai récupéré Sakura et que je suis parti…
- Attends que j'aille lui raconter ça !
- Tu n'oserais pas ?
- Oh, que si !
- Syaoran Li, si tu fais ça, je te jure que tu ne vivras pas assez longtemps pour embrasser Sakura !
Syaoran POV
Le jour J était enfin arrivé. Le bal. Comme tous les garçons, j'avais revêtu un smoking. À la différence que moi, j'étais caché. Le bal se déroulait dans une grande salle, munie de plusieurs portes, qu'on avait laissées ouvertes, permettant d'accéder à une grande terrasse. Tapis dans l'ombre, tout près de l'entrée, j'avais une excellente vue sur tout ce qui se passait à l'intérieur. Je m'appuyai contre le mur et soupirai. J'allais devoir prendre mon mal en patience, car Eriol ne mettrait le plan à exécution que lorsqu'il serait certain que tout le monde était arrivé. Je levai mes yeux vers le ciel, qui avait pris une couleur d'encre. Les étoiles scintillaient, lui donnant un air magique. Je me sentis nostalgique en pensant que j'aurais dû venir à cette fête, le cœur léger, au bras de Sakura. Soudain, j'entendis des bruits de pas, et je me retournai. Ce que je vis me coupa le souffle. C'était elle ! Elle était sublime dans sa robe blanche. Le haut était de type bustier, et il était délicatement décoré de motifs de fleurs de cerisiers roses. Le bas, quand à lui, était piqueté de petites perles, roses aussi, formant, dispersées sur la jupe, de petits exemplaires de la même fleur. Elle s'était légèrement maquillée, ni trop, ni trop peu. Elle avait appliqué un peu de gloss sur ses lèvres, et avait mis un trait de crayon blanc sur ses paupières. Je ne pouvais plus détacher mon regard de cette apparition. On aurait dit une déesse, ou un ange. Ce n'est que lorsqu'elle passa près de moi que je remarquai qu'elle était avec Eriol. Bien qu'il ne puisse pas me voir, il savait où je me cachais et fit un clin d'œil dans ma direction. Je compris où il voulait en venir. Il avait invité Sakura pour être certain que personne d'autre ne l'accompagne. Je reportai mon regard sur la voûte étoilée, l'image de Sakura toujours présente dans mon esprit.
Eriol POV
Je ne cessais de jeter des coups d'œil en direction de l'entrée. Tant que tout le monde n'était pas arrivé, je ne pouvais rien faire. Je vis que Sakura commençait à s'ennuyer, alors je lui demandai :
- Tu veux danser ?
- D'accord.
Je l'entraînai sur la piste de danse, et alors que je la faisais valser, je repérai Kanji, un peu plus loin. J'eus un sourire carnassier. Parfait. Tout était en place. Après un moment, plus personne n'arriva, et je dis à Sakura :
- Tu peux m'attendre deux minutes ? J'ai quelque chose à aller faire.
Elle me regarda, une lueur d'incompréhension dans les yeux, et répondit :
- Euh, d'accord.
Je me dirigeai vers le DJ, qui n'était nul autre que le responsable avec qui j'avais parlé la veille, et il me laissa sa place. Je coupai la musique, qui était plutôt forte et assez rythmée. C'était l'idéal pour avoir l'attention de tout le monde. Aussitôt, les conversations cessèrent et les couples arrêtèrent de danser. J'introduisis une cassette dans le lecteur et mis le volume au maximum. Puis j'appuyai sur le bouton « play ». Aussitôt, on entendit une conversation envahir la salle.
« Je ne pensais pas que tu prendrais autant de risques. Alors, Li. On fait moins le malin, hein, maintenant ?
- …
- Le chat t'a mangé la langue ? Ou bien est-ce l'effet d'être traqué par la police et de perdre tes amis qui t'empêche de parler ?
- Ta gueule, Kanji.
- Tu es très mal placé pour me donner des ordres. Au fait, qu'est-ce que tu veux ?
- Savoir pourquoi tu as fait ça.
- Fait quoi ?
- Tu le sais très bien.
- Non, désolé, je ne sais pas de quoi tu parles.
- Arrête de jouer avec mes nerfs. Pourquoi as-tu agressé Mika Kaito, et surtout, pourquoi as-tu dit que j'étais coupable ?
- Je vais te le dire. Vois-tu, j'en avais assez que tu me surpasses dans tout. Auprès des filles, en sports, en classe. Bref, tu faisais tout mieux que moi. En plus, tu avais quelque chose qui m'intéresse beaucoup.
- Je peux savoir ce que c'est ?
- Mais Sakura, voyons. Pas la peine de se le cacher, je sais très bien ce que tu éprouves pour elle. Et puis, il va sans dire qu'elle est très attirante. J'ai donc décidé de me l'approprier. Non seulement je satisfais mes désirs, mais en la montant contre toi, elle te détruit peu à peu. Ça fait mal, hein ?
- Qu'est-ce que tu lui as fait ?
- Oh, rien pour le moment. Mais ça ne saurait tarder. Je l'ai mise en confiance, et on est très copains elle et moi.
- Je te jure que tu vas me le payer.
- Tu crois me faire peur avec tes menaces ? Au fait, pour ce qui est de Kaito… J'avoue que c'est bien moi qui l'ai violée. J'en ai même tiré beaucoup de plaisir. En plus, je l'ai, comment dire, convaincue de parler contre toi.
- C'est tout ce que je voulais savoir. T'es vraiment dégueulasse, Kanji.
- Pff, j'en ai rien à foutre de tes insultes. Bon, faut que je te laisse, j'ai rendez-vous avec Sakura. Je te rendrai peut-être visite en prison. »
Un grand silence emplit la salle, et tous les regards se tournèrent vers Kanji. Je souris. Il était vraiment foutu.
Sakura POV
Je plaquai une main devant ma bouche. Je n'y croyais pas. Alors c'était Kanji, le coupable. Et Syaoran était innocent ! Je sentis un énorme sentiment de culpabilité m'envahir. Je n'avais pas cru Syaoran alors qu'il me disait la vérité, et je l'avais lâchement laissé tomber. Je l'avais pris pour un traître, mais dans le fond, c'était moi, la traîtresse. Oh mon dieu, Syaoran… Soudain, je vis Kanji, qui était devenu livide, se diriger vers l'entrée de la salle en courant, bousculant tout le monde sur son passage. Le directeur, qui était présent, cria :
- Attrapez-le !
Mais c'était trop tard. Le temps que tout le monde ne soit remis de sa surprise, Kanji était presque sorti. Alors qu'il allait atteindre l'entrée, un homme lui bloqua le passage. Mon cœur loupa un battement. Syaoran ! Il eut un sourire narquois.
- Alors Kanji. Tu vas quelque part ?
Kanji n'eut pas le temps de répondre que Syaoran lui donna un prodigieux coup de poing dans le ventre, qui le fit se plier en deux. Le directeur accourut et empoigna fermement Kanji par le bras. Il essaya de se débattre, mais deux professeurs vinrent prêter main forte au directeur, et ils emmenèrent le jeune homme, probablement au commissariat. Un silence pesant plana dans la salle. Puis, un garçon, que je reconnus comme un des joueurs de l'équipe de basket, s'avança vers Syaoran et lui serra la main en lui disant :
- Content de te revoir, Li.
Ensuite, tout le monde qu'il connaissait vint le voir, et la fête se poursuivit. Quant à moi, je ne pouvais bouger. Je restai là, plantée au beau milieu de la salle, pétrifiée. Puis, je le vis tourner la tête dans ma direction et nos regards se croisèrent. Il me sourit timidement, mais son regard laissait paraître de la tristesse et de l'anxiété. N'y tenant plus, je courus vers lui et me jetai dans ses bras. Je me mis à pleurer et je le sentis me serrer contre lui. Entre deux sanglots, je réussis à articuler :
- Pardonne-moi. Je suis tellement désolée… Si tu savais comme je m'en veux…
Il resserra son étreinte et murmura :
- Oublie ça. Je suis trop content de te retrouver pour t'en vouloir.
Puis, il me relâcha et Eriol nous rejoint en souriant.
- Et ben, mon vieux, c'était un plan d'enfer.
- Qu'est-ce que tu as pensé de mon coup de poing ?
- Il était pas mal, mais le mien était bien mieux.
Les deux amis se sourirent, puis Syaoran demanda :
- Ça t'ennuie si je t'emprunte ta cavalière ?
- C'est la tienne, alors pas besoin de demander. Mais n'oublie pas ta promesse…
Je le regardai sans comprendre, mais il se contenta de me sourire. Puis, Syaoran me prit par la main et m'entraîna sur la piste de danse. À ce moment, un slow débuta, et il plongea son regard ambré dans le mien. Il mit une main sur ma taille, et de l'autre prit ma main dans la sienne. Puis, nous commençâmes à danser. Il me regardait tendrement, et je ne pus m'empêcher de rougir sous son regard. Pour la première fois, je me rendis compte qu'il était vraiment beau. Il appuya son front contre le mien et me murmura :
- Je n'ai pas encore eu la chance de te dire à quel point tu es belle, ce soir.
La rougeur de mes joues s'accentua. Puis, il me rapprocha de lui, et je n'eus d'autre choix que de passer mes bras autour de son cou, alors qu'il passait les siens autour de ma taille. Je me sentais tellement bien, dans ses bras. Il se mit à chanter doucement les paroles de la chanson au creux de mon oreille et je fermai les yeux, me laissant bercer par sa voix si douce, si envoûtante.
