Auteur : Melysandre

melisandretiscali.fr

Genre : Euhhhh... retour dans le futur? Nan, dans le passé ! Enfin, les deux, en fait... C'est un genre, ça ? --

Rating : Un petit PG-13 s'impose, je pense, pour cause de yaoi à venir et de déprime occasionnelle.

Couples: Hermione/Sirius pour le moment

Disclaimer : Les personnages de Harry Potter sont la propriété exclusive de JK Rowling. Malheureusement. Je ne m'en remets d'ailleurs pas. Bref. Les autres perso sont n'à moi. Et Axel est à Lou.

Réponses aux reviews :

Sam Malfoy : Merci de la gentille review . Oui oui, je me reproche de mettre mes chap en retard, parce que je sais que j'aime les auteurs qui updatent vite…M'enfin… on va dire que j'ai des bonnes excuses ;p

Just.a.Shadow : Merci pour la review ! C'est un plaisir de savoir que cette modeste fic est appréciée

Meredith : Merciii Savoir que je fais rire les gens me remplis de joie et d'incrédulité, j'en suis fort aise ! Quand à ma fréquence de parution.. je dirais une fois par semaine au début, et à présent… une fois tout les 6 mois ?. ''… Pôôô bien, je sais…Mais je ferai un effort pour poster plus souvent, promis !

Suppy Lulu : Merci bien marmitonne !

Lyra34 : Aha…J'me dépêche, j'me dépêche ! Et puis… entre Sirius et Hermione… Oulà, po trop vite, bijou, po trop vite ! Mais ça avance, lentement, mais sûrement ! Merci pour la review !

Lywen :Merci bien ! V'là la suite attendue !

Dragonchups : Ouéééé… mely vient de marquer un chapitre ! (Ey, c'est toi qui a dis que tu m'encourageais comme devant un match de Quidditch ) Bref, merci, et voilà la suite .

Harana : Merciiiii ! D'être toujours au rendez vous, merci merci . Pour les vampires, cette partie de l'histoire était un peu du superflue, mais me tenait à cœur. Je l'aime beaucoup, même si elle m'a obligé à mettre de côté la Golden et le reste un peu en suspens. Quand à d'où vient mon inspiration… Euh.. Dans ma tasse de thé extra-sucré ? '

U$. Hermy :Ca avance encore ! Merci pour la review !

Didi: /poste son chapitre toute penaude/ Oui, oui.. je sais… chuis grave en retard… Pardooon –.-. Merci beaucoup d'avoir reviewé quand même

Loupy :Ooooooooooh ma Loupy-Chou, comme je t'aime, toi /knuddel/ J'adore quand tu fais parler Cynique et Sentimentale, c'est trop mwarf Pour la Golden, gomen ne, mais va falloir attendre le prochain chapitre.. Pas dans 6mois, j'ose l'espérer…

Paradoxe temporel

('Comprendrez le titre à la fin !)

Devant la cheminée, Hermione se recroquevilla sur elle même.

« Au moins, on sait ce qu'est la Cour des Quinze Lunes. »

« Ah bah, oui, ça nous avance ! » répondit la FPL. « Et pourquoi ces demie-elfes veulent la réunir ? A quoi ça va leur servir ? »

« Je sais paaaaaaaaaaaaas », gémit Hermione en prenant sa tête dans ses mains.

- Hermione ? Ca va pas ?

« Tiens, depuis quand la FPL me demande si ça va ? »

Hermione sursauta et leva les yeux…. Pour se noyer dans ceux de Sirius. Bleus. Un brin délavés. Brillants. Beaux.. Et …

« Geuuuuuuuh »

« Très intelligente remarque

Le jeune homme s'assit à côté d'elle. Près d'elle. Beaucoup trop près.

- Si t'as un soucis, faut en parler, Hermione. Je veux t'aider, tu sais, lui dit il très sérieusement.

« Gloups … »

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« Gloups… »

Alors que la FPL faisait sonner toutes les sonnettes d'alarmes à disposition, et ça faisait un bruit pas possible, le reste du cerveau de la jeune fille restait obstinément au point mort.

Sirius était près d'elle. Trop trop trop près d'elle. Et ce n'était pas bon du tout, et en même temps si bon, si rassurant, qu'elle se sentait malade de culpabilité de vouloir qu'il soit encore plus près.

- Hermione ? demanda Sirius, voyant qu'elle ne répondait pas.

-Je n'ai aucun soucis, répondit la jeune fille très rapidement, en se levant d'un bond. Aucun soucis, absolument aucun. D'ailleurs, j'ai sommeil.

- Ceci est la chose la plus débilement non crédible que j'ai jamais entendu dans ta bouche, l'interrompit Sirius, une lueur de reproche dans les yeux.

Hermione se figea, rougit et se retourna lentement. Elle plongea son regard dans celui du jeune homme et eut soudain l'envie saugrenue de se pelotonner sur ses genoux, d'oublier toutes ces histoires de Magie Téllurique, de faille temporelle, d'elfes, et surtout, surtout, d'oublier que Voldemort voulait tuer James, Lily, et, par la même occasion, Harry.

A la pensé de son meilleur ami, elle eut les larmes aux yeux. Elle aurait tellement voulu qu'il soit là ! Harry était tellement plus… efficace qu'elle.

Elle savais par cœur toutes les dates des guerres gobelines, les noms de tous les sorciers présents dans le fameux « Etude des récents progrès de la sorcellerie », elle pouvait réciter les innombrables propriétés du sang de dragon, ou les effets secondaires de l'absorption de sang de salamandre, elle connaissait les runes elfiques, gobelines, trolles, et vélanes, elle connaissait sur le bout des doigts les charmes enseignés dans le livre de Défense Contre les Forces du Mal pour les septième années, et même certains tirés de livres réservés aux étudiants universitaires, cachés dans la Réserve.

Mais sans Harry, face à l'action, elle avait l'impression d'être tétanisée. Une vraie souris. C'était lui, le casse-cou. Lui qui décidait à quel moment entrer en action, à quel moment foncer tête baissée. Elle, son rôle était de lui réciter les règles, de lui enseigner les sorts.

« Mais voilà, lui murmura la FPL, Harry n'est pas là. Il ne te dira pas quoi faire, et Ron non plus. Ils sont loin et tu es toute seule. Face à Sirius, qui te regarde de travers parce que tu le fixe depuis trente seconde sans rien dire. »

« Ah. Oups. »

Hermione tenta de se souvenir la dernière phrase prononcée par le jeune homme.

« Ceci est la chose la plus débilement non crédible que j'ai jamais entendu dans ta bouche. »

Ah, oui, vraiment ?

- « Débilement non crédible », Môsieur ? commença-t-elle, les sourcils froncés.

- Parfaitement.

- Je ne suis certainement pas débile. Non, môsieur. Il se trouve que j'ai une vie compliquée. Tu es bien placé pour savoir que j'ai toutes les raisons de réfléchir. Alors laisse moi penser sans me traiter de « débile » !

- Oh, oui, je sais, Mâdame a mieux a faire que parler avec nous, pauvres mortels ignorants ! Mâdame vient d'un autre espace temps, Mâdame a le poids du temps sur les épaules, patati, patata !

- EXACTEMENT ! rugit Hermione, avant de pointer un doigt accusateur sous le nez de Sirius et de le secouer furieusement. TU N'AS STRICTEMENT AUCUNE IDEE DE CE QUE JE VIS, ICI ! DE CE QUE JE DOIS FAIRE, DE CE QUE JE DOIS REUSSIR, SOUS PEINE DE VOIR CE MONDE S'ECROULER !

Il y eut un court silence. Le souffle court, Hermione attendit avec une impatience belliqueuse et légèrement masochiste la tirade furieuse de Sirius. Voilà qui lui ferait les pieds. Il n'avait qu'a pas être aussi gentil avec elle. Ne pas lui proposer de l'amener dans des fêtes la nuit, ou la faire monter sur son balais faire des fugues hors du lycée, ou la défendre lorsque de vils Serpentards lui cherchaient des noises. Avec la façon dont elle se comportait, qu'est-ce qu'il fichait ici, à essayer de la consoler ? Il allait partir, furieux, et il aurait bien raison. C'était tout ce qu'elle méritait.

Mais le jeune homme se contenta de murmurer :

- Ben alors raconte moi, grosse nouille.

Hermione ouvrit la bouche avec stupéfaction. A nouveau, elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle les repoussa avec une rage brûlante, et secoua la tête. Elle commençait a en avoir marre de se transformer en madeleine trois fois par micro-minute.

Avec sérieux, Sirius reprit :

- T'as besoin de parler, Darky. T'es une vraie cocotte minute de sentiments qui menace d'exploser à tout moment. Tu passe de la colère aux larmes de désespoir en trente seconde. Et ça m'agace de voir que tu refuses de nous faire confiance…

Le jeune homme hésita une seconde.

- De me faire confiance, reprit-il. Tu pourra pas régler toute cette histoire toute seule, tu sais… Banshee a déjà prit une partie du relais, avec Lilith… pourquoi refuses-tu que moi je t'aide aussi ? Et James, Rémus et Pet', bien sûr, ajouta-t-il avec un temps de retard.

Hermione laissa un silence planer. Ses yeux ne pouvaient quitter ceux du jeune homme, si soucieux, si purs qu'elle aurait voulu que rien, jamais, ne les voile. Le silence plana, plana, plana, puis elle le brisa en murmurant :

- Parce que tu es mort, Sirius…

Et le silence s'écrasa par terre avec un bruit assourdissant.

Les yeux bleus du jeune homme s'écarquillèrent de stupéfaction, et elle plaqua ses mains sur sa bouche avec une grimace horrifiée.

« ESPECE DE CRETINE DEGENEREE ! EST CE QUE TU TE RENDS COMPTRE DE CE QUE TU VIENS DE FAIRE ? » hurla la FPL en remettant en route les sonnettes d'alarme.

Hermione préféra ne rien répondre, et, la bouche toujours grande ouverte, elle se détourna et s'enfuit, ignorant l'appel angoissé de Sirius.

Mais elle ne parvint pas à atteindre la porte. Sirius avait bondit de son fauteuil et l'avait rattrapée, capturant le poignet fin et gracile dans sa grande patte.

Avec un sursaut elle se retourna et lui fit face.

- Hermione, ça suffit ! J'en ai ma claque. Arrête immédiatement de t'enfuir systématiquement !

- Ne me donne pas d'ordre ! Et je ne m'enfuis pas, répondit Hermione avec une mauvaise foi absolument révoltante.

- Ah non ?

- Nan.

- SI !

- NAON !

- La ferme, Hermione !

- Me parle pas comme ça , s'insurgea-t-elle.

- Je te parle comme je veux ! Toi tu me fais bien tourner en bourrique depuis ton arrivée !

- Je ne te fais pas tourner en bou- humrf !

Sirius, déterminé à la faire taire, l'embrassa brusquement. Ce qui était, somme toute, un moyen efficace. Visiblement.

L'organisme de la jeune fille eut un soudain raté et elle oublia comment respirer (de toute façon, elle ne pouvait pas... ). Son cerveau passa en mode automatique, et lorsque ses fonctions vitales revinrent à la normale, elle s'aperçu que la bouche de Sirius s'était éloignée et qu'il la regardait d'un air un peu gêné.

Elle réussit à bégayer un « pardon » affolé avant de partir en courant.

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Elle était dans la Grande Salle, fort occupée à manger le plus vite possible pour partir le plus vite possible, lorsqu'il fit son entrée.

Fracassante, l'entrée. C'était même étonnant que les vitres n'explosent pas. Il était dans le meilleur de sa forme. Dans un coin de la salle, deux ou trois filles de quatrième années s'évanouirent. Les autres se mirent à glousser.

Suivit de James, Peter et Rémus, Sirius s'avança dans la Salle, l'allure majestueuse, le regard fier, le pas décidé, la cape flottant une dans légère brise inexistante. Il ignora royalement Hermione, et alla s'asseoir avec les « filles-les-plus-populaires » des Griffondors.

Il riait bruyamment, secouait ses longs cheveux bruns, remuait ses mains en rythme avec se gestes fluides, et Hermione choisissait délibérément de ne surtout pas avoir l'air frustrée. Surtout ne pas prendre l'air agacé, vexé, mortifié, désespéré, ou quoique ce soit d'autre.

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- Hermione ?

- Hein ? sursauta la jeune fille en levant les yeux du pavé qu'elle apprenait par cœur pour son prochain cours de Défense Contre Les Forces du Mal, un livre intitulé «Usages et utilités des papillons d'Asie centrale dans les potions de jouvence au XVIIem siècle», par Nicolette Boudunez. Elle étudiait actuellement la vie passionnante du Parides iphidamas, un ravissant spécimen bleu et blanc, dont les ailes avaient l'étrange propriété de stabiliser la potion d'Effaceridule.

Elle leva le nez et s'aperçut que Ben Sullivan, le charmant Serpentard, la regardait avec un sourire amusé.

- Oh, salut, Ben, murmura Hermione, sans enthousiasme.

- Qu'est ce que tu fais ? demanda celui-ci en s'asseyant en face d'elle, sans lui demander quoique ce soit.

- Euhh…

Hermione regarda son livre.

- J'apprend le cour de Défense contre les Forces du Mal.. pour la semaine prochaine.

- Ah… Celui sur les potions de jouvence ?

- Hum hum, acquiesça la jeune fille, le nez baissé.

- Aha.

- Ouai.

- …

- Ce qui me fiche les nerfs, you knwo, it's just that.. Errr, pardon, c'est que je sais pertinemment que je peux apprendre toute la bibliothèque par cœur, jamais je n'aurais la note que je mérite. Rindell ne me supporte pas.

- Aaaah, soupira Ben en secoua ses belles boucles dorées. Rindell et ses à priori sur les Griffondors…

- Toute une histoire, gronda Hermione avec amertume.

Elle trouvait terriblement injuste cette discrimination envers elle. Se voir refuser la meilleur note, quelle… quelle… INJUSTICE !

- C'est trop injuste, soupira-t-elle.

- Allez, Caliméro, sèche tes larmes ! la consola Ben en riant.

Tout deux s'interrompirent. Un léger silence plana un instant. Puis, l'air détaché, le jeune serpentard demanda :

- Tu lui en veux ?

- A Rindell ? demanda Hermione avec innocence.

- Mais non, crétine ! Je me fiche de Rindell comme da la première baguette de mon père ! Je te parle de Sirius.

- Ah. Fit Hermione, l'air surprise.

« On avait bien pigé que tu parlais de Sirius, merci bien » grommela la FPL.

La jeune fille commençait à se poser de sérieuses questions sur sa prétendue « fuite systématique ». Mais c'était faux. Elle ne passait pas son temps à fuir.

« Et si on se penchait sur ta mauvaise foi, hum ? » Ricana la FPL.

Hermione l'ignora royalement.

- Alors ? demanda Ben.

- Alors quoi ? répondit Hermione, replongeant dans son livre.

- Est-ce que tu vas te décider à aller lui parler, tête de bourrique ?

Hermione ouvrit de grands yeux indignés et répéta :

- Tête de bourrique ?

Elle se tu un moment et demanda sèchement :

- Et puis, pourquoi ce serait à moi d'aller lui parler ? C'est lui qui joue les paons au milieu de sa cour de glousseuses.

- Tu es jalouse ! s'exclama Ben avec ravissement. Il eut un rire de gorge absolument délicieux, puis lui jeta un regard grave.

- Allez, bourrique, raconte moi ce qui c'est passé.

Hermione ouvrit de grands yeux.

Hum.

Voilà qui méritait réflexion. Lui raconter la « Scène » avec Sirius, en évitant, bien sur, son impardonnable gaffe. A ce propos, elle trouvait suspect que Sirius ne soit pas venu lui demander des comptes. Après tout, elle lui avait bel et bien dit qu'il était mort… alors pourquoi ce silence ? Pourquoi cette comédie de Don Juan ?

Et bien, en fait, euh.. En fait, on s'est disputé…

- Encore ? soupira le jeune homme en secouant ses belles boucles miel.

- Comment ça, « encore » ? releva Hermione, intriguée.

- Voyons, Bourrique, tout le monde connaît vos légendaires disputes !

- Légendaires ? répéta faiblement Hermione.

- Carrément ! Je suis sûr qu'on vous décernera le prix du couple le plus Houleux de Poudlard.

Hermione prit une jolie teinte vermillon.

- Nous ne sommes pas en couple, Sullivan… murmura-t-elle.

- Ah boooooooon ? demanda le jeune homme avec des yeux ronds.

Hermione allait lui répondre lorsqu'elle comprit qu'il se moquait d'elle. Elle lui fit une grimace et reprit :

- Bref, on s'est disputé, il m'a.. il m'a embrassée, dit-elle en rougissant furieusement. Et puis je me suis enfuie…

- Enfuie ? répéta Ben avec un air purement catastrophé.

- Oui.

- Mais.. quelle.. quelle.. Nouille ! Mon dieu, Darky, mais tu n'as donc aucune cervelle ? Et même à présent, tu ne comprends pas pourquoi il fait la roue dans la Grande Salle ?

- Hein ?

- Il est vexé, Hermione. Tu as foutu un vent au Grand Sirius le Tombeur. Il est vexé et il te le fait payer en te montrant à quel point il peut se passer de toi.

- Peut m'importe.

- Comment ça ?

- Je m'en fiche, répondit la jeune femme avec obstination.

- Cesse de te voler la face, Bourrique, fit Ben d'une voix cinglante.

- De toute façon, rien n'est possible entre nous, s'entêta-t-elle.

- Parce que tu viens du futur ?

Hermione leva la tête vers lui, les yeux exorbités. Elle mit un moment avant de pouvoir bégayer :

- Qui… qui.. te l'a dit ?

- Lilith, répondit simplement le jeune homme.

La jeune fille se promit d'avoir une conversation ultrissimement sérieuse avec Lilith, dès que possible.

- Ne lui en veux pas, pria-t-il avec une expression de peine sincère.

Elle resta silencieuse.

- Ne lui en veux pas de me l'avoir dit, fit-il a nouveau.

- Elle aurait pu me demander d'abord. Ce n'est pas parce que elle et sa sœur ont prit les choses en main que je dois être laissée de côté comme une gamine ignorante.

- Mais.. Hermione… c'est ce que tu es, pour elles. Une gamine de seize ans a peine… Elles sont plus de mille ans !

- C'est pô une raison.

« Ô, que voilà une réponse intéressante, constructive et matuuuure… »cingla la FPL.

A cet instant, Hermione se détestait. Elle détestait sa timidité, sa mauvaise foi, son attitude digne d'une enfant de trois ans et demi. Elle baissa la tête.

Diplomate, Ben changea de sujet :

- Bon, et pour Sirius, fait moi plaisir.. va le voir.

- Pourquoi ? gémit la jeune fille, détournée de ses questions morale.

- Par ce que tu l'aime, tiens.

Face à cette évidence posée à plat sur la table, Hermione ne sut que dire.

« Ahaa, t'es dans la mouise, là, hein ? » murmura une part de sa conscience qui n'était pas la FPL.

« Ouai, pensa tristement Hermione Granger. Dans la mouise. J'pense que tu peux carrément dire dans la merde ».

TBC….

L'auteur: /essoufflée/ Rahhh.. Rahhh… Rahhh…

Cynique : T'es en retard, chérie…

L'auteur : Oui.. merci de me le rappeler.

Cynique : De rien. Je suis là pour ça.

Sentimentale : Ahhh.. Ca avance enfin .. enfin… euh. Pas vraiment, mais…

L'auteur : Mais je suis incapable de faire avancer l'histoire et leur amour en même temps. Pardoon. Donc je fais les choses petit à petit.

Funny Bunny : Et c'est pas franchement folichon, ce chapitre, dis moi !

L'auteur : En même temps, comment veux tu que je mette des blagues débiles alors que nous sommes en pleine période de questionnement décisif pour notre héroïne !

Funny Bunny : Chais pô.

L'auteur: TT /larme à l'œil/

Cynique : Allez, ma grosse, sèche tes larmes, et met toi au prochain chapitre ! depuis le temps que tu annonce la Golden, il serait temps !

L'auteur : Ah ouai, tiens. Tu fais bien de me le rappeler. Je m'y met. De suite. /scribouille/

Funny Bunny: Dites, les amis qui restent à lire cette fic-ounette, vous posterez bien une Ch'tite review ? .